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4⚃


De toutes les réactions qu’il aurait pu avoir je ne m’attendais pas à ce qu’il m’enlace.
L.Ackerman
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Précédemment :
Eren a réussi à décoder le message que son père lui a laissé
"La clé est dans le tiroir". 
Il se rappelle qu'il avait déjà entendu parler de cette dernière. Il quitte la salle de classe pour retrouver cette clé. 
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Je croise Mme Z mais décide de
l'ignorer. Il faut à tout prix que je trouve cette clé. 
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Je rentre en trombe chez moi et jette mon sac près des escaliers avant d’attraper mon téléphone pour y vérifier l'heure.

9h30

Je commence ma fouille en regardant dans les endroits les plus évidents : le salon et sa chambre. Après une longue et pénible recherche, je m'avachis sur mon canapé : j’ai rien découvert d’intéressant à part des vieux courriers, des factures ou bien quelques anciennes photos oubliées. Je me doutais bien que ça n'allait pas être facile. En plus on parle quand même de mon père, il est pas du genre à laisser ses affaires traînées partout. Je me souviens des chasses au trésor qu'il me préparait pour mon anniversaire. Toute la maison était mon "terrain de chasse", du jardin à la cuisine, de la cuisine à ma chambre, toutes les pièces sauf une haute porte en bois. Je bondis hors du canapé en un éclair : il ne m'a jamais autorisé à aller dans son bureau. Je cours alors jusqu'aux escaliers puis les monte deux par deux pour avancer plus vite. Je décélère ma course et avance plus calmement jusqu'à la porte. Pour une raison inconnue, mon cœur commence à battre plus vite. Je prends une grande inspiration avant de frôler la poignée. J'exerce une légère pression sur cette dernière qui, à ma plus grande surprise, s'ouvre facilement. J'entre dans la pièce et constate que son bureau est tout à fait normal. Des livres de médecines, des piles de dossiers, une boîte à crayon, quelques croquis, bref un lieu semblable à plein d'autres. La pièce est assez petite et sombre. Du papier peint couleur cannelle orne ces quatre murs. De chaque côté de ces derniers, des étagères en bois poussiéreuses regroupent plusieurs ouvrages sur l'anatomie ou bien la génétique. Un grand fauteuil imposant se trouve droit devant moi, renforçant ainsi le côté presque lugubre de cette pièce.

Je m'approche prudemment de son bureau à la recherche de tiroirs. Le parquet brun grince à chacun de mes pas qui sont pourtant légers. L'angoisse que j'ai ressenti à l'entrée ne fait que s'amplifier. Pour tout vous dire, le fait que je sois seul dans la maison n'arrange pas les choses. Si le moindre truc tombe au sol, je quitterai les lieux sans y remettre les pieds avant une bonne trentaine de minutes. Je continue d'avancer prudemment et effleure la table de long en large. Aucun bouton dissimulé n'est présent. Je me place devant le fauteuil puis ouvre le premier tiroir. Rien. J'entame l'ouverture du second...Toujours rien. J'ouvre les quatres dernières mais je n’aperçois aucune clé.

- Ce sont pourtant les seuls tiroirs de la pièce... pense-je tout haut.

J'ouvre à nouveau le premier et tâtonne afin de savoir s'il n'y a pas quelque chose en dessous. Rien. Un rire nerveux s’échappe de mes lèvres. La chasse au trésor qu'il m'a concocté ne va pas du tout être facile. J'effectue cette même opération sur la deuxième, la troisième, la quatrième. La quatrième ? Je la tâtonne tout en la secouant légèrement. La plaque de bois ne semble pas être fixée comme les autres. J'appuie donc une seconde fois mais plus fort. La plaque fait un petit saut en arrière avant de retomber sur le sol couvert d’un tapis noir. Je prends la lampe de mon téléphone et éclaire la partie sombre du tiroir. Enfin, je perçois un faible scintillement au fond du meuble correspondant à la dite clé. Je soupire de soulagement avant de l'attraper. Je passe une dernière fois ma main afin d'être sûr de ne rien manquer. Il n'y a plus rien. Je mets alors la clé autour de mon cou et recherche des indices pour la suite. D'habitude une énigme résolue me donnait soit un indice, un message audio ou écrit, ou bien l'apparition d'un nouvel objet. Toutefois, il n'y a absolument aucun des éléments cités que je peux remarquer dans cette pièce. Je m'assis sur le fauteuil pour me lancer dans une nouvelle réflexion. Pour un dossier aussi important, un message écrit serait plus prudent. Mais il faudra ensuite le détruire, ce message. D'autres personnes veulent certainement la même chose que moi. Mon esprit commence à partir dans des déductions impossibles. Je m'ébouriffe les cheveux puis décide de regarder à nouveau dans le tiroir où figurait la clé. J'active mon flash et le pointe vers la plaque de bois. Toujours rien. J'attrape le couvercle qui est tombé par terre en soupirant. Dans un élan de flemme, je l'éclaire aussi espérant trouver quelque chose. La première face se conclut par un échec. J'illumine donc la seconde. Des lettres, des mots, des points. Enfin quelque chose de normal. Premier réflexe photo. Deuxième réflexe réécriture du message. 

