Je n'ai même pas eu le temps de sortir que Coulson me rattrapa.

Coulson : J'ai été dur de la manière dont j'ai annoncé mon propos, et j'en suis désolé, je comprend si tu es fâchée mais c'est de Loki qu'on parle, un homme qui a voulu asservir la terre et qui a détruit la moitié de New York.

Moi : Vous croyez que je ne suis pas au courant de qui il est ? Si au moins j'avais encore toute ma mémoire je comprendrais que vous me fassiez la morale.
Seulement vous me réprimander sur quelque chose dont je n'ai aucun souvenir, vous trouvez ça juste vous ?

Coulson : Non en effet, je suis désolé, mais compte sur moi pour te passer un savons quand tu les aura retrouvé.

Il m'a fait rire, ça faisait longtemps que je ne rigolais plus à des blagues, même si ça n'en était pas une.

Moi : J'ai moi aussi des questions à vous posez Coulson.

Il prit un air grave, ici quand on pose trop de question ce n'est pas très bon.

Moi : Qu'est ce que vous savez sur mon enfance, sur mes parents, et sur les recherches du docteur Sils ?

Il me regarda dans les yeux et il eu l'ébauche d'un petit sourire soucieux comme s'il s'y attendait.

Coulson : La première fois que nous nous sommes rencontrer et que je t'ai annoncer que nous avions toute les recherches que Sils avait faite sur toi je m'attendais à plus de réactions de ta part, mais ce jour là tu étais trop emprise par la colère et tu est passer au dessus de cette information, et ça m'étonne que tu me pose ces questions seulement maintenant.

Moi : Quand nous nous sommes rencontrer j'étais une voleuse et une tueuse, ce jour là je ne pensais pas devenir un jour une ...

Les mots restèrent bloquer dans ma bouche, je n'osais pas le dire, comme si j'avais peur de dire un mensonge.

Coulson : Que tu deviendrais une Avengers, tu ne dois pas en douter, tu en es une.

Moi : J'ai juste l'impression de moins mériter ce titre que les autres.

Coulson : Tu vois ça, c'est quelque chose qui n'a pas changer depuis notre rencontre, tu te sous estime toujours autant, tu sais que tu as failli mourir le jour de l'attaque de New York, et que Loki n'aurait pas arrêter c'est agissement sans ça, donc c'est quand même grâce à toi si on a gagner.

Il y eu un moment de silence, j'en profitais pour l'observer, il avait pris un coup de vieux depuis la dernière fois que je l'avais vu, mais il gardait toujours son charme, et en le regardant ça me fis penser que je n'ai jamais vraiment été proche d'aucun des membres des Avengers, à part Thor, pourtant c'était bien partit avec Captain aussi, je faisais partie d'une équipe qui se connaissait de vue et dont j'étais la nouvelle qui n'avait aucune affinité avec personne, mais Coulson lui il était là depuis le début, la première fois que le Shield à essayer de m'arrêter, la deuxième fois où ils ont réussit, j'ai voyager avec lui, il est même mort dans mes bras, c'est en lui que je devrais avoir le plus confiance, et un détail qui m'avais échapper jusqu'à maintenant me frappa quand je regardais son visage.

Moi : Vous ne portez plus la puce électronique ?!

Coulson : Je n'en vois plus l'utilité maintenant.

Moi : Pourquoi vous prenez ce risque ?

Coulson : Parce que je te fais confiance.

Moi : Pourquoi avez vous tellement confiance en moi alors que je vous ai sûrement trahis avec Loki ?

Coulson : Tu ne nous a pas réellement trahis, je ne voulais pas le dire devant les autres mais ... Loki devait faire parti de ton avenir.

Moi : Quoi ?

Je n'arrivais même pas à formuler une phrase.

Coulson : Tu m'as posé une question tous à l'heure je n'ai pas le droit de te révéler tout de suite car si Loki peut encore rentrer dans ta tête il s'emparera de ces information, je peux seulement te dire ce qu'il sait sûrement déjà, tes pouvoirs son bien plus grand que ce que tu crois, et quand tu attendra un certain âge, ton corps ne pourra plus contenir cette magie, et tu vas ...

Moi : Je vais ?

Coulson : Je t'en ai déjà trop dit Awen, je préférais t'annoncer le reste quand tu aura retrouver toute ta mémoire, peut être que le choc sera moins grand à ce moment là.

J'avais envie de savoir, vraiment, mais je crois que encore une fois Coulson avait raison.

Il me regarda avec étonnement vu que je n'insistait pas, mais j'avais d'autre question à poser après tout.

Moi : Et pour mes parents, ils étaient normaux eux, alors pourquoi moi je suis comme ça ?

Coulson : ...

Moi : Quoi ?

Coulson : Suis moi.

Il ce dirigea vers le couloir de gauche et descendis un escalier, c'était incroyable comment les bases du Shield pouvaient être si bien cachée en étant pourtant si vaste à l'intérieur.
On descendit les escaliers en silence et puis nous arrivions devant une porte blinder.

Coulson : Il n'y a que les agents de haut niveau qui peuvent entrer ici.

Moi : Alors qu'est-ce qu'on fait là ?

Coulson : JE suis un agent haut placé et TU es une Avengers, alors je crois qu'on a le droit d'entrer non ?

Il sortit un badge de sa poche et le passa sur un scanner qui maintenait la porte fermée.
Quand elle s'ouvrit je sentis en moi un petit pincement dans ma poitrine, comme un pressentiment, ni bon ni mauvais.
J'attrapais alors la manche de Coulson qui s'apprêtait à entrer.

Moi : Je suppose que dans cette pièce il y a toute les informations dont on parlait tout à l'heure ?

Coulson : Pas toutes non dans cette pièce il y a des ordinateurs, ils sont tous relier au donnée d'un certain niveau d'importance du Shield, mais certain information ne se trouvent que sur papier et son enfermer à double tour dans un endroit secret.

Moi : Et on viens chercher quoi ici ?

Coulson : Je ne peux pas te dire pourquoi, Loki dois faire partit de ta vie mais je peux te dire pourquoi tu es si spécial, je vais te donné les informations que nous avons sur tes "parents".

Il entra dans la salle, et je le suivis j'étais tremblante de peur et d'appréhension, je ne savais pas grand chose sur mes parents à vrai dire appart le faite que qu'ils n'étaient pas fait pour l'être.

On s'arrêta devant un grand ordinateur avec un écran noir, mais avant de l'allumer j'arrêtais Coulson.

Moi : Attendez je veux attendre, j'ai tellement envie de savoir mais,... J'ai l'impression que de savoir maintenant m'avancerais à rien, je suis stressée avec tous ce qui arrive et ce n'est pas le moment de me poser d'autre question.

Coulson : Tu as mûri, tu réfléchis je suis fière de toi.

Il me regarda avec un sourire, une petite lumière brillait dans ses yeux, il s'avait déjà comment j'allais réagir.

Moi : Vous le saviez, vous vous doutiez que je n'irais pas jusqu'au bout ?

Coulson : Je l'espérais et j'avais raison d'espérer.

Je le pris dans mes bras.

Moi : Merci, Coulson, merci d'avoir confiance en moi, depuis le début.