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3⚂

Ses prunelles émeraudes possèdent un éclat pareil à des milliers de diamants.
Ce garçon qui ne m’avait jamais intéressé auparavant,
Se trouve être à l'origine de mes tourments
Est-ce le destin qui me l’a amené ce jour-là ?
Cette couleur envoûtante n’a cessé de hanter mes journées.

L. Ackerman
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Précédemment :
Eren rentre chez lui et découvre que ses parents se sont fait kidnapper. Pour récupérer ses parents, l'agresseur lui demande 2 choses :
Les papiers du projet RAH que mène son père et 800 000 dysiris .
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Pourquoi je ne suis pas resté avec elle ce matin ? La maison n’est même pas retournée, rien, aucune trace de combats. Où était mon putain de père ?   
 
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J-31

Le bip incessant de mon réveil me sort de mon sommeil profond. Je pousse un gémissement mécontent d'entendre ce bruit qui m'annonce un début de journée puis referme les yeux. Finalement sur un élan d'effort incommensurable, je retire violemment ma couverture et fixe un point inexistant de ma chambre. La première pensée qui me traverse l'esprit : pas envie d'aller en cours. Actuellement je préférais me concentrer sur mon problème actuel et déjà trouver une solution à l'enlèvement de mes parents. Sans compter ma nouvelle situation qui s'avère être très très emmerdante. Effectivement, je le savais, toucher Livaï était un tabou absolu qui n'avait encore jamais été transgresser. Et cet affront impardonnable a été commis par un nerd à lunettes qui ne s'est jamais manifesté de toute son existence scolaire. Figurez-vous qu’il existe des règles inchangées et inchangeables au sein de ce lycée et qui perdureront tant qu’il y aura des gens qui pourront s’appeler « populaire ». J’ai longtemps échappé aux sentences de ces lois déguisées de beaux concepts collectifs auxquelles je ne crois absolument pas. Mais maintenant, la vie s’annonce dure, chiante et surtout emmerdante. Je pousse un long soupir.

Encore à moitié dans les vapes et les cheveux en pétard, je me lève et embarque quelques vêtements avant de me diriger dans la salle de bain. La maison qui a pour habitude d'être animée au rythme des actions de ma mère, est maintenant silencieuse comme si la mort venait chercher mon âme perdue, Une soudaine angoisse empoigne mon cœur. Mes interrogations non élucidées de la veille refont surface telle une avalanche. Une avalanche d’idées qui s'entrechoquent les unes sur les autres pour former un tourbillon d'hypothèses. Et encore une fois, aucune réponse ne semble être la bonne, aucune ne mène à un futur où mes parents s’en sortiront vivants. Mon plus grand souci est bel et bien le fait que je suis fils unique. Aucun frère, ni sœur pour m'aider, encore moins des amis. J’ai arrêté de me pointer aux dîners familiaux depuis un millénaire déjà. Sans doute je pourrais demander à ma communauté de participer à une cagnotte mais, dans tous les cas, il me restera toujours les documents.

Une intense chaleur me brûle subitement la main, interrompant ma réflexion. J'éteins alors mon sèche-cheveux avant de quitter la salle de bain en traînant des pieds. Je descends paresseusement les escaliers puis attrape mes chaussures jetées en vrac la veille. Je n'ai aucune envie de manger, mais je me dirige instinctivement vers le salon. Je regarde la table d'un œil vide d’émotion, visualisant mon petit-déjeuner déjà préparé ainsi que le sourire joyeux de ma mère. Je la parcours du bout des doigts avant de tomber sur le bout de papier laisser à l'abandon. Je l'attrape et relis la même inscription :

"Écoute la cassette à ta droite.
Tu ne pourrais l'écouter qu'une seule fois alors sois attentif"

