A moitié plein
Des vers pour se plaindre,
Des vers pessimistes, à craindre,
Pourquoi tant de vers sur le malheurs,
Une perte d'heures,
Nous avons bien mieux à raconter,
Le bonheur à partager,
Rien qu'une fois,
Nous y avons droit,
Mais, c'est niais,
Nous serions niais si on en parlait,
Alors, on parle de nos petits malheurs,
Et de nos grosses erreurs,
Au moins, on réfléchit,
On y passe nos vies,
Réfléchir, tout le temps,
Mais sans réel changement,
Alors, pourquoi ne pas changer ?
Un peu de joie à faire passer ?
Mais tout ça reste niais,
Alors, si on parlait,
Qui nous écouterait ?
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