Chapitre 4
-POV ALBY-
Plusieurs jours c'étaient écouler et nous retrouvâmes peu à peu notre bonne vieille routine quotidienne.
À la plus grande joie et soulagement de tout les bloqueurs, Madison repris son poste de bûcheronne et cessa de chiper les fruits tant apprécier de tous. Thomas, quand à lui, se sentait assez bien pour retourner courir avec Alice ce qui libérait du même coup Noa de ce qu'elle considérait comme un châtiment.
Il ne restait plus qu'une légère tension entre Gally et Alice ce qui indirectement impliquait Minho, et Newt, et Noa, et Thomas ce qui causait un malaise à Madison, qui elle voulait demeurer neutre, car Gally était un bon ami à elle.
Avec du temps et beaucoup de patience les esprits arrêteraient peut-être de surchauffés. Je croisais les doigts et à bien y penser pourquoi pas les orteils aussi? Ouais ... autant mettre toutes les chances de mon côté.
Comme je regardais dans la cour, j'aperçu notre petit garnement Chuck en compagnie de Madison. Que penser du comportement de ce dernier? Il manigançait quelque chose, ça j'en étais sûr et certain à 100%. Ce qui me chiffonnais le plus, c'étais le fait que je ne pouvais mettre le doigt sur ce qui clochait et possiblement éviter un malheur.
Une autre affaire à suivre de près !!!
-POV GALLY-
Il ne me restais que 2-3 petites choses à faire et cette réplique miniature de la maisonnette de Madison serait prête. Elle était composer d'un établi, d'un grand placard de rangement ainsi que d'une étagère.
Oui ... cela conviendrait très bien à Madison d'avoir un lieu ou tout mettre son matériel. Elle pourrait enfin retrouver le tout a le même place. Car je comptais bien agrandir le nombre d'outils de travail de celle-ci, en lui offrant deux nouvelles haches de différentes grandeur, ainsi qu'une lime triangulaire pour qu'elle puisse les affûter et quelques nouveaux manches.
Il ne me restais que la porte à installer et aussi solidifier les deux petites marches branlantes. Mais le début de la soirée amenait avec elle une noirceur qui plongerait bientôt tout le bloc dans le noir. Je devais arrêter pour le moment même si je n'avais qu'une hâte, celle de voir la réaction de Madison quand elle découvrirait son cabanon personnel.
Bon .. fini pour aujourd'hui, je continuerais et achèverais cela demain.
-POV CHUCK-
Pas de bruit !!! Il ne fallait pas que je fasse le moindre bruit susceptible d'attirer Gally ici.
Courbés en deux, je bandais mes muscles et tenta de soulever le coffre à outils de notre cher maître bâtisseur.
Mon but ... cacher ses instruments de travail, mais ils étaient horriblement lourds. Quelques minutes plus tard, je me débarrassai du coffre derrière un énorme buisson. Je revint et en regardant tout ce qui restait, je me dis, autant prendre aussi ceux-là. Les mains pleines, je dissimulais les objets à divers endroit. Environ une heure plus tard, j'achevais de tout transporter, et ce après maints et maints voyages épuisants.
Quelle belle et merveilleuse vengeance !!!
J'étais peut-être fatigué, mais une douce satisfaction et une fierté en moi, m'envahissais. Ce que je voudrais qu'on soit déjà le matin ...
Maintenant au lit !!!
-POV GALLY-
ILS ONT DISPARU !!!
Les premiers rayons de soleil s'élevaient à peine sur le bloc. Et c'est dans cet air frais du matin que je foudroyais des yeux mon équipe, les poings serrés, prêt à étrangler quiconque qui oserait se dresser devant moi.
pfff ... mes outils ne sont pas partis tout seul, me dis-je. Qui avait pu les trimbaler? Et surtout pourquoi?
Si on ne me les avaient pas volés, ou étaient-ils?
Je refusais de croire qu'un de mes gars puisse être le coupable. Grrrrr !!! Je lançais un cri de fureur retentissent, qui résonna dans tout le bloc.
-Fouillez les alentours, et que tous sans exception s'y mettent, ordonnais-je.
Bon sang ... il me fallait au moins une chaudière de café.
je parti d'un pas rageur rejoindre Fry-Pan et son café.
-POV ALICE-
Je dormais sûrement et dans ce rêves, les lèvres de mon trésor se promenaient partout sur moi. Ses mains caressaient le bas de mon dos juste à la naissance de mes fesses. Ses doigts glissaient maintenant vers mon intimité qui était toute chaude et moite s'enfonçait profondément pour revenir taquiner, dans un mouvement circulaire, mon bourgeon caché près de mon antre du plaisir. Mon corps réagissait à ses caresses et mes hanches se soulevait malgré moi dans l'attente de sa venu.