Bravo, tu as trouvé la clé. 
Travail, Stagiaire, Coffre.

- Assez concret comme indice... soupire-je

Je vais devoir me débrouiller avec. Je remets toute la pièce en ordre et quitte son bureau en prenant soin de refermer la porte. Alors travail c'est pas compliqué je dois me rendre à l'hôpital « liberté », c’est l’endroit qui me paraît le plus logique. Stagiaire....peut-être qu'un stagiaire détient les infos ? Quoique sous l'effet de la torture tout le monde peut avouer un secret, ce n'est donc pas prudent. Passons. Coffre. L'endroit des dossiers sûrement. Mais en premier lieu est ce qu'il veut vraiment que je retrouve ce dossier uniquement pour le remettre au kidnappeur ? C'est insensé. Surtout si c'est import-

- AIE !

Mon petit orteil vient d'heurter violemment le coin d'un meuble. Comme si cela ne suffit pas, je donne un grand coup de pied à la table en signe de vengeance qui m'anéantit encore plus la jambe. Je pousse un deuxième cri puis m'assoie par terre en me tenant ce pauvre membre de mon corps ayant subi ma colère inutile. J'attends quelques secondes avant que la douleur ne s'estompe puis me relève afin d’attrape mon téléphone 

9h50

Mes cours d'art plastique durent toute l'après-midi (13h30 à 17h00), j'aimerai quand même y assister. L'hôpital n'est certes pas très loin, néanmoins si la recherche est aussi longue que la première je préférais y aller demain...
Je pose la paume de ma main sous mon menton puis pèse le pour et le contre. Après mûre réflexion, je me décide tout de même à partir. Je sors mon vélo du jardin et me rends à l'hôpital Liberté.

*****

Je dépose mon vélo près du bâtiment et l'attache à un poteau non loin . Je regarde quelques instants le grand hôpital droit devant moi. Je sens mon coeur pomper nerveusement de grosses vagues de sang. Pas encore...Ma vision se brouille soudainement de larmes qui m’assaillent les yeux tandis qu’un léger vertige me fait reculer. Je m’appuie précipitamment sur le mur et prends une grande inspiration. Je déteste ces endroits. Des vrais foyers de la mort. A chaque fois que je m’y rendais pour retrouver mon père, cette odeur flottante et persistante de médicaments qui rodaient dans les couloirs me retournait le cœur. J'étais toujours pris de nausées et même parfois de vomissements sans aucune raison. Moi qui vient d’une lignée de médecins, un gars qui n’arrive même pas à poser son pied à l’entrée était si déshonorant. Mon père avait décidé de ne plus m’y emmener alors cela fait un bon bout de temps que je n’y ai pas mis les pieds. Je ne saurais vous expliquer pourquoi mon métabolisme réagit de la sorte. C'est sans doute l'épreuve la plus difficile que j'ai à faire aujourd'hui. Je déglutis et m'avance vers les portes qui s'ouvrent en détectant ma présence. Il est sûr que je ne pourrais pas m'introduire dans le bureau de mon père comme ça. Certains boutons de l'ascenseur sont marqués par des croix rouges qui indiquent qu'il est interdit aux visiteurs de se rendre à cet étage. Son bureau est à l'étage 54. Demander des renseignements au secrétariat ne servirait à rien.

Que ferait Ereli dans cette situation ?

L'infiltration déguisée lui passerait sûrement par la tête et c'est sans doute la meilleure solution. Il y a toujours des animations que propose l'hôpital du genre extraire son ADN ou bien faire des dosages avec différents composants chimiques. L'activité dans laquelle on utilise une blouse est celle du dosage. Je me dirige donc vers les escaliers puis monte deux étages qui mènent aux couloirs des activités. Si je prends l'ascenseur maintenant, je risque de décorer quelqu'un avec mes restes de nourriture. Je prends la première porte à ma droite et observe des personnes de tout âge effectuer l’animation muni d’une blouse et de pipettes. La monitrice me regarde puis me sourit. Allez Eren t’as les gènes de la femme la plus gentille de l’univers. Je fais un effort incommensurable et essaie de lui faire mon plus beau sourire. Si je suis aimable, je pourrais au moins lui demandé une blouse. Je me mets à l'écart du groupe et fais tranquillement mes dosages. Je veux bien sourire mais être sociable ça jamais. La monitrice arrive peu de temps après puis me donne une blouse.

