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Chapitre 4: Give your puppy a treat

Mia s'efforçait de paraître confiante, mais son estomac était noué. Elle tenait un bouquet de fleurs élégant dans ses mains, à la fois modeste et raffiné, et ajusta nerveusement sa robe.

- Ça va bien se passer, lui murmura Félice avec un sourire encourageant en sonnant à la porte. Ils sont charmants, vraiment. Juste... un peu... traditionnels.

Mia acquiesça, tentant de masquer son appréhension, mais elle savait que ce repas était une étape cruciale. Pour Félice, elle voulait bien tout supporter, même des regards désobligeants ou des questions embarrassantes.

La porte s'ouvrit sur une femme d'une cinquantaine d'années, aux cheveux bruns relevés en un chignon impeccable. Ses yeux scrutèrent Mia un instant avant de s'adoucir légèrement. Elle avait des yeux verts, et des taches de rousseurs. 

- Félice ! s'exclama-t-elle en ouvrant les bras pour enlacer sa fille. Et voici... Mia, n'est-ce pas ?

- Oui, madame Dufresne. Enchantée de vous rencontrer, dit Mia en tendant le bouquet, son pied tapant nerveusement sur le sol.

- Oh, ces fleurs sont magnifiques, merci beaucoup. Jean-Pierre, viens voir, elles sont arrivées !

Le père de Félice apparut dans l'embrasure de la porte, un homme au port digne, dont l'élégance discrète était marquée par une montre classique et une chemise impeccablement repassée.

- Mia, bienvenue. Entrez donc.

Ils furent conduits dans un salon spacieux où trônait un service à thé préparé avec soin. Une douce musique classique jouait en fond. Félice posa une main sur le dos de Mia en signe de soutien. Celle-ci, perchée sur ses talons, plongea ses pupilles fendues dans les siennes en murmurant:

- Si un sein se barre quand je mange, tu me préviens. Ça m'est déjà arrivé.

Félice la regarda un moment avec confusion, avant de descendre légèrement le regard jusqu'à son décolleté, qui n'était pas tellement bas, mais plutôt léger au niveau des épaules. La courbe de ses seins semblait pourtant bien soutenue... Puis, elle revint vers le visage de Mia qui souriait d'un air sournois:

- Tu regardais quoi, là ?

- Alors, Mia, dit madame Dufresne une fois tout le monde installé, racontez-nous un peu ce que vous faites dans la vie.

Félice, rouge jusqu'aux oreilles, écouta la violette prendre la parole, noyant son embarras dans un verre de vin blanc.

- Je suis photographe. Je fais surtout des portraits et des reportages, mais j'aime explorer différents styles, répondit Mia avec un sourire poli.

Monsieur Dufresne hocha lentement la tête, l'air pensive.

- Intéressant. Une carrière artistique... Ce n'est pas toujours stable, n'est-ce pas ?

Mia sentit une légère tension dans la pièce, mais elle garda son calme.

- C'est vrai, il y a des moments où c'est un peu imprévisible. Mais je travaille dur, et j'ai aussi quelques contrats réguliers qui m'assurent une certaine stabilité.

- Mia est incroyablement talentueuse, intervint Félice. Elle a même fait une exposition le mois dernier, et les retours étaient excellents.

- Oh, vraiment ? Et où était cette exposition ? demanda madame Dufresne avec un intérêt soudain.

- À la galerie Magical, au centre-ville.

Un éclair d'admiration traversa le visage de madame Dufresne.

- Ah bon ? Impressionnant. Jean-Pierre, tu te rends compte ?

Le père de Félice acquiesça, mais son expression restait neutre. Il prit une gorgée de thé avant de poser une autre question.

- Et vos parents, Mia, que font-ils ?

Mia se redressa légèrement, préparée à cette question.

- Mon père est enseignant à la retraite, et ma mère était soldate. Ils vivent dans une petite ville à quelques heures d'ici.

