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Chapitre 16


Alyssa

Je suis en train de rêvasser sur mes cours de traumas infantiles, quand j'entends l'eau, qui déborde de la casserole, siffler. Je me rue sur mes plaques, éteins le feu promptement, et retire vite la casserole pour la placer sur un support. J'étais complètement distraite, à 3 000 de la réalité, chose qui ne m'arrive pas si souvent. Je me tourne pour récupérer une de mes tasses dans mon meuble bas, saisis la casserole et verse l'eau fumante dans mon thé. J'aide le sachet à s'imprégner dans l'eau en le touillant méticuleusement. J'ai la tête ailleurs, pleine de pensées qui me parasitent l'esprit. Le master, les partiels, Evannah, Kathleen, Caroline... Je ne sais plus quel sujet doit être traité en priorité, je préfère d'ailleurs ne pas trop m'attarder sur la question pour l'instant. Je me saisis de ma tasse et retourne rapidement à mon bureau afin de poursuivre mes révisions de psycho traumatisme. C'est à ce moment précis que je suis interrompue par un coup frappé à ma porte. Je me lève, un peu intriguée puisque je n'attendais personne, et découvre Ian derrière le battant.

Il est accoudé au chambranle et me dévisage intensément. Ouais bon, c'est vrai que je n'ai pas grand-chose sur le dos : je ne porte qu'un short en jean et une chemise rayée. Ian continue toujours son examen et un sourire sexy se dessine progressivement sur ses lèvres.

- Tu es très peu vêtue, finit-il par lâcher après un instant de mutuelle contemplation.

Oui, moi aussi je le mate, il est vraiment canon ce mec. Et ce jean qui lui tombe sur les hanches le rend encore plus attirant...

- Bonjour à toi aussi, dis-je sur un ton mielleux. Pour ton information, sache que mon appartement est très bien exposé, même en plein hiver, ce qui m'évite d'avoir à porter une parka à l'intérieur.

Il me sourit, l'air moqueur, et entre dans mon jeu.

- Tout de suite les grands moyens ! Essaie déjà de commencer par un pull, les gens normaux ne portent pas de parka à l'intérieur tu sais.

- J'en prends bonne note, merci, raillé-je. Tu veux entrer ou bien tu préfères continuer à me donner des conseils vestimentaires ?

- Je vais entrer, mais avant que tu ne m'interrompes avec tes moqueries, j'allais te dire que cette quasi absence de vêtements était la bienvenue selon moi.

- Ah et pourquoi ça ?

Je pose la question pour le change mais déjà je sens mon corps réagir à son timbre de voix grave et sexy.

- Disons que la présence de vêtements ne sera que... facultative dans quelques minutes. Il avance dans l'appartement et claque la porte derrière lui.

- Vraiment ?

- Voire carrément proscrite.

Encore ce timbre grave... Je n'avais pas prévu de finir ma journée comme ça, mais je ne vais pas protester maintenant. Ian va être un excellent dérivatif ce soir.

Il s'approche à pas mesurés de moi, et de là où je suis, je vois son regard de braise s'enflammer, anticipant déjà l'intense plaisir qui va ressortir de notre rendez-vous improvisé. Ian pose sa main sur mon cou, la remonte délicatement jusqu'à ma bouche et passe ses doigts sur mes lèvres. Et c'est plus fort que moi, je dégaine mes dents et commence à lui mordiller l'index. Ses yeux s'agrandissent d'excitation face à mon audace : je sais qu'elle lui plaît et qu'il est venu chercher mon côté aventureux et fougueux au lit. Ce qui, soyons honnête, n'est pas pour me déplaire.

