Chapitre 56 - Saint-Valentin
~ Alexa Gilinsky ~
On est le quatorze février ce qui veut dire que c'est la Saint-Valentin. Ma première depuis que Jack et moi sommes de nouveau ensemble. On va passer la soirée au restaurant d'après ce que Jack m'a dit. Ses parents sont ici alors ils garderont Liam sinon, on aurait fait un truc à la maison tous les trois. Ça me gêne un peu car ses parents ne pourront pas se faire un diner. Ils vont être bloqués avec notre fils. Ils disent que ce n'est rien mais quand même. Je sais qu'ils sont plutôt heureux de garder leur petit-fils mais j'ai l'impression d'abuser des fois. Je termine de me préparer et je vais dans la cuisine où je trouve mes beaux-parents et mon brun. Ce dernier est déjà prêt. Il a mis une chemise noire et un pantalon de la même couleur. Il est irrésistible en noir. Enfin, il est tout le temps irrésistible.
Moi : Je suis désolée.
Katherine : Pour quoi ?
Moi : A cause de nous, vous ne pouvez pas vous faire un repas à deux.
David : Ne t'en fais pas. On peut s'en faire n'importe quand.
Katherine : Mais oui en plus, c'est la première Saint-Valentin que vous passez ensemble depuis que vous être de nouveau en couple.
Moi : Oui mais vous devez garder Liam.
David : Et alors ? On aime bien passer du temps avec lui et vous ne pouvez pas vous faire une soirée rien que tous les deux. Du moins, vous ne pouvez pas en faire beaucoup alors, ça nous fait plaisir de garder Liam.
Moi : Merci pour tout.
Eux : C'est normal.
Je prends mes beaux-parents dans mes bras avant de dire au revoir à mon petit garçon. Jack fait de-même et on part pour le restaurant. Une fois sur place, on indique nos noms et on nous emmène à une table tranquille. C'est vraiment magnifique comme endroit. C'est chaleureux et accueillant. On passe commande en prenant le menu spéciale Saint-Valentin et on discute tout en mangeant.
Gilinsky : Ça me fait bizarre de faire la Saint-Valentin. J'ai perdu la main en quatre ans.
Moi : Ça me fait bizarre aussi mais je suis heureuse. Mais non, tu n'as pas perdu la main.
Gilinsky : Moi aussi je suis heureux.
On se sourit et mon brun s'approche pour m'embrasser tendrement. On se sépare et j'entends mon mari lâcher un petit rire. Je relève ma tête vers lui en fronçant les sourcils.
Gilinsky : Je ne suis pas le seul à avoir eu l'idée de venir ici.
Moi : Je vois ça car sinon on serait seul ici.
Gilinsky : Je ne parle pas des inconnus.
Moi : Tu veux en venir où ?
Gilinsky : Il y a Johnson avec Lya et ton frère avec Madison. Et aussi Nate et Kate.
Moi : Sérieux ?
Gilinsky : Retournes-toi et tu verras.
Je me retourne et effectivement, il y a les trois autres couples. Je lâche un petit rire avant de concentrer mon attention sur le beau brun qui se trouve en face de moi. Je détaille son visage et je le trouve de plus en plus magnifique.
Gilinsky : Merci.
Moi : J'ai pensé à haute voix ?
Gilinsky : Oui mais ça me fait plaisir que tu me trouves magnifique. Tu y es également.
Moi : Merci mon chéri. Ça va mieux ?
Gilinsky : Ça a toujours été. Pourquoi tu me demandes ça ?
Moi : L'accouchement est prévu pour dans un mois environ. Le mois dernier, tu étais invivable alors que là, tu t'es calmé donc c'est pour ça que je t'ai demandé si tu allais bien.
Gilinsky : Je suis désolé pour ça d'ailleurs. Je t'ai fait un peu vivre un enfer.
Moi : Ce n'est rien Jack.
Gilinsky : Au contraire. J'ai eu l'impression de redevenir un petit con.
Moi : Mais non.
Gilinsky : Hum... Sinon pour te répondre. Je vais bien. Je fais avec et de toute façon, il faut bien qu'il naisse un jour. Je m'y prépare et j'essaie de ne pas stresser. Je me dis que je vais bien être aidé avec toi alors ça va.
