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Chapitre XEt Sukuna vient empirer les choses...


Anaïs

Je me réveille, un peu fatiguée. Le jour semble être levé depuis un petit moment... Combien de temps est-ce que j'ai dormi. Je me relève légèrement et regarde à droite et à gauche. Personne. C'est très calme...

- Tu es réveillée !!! , s'écrie quelqu'un, content.

Je sursaute et me retiens de crier de peur. C'était mon nouveau prof : Satoru. Il me sourit, tout content, devant la porte. Je soupire et m'effondre dans le lit, épuisée.

- J'ai eu la peur de ma vie... , soupire-je.

Il éclate de rire.

- Mais non, mais non... Allez, on se bouge, demoiselle ! Quand tu seras bien réveillée, en meilleure forme et après avoir mangé, descend donc ! Je vais faire les présentations comme il se doit et je vais t'entraîner ! , sourit-il.

Il s'approche de moi et dépose un plateau à côté de mon lit. Je le regarde, étonné. Pourquoi s'occupe-t-il autant de moi... ? Parce que je suis sa nouvelle élève... ? Il me sourit gentiment et rapproche sa tête de la mienne.

- Je t'attends, d'accord ?

Il me salue et part. Je le regarde partir, ne comprenant pas. Je soupire et décide de manger.

Une fois prête comme il faut, je descends comme me l'avait demander M. Gojo. À sa surprise, Itadori, Megumi et Nobara étaient en bas. En me voyant, je vois la joie recouvrir leur visage.

- ANAÏS !!! , s'écrie Nobara et Itadori.

Megumi me fait un grand sourire et me salue. C'est rare de les voir dans cet état-là...

- Ça va mieux ? , me demande Nobara, me regardant de haut en bas.

- Tu n'es plus possédée ou je ne sais quoi ? , me questionne Itadori, vérifiant à son tour.

- Foutez-lui la paix... Vous voyez pas que vous lui faite peur... ? , soupire Megumi.

En effet, j'étais un peu effrayée par leur réaction. Megumi sourit pour me rassurer.

- En tout cas, tu as l'air un peu remise. Bienvenue ici.

Les autres me font le même sourire et je leur réponds par un sourire de même, touchée. Quelqu'un touche d'un seul coup mon épaule : Satoru. Je soupire.

- Vous voulez vraiment me tuer, en fait... , fais-je, n'en pouvant plus.

- Tiens ? Tu t'es décidé à me tutoyer... ? , constate-t-il en rigolant.

Je rougis à sa remarque.

- Vous êtes mon prof, maintenant, non ? Donc c'est normal.

Il éclate de rire.

- Bien... Je vous déclare donc qu'Anaïs est désormais belle et bien une membre de notre établissement ! Vous êtes donc maintenant quatre dans la classe ! , sourit M. Gojo, heureux.

Itadori crie de joie. Megumi soupire par tant de stupidité et Nobara tape sur la têt du jeune garçon, n'en pouvant plus.

La suite a été assez calme, si je puis dire. Satoru a commencé à m'entraîner physiquement. Je courais pas mal et faisais travailler mes abdos pendant plusieurs jours. Un jour, alors que je me reposais et qu'Itadori aussi, avec son T-shirt d'enlevé parce qu'il avait trop chaud, une bouche apparaît sur le visage de ce dernier, en dessous de ses yeux : c'était Sukuna.

- Dis-moi, jeune fille... Cela fait longtemps qu'on ne s'est pas reparlé ! , sourit-il malicieusement.

Je le regarde, dans un premier temps effrayée, mais soupire, reprenant mon calme. Itadori ne s'y attendait pas non plus et frappe son visage à l'endroit où était apparu la bouche. Seulement, la bouche ré-apparait sur le dos de sa main. Je fais signe à Itadori d'arrêter. Je me demande ce que me veut Monsieur Sukuna. Je regarde la bouche parler et celui-ci fait un plus grand sourire encore.

- Ohhhh... Tu t'es décidée à vouloir m'écouter... ? Si, par contre Itadori voulait bien me laisser son corps pour pouvoir parler juste à elle... Je ne partirais pas. Ne t'en fais pas. J'ai juste envie de lui parler., soupire-t-il.

- Quoi ? Tu veux que je te laisse parler juste à elle ? En plus en te laissant mon corps ? Je ne suis pas fou à ce point-là ! , s'énerve-t-il.

- Ne t'en fais pas, Itadori.

Je lui souris gentiment. Il me regarde, surpris, puis soupire.

- Tu cries tout de suite s'il va trop loin, compris ?

Il ferme les yeux et laisse la place à Sukuna, qui a l'air de se sentir revivre. Il sourit, regarde ses mains et éclate de rire.

- Ne cherche même pas à partir. , fais-je. Je ne serai peut-être pas en mesure de te battre, mais crois-moi, je n'hésiterai pas à courir chercher M. Gojo pour qu'il t'en colle une ou deux.

Depuis que je suis rentrée dans l'établissement, je n'ai jamais revu de fléaux. Je m'entraînais juste au combat, pour être en mesure de me battre. De plus, j'ai pris beaucoup plus d'assurance depuis et honnêtement, Sukuna ne me fait plus autant peur qu'avant. Sa prestance m'impressionne, mais je ne vais pas avoir peur de lui maintenant. Après tout, il faut que je m'habitue à voir des fléaux. Il me regarde et sourit, amusé.

- Ohhhh... La demoiselle a donc réellement pris de l'assurance... , fait-il, amusé.Tu n'as plus peur de moi ?