Madame Dufresne hocha la tête, l'air satisfaite. Le repas se poursuivit dans une ambiance fluctuante, oscillant entre curiosité sincère et jugements voilés. Mia sentit que chaque mot qu'elle prononçait était pesé et analysé, mais elle garda le sourire, soutenue par les regards rassurants de Félice.

Au moment du dessert, monsieur Dufresne posa sa serviette sur la table et se tourna vers Mia.

- Je dois dire que je respecte votre détermination. La vie d'artiste n'est pas facile, mais il semble que vous vous en sortiez bien.

- Merci, monsieur Dufresne. Je fais de mon mieux.

Et... comment vous êtes vous rencontrés ? demanda soudainement madame Dufresne, son regard perçant mais pas hostile.

Mia tourna les yeux vers Félice, dont le sourire chaleureux était comme une ancre dans cette mer d'incertitudes.

- Lors d'un voyage avec... La famille de Lupa de Ranagan. 

Un silence suivit, lourd mais étrangement apaisant. Puis, madame Dufresne esquissa un petit sourire, enchainant:

- Oui, je vois parfaitement qui c'est. Une fille qui a de la ressource, cette Lupa.

- Oh, pas forcément, dit Mia d'un air innocent, alors que la magicienne lui lançait un regard un peu agacé. 

Alors que les deux femmes finissaient leur dessert, Mia lui lançant des petits clins d'oei joueurs, le père se redressa avant d'inspirer profondément.

- Et bien... Nous sommes ravis de te rencontrer, alors, jeune femme. Que prévoyez-vous de faire, pour les jours qui suivent ?

- À vrai-dire, dit Félice, prenant la parole de sa voix douce, nous chassons des dragons. 

Il y eut un petit silence, ses parents se regardant d'un air à la fois grave et surpris. 

- C'est un soucis ? demanda immédiatement la loup-garou, serrant ses bras fins contre elle, se demandant s'ils n'étaient pas en train d'évaluer la dangerosité de la chose pour leur fille. 

S'imaginant déjà des scénarios catastrophes dans lesquels ses parents se lèveraient, la pointeraient du doigt en criant "vous mettez en danger notre fille !", elle se mordilla la lèvre en fixant sa rousse qui resta calme. La magicienne posa sa main sur la cuisse de sa petite amie, mais ne la regarda pas, de peur d'augmenter l'angoisse qui montait en elle.

- Ce n'est pas ça, dit la mère, une ride d'inquiétude plissant son front. Nous croyions que les dragons s'étaient éteints, voilà tout.

- Enfin, pas vraiment éteints. Un mage très puissants, un ancêtre à nous du nom de Ancelius Del Dufresne, a scellé le sort de ces créatures du Chaos, il y a des centaines d'années. Il les a métamorphosés en humains...

- En chevaliers, selon les textes, précisa sa femme en le regardant, légèrement perplexe. 

- Je ne comprend pas, murmura Mia en passant une main griffue dans ses cheveux coupés en Wolf cut. Pourquoi il y a encore des dragons, alors ?

- Parce qu'ils ont trouvé un moyen de retrouver leur forme d'antan, comprit Félice en frissonnant. 

- Attendez... s'exclama Mia, le coeur battant. Tout les chevaliers sont en réalité des... Dragons ?

- Evidemment que non, la coupa avec douceur la magicienne, qui semblait avoir mieux compris qu'elle. Mais à mon avis... On doit en connaitre quelques uns qui doivent l'être. 

- Tu veux parler de...

- De Ray, oui.

=^x_x^=

Perséphone, assise à une table en bois sombre près d'une fenêtre crépitante de condensation, tenait son verre de vin entre ses doigts fins. Sa robe de satin noir épousait ses courbes avec élégance, tandis qu'une mèche blonde s'échappait de son chignon pour tomber le long de son visage.

En face d'elle, Isaac était tout sourire. Ce sourire qui aurait pu être charmeur, mais qui sonnait faux à l'oreille aiguisée de Perséphone. Il tenait une carafe de vin rouge qu'il inclinait pour remplir une fois de plus le verre de la vampire.

