Presque tout les jours maintenant je rendais visite à Loki et un peux plus chaque jour je l'aimais.
Frigga gardait le secret et moi aussi, et elle était bien plus complice que ce que l'on pence, elle aimait tellement ses enfants, mais ne savait pas que Loki n'était pas le seul à avoir autant de sentiment pour moi.
Un jour alors que je rendais visite à mon amour, je remarquais que dans sa cellule on lui avait installer de rideau.

Moi : Pourquoi des rideaux ?

Loki : C'est un cadeau de ma mère, ça ne te plais pas ?

Il avait un sourire plein de malice a la bouche et je voyais dans ses yeux a quoi il pensait.
Il me pris rapidement par la taille et me serra fort contre lui, son regard était emplie de désire.

Moi : On va quand même pas faire ça ici, t'es malade ou quoi ?

Loki : Je te veux, je te veux maintenant, je te veux toute la vie.

Moi : Moi aussi je te veux, mais c'est les autres autour que je veux pas, j'ai pas envie qu'ils nous entendent.

Loki : Je t'entendrais je te ferais crier de plaisir, mais eux n'entendrons rien, c'est aussi à ça que ça sert la magie.

Moi : Tu sais faire ça ? Empêcher les gens d'entendre les sons ?

Loki : Bien sûr !

Il avait à peine fini de parler que j'allais fermer les rideaux et lui sauta dessus.

Il enleva mes vêtements avec une lenteur à me faire mourir, il savait que je le voulais et faisait traîner les choses, sadique vas.

J'enlevais alors les siens et vis son membre ( Je comprend enfin pourquoi on dit que cet un Dieu Waou *.*)
Il m'embrassa sur la bouche dans le coup délicatement toujours avec ses mains sur mes hanches et il les faisaient se balader sur mon corps, dans mon dos, sur mes seins, j'aimais ça.
Je me mis à genoux pour être à la hauteur de son pénis mais Loki me releva aussi tôt.

Loki : Ma reine ne se mettra jamais à genoux devant moi.

Je l'embrassais.

Moi : Mais la reine aime son roi.

Je me remis à genoux, il me lassa faire,
et lui fit une fellation, il gémissait de petit bruit vraiment mignon et excitant a la fois.
Je me suis relevée avant qu'il n'atteigne l'orgasme et il me poussa sur le lit, il s'allongea sur moi en m'embrassant et puis il me pénétra d'abord doucement, j'adorais ça, et puis il accéléra un peux, je n'en pouvais plus, à chaque mouvement de son corps je sentais le miens fondre de plaisir, il me murmurait à l'oreille.

Loki : Je t'aime Awen, je t'aime je t'aime ...

Il avait presque la voix essoufflée et ça le rendais encore plus sexy.

Pendant plus d'une heure nous enchaînions les positions, nous avons eux plusieurs orgasme mais nous ne voulions pas nous arrêter, c'était un moment tellement magique, un moment à nous deux, mais un moment qui fut gâcher quand Thor entra dans la cellule.

Loki et moi nous nous sommes arrêter d'un coup, je me cachais sous la couverture, alors que Loki lui restait sans gêne.
Le visage de Thor marquais d'abord de la surprise et puis de la rage.

Thor : Awen... Mais qu'es ce que tu fais ?

Je n'osais pas répondre d'abord trop gênée par la situation, et ensuite par peur de le blesser.

Thor ce dirigea vers Loki et le pris par le coup.

Thor : C'est encore une de tes farce ? Ce n'est qu'une illusion, AVOUE LE.

Moi : Non Thor, ce n'est pas une illusion je suis là, Loki n'y ai pour rien.

Thor lâcha Loki, et son visage ce fixa dans le vide.
Il fit demi tour et sorti aussi vite de la cellule toujours sans dire une mot, il avait presque l'air traumatiser, je ramassais à la hâte mes vêtements et me rhabilla.

Loki : Ne me laisse pas, je t'en supplie.

Moi : je dois y allez, je reviendrais je te le jure...

Je l'embrassa et parti en courant de la cellule.

Moi : Thor, Thor attend !

Je courrais pour le rattraper, je devais lui parler.

Moi : Thor excuse moi je suis désolée pour ce que tu a vu mais, ... Mais j'aime Loki, je l'aime vraiment.

Il ne répondait plus toujours le regard dans le vide, ça me brisais le cœur de le voir ainsi, je lui pris le bras et le secouas.

Moi : Thor répond moi. THOR !

Il me regarda avec un regard dépourvu d'émotion.

Thor : Moi aussi je t'aime.

Et il repartis en direction de la porte.

Je m'écroulais à terre, pourquoi fallait il toujours que les choses soient si compliquée.