Il s'approche de moi avec un mauvais sourire sur son visage. Je pâlis sur le coup et il éclate de rire. Je grince des dents, agacée, et sentant que ça allait mal se finir.

- Qu'est-ce que tu veux ? Dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire.

Il me fait de nouveau un mauvais sourire.

- Oh... Je vois... Et tu as quoi de prévu à faire ?

- Des entraînements, je vais aider M. Gojo et ma petites classe pour autre chose après et...

- Je le sais, ça, déjà. , me coupe-t-il. Tu ne crois pas que tu as plutôt autre chose à faire ?

- Hein ?

Je le regarde, ne voyant pas du tout où il voulait en venir.

- Tu parles de ma famille... ? , demande-je, commençant sérieusement à m'agacer. Ça ne te regarde pas, ça, alors mêle-toi de tes oignons ! Je crois que toi, tu as plus autre chose à faire que venir me faire chier, non ?

Je me lève, hors de moi. Décidément, il est bien différent de l'image que je me faisais de lui, dans le manga. Il y a trois personnages que j'adore dans cette série : Satoru, Inumaki et lui. Honnêtement, je regrette de l'avoir mis dans le lot.

Alors que je m'en vais, quelqu'un m'attrape le bras et me fais tomber par terre. J'atterris sur les jambes de Sukuna, celui qui m'a bien évidemment fait tomber. Il s'approche de ma tête, de façon à ce que nos fronts se touchent.

- Qui t'as autorisé à partir ? , me demande-t-il, sèchement.

Je rougis, ne m'y attendant pas et cela le fait plus rire qu'autre chose. Je me relève et recule, pour être sûre qu'il ne me fasse rien.

- Quoi ?! Qu'est-ce que tu veux, à la fin ?! Tu m'énerves, là !!!

Je grince des dents mais j'ai toujours mes joues rouges, ce qui ne donne pas réellement un air sérieux. Il éclate de rire.

- Tu es drôle, tu le savais, ça ? Bref... Moi non plus, je n'ai pas envi qu'on s'éternise. Revenons au sujet. Je t'ai dis que tu avais peut-être d'autre chose à faire, non ?

Je le regarde dans les yeux, ne comprenant pas où il voulait en venir.

- Tu ne vois pas ? , me demande-t-il, amusé.

Il se lève et s'approche de moi, amusé. Je recule mais me retrouve, bien évidemment, dos au mur. Il s'approche de mon oreille et s'accroupit en face de moi.

- Je te parle de ta raison de vivre. Enfin, de vivre... si on peut dire ça. , me susurre-t-il à l'oreille.

Je pâlis. Mais de quoi il parle... ?

- Tu ne trouves pas ça étrange, toi ? Une personne normale, humaine, dégage forcément quelque chose en lui, une sorte de magie, si tu veux. Toi, tu ne dégages rien. Et tu sais qui sont ces personnes qui ne dégagent rien du tout... ? , me demande-t-il, le sourire mauvais aux lèvres.

Je reste silencieuse, pâlissant encore plus.

- Les morts. , me lâche-t-il dans les oreilles. Les morts d'il y a plus de deux jours. C'est bizarre, tu ne trouves pas... ? À part hasard... personne ne t'aurais tué, il y a longtemps... ? Ou il y a très peu, aussi, ça peu marcher...

C'est... C'est impossible... Clairement impossible... Je suis encore plus blanche qu'un linge, ce qui donne encore plus le sourire à Sukuna.

- Ça ne te dis rien... ? , rigole-t-il. Je vais peut-être t'aider... Je sens à peu près les endroits de ta mort, vois-tu... Enfin, de tes morts. Il semblerait que tu sois morte deux fois. L'une où s'est surtout ta tête qui a pris, mais on dirait plus tout ton corps. Ça à l'air d'avoir eu lieu il y a très longtemps. La seconde, par contre, beaucoup plus récente... , me murmure-t-il, levant sa main.

Il met sa main sur mon visage, sur ma joue, et la descend petit à petit vers...

- Ton cœur. , fait-il, me le montrant du doigt.

Je me retiens de cracher du sang la douleur ce jour-là revenant. C'est quand ils sont venus... Quand il m'a... enfoncée ma main dans mon corps... et plutôt mon cœur. Je tremble de tout mon être, ce qui semble amusé Sukuna.

- Ohhh... On dirait que ça te dit quelque chose, en fin de compte... Mais dis-moi... comment fais-tu pour continuer à vivre, alors que tu es morte ? Deux fois, qui plus est ? Ça m'intéresse beaucoup... TU m'intéresses beaucoup... J'aimerai bien connaître ta technique... Mais bon... Encore faudrait-il que tu comprennes toi-même...

Il souffle dans mon oreille et pouffe de rire, en me voyant reprendre légèrement des couleurs avant de les perdre d'un seul coup.

- Je te laisse réfléchir... d'ici la prochaine fois que l'on se verra !

Il éclate de rire et laisse la place à Itadori. Il revient à lui et soupire.

- J'espère qu'il ne t'a... Anaïs ?!

Il se précipite vers moi, cherchant à comprendre ce qui clochait. J'éclate de rire, ce qui semble le rassurer un peu.

- Ne t'en fais pas, je vais très bien. Bon, c'est pas tout, mais il faut que j'y aille. À plus !

Je le salue et pars rapidement. Je m'enferme rapidement dans ma chambre, avant de me mettre à pleurer, effrayée par ce que je venais d'apprendre.

- Je suis donc... réellement... morte... ? , fais-je, terrifiée.

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