Dream on her every nights
Agnetha était en classe, assise droite sur sa chaise et fronça les sourcils devant le dilemme de mathématiques. Elle n'y comprenait rien, équations et inéquations du premier degré, comment un 5 pouvait t'il être l'inconnu d'un a? Quand on mélange chiffres et lettres ça devenait trop compliqué. Elle se sentait perdue, sa tête surchauffait et ça l'ennuyait. La sang battait dans ses oreilles et elle avait du mal à respirer, elle se sentait surchargée. Isoler un inconnu d'un membre d'inégalités, elle soupira de se sentir oppressée, des gouttes de sueur se formaient sur son dos . Elle passa une main sur son front espérant apaiser ses tourments et relu plusieurs fois l'énoncé puis encore une fois elle ne comprenait rien. Elle lâcha un chouinement involontaire, une larme coulait le long de sa joue rouge et tendre elle ressemblait à un enfant capricieux, la larme fit son chemin jusqu'au Menton froissé d'une moue. Un autre sanglot s'échappa du fond de sa gorge.
Elle inspira profondément et tanta de se calmer sa tête était lourde, la fatigue prenait le dessus.
'' Alors... pfff... la question du problème est :'' pour quel nombre de scéances dans le mois, le forfait mensuel est plus avantageux que les entrées à l'unité ?'' Nana na nana na...'' souffla-t-elle et se pinçant l'arête de son nez et se mit à écrire que x était le prix d'entrée.
''En sachant que le ticket à l'unité est de 14 couronnes et le forfait mensuel à 100 couronnes...'' elle fit une pause ne sachant pas comment s'en sortir, elle était abattue, son estomac était lourd, une sorte d'angoisse s'incrustait en elle.
'' Peut-être qu'en multipliant ... '' se murmura-t-elle pour elle-même. Elle expira longuement et posa son sa plume alors que la cloche sonnait, elle soupira et rangea son cahier ainsi que son porte plume dans son sac. Agnetha était découragé, elle repensa avec gêne de son sanglot impromptu, mais lorsque qu'elle se leva sa jupe s'accrocha au bord de sa chaise et se releva mais ne le remarqua pas.
Alors qu'elle se penchait pour ramasser son sac elle sentit quelqu'un tira sa jupe vers le bas, elle se releva rapidement et se retourna pour se confronter à la personne audacieuse. Seulement elle se retrouve face à sa professeur de mathématiques, Madame Lyngstad.
'' Ta jupe s'était remonté avec le coin de ta chaise, et bien, je l'ai descendu pour éviter les regards déplacés. Excuses moi pour l'imprudence.'' dit elle avec un léger sourire en se frottant les avants bras gênée, Agnetha remarqua les ongles vermeillons élégants tracer une fine ligne sur la peau exquise, mais elle leva le bras et lui tapota l'épaule gentiment l'épaule semblant laisser ses doigts s'attarder plus longtemps. Ce contact lui procura une sorte de chaleur inconnue qui se propageait le long de son échine jusqu'à son ventre, le sentir brûler au creux de ses reins. Elle ferma les jambes instinctivement ne comprennant pas cette sensation agréable, elle était définitivement désorientée. Elle pencha la tête et leva les yeux qui papillonnaient sous sa frange blonde, elle essaya de calmer la réaction inhabituelle de son corps. Elle pris une longue inspiration et le parfum riche et chic de la femme en face d'elle s'infiltra dans ses narines, elle huma un peu plus mais les picotements sois sa peau s'intensifièrent, elle sentit le même resserrement mystérieux dans son abdomen intensifier. Agnetha sourit entre ses lèvres roses et pulpeuses et papillonna encore une fois des paupières. Ses joues devinrent encore plus rose et croisa ses bras devant elle faisant remonter sa poitrine de manière non-intenstionnelle, elle garda le contact visuel avec Mme Lyngstad.