Je retourne le papier puis le repose assez déçu, pensant pouvoir trouver quelque chose. Soudain, en même temps que je repose mon papier sur la table, j'aperçois une faible lumière suivre mon mouvement. D'un geste désordonné et précipité, je le reprends puis l'observe avec plus d'attention. Une inscription fluorescente brille faiblement. Petit à petit, la lumière s’estompe. Cette fois-ci je ne fais pas le con. Téléphone en main, je prends deux photos du bout de papier. Je pianote sur mon téléphone pour accéder à ma galerie. Je zoom au maximum la photo puis essaye de déchiffrer ce qui est écrit. Petit problème. Ce n'est pas écrit en français mais en langage morse. D'accord, d'accord vous allez me dire comment moi, Eren Yeager, ayant une capacité intellectuelle plus que douteuse, j’ai pas pu déduire ça comme ça. MAIS ! Étant donné que  les mangas m'ont plus instruit que les cours d’eps, nous remercions The Promised Neverland pour m'avoir inculqué ce savoir. Je cherche alors la lettre correspondant au point ainsi qu'au rectangle sur internet. Au bout quelques minutes je parviens à identifier la phrase suivante :

Sois malin et cherche
AlRioritélceltsesnad
G

J’aborde une expression d’une neutralité sans précédent avant d'hurler mon incompréhension face à cette énigme qui m'a été posée. Je regarde quand même l'heure sur mon portable afin de ne pas être en retard.

7h56.

Mon bus arrivera dans 3 minutes. J'écris rapidement cette phrase dans mon téléphone ET sur un morceau de papier. On n'est jamais trop prudent. J'attrape mon sac comme un barbare puis claque presque la porte. Je m'engage dans une frénétique course contre la montre alors je constate avec effroi que j'ai laissé mes clés sur la porte d'entrée. Je m'arrête, pose mes mains sur mes genoux, souffle, inspire puis expire. Je me gratte ensuite sauvagement mes mèches brunes avant de m'insulter 30 fois d'abruti et repars en direction de ma maison. Je retire précipitamment les clés et cette fois-ci je prends soin de fermer la porte à clé pour les mettre dans mon sac

7h58

Comme si ce maudit bus allait passer à l'heure de toute façon, pense-je naïvement.

Je reprends mon chemin plus tranquillement jusqu'à l'arrêt de bus mais vois l’engin passer sous mes yeux qui ne cesse de s'agrandir en voyant le véhicule partir. Je mets toute mon énergie dans un dernier effort et dieu merci un feu se trouvait non loin de là. Moi qui avait l'habitude de l'insulter trouvant qu'il ne sert qu'à ralentir la circulation déjà peu présente dans ce quartier. Je réussis à atteindre ce maudit bus puis toque à la porte. Le conducteur me regarde, lève son bras, sa main, son index....puis le décale de droite à gauche. Il veut pas me laisser rentrer ce b*****. J'agite les bras comme un forcené afin qu'il me laisse entrer. Il ouvre finalement la porte et ajoute :

- Ça suffit ces conneries, je n'ai pas le droit de te faire monter et tu le sais, affirme-t-il agacé.

J'ai essayé. J'ai essayé de me retenir. Mais j'ai pas pu. Je lui lance un regard noir de colère et pars en badgeant bruyamment ma carte. Je m'assoie juste derrière lui, entendant ses complaintes sur l'insolence des jeunes d'aujourd'hui. Gamin que je suis, je m'amuse à répéter ses phrases en ajoutant une gestuelle exagérée. Je ne tarde pas à arriver aux portes de ma prison collective. Je me dirige vers mon casier pour prendre mes chaussures d’intérieur. À l'ouverture de ce dernier, j'observe quelque chose qui me fait sourire sur le coup. Des yeux en plastique teintés de faux sang sont sortis du casier. Sans oublier les petits coussins en forme de cœur noir qui sont piqués par des aiguilles rouges. Assez agacé par cette gentille attention, je prends mes chaussures et referme la boîte métallique. C'est pas eux qui vont devoir nettoyer tout ce bordel. Je ne sais pas ce qu'ils cherchent avec leurs déco d'halloween mais c'est pas avec ça qui vont me décrocher une larme. Je pénètre plus profondément dans le hall d’entrée et rejoins ma classe. Mon avancée jusqu'à la 1ère-A a été...étrange, enfin bon je n'en attendais pas moins après les évènements de la veille. En montant les escaliers, j'entendais déjà les messes basses des autres élèves m'assassinant du regard, ils ont sans doute tous espéré que je me retourne la cheville en marchant. Et pourtant je n’ai fait que poser ma main sur son visage aussi expressif qu’un bout de bois. J'attrape quelques mèches de mes cheveux puis les place devant mes yeux avant d'atteindre la salle de classe. 