- Encore un peu, mademoiselle de Brières ? Ce millésime est rare, tout comme vous.

Perséphone leva un sourcil, jetant un coup d'œil à son verre déjà bien entamé. Elle savait où cela menait... Elle n'était pas naïve. Mais jouer le jeu semblait, pour l'instant, la meilleure option.

- Je suppose qu'il serait impoli de refuser... murmura-t-elle d'un ton las avant de tendre son verre.

Isaac rit doucement, satisfait, et versa une quantité généreuse. Le chevalier l'observait avec insistance, son regard brillant d'une lueur que Perséphone aurait qualifiée de dévorante. Elle porta le verre à ses lèvres avec grâce, savourant le liquide, mais sans pour autant se presser. Elle prenait son temps, tout en pesant ses mots et ses gestes.

- Ta beauté est telle que les poètes ne pourraient jamais la capturer, dit Isaac en se penchant légèrement vers elle. Tu n'as pas changé d'un poil, depuis les années où nous nous étions rencontrés.

Perséphone émit un petit rire cristallin, mais ses yeux restèrent froids.

- Tu es un humain. Je suis un vampire, je ne vieillis qu'à mon gré, alors que tu suis le cours d'une vie normale.

Il sourit, comme si elle venait de lui faire un compliment.

- Certes. Mais pourquoi recules-tu devant mes éloges ? Tu devrais les accepter, elles sont sincères. 

Elle le regarda, sceptique. Ce genre de discours avait le don de l'exaspérer. Mais elle n'était pas ici pour une confrontation, pas encore. Elle termina son verre, notant à quel point l'alcool commençait à alourdir sa tête. Elle avait accepté trop de verres, consciente maintenant qu'elle aurait dû s'arrêter bien plus tôt.

Isaac, lui, semblait ravi. Il glissa sa chaise plus près de la sienne, son ton devenant plus doux, presque intime.

- Tu sais, Perséphone, la vie peut être tellement plus simple quand on choisit le bon compagnon. Quelqu'un qui puisse... veiller sur toi. Te protéger.

Elle écarquilla les yeux, un sourire moqueur apparaissant sur ses lèvres.

- Et ce compagnon serait... toi, je suppose ? Tu n'apprends pas de tes erreurs passées.

- Pourquoi pas moi ? Tu es une femme exceptionnelle, mais parfois, être exceptionnelle attire les ennuis. Avec moi à tes côtés, tu pourrais vivre sans ces soucis.

Perséphone recula légèrement, croisant les bras.

- Tu as choisi l'abonnement "crétin" ce soir, Isaac ? Je te croyais changé, mais visiblement je me suis trompée. Je suis exceptionnelle, oui. Et j'ai survécu à bien pire que quelques ennuis. Je n'ai jamais eu besoin d'un "compagnon" pour me protéger.

Son ton était calme, mais acéré. Elle posa ses mains sur la table pour se lever, vacillant légèrement sous l'effet de l'alcool. Isaac se leva aussitôt, tendant une main vers elle.

- Perséphone, attend... Tu n'es pas en état de...

Elle leva une main pour l'arrêter, un sourire narquois éclairant son visage.

- En état de quoi ? Me défendre ? Sortir d'ici ? Je te mord, et ç'en est fini de toi. 

Elle tourna les talons, titubant à peine, et se dirigea vers la porte d'un pas décidé. La fraîcheur de la nuit l'accueillit comme une claque, l'aidant à reprendre un peu ses esprits. Elle s'adossa un instant au mur de pierre à l'extérieur, respirant profondément.

- Crétin prétentieux, marmonna-t-elle entre ses dents.

Les étoiles au-dessus semblaient rire avec elle, scintillant dans un ciel noir d'encre. Elle redressa la tête, réajusta son chignon, et s'éloigna du bar avec toute la dignité dont elle était capable, même dans cet état.

=^;x;^=

- Alors ? J'ai été bien ?