Son regard vert était intense, profond et brillant, Agnetha serra plus fort ses cuisses et elle sentit quelque chose couler au fond de sa petite culotte rose. Des yeux s'équarillèrent et elle lâcha un souffle tremblent, cette sensation inédite frappa encore une fois plus éprouvante et plus puissante, elle avait l'impression d'être ivre. Mme Lyngstad la regarda s'agiter et la trouva de plus en plus adorable, ce côté absolument innocent et totalement naïf, présent chez la fille angélique, qu'on aurait dit qu'elle le faisait exprès c'était désarmant, enchanteur, harmonisant, son cœur se gonfla. Elle voulait lui pincer ses joues tendres et douces et brosser da frange entre ses doigts pour qu'elle arrête de s'éparpiller.
Mme Lyngstad sentait définitivement quelque chose entre elle et cette fille, elle baissa les yeux et vis les jambes douces et blanches captivante se resserrer plus fort entre elles et les petits doigts enlacés l'un sur l'autre se triturants évitant le stresse. Tout le monde étaient partis, salle de classe était silencieuse seul le bruit de leur respiration persistait.
La grande femme brune rompu le contrat visuel, Agnetha, elle balayait sa frange qui lui piquait le bout de son nez et saisis rapidement son sac.
'' Au ... Au-revoir Mm.. mma... Madame Lyngstad.'' balbutia-t-elle en fronçant adorablement son nez espérant que ce n'était pas un moment gênant.
Un sourire rayonna sur le visage recouvert de petits grains de beauté du professeur.
'' Oui au revoir Agnetha, à demain'' la douce tension entre les eux se dissipa lentement.
Agnetha marcha vers la porte tandis que Mme Lyngstad s'assis à son bureau. La blonde jeta un regard furtif à son professeur par dessus son épaule. Elle traça sa route le tête pleine de questions mais une surgissait le plus parmi les autres : ''Qu'es-ce que mon corps ressenti il ?'' elle n'avait jamais ressenti une telle chose à ses parties de dames. Cette chaleur envirante qui lui montait à la tête et qui l'a faisait frissonner, sentir son cœur battre plus vite et ses lèvres brûler et picoter, elle humecta ses lèvres pour les humidifier essayant d'apaiser la sensation.
Agnetha descendit et sorti du bâtiment, c'était l'automne et l'air était frais même à 16 h 00 le froid attaquait chaques morceaux de peau apparentes comme des piqûres d'abeille. Elle s'assit sur un parpaing en béton, le premier contact était froid contre ses cuisses, elle avait replié ses genoux et laissait ses doigts vaquer sur son mollet. Elle était perdue dans ses pensées, les picotements ne cessaient pas, elle repensait à la façon dont les yeux verts étaient expressifs, ils brillaient sous les longs cils bruns, les boucles rebondissantes décoiffés et déstructuré dont la mèche rebelle tombant entre les deux sourcils fins. Les grains de beautés tâchant gracieusement le visage oblong et élancé, sa mâchoire carré et son menton fin, son nez concave, certainement le plus beau nez qu'elle ait vu, son sourire qui pouvait illuminer le monde entier et remplir les cœurs d'apaisement. Ses épaules carrées raffinées, qui portaient superbement sa chemise en flanelle, le mouvement fluide du tissu, comment il bougeait contre son corps, ses seins pressés donnant l'impression que le bouton allait rompre à tout moment, son parfum fleuris et majestueux, comme si toute sa grâce émanait d'elle.
Toutes ses images qui défilaient derrière ses pupilles dilatées comme un film, elle fronça les sourcils, troublée par la signification des sensations déconcertantes, des choses qui n'était jamais arrivé avant. Elle se demandait si il était normal de ressentir ce genre de choses. Ses lèvres recommencèrent à brûler et ses parties de dames s'humidifiaient à chacuns de ses mouvements, s'infiltrant entre ses plis et sur le tissu de sa culotte, se propageant sur ses cuisses glissante de la texture nouvelle. Elle rougissait furieusement, ses joues, puis son cou et ses épaules, la chaleur était tel contre ses lèvres humides et crémeuses que ça commençait à lui faire mal, ainsi la transpiration coula la long de son dos. Elle ressentait une bouffée de chaleur malgré ce froid qui commençait à apparaître.