Moi : Tout se passera bien. Il ne faut pas t'en faire.
Gilinsky : Je sais.
Mon beau brun me sourit et on continu de manger. Je passe une excellente soirée avec lui. Dire que c'est le seul garçon que j'ai eu. C'est fou de se dire qu'à quinze ans, j'ai rencontré l'homme de ma vie. C'est sûr qu'il y a eu cette séparation de quatre ans mais je me dis que ça nous a permis de mieux nous retrouver même si on a énormément souffert de cette séparation. Rien ni personne ne pourra nous séparer. Ça a été vite depuis qu'on s'est revu mais c'était évident.
Gilinsky : Ça va faire bientôt un an qu'on s'est revu.
Moi : Oui déjà. Tu te souviens quand on s'est mis ensemble ?
Gilinsky : Le onze mai.
Moi : Je ne parle pas de la deuxième fois.
Gilinsky : Dans ce cas, le vingt-et-un novembre deux mille douze. Je n'oublierai jamais cette date en plus, maintenant, c'est le jour de l'anniversaire de Liam.
Moi : Ça me fait chaud au cœur que tu t'en souviennes.
Gilinsky : Cette date restera graver dans ma mémoire.
Moi : A moi aussi. Quand Liam est né, je me suis dit que tout aller me faire rappeler toi. Il est né le jour qu'on s'est mis en couple et en plus, il te ressemblait quand il était petit. Un peu moins maintenant mais ça se voit qu'il est ton fils.
Gilinsky : Cette date est à nous.
Moi : C'est sûr. Je t'aime tellement si tu savais.
Gilinsky : Je t'aime aussi mon cœur.
Je souris bêtement et embrasse tendrement mon mari. On passe le restant de notre soirée à parler et à rire. Je me sens tellement bien à cet instant. Une fois le repas terminé, on fait un tour sur la plage avant de rentrer à la maison. C'était un diner génial. Une fois à la maison, on se déchausse et enlevons nos vestes avant de se diriger vers notre chambre.
🔞🔞🔞🔞🔞
A peine arrivés dans notre chambre, Jack se jette sur mes lèvres. Le baiser devient langoureux et je me sens percuter le mur. Les mains de mon mari descendent le long de mon corps pour atterrir au niveau du bas de ma robe. Jack passe l'une de ses mains en dessous de façon à remonter légèrement ma robe. Je passe mes mains dans son cou pour approfondir le baiser. La chaleur monte d'un cran. Les lèvres de mon brun descendent à mon cou et je bascule ma tête sur le côté. J'agrippe ses cheveux ce qui le fait grogner. J'adore quand il grogne. Il me porte tout en me laissant contre le mur. Il me regarde avec du désir dans les yeux et il vient plaquer, encore une fois, ses lèvres contre les miennes. Je descends mes mains au niveau de sa chemise et la déboutonne tout en continuant de l'embrasser.
Je fais glisser sa chemise au niveau de ses bras et elle tombe sur le sol. On met un terme au baiser pour retrouver un peu notre souffle. Jack me repose sur le sol avant de me retourner et de plaquer mon dos à son torse chaud et musclé. Il m'embrasse dans le cou et agrippe mes seins. Cela me fait pousser un gémissement de surprise et je le sens sourire. Il me détache un peu de lui afin de descendre la fermeture de ma robe. Il la fait glisser doucement et elle tombe au sol. Je me retourne pour pouvoir l'embrasser avec fougue. La chaleur montre de plus en plus et nos respirations se font saccadées.
Jack me porte afin de nous emmener à notre lit. Il me pose délicatement sur ce dernier. Nos lèvres ne se lâchent plus. Je fais passer mes ongles dans son dos sans pour autant le griffer. Mon beau brun descend ses baisers vers la naissance de ma poitrine. Je me mors la lèvre inférieure quand je sens sa main passer entre ma culotte et ma peau. Il entre délicatement deux doigts en moi et fait de doux vas et viens. Je laisse échapper quelques gémissements incontrôlés. Jack retire ses doigts et il dégrafe mon soutien-gorge avant de jouer avec ma poitrine. Pendant ce temps, je descends mes mains le long de son corps de rêve. J'atterrie au niveau de sa ceinture et enlève cette dernière. Je déboutonne son pantalon et le fait glisser le long de ses jambes.