En ouvrant la porte, je tombe nez à nez avec ma prof de français, Madame Z . Cette dame est la seule, j’ai bien dit la seule que je ne trouve pas insupportable et je sais qu’elle n'en ratera pas une pour me charrier.

- Eren, octroie-moi le droit de te dire que la coupe de cheveux "serpillière"date du siècle dernier. Tu cherches à innover ? affirme-t-elle amusée

- Je vous en prie madame, je ne savais pas que vous aviez vécu aussi longtemps pour la connaître. La nostalgie est un vil sentiment je vous l'accorde, répondis-je

Madame Z entre dans un fou rire puis me laisse m'asseoir. J'ai gagné cette confrontation mais l'heure de cours n'est pas terminée. Être prêt à tout moment c'est ça le secret d'un grand stratège, prenez exemple sur Shikamaru. 

- Bien ! J'ai corrigé vos copies sur le sujet de réflexion. Sachez qu'on voit les principes d'un commentaire en 3e alors ceux qui ne savent toujours pas rédiger une introduction...

Elle lève les bras au ciel, montrant son exaspération face à nos travaux.

- Passons, les notes vont de 20 à 6.

J'avale difficilement ma salive. On sait déjà tous qui a eu vingt. Livai. Je dois avouer qu'il a une capacité de rédaction hors norme. Il réussit à manipuler des figures de style complexes et arrive à nous faire voyager dans son univers. Sans compter que sa manière d’écrire est similaire à celle d’Heichou. Pour ça et seulement pour ça, il arrive à monter de 0,01% dans mon estime. Madame Z s'avance et commence à distribuer les copies. Inintéressé, je sors le tome 28 de Black Butler, il faut dire que si Sébastian était à mon service au moins j’aurais ces foutus dossiers et l’argent avec. Enfin bon donner mon âme en retour sans revoir ma mère me semble infaisable. Arrivant dans ma direction, je pose délicatement le livre et attends son avis sur ma feuille.

- Yeager, si seulement vous mettiez autant d'énergie à écrire qu'à lire, soupire-t-elle

Je regarde ma note, 10/20. J’ai failli pousser un cri de joie mais je me suis retenu. J'ai réussi à obtenir la moyenne en racontant des bobards sur l’essence de la vie et ses défauts. J'ouvre ma feuille et aperçois ses petits commentaires qui font toujours plaisir : "bla bla" "oh !" "et le monde est tout noir tout moche". Je me mets à sourire bêtement devant ma feuille. Elle ne m'a pas raté. Quoique, elle ne me rate jamais.

- Silence ! Les prochains sujets qui seront, cette fois-ci, un sujet d'imagination et de réflexion par groupe de deux sont les suivants :

Nous prenons tous une feuille puis notons :

- Rédiger un portrait détaillé de votre partenaire en vous inspirant du style d'écriture de Paul Eluard. 
A votre avis, pourquoi sommes-nous sensibles à la beauté ?

Au fur et à mesure que j'écris, je me rends compte que ces énoncés sont carrément tirés par les cheveux ! Comme d’habitude à vrai dire. C'est son péché mignon de nous foutre des dissertations pareilles. Il faut pas s’étonner après si des élèves n’ont pas la moyenne franchement. Sans oublier le détail le plus important : groupe de deux.