Ellipse de temps
Quand elle rentra chez elle elle savait que ses parents ne seraient pas là, ils travaillaient, elle pris son temps, rangea ses affaires et posa son sac sur son lit. Elle n'était pas d'humeur à faire des mathématiques, en y pensant elle repensa aux événements précédent, rien de trop grave mais ça la laissait quand-même perplexe. Elle ce souvenait de ce contact contre son épaule, la chaleur des doigts contre sa peau. Et une preuve évidente et collante de l'effet que ça à eut sur son corps, elle pouvait le sentir, la brûlure inquiétante la faisant contracter ses parties inférieures.
Elle défit le bouton de sa jupe et la laissa tomber, elle passa une main hésitante sur son ventre sous sa chemise ce qui fit vibrer le tissu contre ses seins et ses mamelons sensibles, elle lâcha un gémissement et rétracta ses doigts. Elle tira l'élastique de sa culotte avec son pouce et expira pour ne pas se laisser submerger pas les sensations enivrantes, elle glissa un doigt le long de son aine d'habituant au contact et le déplaça doucement sur ses lèvres mouillées recouvertes de poiles blonds et fins. Elle remua ses orteils et les appuya sur le matelas froissant sa couverture quand elle rencontra une petite bosse palpitante, elle ne savait pas ce que c'était mais elle était curieuse. Elle s'aventura un peu plus et osa toucher, ou du moins effleurer avec plus de conviction cette nouvelle partie qui lui faisait ressentir tant. Et glissa un droit cherchant l'endroit qui produisait cette humidité, elle sentit ses joue rougir, elle se sentait coupable, peut-être était-ce mal d'agir ainsi, elle continua et sa respiration se bloqua quand elle frôla encore le petit paquet de nerf qui se durcissait contre ses doigts timides.
Elle tapota une fois encore et appuya plus sûr d'elle, essayant de toucher sous plusieurs angles pour trouver le point agréable sans avoir l'impression de se brûler en touchant son clitoris à vif. Son doigt voyagea juste en dessous et ramassa l'humidité qui s'y était accumulée ici l'étalant sur la longueur, elle fit tourner son doigt autour de la petite perle sensible. L'atmosphère était dense, sa tête était embrumée et ses yeux bleus devinrent encore plus bleus, un éclat d'innocence brillait plus fort que jamais à travers son iris. Son souffle était tremblant et un petit filet de salive coula de ses lèvres, ses joues devinrent écarlates et brûlante, presque comme si elle tombait dans une fièvre. Elle réprima du mieux qu'elle put ses gémissements mais s'arrêta quand elle se demanda d'où est ce que ça allait la mener. Elle avait peur de l'inconnu, surtout quand son corps en subissait les conséquences.
Elle s'affala sur son lit soupirant, elle écoutait le silence de sa demeure. Les bruissement des feuilles d'arbres et les courants d'air automnales qui filtraient à travers ses volets grinçants et claquant contre les murs de pierres. Elle se sentait frustré, comme si elle devait faire quelque chose, mais elle ne savait pas quoi. Alors elle décida d'aller se laver, effacer tout ce que sa peau à put ressentir aujourd'hui pour passer à autre chose. Une sorte de saleté s'attardait sur sa peau, la puanteur acerbe de l'inconnu intime, comme si elle savait que personne ne devais savoir, le garder rien que pour elle évitant les reproches.
Elle alluma le gaz et l'eau de la douche commençait à se réchauffer, elle de déshabilla essayant de frotter le moins possible de quoique ce soit sur sa peau. Elle glissa ses orteils sur le fond de la cuve testant l'eau, elle était un peu chaude mais rien de mieux pour un temps comme celui-ci.