Tout en lui mordillant les doigts, je passe ma main en travers de son torse, la descends lentement afin de voir sa réaction avant l'acte lui-même, puis je m'empare de son membre déjà dur à travers son jean. C'est le point de non-retour pour Ian : il s'empare violemment de ma bouche, la revendique en y insérant sa langue en quelques secondes. Je souris contre ses lèvres et finis par m'abandonner à son baiser. Nous nous chauffons mutuellement, et au bout d'un moment, il s'écarte, hors d'haleine, et commence à déboutonner ma chemise. Je l'aide en la faisant tomber au sol d'un haussement d'épaules, puis c'est à mon tour de m'attaquer à ses vêtements. Je lui arrache sa veste et son tee-shirt dans un même mouvement brusque, et recolle prestement ma bouche à la sienne. Il grogne dans ma bouche, me pousse en arrière jusqu'à m'allonger sur mon canapé. J'enroule mes jambes à ses hanches et commence à me frotter contre son érection. Très excité, Ian répond à chacun de mes mouvements et râle de plus en plus fort. Je finis par décoller mes lèvres des siennes afin de mieux les promener sur son cou, jusqu'à atteindre son torse. Je le lâche puis m'attarde sur ses tétons qui durcissent au contact de ma bouche.

- Arrête, grogne-t-il, je n'ai pas encore enlevé ton short.

Et en deux temps trois mouvements, je me retrouve nue sous lui. Il se redresse un peu pour mieux me regarder, puis redescend en piquet sur ma bouche. Son érection frotte contre le tissu de son jean, je décide donc de continuer à le branler un peu par-dessus la couture, avant de lui arracher définitivement son pantalon. Nous nous tenons à présent complètement nus l'un sur l'autre, fin prêts à passer aux choses sérieuses.

- Tu as ce qu'il faut ? demandé-je entre deux baisers.

Il hoche la tête, sa bouche trop occupée à rendre hommage à mes seins. Je geins en renversant la tête sur l'accoudoir, et pousse mon bassin contre le sien. J'entame alors un déhanchement langoureux contre son érection, lui signifiant ce que j'attends de lui.

- Attends un peu ma belle, j'ai autre chose en tête avant.

Ian quitte mes seins, et se rapproche doucement de mon clitoris. Il le butine de ses lèvres, puis insère deux doigts en moi, m'excitant au plus haut point. Je sens que je mouille fort contre ses doigts. Je gémis, halète tout contre lui, et continue à pousser mon bassin contre sa main experte. C'est loin d'être la première fois que nous pratiquons le cunni – et le sexe tout court – ensemble, mais je m'émerveille à chaque fois de son talent à le faire, et à le faire bien. Très bien même.

Je pousse un cri de plaisir lorsqu'il grogne à l'intérieur de moi : les vibrations se répercutent tout au fond de mon corps. C'est tellement bon.

J'enserre une poignée de ses cheveux dans ma main et halète bruyamment à chaque coup de langue. Le va-et-vient de ses doigts accélère, adoptant un rythme qui me rend folle. Je sais que je ne suis pas très loin de l'orgasme maintenant. Je rapproche de force sa tête de mon point sensible et il rit doucement, décuplant ainsi les sensations délicieuses qui parcourent mon corps. Je finis par crier son nom dans un bel orgasme qui me laisse pantelante.

Ian donne un dernier coup de langue, et se redresse, satisfait de lui, puis il place un préservatif sur son érection. Il s'allonge sur moi puis me pénètre d'un coup. Je prends une profonde inspiration et Ian entame un lancinant va-et-vient entre mes cuisses. J'utilise le peu de force qu'il me reste après mon orgasme pour crocheter mes jambes à son bassin et pour passer mes mains dans son dos. Je le griffe doucement en gémissant, tandis qu'il continue ses poussées qui deviennent plus intenses, plus profondes à chaque seconde. Cette fois mon orgasme est plus discret que le précédent ; Ian, lui, se répand bruyamment en moi et jure en atteignant l'orgasme.