- Il est mieux de pratiquer avec ça pour ne pas tâcher vos vêtements, dit-elle en passant ses cheveux derrière ses oreilles.

- Oui vous avez raison, répondis-je en sortant le même sourire.

- Dites..., commence-t-elle, êtes-vous déjà venu ici ?

- Ou...non je ne suis jamais venu. A vrai dire, mon grand frère adore les sciences alors je voulais lui offrir une blouse pour son anniversaire !

- Ah ! Je...je peux vous aider si vous le souhaitez. Quelle taille mesure votre grand frère ?

- Il a seulement un an de plus que moi alors je pense que celle que vous m'avez proposé suffira.

Ses longs cheveux bruns tombent délicatement sur son visage. Elle les remet en place puis conclut :

- Je vous apporte ça !

Je la remercie poliment avant de terminer mon activité. Je range rapidement mon matériel et rejoins la porte d'entrée. Elle se précipite vers moi pour me donner la blouse. Je lui souris à nouveau puis agite ma main afin de lui dire au revoir. Elle fait de même, le sourire aux lèvres, et referme la porte. J'enfile donc ma blouse et pars cette fois-ci en direction de l'ascenseur. 52 étages à pied non merci. Les portes métalliques s'ouvrent, heureusement pour moi aucun individu du personnel médical n’est présent. Je franchis le seuil de cet engin de la mort puis appuie sur le bouton 54. L’ascenseur entame sa montée vers l’étage demandée et par la même occasion alerte mes sens qu’un moyen de transport autre que mes propres pieds me portent à destination. Je sens à ce moment précis un renvoi gastrique se stopper au niveau de mon œsophage pour redescendre lentement dans mon estomac. Mon dieu tout mais pas ici ! Je vais à coup sûr me faire remarquer sans pouvoir donner d’explication précise sur ma venue en ces lieux. Avec la décoration que je vais lâcher dans l’ascenseur je serais cuit. J’peux pas tout faire foirer à cause de mes putains de nausées. Même si respirer plus calmement ne changera rien, j’essaie tout même cette opération mais en vain. Une nouvelle montée me fait plaquer contre le mur métallique se trouvant derrière moi. J’appuie fortement mes mains contre ma bouche tout en fermant mes yeux de toutes mes forces afin de me dissuader de gerber. L’arrêt soudain et le fameux "ding" de l'ascenseur me sortent enfin de cet enfer. Sans plus attendre je recherche rapidement des yeux le pictogramme WC avant de courir jusqu'à ces derniers, ouvrir violemment la porte et  la de cracher un flot de salive acide dans cette eau translucide. Un sentiment de dégoût m'envahit rapidement à la vue de ce que je pourrais appeler « les restes d’hier soir ». En réalité ce n'était que de la bile. Je n'ai presque rien mangé -si ce n'est que des nouilles instantanées- depuis que ma mère est partie. Il faudrait que je m’alimente correctement mais la nourriture me paraît de moins en moins appétissante quand elle n’est plus là.

Je ne regarde pas plus longtemps mon œuvre d’art et tire la chasse d’eau  avant de m'essuyer les lèvres avec un peu d'eau. J'ai l'impression d'être vidé du peu d'énergie qui me restait. J’essaie de reprendre calmement mes esprit avant de me rendre jusqu'à une grande porte vitrée surveillé par un homme en costume noir. Il tourne la tête dans ma direction en me suivant du regard. Super. Sois je dis une bourde qui trouve louche et je me fais castrer dans un endroit sombre, sans WiFi, sans fenêtre, sans signe de vie, sans lumière, sans mangas ! Je secoue vivement la tête en essayant de ne pas penser au pire. Je m'arrête devant lui. Il me regarde avec une expression sévère.

- Vous êtes ? demande-t-il.

Eren Yaeger. 17 ans. Célib. Grand otaku doublé d'insociabilité profonde. Non non non non pas ça Eren concentre toi ! Je baragouine la première chose qui me passe par la tête.

- Un...un stagiaire.

Il fronce les sourcils.

- Les stagiaires ne sont pas autorisés à venir ici, affirme-t-il en croisant ses bras musclés contre lui.

Cet enfoiré qui me sert de père aurait au moins pu me prévenir de ce détail là. Je me gratte le coin de l'œil.

- Je...hum...je suis ici sur demande du docteur Jaeger, rétorque-je timidement 

- On ne m'a pas prévenu de cette venue. réplique-t-il agacé

Mais laisse moi entrer T.T !

- Je-

La porte vitrée s'ouvre subitement et laisse apparaître une femme brune au cheveux court munie de deux perles verts foncés.

- Qui est ce jeune homme ? demande-t-elle

- Il m'informe que c’est stagiaire à la demande du médecin Jaeger, répond le garde

- Le fameux stagiaire ! s'exclame-t-elle en tapant dans ses mains 

Je lâche ma plus grande expression de surprise.