Ses doigts étaient fripés pour une raison qu'elle ignorait mais devinait secrètement que c'était probablement en lien avec son activité précédente. Elle attrapa le savon et le frotta contre son gant, elle se decrassait avec vigueur en chantonnant un air de musique folklorique. Quand elle arriva à son aine elle hésita à aller plus loin, ça l'avais sacrement secoué mais elle persévérait et se dit que sa santé était plus importante que ses peurs.
Elle se rinça et sortie, l'air plus frais l'a frappé comme un coup de fouet, sa peau frissonna et la chair de pour s'incrustait sur sa peau pâle et crémeuse, lavée de tous péchés. Le frisson lui rappelait ce qu'elle ressentait plus tôt dans la journée face à son professeur de mathématiques qui l'a regardait avec ses yeux verts, ce regard profond et enchanteur, comme si elle avait voyagé au fond de son cœur, comme si c'était une vérité qu'elle cherchait sans savoir pourquoi.
Quand elle se rhabilla, les pensées obsessionnelles s'était évaporées. Plus rien de ce qui c'était passé n'erra dans son esprit, elle inspira ne se sentant plus aussi submergé, ne repensant pas au geste déplacé et inédit, la recherche du péché entre ses doigts coupables. Son ventre gargouillait et elle se sentait épuisée, sachant que ses parents ne rentreraient pas avant la nuit elle pris la décision de se préparer son repas.
Il y avait de la viande de renne que son père avait chassé la dernière saison avec un collègue de travail,un sport de détente disait-il, la viande était congelé et l'a fait chauffé contre les bûches presque attisé de la cheminée. Elle prépara des pommes de terres, les éplucha et les fit frire dans une poêle en en fonte. Elle coupa des lamelles de viandes et les fit cuirent en ajoutant quelques herbes pour parfumer le tout. Un plat rien de très compliqué. Elle se dressa la table pour elle-même et se servit pour elle seule sachant que sa sœur dormait chez une amie.
Repue, elle alla dans sa chambre pour lire un livre, elle alluma la petite lampe de chevet à côté de son lit. Elle l'avait commencé il y a deux jours, le roman policier intitulé l'horloge de la mort de Kirsten Ekman. Au bout de quelques pages elle était somnolente, ses yeux battaient et luttaient pour rester ouvert, elle ne savait pas si ses parents étaient rentrés mais elle ne s'inquiétait pas tant que ça et finit par s'endormir.
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Agnetha dormait profondément, allongée sur le ventre elle rêvait. Elle rêvait d'être en cours de mathématiques et d'être perdue sous tous ces problèmes plus dur les uns que les autres. Tout cela semblait si réel, elle sentait une pression dans sa poitrine et avait du mal à respirer. Assise devant une feuille blanche, elle pris son stylo qui glissait entre ses doigts à cause de la transpiration. Elle essuya ses mains moites sur sa jupe en coton qu'elle agrippa alors qu'elle versait quelques larmes qui tombaient sur sa feuille et s'étalaient sur les lettres écrites à l'encre d'un bleu nuit presque noir. Humidité de ses larmes firent couler l'encre et rendre tout son travail acharné illisible et inutiles, comme elle se sentait en ce moment. Son cœur était lourd et elle se sentait humilier auprès d'elle même, ses doigts se crispèrent sur le tissu de sa jupe et un sanglot coula la long de sa gorge, ce sanglot de défaite qu'elle avait retenue depuis longtemps, mais soudain, comme un éclaircissement dans tout ce désordre, elle sentit une présence à côté d'elle, elle ne savait qui cela pouvait être mais elle s'en fichait pour le moment, pourtant la présence la consolait.
Elle essuya ses larmes, ses joues étaient écarlates et brûlante comme si elle avait une fièvre, le coin de sa bouche se crispa faisant signe que tout allait bien. Elle sentit le bois craqueler sous le poids de la personne qui s'asseyait à côté d'elle, le bruissement des cheveux épais près de son épaule, pourtant elle ne pouvait pas distinguer qui était-elle.
Elle cligna des yeux et vit les cheveux auburn et bouclés onduler sur les épaules fermes et larges. C'était Mme Lyngstad, elle lui souriait d'un sourire sincères, ses yeux étincelants et sont sourire éclatant. Ses pommettes remontaient et des yeux se plissaient, il y avait une sorte de tranquillité sur son visage. Doucement elle se pencha plus près d'Agnetha, la jeune fille sentait son estomac se contracter et une pulsations atypique dans son ventre, ses lèvres recommencèrent à picoter et devenir chaudes, elle les humidifia pour faire passer la douce torture.
Une sorte de chaleur s'incrustait autour d'elles, leur peau vibrait, les respirations se faisaient plus lentes, l'atmosphère était léger le poids de la chaleur ne pouvait pas rivaliser avec l'intensité du moment, une force surnaturelle qui les enfermait dans une bulle paisible et harmonieuse, entourées de réconfort et d'apaisement. Le sentiment d'épanouissement était troublant. Le parfum fort et doux, comme une caresse de la foudre, contrasté au parfum innocent et fleurit tel le soleil rayonnant sur la peau d'un ange au jardin d'Éden.
Elle sentit des doigts chauds et doux se poser sur son épaule nue, une légère pression lui fit cligner des yeux, reprenant ses esprits. Les doigts voyageaient sur sa nuque à présent, la paume se posaient sur le muscle de sa trapèze supérieur, le doux enfoncement du bas de la pomme contre son muscle tendu la fit se détendre, son esprit se brouillait, sa tête tournait et les pulsations de son cœur étaient persistantes au fond de sa poitrine.
Elle regardait les yeux verts avec ferveur, ces mêmes yeux qui l'a regardait avec tendresse, ces yeux aimants brillants de mille feux. Ses dévorant des yeux l'une de l'autre la brune se rapprocha, Frida était si près de la peau blanche qui rayonnait de chaleur, tenant entre ses mains le noyau du soleil, si brûlant, si lumineux que s'en séparer serait la contrainte de rester dans les ténèbres froids et morbides.
L'émotion était puissante, Agnetha avait l'impression de ressentir ce que son professeur ressentait, d'avoir puisé dans son cœur tout l'amour qu'elle avait à donné, une chaleur atroce se propagea dans son corps, s'attardant dans le creux de ses reins, dans son dos et entre ses jambes, la même chaleur que plus tôt dans la journée, le même besoin de contact était présent, mais seulement la sensation de culpabilité n'était pas là, elle se sentait plus libre.
Un sourire se dessina sur les lèvres rubis, les pommettes se redressèrent et un éclat de lumière s'y refléta. Agnetha pouvait voir les tâches de rousseurs tâcher le nez de Mme Lyngstad, certaines de plus ou mois grosses, plus claires ou plus foncées, sur ses joues, le long de son cou jusqu'à la naissance de sa poitrine, la peau ici avait l'air si douce. Elle battit lentement des yeux avant de relever son regard sur la bouche tentatrice, les lèvres de péchés promis. Elle ne le remarqua pas, bien sûr ça aurait été trop facile, pourtant leur visage était nettement plus proche qu'avant, elle pouvait presque goûter sa peau contre sa langue, rien que d'imaginer poser ses lèvres comme le ferait ses parents sur la bouche de quelqu'un, sur la bouche d'une autre femme. L'odeur était si proche, si familière, la plongeant dans une sécurité appaisante, leur lèvres n'étaient qu'à quelques millimètres et l'odeur attira Agnetha comme un aimant.