Ses yeux gris rencontrent les miens. Je le contemple une seconde, puis me penche sur ses lèvres pour un baiser ardent. Il y répond tout en se retirant, et pose ses coudes de part et d'autre de ma tête afin d'approfondir le baiser. C'est lorsque l'air me manque une nouvelle fois que je romps notre étreinte ; il se redresse, un sourire taquin aux lèvres, et retire le préservatif de son pénis. Je me mets sur le côté afin de mieux le regarder et un sourire malicieux se dessine sur mon visage.

- Pourquoi cet air ? me demande Ian d'une voix encore essoufflée, ce qui ne manque pas de me faire très plaisir.

- Je pensais à un truc.

- Et à quoi exactement ?

- Au fait qu'on devrait vraiment faire ça plus souvent.

Les cours nous accaparent pas mal en ce moment lui et moi, cela fait près d'une semaine que l'on ne s'est pas vu. Ian est ma « relation sérieuse » du moment, ce qui inclut que je ne baise avec personne d'autre que lui le temps de notre relation. Il se rapproche de beaucoup du modèle de petit ami sans l'être réellement. Et je crois qu'il pense exactement la même chose que moi : on est engagé l'un envers l'autre sans l'être complètement. On couche ensemble, on sort parfois ensemble pour un resto ou une soirée, mais si l'un de nous veut aller voir ailleurs il doit le dire à l'autre afin de ne pas l'émousser. Cet accord nous va parfaitement jusqu'à présent, je n'ai pas de raisons d'y mettre un terme dans l'immédiat. Qui plus est, c'est un sacré bon coup au pieu, je pense qu'il finirait presque par me manquer si je décidais d'aller voir ailleurs.

- C'est en tout cas dans mes projets immédiats, j'ajoute en le chevauchant.

Ian est d'abord surpris, puis il place d'autorité ses mains sur mes cuisses et y trace des cercles.

- Non, chacun son tour Ian.

- Mais je t'en prie.

Il retire ses mains de mes jambes, les passe derrière sa tête et me lance un sourire lubrique. Je le lui retourne immédiatement en me penchant sur son corps. Je laisse mon souffle se promener sur son torse, ma bouche à quelques millimètres de sa peau. Ian recommence à respirer fort, je savais que ça allait le rendre dingue. Je poursuis ma progression, sans que mes lèvres n'entrent en contact avec son corps. Son regard se voile.

- Alyssa, s'il te plaît.

- Oui ?

Je laisse mes cheveux tomber en rideau devant moi, ce qui effleure doucement sa peau.

- Tu me tues là, Bébé !

Je pose mes lèvres sur le bas de son ventre, juste au-dessus de sa nouvelle érection.

- Je sais. C'est ça qui me plaît le plus...

Je le lèche une fois, sur toute sa longueur, et il inspire bruyamment. Je réitère mon geste et cette fois-ci il geint.

- Bébé...

J'aime entendre ses suppliques, c'est tellement excitant et sexy. Je place une de mes mains à la base de sa verge et je le branle doucement de haut en bas, en serrant puis desserrant ma poigne. Il suffoque, et ses yeux sont incandescents maintenant. Je sais que si je n'accélère pas mon rythme il va finir par perdre patience. Je continue ma lente torture encore quelques secondes, le temps qu'il rejette sa tête en arrière dans un râle, puis je le prends entièrement dans ma bouche et le pompe vigoureusement. Un cri lui échappe face à cet assaut, et sa main trouve mes cheveux qu'il tire fort vers sa queue. J'accélère rapidement mon rythme, le branlant toujours plus fort à chaque sifflement qui lui échappe, et je masse ses couilles dans une de mes mains.

Ian éjacule dans ma bouche en poussant un ultime juron. J'avale goulument sa semence en me léchant les lèvres. Son regard est encore voilé lorsqu'il m'attire contre lui.

- Ah Bébé, c'était... formidable. Sans doute une de tes meilleures pipes.

Je ris contre sa bouche. Il finit par s'en emparer avidement, et m'entraîne dans un long baiser. Nous restons allongés l'un contre l'autre quelques minutes afin de récupérer notre souffle.

- On sort manger ? lui demandé-je une fois que nous sommes remis.

- Et ensuite je te ramène dans ton lit ? me suggère-t-il d'une voix devenue rauque.

- J'aime assez ce plan je dois bien l'admettre, dis-je en me tortillant contre lui.

- Arrête ou sinon on ne sortira pas de cet appart' avant demain.

- Comme tu veux.

Ian évalue ma réponse un instant, pesant le pour et le contre.

- Tu es insatiable.

Je lui fais un clin d'œil.

Un son guttural s'échappe de sa gorge lorsqu'il me soulève dans ses bras. Je pousse un cri de surprise.

- Ça tombe bien, me dit-il, moi aussi.

Et il me mène à l'étage où nous continuons à nous perdre l'un dans l'autre pendant une bonne partie de la nuit.

Quelques heures plus tard, Ian et moi sommes dehors, dans un fast-food à deux pas de mon appartement. Nous nous sommes installés à une table, et nous mangeons avec très bon appétit nos burgers et nos frites. Tout le monde le sait, le sexe ça creuse. J'échange un regard complice et un peu concupiscent avec Ian. Je suis étonnée de constater comme nous nous entendons bien lui et moi, nous sommes vraiment sur la même longueur d'onde. J'ai connu plusieurs « relations » du même genre depuis mon entrée en fac, mais je dois bien admettre que celle-ci tient vraiment bien la route.

C'est rare que je parvienne à trouver un mec qui soit drôle, intelligent, un très bon coup au lit, et qui ne veuille pas d'une histoire sérieuse du type petit ami/petite amie. Disons qu'il est arrivé, qu'à force de passer du bon temps ensemble, alternant sexe et sorties, certains mecs aient eu envie d'aller plus loin avec moi. A chaque fois, je les ai recadrés en douceur, leur rappelant que ce n'était pas ce que je recherchais et que je ne voulais pas d'attache. La plupart renonçaient et préféraient en rester là, ce que je comprenais parfaitement ; d'autres ont tenté de repousser leurs sentiments pendant un temps, mais très rapidement la situation devenait intenable. Ces mecs-là devenaient exigeants, voulaient que l'on se voit plus souvent, que l'on passe davantage de temps ensemble, afin de me faire changer d'avis avec plus ou moins de finesse. Un jour, l'un d'eux m'a chanté un slam sous la fenêtre de ma chambre, me déclarant ainsi son amour éternel... La sérénade version moderne en somme.

Mais Ian ne semble pas être un de ces types... en tout cas pour l'instant. J'espère sincèrement que notre arrangement va durer encore un bon moment.

- Alors, dure semaine ? me questionne Ian, une fois qu'il a fini une nouvelle bouchée de son sandwich.

- En quelque sorte oui.

- Ta pote te rend la vie dure ? me teste-t-il.

- Mais quel enfoiré tu fais, raillé-je un brin énervée à présent, c'est compliqué entre nous... On ne s'était pas revues depuis le lycée, et on s'était quittées vraiment très fâchées donc...

- Mmh-mmh. Et comment tu comptes remédier à cette situation compliquée ?

- Je ne sais pas encore. Je sais qu'elle m'en veut profondément, et toutes ces années de séparation sont un frein important à une potentielle réconciliation, dis-je.

- Ou alors c'est l'idéal. Réfléchis, ajoute-t-il devant mon air dubitatif, l'eau a un peu coulé sous les ponts aujourd'hui, ce serait peut-être le moment pour repartir à zéro entre vous. Vous avez dû changer depuis le lycée, l'une et l'autre, vous avez plein de choses à rattraper et en même temps de nouvelles expériences à vivre ensemble. Ne baisse pas les bras, Bébé, je suis certain que si tu persévères un peu, tu obtiendras son pardon.

Je réfléchis quelques minutes à ses propos. Il n'a pas complètement tort, je dois bien le reconnaître. Après tout, c'est vrai que le temps du lycée est loin aujourd'hui, Evannah et moi avons grandi, évolué dans nos manières de penser et d'agir. Peut-être que l'on pourrait faire table rase du passé, et entamer une nouvelle amitié elle et moi ?

Je vous avais bien dit qu'il était intelligent. Et sacrément beau en plus.

- Peut-être que tu as raison.

- Evidemment que j'ai raison, fait-il dans un large sourire, je suis extrêmement intelligent et intuitif comme garçon, Bébé.

Ian croise ses bras derrière sa tête, son petit sourire ironique fixé sur ses lèvres. Involontairement, je me remémore ce merveilleux moment quelques heures plus tôt où il avait adopté la même attitude pendant que je le masturbais. Mmh...

- Oh vraiment ? demandé-je en levant les yeux au ciel. J'avoue que ça ne m'avait pas encore frappé, déclaré-je avec un sourire mielleux.

- Tu peux être assez mauvaise pour l'ego d'un mec, on te l'a déjà dit ?

- Si tu savais...

Un éclair de curiosité s'allume dans son regard. Il a très envie que je poursuive sur le sujet. Je tente une pirouette pour me sortir de ce mauvais pas.

- Et tu me conseillerais quoi pour réussir à ce que ma meilleure amie me pardonne ?

- Ça demande un instant de réflexion... et sans doute aussi quelques informations complémentaires pour mieux cerner pourquoi elle t'en veut, me lance-t-il avec un regard intense.

Je grogne. Je ne tiens pas à lui parler de toute cette merde.

- Peut-être une autre fois, il faut absolument que je rentre pour finir un dossier important et que je continue mes révisions de partiels.

Je deviens assez bonne pour noyer le poisson !

- Oh regardez-la essayer de noyer le poisson, rigole Ian.

Ou pas...

- Je n'essaie pas de noyer le poisson, comme tu dis, j'ai vraiment du boulot qui m'attend. Comme toi j'imagine.

- J'ai capté le message : sujet sensible. Je n'insiste pas, j'ai compris. Détends-toi ma belle, reprend-t-il en me lançant un doux sourire afin de me rassurer.

Je lui souris à mon tour, reconnaissante face à sa galanterie. Je me penche pour l'embrasser tendrement afin de lui exprimer ma gratitude. Ian prolonge le baiser, appréciant manifestement ma façon de le remercier. Nous nous séparons un peu essoufflés, et nous nous sourions. Puis nous nous levons et Ian me tend sa main, que j'accepte gentiment. Nous nous quittons devant mon appartement, après avoir échangé un nouveau baiser ardent.

- On se revoit demain ? lui demandé-je avant de remonter chez moi.

Ian se retourne, ses yeux gris emplis de malice.

- Je n'attends que ça, Bébé.

Et il me fait un clin d'œil.

Par coquetterie, je le lui rends et lui envoie un baiser en riant. Il secoue la tête en riant à son tour, puis tourne les talons afin de rejoindre sa voiture.

Une fois remontée dans ma chambre, je passe quelques instants à repenser à ce que Ian m'a dit. Et je suis d'accord avec lui : il faut que je tente de réinstaurer le dialogue entre Evannah et moi. Elle est trop importante pour moi pour laisser passer cette opportunité de redevenir son amie. Reste à savoir comment je vais m'y prendre, et si elle acceptera de renouer avec moi... J'inspire profondément, laisse de côté pour l'instant ce sujet de préoccupation, et me penche une nouvelle fois sur mes cours.


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Bonjour ! J'espère que vous allez bien et que vous avez apprécié ce chapitre centré sur Ian et Alyssa :) Vos impressions sur leur relation ? Ou sur la "philosophie de vie" d'Alyssa concernant ses relations avec les mecs de manière générale ?

Votez et commentez ! J'aime beaucoup vos commentaires et avis :)

Bisous !

A. H.

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