Mon beau brun se relève légèrement pour pouvoir enlever entièrement son pantalon. Il revient au-dessus de moi avant de m'embrasser avec fougue. Ses baisers descendent au niveau de ma culotte. Il enlève cette dernière avec délicatesse avant d'embrasser mon intimité. Mon cœur s'accélère et ma respiration devient encore plus anormale. Mon mari me titille avec sa langue et je referme mes jambes en même temps qu'agripper ses cheveux. Je tire dessus et mon brun laisse échapper un grognement ultra viril. Mon mari écarte mes jambes pour avoir plus de place et je gémis de plus en plus sans pour autant crier.
Moi : Jack ! Tu es le meilleur !
Mon mari me regarde en me souriant avant de terminer ce qu'il a à faire. Une fois sa mission accomplie, il remonte pour pouvoir m'embrasser langoureusement. Je le fais basculer et me positionne à califourchon sur lui. Avec mon gros ventre, ce n'est pas très évident. Je vois mon mari sourire et je plaque mes lèvres sur les siennes. Il agrippe mes fesses et je descends mes baisers sur son corps musclé et brulant. J'arrive au niveau de son caleçon. Je souris en voyant une bosse. Il devient serré là-dedans. Je décide de libérer son érection en enlevant son dernier vêtement. Je vois mon mari se mordre la lèvre inférieure quand je prends son membre en bouche. Je fais des vas et viens et j'entends mon mari gémir de plaisir.
Gilinsky : Putain Lexie ! Continue bébé !
Je ne me fais pas prier et continue ce que je suis en train de faire. Jack attrape mes cheveux pour dégager mon visage. Ses gémissements ne s'arrêtent pas. Je sens mon mari se libérer dans sa bouche et il pousse un gémissement rauque et terriblement sexy. Je remonte mes baisers le long de son corps et arrive à ses lèvres. Mon beau brun me plaque au matelas tout en continuant de m'embrasser. Sans que je m'y attende, Jack entre en moi pourtant, il ne bouge pas.
On se regarde dans les yeux et il fait de doux vas et viens. Je vois tout le désir dans ses yeux. Des gémissements incontrôlés sortent de ma bouche ce qui ravi mon brun. Il accélère un peu la cadence sans pour autant devenir brutal. Je plante mes ongles dans le dos de mon homme. Ce dernier grogne et vient plaquer violement ses lèvres sur les miennes. Il accélère ses coups qui deviennent de plus en plus brutaux et incontrôlés.
Moi : Plus vite Jack !
Il ne se fait pas prier et il accélère encore. On n'entend que le bruit de nos gémissements mélangés à nos respirations anormales et le bruit de nos corps qui rentrent en collision. Les coups de bassin de mon mari deviennent encore plus brutaux mais c'est tellement bon. Je me cambre dans tous les sens et Jack me tient fermement contre le matelas pour que j'évite de trop bouger. Quelques minutes plus tard, dans un gémissement commun, Jack se déverse en moi. Il m'embrasse avec passion en diminuant ses coups. Il reste quelque secondes en moi, sans bouger, avant de donner un dernier coup et de se retirer.
🔞🔞🔞🔞🔞
Mon beau brun se laisse retomber, en sueur, sur le matelas et couvre nos corps, nus, à l'aide de la couverture. Je me redresse légèrement avant de l'embrasser avec amour.
Moi : Je t'aime Jack.
Gilinsky : Je t'aime Alexa.
On s'embrasse une dernière fois avant qu'on ne finisse par s'endormir dans les bras l'un de l'autre. Je suis tellement bien avec cet homme.
*********************
Hey ! Voici le chapitre 56 ! J'espère que ça vous plait ^^ N'hésitez pas à laisser un petit commentaire ^^
- Que pensez-vous du chapitre ?
- Le restaurant ?
- Alexa et Gilinsky ?
- La soirée ?
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro