Chap.2
Une journée ensoleillée pour un mois d'hiver ses très rare. Pour une fois, il faisais plus au moins chauds pour une saison glaciale mais la neige persistait tout de même. La neige et le froids, tout ce qui fait que la chasse est plus dur. Là, il n'y avais que la neige mais c'est plutôt amusant, non ? Moi je serais les proies je sortirais. La neige c'est froid quand la température est basse mais quand elle est monté c'est plus agréable.
- Naruma tu viens ?
- J'arrive !
Je suivis ma mère dans la forêt, suivis de mon énergique de frère qui me tournais autour. Je ne sais pas pourquoi mais je senti un pressentiment que la neige changerais de place pour ne plus être à sa place. Je l'avais prédit. Mon frère m'envoya involontairement (je l'espère) de la neige sur le museau. Vous voyer ce moment ou vous vous demander "pourquoi ai-je un frère ?". A ce moment je l'ai vécu, et pas qu'un peu. Je l'ai regarder plus froid que de la glace et plus dur qu'un rocher. A ce moment là, il a dut ce sentir gêné parce qu'il se recroquevilla un peu sur lui même me faisant découvrir son sourire gêner qui voulais dire "désoler sœurette, je te visais pas toi".
- Safran ! Fait attention ! Lui dit ma mère.
- Pardon maman, j'ai pas fait exprès.
- J'espère bien.
On repartit tranquillement dans la neige. On marcha longtemps quand ma mère s'immobilisa.
[OH ! Et j'ai oublier de vous dire que à ce moment là j'avais 2 ans (âge humains). REPRENONS !]
Elle regarda plus loin, tendant l'oreille avant de regarder mon père. Il n'était pas rassuré. Il prit son courage a deux pattes et si rendit. Moi et mon frère on se blottit de peur pour notre père. Ma mère essayais de nous calmer pendant que notre père était partit dans une clairière, à l'abris des regards.
Ma mère releva soudain la tête quand un bruit sourd retentit.
- Non... murmura-t-elle apeurée a l'idée qu'elle avais du bruit. Elle l'avais déjà entendus. Faites que ce sois autres choses, s'il vous plaît, pas lui.
Elle sortit du buisson. Mon frère et moi la suivions timidement. On marcha, regardant derrière nous avant de heurter quelque chose devant nous: c'était notre mère, cacher dans un buisson, regardant attrister la scène qui s'offrait à elle. Des larmes coulais sur son pelage. Au début je comprenais pas mais a un moment, l'inconscience deviens réflexion et vérité.
- Des chasseurs !
Une larme de rage s'écrasa sur mon crâne. Ça se voyais elle voulais y aller et en découdre mais elle savais que si on la perdais on aurais plus personne.
Si on avais pas été là, ce serais-elle jeté dans les pattes de la mort ?
Avons nous ralentit son destin ou empêcher sa mort ?
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