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QUINZE


CHAPITRE 15 | AUTRE SENTIMENT

MAIA n'avait pas été consulté par rapport à la décision de Roi Stannis de prendre Winterfell, mais on lui disait déjà peu de choses.

Elle se tenait à l'extérieur près de Gilly et Sam et regardait les hommes préparer leurs habits de combat. Maia s'entoura de sa cape et attendit l'arrivée de Jon. Elle savait qu'il se préparait à partir pour Durlieu  et elle avait essayé de son plus fort pour le convaincre de faire le contraire, mais elle soupçonnait qu'il ne l'écouterait pas. Dans ce monde, elle était seulement une femme.

Elle leva les yeux pour voir Shireen monter sur son cheval et prendre fermement les reines dans ses mains gantées. Elle réalisa que la jeune fille lui manquerait alors qu'elle s'approchait du cheval, se réjouissant de sa jeune beauté et de son future. Elle savait que si quelqu'un dans cette famille misérable était destiné à la grandeur, ce serait elle.

«Vous allez me manquer, Lady Shireen. » Maia sourit à la fille. «Promettez moi que vous allez revenir?»

Elle hocha la tête. «Avec qui d'autre pourrais-je discuter de mes histoires ?» Elle blagua, les deux rirent. L'enfant se pencha soudainement à l'oreille de Maia. «Ne les laisser pas vous pousser. Gilly et vous êtes les seules qui puissent grandement influencer ces hommes.»

Maia sourit doucement lorsque Shireen se releva. Pour une si jeune fille, elle savait qu'elle avait raison. Elle avait vue plus dans ses quelques années que n'importe qui d'autre.

«Je crois que c'est assez de conversation, Lady Sanders.» Avisa Selyse Baratheon de plus loin. «Nous partons bientôt.»

«Au revoir à vous aussi,» marmonna Maia en s'éloignant. 

La blonde revint à sa place près de Sam et Gilly, remarquant la manière qu'avait la mère Baratheon d'empêcher sa fille de saluer les gens près d'elle. Maia haussa un sourcil. Il y avait quelque chose à propos de Selyse qui n'allait pas et elle l'avait su à partir du moment où elle avait saluer la Reine et où celle-ci l'avait simplement ignoré. 

Les yeux de Maia trouvèrent finalement Jon. On pouvait le voir sur la plate-forme de Château Noir, finissant une conversation avec un Stannis Baratheon à l'air grossier, qui la regarda deux fois en passant. Le Roi s'arrêta dans son chemin pour se placer en face de la blonde.

«Je vous remercie de ne pas m'avoir assassiné dans mon sommeil comme les autres avaient prédit,» dit-il sans aucune trace d'humour dans sa voix.

Maia eut un sourire en coin. «Pardonnez-moi, mais ce n'a jamais été dans mes plans, Votre Majesté.»

Il hocha la tête avant de marcher à son cheval. Maia salua ses amis et commença à monter les escaliers de bois jusqu'à la plate-forme où se trouvait Jon. Elle marchait lentement, essayant de ne pas le déranger. Le Lord Commandant la remarqua arriver, il pouvait ressentir sa beauté à une distance d'un mile. 

Il savourait la manière que le froid avait de faire rougir ses joues et son nez. La manière qu'avait la neige de tomber sur ses cheveux clairs lui permettait de se camoufler dans l'hiver même, elle était la représentation humaine de la tempête. Elle était la grêle pendant le blizzard. Elle était le rire entendue avant l'orage. Son contact était comme respirer - simple et emplie de grâce. Mais ses baisers - oh, ses baisers - étaient comme sentir les flocons se poser sur sa peau pour la première fois. 

Parfois, Jon réalisait qu'il connaissait peu de chose à propos de la femme qu'il appréciait tant, mais dans ce monde cruel dans lequel ils étaient obligé de vivre, elle semblait être la seule chose qui pouvait lui procurer de la joie, même derrière les portes fermées. Il aimait penser qu'elle était parfaite, mais honnêtement, elle était loin de l'être. Maia Sanders était têtue et légèrement insolente. Elle avait des plissements sous les yeux et des insultes sur le bout de la langue. Sans mentionné qu'il était certain qu'elle lui cachait beaucoup de choses, mais il devait seulement trouver quoi

Jon tombait toujours pour les femmes qui le détruirait: Ygrid était le feu et Maia était la tempête. 