Mia harcelait la pauvre Félice de question, alors que l'air de la rue s'engouffrait entre ses deux bras nus. Serrant contre elle son gilet qui couvrait sa magnifique robe bleue, légèrement courte pour cette nuit de printemps, elle agrippa la main de la magicienne.

Celle-ci était tranquille et calme, comme à son habitude, et finit par lui lancer un regard blasé, l'air de dire "tu ne t'arrêtes jamais de parler ?" mais d'une façon si douce et si gentille que ce fut la violette qui fit mourir les questions sur ses lèvres.

Le trajet du retour se fit donc en silence. Mais, contrariée, la violette monta l'escalier en avance, l'attendant contre la porte, croisant les bras et boudant comme une enfant. La rousse lui fit face, la serrure étant à côté de la taille musclée de la loup-garou, et eut un petit rictus amusé. Elle sortit les clés, et ouvrit la porte.

Après s'être débarrassé de leurs affaires, Félice s'affala dans le canapé du salon. Elle fut bien vite rejoint par Mia, au son de ses talons qui se rapprochèrent, et sa silhouette féline qui la surmontait. La rousse déglutit et rouvrit les yeux, découvrant le visage mécontent de la violette, qui souleva son poignet. Elle porta ses doigts à sa bouche, les mordillant de ses dents coupantes.

- J'avais plus de batterie sociale, avoua Félice, soufflant ces mots en essayant de regarder Mia dans les yeux.

Cette dernière s'était penchée sur la magicienne, et celle-ci avait le choix entre regarder ses yeux, ses lèvres, ou son décolleté plongeant. Confuse, elle ne remarqua pas l'air diabolique de Mia qui passa sa langue sur son index, lui déclenchant un frisson agréablement gênant.

- On peut parler ? Cool.

Mia libéra la main de Félice, qui lui fut reconnaissante (elle commençait à avoir un peu de mal à savoir où poser son regard).

- Tu as été formidable, murmura la magicienne en rougissant.

- Merci, ronronna la loup-garou en s'asseyant sur ses genoux.

- E-et cette robe te va très bien.

- Je vois que tu l'apprécies. Moi aussi j'adore ta chemise... Elle a l'air facile à enlever.

- Euh, il y a un sous-entendu ? bafouilla la magicienne qui commençait à avoir un peu chaud.

Elle tira le col de sa chemise bleue clair, regardant ses propres genoux, et accidentellement les cuisses de sa dame, puisque posées là. Mia savait très bien ce qu'elle faisait et commençait à beaucoup s'amuser. Elle chercha son regard en souriant de toutes ses dents coupantes:

- Je t'adore, Félice. Tu es gentille...

Elle attrapa à nouveau sa main, la caressant, la portant au niveau de son visage.

- À l'écoute, adorable...

Elle posa le pouce de Félice sur ses lèvres étirées en un joli sourire.

- Pleine de bon sens, loyale... Mais il faut que je t'avoue tout de même que tu n'as pas la fougue de Lupa concernant des choses plus sérieuses.

Il eut un changement d'expression dans le visage de la magicienne, qui fronça légèrement les sourcils et eut un sourire, l'air de dire "tu te fous de moi ?". Visiblement, être comparée à son ancienne rivale, et amie, n'était pas ce dont elle s'attendait.

- Choses plus sérieuses ? Tu veux dire que parce que je ne suis pas du genre à coucher le premier soir, je ne vaut pas grand-chose par rapport à tes anciennes relations ?

- Mais non, mais disons que tu n'es pas très "top"*, s'amusa Mia, alors que Félice lui prenait le menton pour le tirer vers elle.

- Je m'en fous d'être top ou bottom. Je ne réfléchis pas à ça, moi.

- Et bien moi si.

Mia croisa les bras, la regardant de ses yeux verts émeraudes. Elles se toisèrent un moment, Félice l'approchant d'elle grâce à la main qu'elle avait posé sur son menton. Puis, cette dernière brisa la glace, amusée:

- Tu fais ce que tu veux de moi, hein ?