- Grisha-nii m'a dit qu'un stagiaire passerait ici ! ajoute-t-elle enjouée 

Elle s'approche à deux centimètres de mon visage puis tâtonne ma peau avec ses mains. À ce contact, j’ai le réflexe de dégager sa main.

- ah, je suis désolé, dis-je en détournant le regard.

Elle fait un petit saut en arrière en agitant les mains.

- Non non, c'est moi. J'ai tendance à être trop tactile ! sourit-elle
Bref, vous pouvez le laisser entrer, il est avec moi.

L'homme me regarde d'un air menaçant avant de me laisser filer.

- Franchement, grisha-nii aurait pu me prévenir quand tu venais au moins ! Toujours à me laisser avec de vagues indications ! bougonne-t-elle

Je ris doucement. Elle n’arrête pas d'appeler mon père par le suffixe "nii". Je ne me rappelle pas l'avoir déjà vu.

- Excusez-moi, vous êtes ?

Elle s'arrête de marcher et se tourne brusquement vers moi. Elle met ses mains devant ses yeux et imite quelques sanglots.

- Grisha-nii ne t'a jamais parlé de moi ? Je suis Faya Jaeger, la sœur de ton père, dit-elle en souriant.

Je baisse ma tête. Je ne me souviens plus d’elle. M’as-t-elle vu quand j’étais enfant ? Et puis c’est pas comme si mon père dédégnait encore à me présenter à qui que ce soit. Pourquoi un bon à rien devrait-il voir sa famille ? m’avait-il demandé. Je n’avais rien répondu. Les mots étaient restés bloqués dans ma gorge. Depuis ce jour je n’ai plus trop cherché à me pointer dans leurs événements familiaux. 

- On est comme qui dirait en froid en ce moment.

Elle se retourne et reprend sa marche enjouée.

- Ah l'adolescence, c'est vrai qu'il s'est assombri avec l'âge le pauvre, affirme-t-elle en rigolant.

Nous parcourons encore quelques mètres avant d'atteindre le bureau de mon père. 

- C'est ici, désigne-t-elle avec son doigt. Il m'a juste demandé de t'accompagner puis de te laisser te débrouiller.

- Merci, dis-je simplement.

Je m’apprête à ouvrir la porte lorsque je sens sa main se poser sur la mienne. Surpris, je me retourne et la dévisage.

- Est ce que tu es sûr que tout va bien ? demande-t-elle inquiète

Elle est en train de prendre le même ton qu'emploie ma mère. Ce ton doux et chaleureux qui s’inquiète pour un enfant, cette tendresse que seule une femme peut offrir.

- Tu es bien pâle, tu devrais manger quelque chose, me conseille-t-elle

Je sens mon cœur se serrer. Cette forte compression qui donne l’impression que votre organe vitale risque d’être broyé par la douleur. Je pense à elle. Où est-elle ? Est-ce que, elle, au moins, elle est nourrie ? N'a-t-elle pas froid là où elle se trouve? Pourquoi tout ça arrive si soudainement ? Des larmes inattendues montent lentement jusqu'aux parois de mes yeux. Je retire gentiment sa main avant de lui assurer que je vais bien. Elle me caresse les cheveux avant de me laisser son numéro de téléphone. J'essuie brièvement les quelques larmes qui ont manqué de tomber face à Faye puis entre dans le bureau où la même austérité que dans son espace de travail dans notre demeure est présente. Si je me souviens bien, le troisième indice était le coffre. Je marche quelques instants et scrute les environs. Des livres, des papiers, du matériel médical, des appareils de mesure. Je continue d'avancer avant de rencontrer une pile de livres qui me fait tomber tête la première sur le sol. Toutefois je devine que ma tête ne s'arrête pas au sol, elle s'enfonce plus profondément pour remonter à nouveau. Je viens actuellement d'appuyer sur un bouton dont je ne connais même pas l’utilité. Je regarde avec agitation autour de moi mais n'observe aucun changement. Je soupire de soulagement.

Soudain, la pile de livres sur laquelle mon pied a trébuché s'abaisse petit à petit dans le sol pour laisser apparaître un coffre métallique d'environ vingt centimètres. Par instinct, je m'éloigne légèrement de ce dernier et le regarde un moment. Je sors la clé de mon pull puis l'insère dans la serrure. Le "clic" de l'ouverture se fait entendre la pièce. L'excitation de la réussite s'empare de moi. J'ouvre la petite porte et découvre un dossier de couleur beige signé d'un tampon rouge sur lequel est écrit : Forbidden. Je sors le dossier du coffre qui redescend immédiatement d'où il vient. Les livres qui jadis avaient disparu, refont leur apparition.

Je lis la première page de couverture :

Projet RAH : real artificial human

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