- Alors pour les groupes c'est pas compliqué, toutes les personnes avec une table impair se retournent, conclut-elle

Oh non. Vraiment. Pourquoi ? Je sais et vous savez parfaitement qui se trouve derrière moi. Il n’y en qu’un sur Terre que je ne peux pas voir en peinture. Avec son air blasé qu’il aborde chaque jour, envers et contre tout. Je tiens à ma vie moi, retrouver des yeux en plastoc dans mon casier jusqu'à la fin de l'année à cause des fanatiques de ce type non merci !

- Jean, chuchotai-je

- Quoi ? répondit-il

- Tu veux pas échanger avec moi, on est tous les deux des nombres impairs...

- Nan mais t'es malade ! Reste avec Livaï, je veux pas d'emmerdes moi.

J’aurais dû me douter qu’il me trahirait comme Griffith ce faux ami. Je me munis donc d'un stylo et de quelques feuilles puis me retourne à contre cœur vers Livaï. Je garde ma tête baissé un long moment quand il se décide à parler.

- Bon en quoi tu es bon ? demande-t-il froidement.

- Prends le sujet que tu veux je prendrai le reste, dis-je simplement

- Très bien. Je ferai « imagination » et toi « réflexion ». Fais pas de la merde j'ai pas envie que ma moyenne baisse à cause de toi.

- COMMENT TA MOYENNE PEUT BAISSÉ TU ES LE MEILLEUR ÉLÈVE DES PREMIÈRES !

J'aurais bien aimé lui dire ça, toutefois je tiens à la vie. Je prends une feuille de brouillon puis note toutes les idées qui me viennent en rapport avec mon sujet. Je ne vais pas me tracasser le cerveau, je ferai des arguments pour et des arguments contre. Après 1h30 de brouillon et d'écriture acharné j'entame enfin ma rédaction. 

Pendant que l'adolescent peaufinait son travail, Livaï observait son voisin de table. De ses cheveux fins et bruns jusqu'à ses lèvres légèrement rosées, de sa peau hâlée à ses cils plongeant, il oscultait son visage. Sa plume se déroulait avec légèreté et confiance, il n’avait pas besoin de faire beaucoup d’effort pour que ses idées affluent dans son cortex cérébrale. Il possédait tous les éléments qui composaient le visage d’Eren. Mais quelque chose manquait. Quelque chose d'essentiel. Ses orbes verts. On ne voyait pas assez ses yeux cachés derrière ses lunettes ainsi que ses cheveux. Et cela empêchait sa progression. C'était pour lui l'une des pièces maîtresses qui le rendait somptueusement beau. Il voulait les revoir, ces pupilles brillantes. Il fallait dire que ce travail tombait donc à pic.

- Oi, je ne vois pas assez ton visage. Retire tes cheveux de tes yeux.

- Hein, contente toi de ce que tu vois ! répondis-je énervé.

Il affiche un regard glacial avant de passer sa main dans ses cheveux corbeaux.

- Écoute je ne sais pas si tu suis des fois en cours mais Paul Eluard est un auteur romantique c'est-à-dire que je dois faire ressortir la supposée beauté de ton physique.  

LA SUPPOSÉE ?! Bordel je n’ai pas besoin d’entendre ça de la bouche du mec le plus adoré du lycée. Il devrait s’associer avec Boa Hancock ça fera un beau petit couple d’égocentriques. Mais bon, il marque un point. Étant donné que j'aurais sa note et que partiellement je ne suis vraiment rien en cours, un petit vingt ça fera joli dans le bulletin. Je fais un petit effort et redresse mes cheveux afin qu'il puisse mieux me voir.

- Par contre je n'enlèverai pas mes lunettes tu te débrouilles avec ce que tu peux voir.