Mia rapprocha encore son visage, ses yeux passant rapidement des siens à ses lèvres, avant d'adopter une posture plus joueuse, se cambrant. Ainsi, vu qu'elle était plus grande que Félice, la rousse se retrouva au niveau de ses seins, enveloppés par la jolie robe bleue marine qui moulait ses formes parfaitement.

Félice déglutit, alors que Mia enroulait ses bras autour de sa nuque et murmurait:

- Ben alors ? Arrête de te retenir.

- Cette phrase, ça fait un peu bête sauvage à la Tarzan qui se retient de déchirer les vêtements de Jane pour lui faire l'amour.

- L'image ne me dérange pas.

Elles éclatèrent de rire, Félice s'imaginant la chose avec un peu de répugnance. Puis, Mia enleva sagement les bretelles de sa robe, écoutant les battements de coeur de sa belle s'accélérer drastiquement. Félice regarda le tissus tomber gracieusement sur son ventre désormais nu, et regarda la courbe de ses seins rebondis en déglutissant.

- On dirait que tu as vu un fantôme, rit affectueusement Mia, collant son corps à son visage, la priant de partager ses désirs.

Félice ne répondit pas, et la violette poussa son visage dans sa poitrine, ne s'attendant pas à ce qu'elle réagisse tout de suite. Pourtant elle poussa un petit cri de surprise et d'amusement lorsque les mains de la magicienne se posèrent sur sa chair, remontant son ventre pour attraper ses seins.

Le contact chaud de ses lèvres contre sa peau, sur son plexus, contre ses clavicules, les baisers qu'elle laissa, déréglèrent la respiration de Mia qui se fit saccadée. Elle laissa tomber en arrière sa tête, découvrant sa gorge à la rousse. Les pouces de Félice venaient doucement mais sûrement trouver les auréoles roses qui pointaient au bout de ses seins, les titillant adroitement. Mia sentait la température de son corps augmenter, tout ses membres étaient en ébullition. Elle mordit sa lèvre, réprimant un soupir concupiscent.

Félice, après un léger suçon sur sa gorge, revint déposer sa bouche sur ses seins, les ouvrant de baiser. Mia, fébrile, n'attendit pas pour soulever sa robe, la calant entre ses hanches et ses seins, découvrant le dernier tissus qu'elle voulait enlever sur elle. Pourtant, la position n'était pas très pratique pour ce genre d'opérations. Elle se voyait mal enlever sa culotte, alors qu'elle était assise cuisses ouvertes sur Félice.

Celle-ci suivit du regard les actions de la violette, et murmura un sort qui fit disparaitre (du moins, fit disparaitre du corps de Mia) ses vêtements. Elle, restait habillée, mais cela n'avait pas l'air de la déranger pour autant. La loup-garou poussa un léger son de surprise, refermant ses jambes par réflexe, mais Félice posa sa main sur son arrière train, là où une queue de loup trainait jusqu'au sol. Rapprochant ainsi son bassin du sien, elle croisa son regard.

Elle y lut de l'amour, et du désir. Ses joues s'embrasèrent et elle marmonna "ça me met la pression". Mia attrapa son visage à deux mains, sur ses joues, et leurs souffles se rencontrèrent.

- Pourquoi ?

- C'est... Notre première fois, admit la rousse.

- Et alors ? On s'en fiche, murmura son interlocutrice, avant de poser ses lèvres sur les siennes.

Elle gouta avec ardeur au vin blanc, l'arôme envoutant de ses lèvres, de toute l'affection débordante que Félice avait pour elle. Ses lèvres se mouvant sur les siennes, elle ondula son bassin, sa langue se glissant dans sa bouche pour y retrouver la sienne.

- Félice !

Elle se cambra, se mordant la lèvre, ravagée par son désir dont Félice s'occupait méthodiquement, et se dit avec une tranquillité orgasmique que non, l'appartement n'était pas bien insonorisé. Mais évidemment, elle prendrait un malin plaisir à ne pas avertir la rousse...

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