Il avait besoin de regarder dans sa direction lorsqu'elle se plaça à sa droite, sa main caressant son dos pour le réconforter, personne ne pouvait le voir. Maia plissa les yeux à cause des flocons de neige tombant dans ses yeux, elle le questionna, «Pourquoi part-il ?»

«Il va prendre Winterfell. Il ne pouvait plus attendre.» Jon regarda l'armé se préparer à partir. «Ils ne gagneront pas.»

Maia le regarda, les sourcils froncés. «Et pourquoi cela ?»

«Tu sais qui détient actuellement Winterfell, n'est-ce pas?» Il demanda et continua lorsqu'elle secoua la tête. «Les Boltons et ils le massacreront. Ils en ont fait autant pour plusieurs autres.»

Stannis avait planifié d'assiéger Winterfell, Derek avait clairement prononcé ces mots. Il était un idiot de croire que les Boltons ne le saurait pas. Ramsay - l'homme plus plus fou des temps - et son armé l'ont rencontré dans un champs ouvert et ont chargé. L'armé de Stannis était complètement détruite, mais malheureusement, Ramsay et son armé ne l'ont pas tué. Brienne de Torth, alias la femme la plus féroce des femmes  à exister. Elle l'a tué puisqu'il a tué son propre frère dans la passé, elle servait ce frère. Elle lui a coupé la tête et - laisse moi te dire- c'était génial.

«Tu as raison,» Maia hocha la tête. «Il ne gagnera pas.»

Jon la regarda. «Un autre sentiment ?»

«Un autre sentiment.»

Il regarda ses pieds, ses mains tombèrent derrière sa cape pour qu'une puisse prendre celle de Maia. Elle sourit au geste, mais était nerveuse des yeux qui pourraient les voir. Son pouce traçait des cercles sur sa main, il chuchota, «J'ai un autre sentiment aussi.»

...


La valise de Derek reposa près de son lit. Il ne s'était pas lavé depuis des jours et bougeait seulement pour aller se chercher une autre bière, peu importe le temps de la journée.

Il était revenue de Washington il y a quelques semaines et avait appeler le département de police à tous les jours, mais il le faisait de moins en moins à chaque semaine. Le pire avait été d'annuler le mariage et entendre sa famille pleurer sa chance terrible. Maia n'avait jamais vraiment parlé à sa famille depuis qu'elle avait déménagé, du moins c'était ce qu'elle lui avait dit, lorsqu'il avait appelé pour annoncer la nouvelle personne n'a décroché.

Il ne savait plus quoi faire. Des mois avaient passés depuis la disparition de Maia, devait-il simplement assumer qu'elle était morte? Derek avait appris de la chaîne de nouvelle que les disparition qui allait au-dessus d'un mois était habituellement des meurtres, mais il ne voulait pas le croire.

Ce qu'il pensait était, essentiellement, un mensonge. Derek n'aurait jamais suspecter que sa fiancée était tombé dans sa série télévisée favorite. Il n'aurait jamais suspecter qu'elle l'avait oublié et encore moins qu'elle était tombé amoureuse de quelqu'un d'autre. 

Peut-être que la mort était préférable. 

Il réalisa qu'il regardait la télévision sans la voir, sans savoir ce qui jouait. Derek s'étira lentement pour attraper son téléphone. Il composa le numéro qu'il connaissait par cœur, quelqu'un qu'il n'avait pas appelé depuis des semaines. Il renifla son t-shirt qui dégageait une odeur maudite. 

La sonnerie continua pour la minute la plus longue de sa vie, mais il attendit, tapotant ses doigts sur sa jambe. Il atteignit finalement la messagerie vocale:

«Salut, vous avez rejoins Maia Sanders. Je ne peux répondre au téléphone pour l'instant, mais laissez votre nom et votre numéro après le bip!»

Sa voix douce et attentionné fit écho dans ses oreilles. Derek sentit les larmes montées à ses yeux alors qu'il appela le numéro encore et encore et encore jusqu'à ce qu'il veuille sentir ses oreilles saignées. Pourquoi est-ce que ça devait lui arriver à lui? À elle? Ne l'avait-il pas assez aimé? Il était certain de l'avoir fait, particulièrement avec l'état dans lequel il était.  Il pleurait pour une fille disparue qui était probablement morte. 

Honnêtement, elle ne l'était pas encore. Mais elle le serait si elle restait à Château Noir, car l'hiver venait.

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