Petit à petit, son visage se détend pour afficher une expression calme et sereine. Une fine mèche ébène tombe sur ses yeux sombres avant qu’il ne la balaye d’un geste qui semble habituel. Il est magnifique. Ces trois mots ont traversé inconsciemment mon esprit. Si je mets mon ressentiment de côté, je comprends pourquoi les filles cherchent son attention. Il ne fait rien de spécial, juste agiter sa main qui écrit au rythme de ses bracelets noirs. Mais même en faisant cela il demeure captivant. Une aura de roi quoi. Je continue de le détailler un long moment abandonnant la rédaction de ma dissertation. Voyant mon inactivité prolongée, il relève doucement la tête puis me regarde perplexe.

- Travaille, on a pas toute l'année, dit-il d'un ton agacé.

Bon d'accord, je retire ce que j'ai dit. Il ne mérite pas mes éloges avec un tempérament aussi merdique !

***

Après une seconde heure d'écriture intensive, j'ai enfin réussi à terminer mon travail. Quant à Livaï, il avait déjà rendu sa copie vingt minutes auparavant. Digne d’un génie. Je soupire et me lève afin de remettre ma feuille à Madame Z avant de regagner ma place.

- J'espère que votre cerveau tient le coup Yeager ! Pas besoin d'appeler les pompiers ? enchérit Mme Z

- Tout va bien, j'espère que le votre ne cessera pas de fonctionner ! 

Une nouvelle fois, elle se met à rire bruyamment avant de reprendre ses esprits.

- Je vous laisse 5 minutes pour souffler.

Sans perdre de temps, je dégaine mon papier et essaie comprendre le sens de cette phrase laissée par mon père. 
AlRioritélceltsesnad
Je la répète plusieurs fois dans ma tête mais rien ne me vient.

Livaï, le menton posé dans la paume de sa main droite, regardait Eren puis son papier.

- Oi. Donne moi ce papier.

Je pose mes yeux sur lui avant d'écarquiller un sourcil 

- Nan. 

De quoi il se mêle, on est trente-quatre dans cette salle, il peut pas aller voir ses fans. Il prend brusquement ma feuille sans m'écouter et le fixe longuement 

- Tu as essayé d'écrire la phrase dans l'autre sens, demande-t-il après quelques secondes de réflexion

Effectivement, ce n'est pas complètement idiot. Je réécris donc le message en suivant son conseil :

dansestleclétiroirla

Je laisse échapper un rire nerveux. Même les primaires peuvent effectuer la suite. Je découpe les mots puis les réécris sur le même papier. Dans ma démarche de réflexion, j'entends la chaise racler le sol. Je soulève la tête et suis du regard Livaï qui s'installe près de moi. J'ai eu l'intention de lui dire de "bouger" mais j'ai préféré m'abstenir. Il y a trop de témoins dans cette salle. Sans que je n'ai eu à faire beaucoup d'efforts, je trouve enfin la dite phrase. Ma bouche s'ouvrit laissant échapper un petit cri. 

La clé est dans le tiroir.

J'ai déjà entendu parler de cette clé par mon père, mais il y a très longtemps de cela. Sous le coup de l'émotion, j'attrape Livaï et l'enlace de toutes mes forces. Il ne m'a fallu qu’une fraction de secondes pour me rendre compte que j'avais réitéré la même erreur que la veille. La même erreur, le même affront, la même bourde, la même bavure. Je le relâche précipitamment puis observe sa réaction. Pour tout vous dire je ne m'attendais pas à voir un petit sourire de sa part.

- Il est pas possible ce nerd à toucher Livaï-sama comme ça.
- Pour qui il se prend.
- Prends pas la grosse tête parce que tu as travaillé avec lui !

On va dire que je subis une popularité inversée. C’est pas vraiment l’idéal mais là faut que je me tire d’ici. Je remets mes cheveux devant mes yeux et sors de la salle de classe. Je croise Mme Z entre-temps mais décide de l'ignorer. Il faut à tout prix que je trouve cette clé.

- Comme quoi j'aurais dû appeler les pompiers, affirme au loin la professeure de français.

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