Stupéfaite, je compris brusquement. Minho étais dans ma chambre, plus précisément dans mon lit, sous les couvertures avec moi.
Muette et brûlante de désir, je nouai mes jambes autour de sa taille. Alors Minho m'embrassa et d'un coup de reins, me pénétra. Il accéléra ses va-et-vient et me murmura des mot d'amour avant de mordillé le lobe de mon oreille. Ses poussées se firent de plus en plus violentes , son rythme s'accéléra jusqu'à l'explosion finale. La jouissance secouèrent nos deux corps enlacés, presque soudés l'un à l'autre. Coucher contre lui, bien au chaud , en sécurité, je revenais lentement sur terre après que mon trésor chéri m'ai amener au septième ciel.
-GRRRRR !!!
D'un bond je sautai en bas du lit me demandant qu'elle espèce de monstre pouvait hurler ainsi. Minho et moi nous habillâmes à une vitesse folle et coururent rejoindre les autres qui étaient aussi perturber que nous. Après avoir reçu des explications sur le tapage qui avait rameuter tout les blocards ici, je senti une puissante colère s'emparer de moi. Je me lançai à la poursuite de Gally, qui semblait être la cause de tout ce raffut. Je le trouvai installer devant une tasse de café à ruminer et pester tout seul.
-Bonté Gally, qu'est-ce qui t'as pris de hurler à la mort comme un fou?
Il me regarda, mais sans me voir, il était trop perdu au fond de ces pensées pour percevoir ou sentir ma présence à ces côté. Rien de ce que je dirai ou ferai aurais la moindre chance d'entrer dans sa tête car, la tout de suite, il avait le quotient intellectuel d'un petit pois.
Autant retourner auprès de mon trésor et amis(es).
-POV MINHO-
- Alors ma belle, comment va les gros bras? dis-je en parlant de Gally.
Elle me regarda comme si soudainement il m'avait pousser une autre tête. Et après avoir soupirer deux fois de suite elle me dit:
- Aimerais-tu que quelqu'un que tu connais prennent tes souliers de course ou autres de tes biens et les caches?
- Heu, non, je serais foutrement en rogne, assez pour cogner et poser des questions ensuite.
- Bin voilà trésor. Tu sais que j'aime pas trop Gally mais je déteste plus le vol que sa personne.
- Je comprend ça ma belle.
Montant sur une caisse je m'écriai:
- Qui est le petit con qui c'est amuser à faire enragé Gally?
Du coin de l'oeil, je vis Chuck qui tentais de se cacher.
- Hep Chuck, viens par ici mon mignon. Je te réserve une tâche pile dans tes cordes !!! Retrouver et ramener tous les objets que tu a camoufler.
- Allez la gang, aujourd'hui on va aider Gally. Et oui !!! vous avez bien entendu. Ses hommes ont retrouver la majeure partie des outils, mais il en manque encore quelques uns. Il faut les localiser.
- Flûte !!! pensa Chuck, comment avaient-ils réussis a les découvrir aussi vite? Pourtant je les avaient très bien cachés ...
Avec l'aide inestimable de Chuck et avec moi au commande, ont retraça facilement les manquants.
D'un commun accord, tout les membres du bloc se rendirent à la cafétéria pour prévenir et rassurer Gally sur le sort de ses précieux outil.
Prenant ma belle beauté par la taille je lui chuchota:
- Moi aussi j'ai un précieux outils ... veux-tu le voir?
Elle me souris, je lui prit la main et nous sommes sortis pour aller à la rencontre de notre destin.
Celui de s'aimer pour la vie !!!
-POV ALBY-
Nous avions vécu une journée bizarre, pleines de rebondissements avec un Chuck qui au départ avait dépasser les bornes en essayant de se venger. Ensuite venait Minho et Alice qui aidaient un Gally dépasser par les événements.
Et tout ça, pour ce terminer dans la cafétéria, au côté de Gally qui était tout heureux d'avoir enfin retrouver ses outils.
Je savais que cette ambiance joyeuse ne durerait pas. Et que dès demain matin Gally reprendrait son self-control et que Chuck en paierait le prix.
Pour l'instant présent, seul comptait la joie d'être tous ensemble réunis autour d'une immense montagne de sandwich préparer par Fry-Pan.
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