Elle se lécha les lèvres, le picotements familier persistait, elle sentait ses lèvres vibrer dès qu'elle se rapprochait de plus en plus de celles de Mme Lyngstad. Sa professeur était plus entreprenante, elle pressa ses lèvres la première sur les lèvres douces et roses qui n'attendait qu'elle. Agnetha fondit directement dans le baisé ardent, elle avait l'impression d'imploser, que son corps s'immolait de l'intérieur, Un bûché allumé brûlait sa peau à vif sous les doigts fins cajoleurs de Mme Lyngstad, la sensation était si réel. Les doigts qui pressaient ses côtes, les paumes chaudes qui l'a faisait suffoquer de chaleur atroce qui se répandait dans son ventre. Des mains attrapèrent ses deux joues dodues qu'étaient ses fesses et la souleva avec une facilité irréelle, elle se reposa sur la table et une main se posa sur sa poitrine et appuya pour la faire s'allonger sur la table, les lèvres ne se séparèrent jamais.
La sensation était éprouvante, ses lèvres étaient engourdies, mais elle avait l'impression qu'une langue envahi sa bouche et la caressa de l'intérieur. Elle essaya de se concentrer d'avantage sur tout ce qui l'entourait, mais elle se rendit compte que tout était très vague, les lèvres se mouvant contre les siennes, les mains la tenant, la sécurisant n'était plus aussi chaudes, une sorte d'inconfort régnait dans la salle jusqu'à ce qu'elle entende un bruit, comme un minuteur.
Son réveil tonnait, lui criait de se lever, elle se réveilla en sursaut, tout son corps lui faisait mal, sa tête battait, comme si elle n'avait pas fermé l'oeil de la nuit, son esprit était brouillé. Elle posa un pied par terre et le sol frais contre son pied réchauffé sous les draps la fit sursauter. Elle se leva à la hâte en se rendant compte qu'il était tard, elle se préparait sans penser à la douleur constante entre ses jambes, ses cuisses rougis par le frottement excessif cette nuit, elle éloignait de son cerveau toutes pensé de cette nuit, elle ne se sentait pas prête à assumer de ce qu'elle se rappelait de son rêve, ou plutôt ce cauchemar. Les douleurs dans son corps qu'elle ignorait jusqu'à présent était dû à ce rêve, mais cela remontait à l'instant où elle était près de Mme Lyngstad, si proche qu'elle pouvait sentir son parfum exquis envahir tous ses sens.
Ses pensées avait divaguer depuis trop longtemps, elle se devait d'arrêter tout ce flux d'images si peu acceptable et de continuer de se préparer pour ne pas être en retard en cours. Agnetha sentit une pression l'écraser, elle angoissait, elle inspira profondément mais sa gorge trembla. Un jappement s'échappa du fond de sa gorge et une larme coula sur sa joue, quand elle l'a sentit atteindre son menton elle laissa les autres couler sur tout son visage. Les larmes sillonnaient son visage pendant qu'elle attrapa son manteau et son sac avant de sortir en trombe de chez elle, elle n'avait pas faim, seulement l'angoisse d'aller en cours de mathématiques aujourd'hui trônait dans son ventre.
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Un grand merci à The_Panda_Killerqui a lu ceci sans avoir d'affinité particulière avec ces personnages et qui a apparemment apprécié ?
Et bien oui je reviens ça fait presque un an je crois que je n'ai rien posté, ce que j'écrivais partait littéralement en cacahuètes donc je me suis reconditionné tel un MacBook chez bacmarket. Et puis je change totalement du swanqueen.
Je tiens à dire que j'ai passé pas mal de temps dessus et j'ai vraiment aimé écrire cette fanfiction de fridnetha, pour ceux qui ne sont pas habitués c'est une fanfiction de Frida Lyngstad et Agnetha Fältskog les deux chanteuses du groupe de musique europop/disco ABBA des années 70-80. Deux femmes que j'apprécie et particulièrement Frida qui est entre autre la future femme de ma vie ( je peux toujours rêver). En tous cas profitez en
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