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Chapitre 15

            « Nous sommes comme vous : sous le choc, attristés, désarçonnés, dévastés.

Qui aurait cru cela ? Qu'après cinq ans de relation qui paraissait plus qu'idyllique, les deux idoles les plus en vogue de notre chère et tendre nation se sépareraient ? Qui aurait cru que Jeon Jungkook et Delanay Susan ne formeraient pas le golden couple toute leur vie ? Qui aurait cru, ne serait-ce qu'une seule seconde, que ces deux-là toujours à la pointe du glamour et semblant filer le parfait amour, exploseraient en plein vol ?

Car ce n'est pas tout ! Non seulement, Susan et Jungkook font de nouveau leur apparition sur la scène des cœurs à prendre – mesdames et messieurs, n'hésitez pas – mais leur séparation ne s'est pas du tout déroulée dans le calme et la tendresse ! Bien au contraire !

Grâce à nos fins reporters, toujours à l'affut des dernières informations, nous sommes en mesure de vous révéler toute l'histoire – qui s'annonce plus que poignante. En effet, nos journalistes sont tombés, par le plus grand des hasards, sur le fameux couple dans ce qui semblait être un rendez-vous privé. Cependant, ils ne s'attendaient en rien à ce qui a suivi !

Les deux pupilles de la Corée en seraient sans doute venus aux mains, s'ils ne s'étaient pas retrouvés en compagnie de plusieurs personnes et en pleine rue ! Si cela avait commencé de manière paisible et raisonnée, la discussion a vite tourné au vinaigre et les arguments enflammés ont fusé de tous les côtés. Il n'est pas difficile de comprendre que le jeune couple avait plusieurs choses à se dire, et pas des plus agréables...

Bien évidemment, leur agence – Big Hit – s'est empressée de tout nier. Cependant ici, à Dispatch, nous savons lire entre les lignes, et ce que à quoi nous avons assisté hier soir ne laisse aucun doute.

Le conte de fées se termine, il est temps de refermer le livre. Une question, néanmoins, persiste : comment tout ceci va-t-il affecter la réputation des deux anciens tourtereaux ? Est-ce que BTS, à un mois de son comeback, va réussir à surmonter ce scandale ? Jungkook restera-t-il le golden maknae encore longtemps ? Et Susan, déjà bien absente de la scène people ces derniers temps, va-t-elle sombrer dans l'oubli ou renaître de ses cendres ?

Journaliste Hwang »

Bang Shi-Hyuk reposa le torchon dans lequel il venait d'apprendre la nouvelle. Epuisé par les appels incessants qui n'avaient cessé de pleuvoir à l'agence depuis la publication, un peu plus tôt ce matin, du magazine à scandale Dispatch, il passa une main sur son visage et poussa un énorme soupir.

Face à lui se tenaient les principaux concernés, tous deux assis sur une chaise et ayant bien l'air d'avoir envie d'être à des milliers de kilomètres l'un de l'autre, plutôt que dans le bureau de leur patron. C'était presque s'ils ne se tournaient pas le dos ! Susan avait entrecroisé ses jambes et se tenait droite comme un i dans son siège, rigide et inébranlable. Quant à Jungkook, il était quasiment affalé dans son fauteuil, les bras croisés sur son torse et semblant compter les douloureuses secondes qui le séparaient d'un bol d'air – et surtout de la présence, maintenant plus qu'insupportable et désagréable, de son ancienne petite-amie.

- J'aurais réellement espéré vous voir pour que vous démentiez ces infâmes rumeurs... soupira Bang PD en se pinçant l'arête du nez, malheureusement, en vous rencontrant ce matin, je ne suis plus certain de rien.

Susan et Jungkook n'échangèrent même pas un regard, se contentant de détourner la tête en un mouvement de dégoût. Si la jeune femme avait pu, elle se serait assise sur l'accoudoir de sa chaise pour s'éloigner le plus de Jungkook qui, lui, ne cachait pas son ennui et son antipathie. Qu'il aimerait être ailleurs !

- Nous ne sommes plus ensemble, c'est terminé, il n'y a rien à dire de plus, déclara-t-il d'une voix sèche, maintenant, est-ce que je peux partir ? J'ai des choses à faire.

Susan leva les yeux au ciel et lui lança un regard noir avant de persiffler, venimeuse :

- Encore tes trucs à faire ! Tu avais toujours des trucs à faire, jamais de temps pour nous deux ! Pourquoi crois-tu que nous en sommes là, maintenant ? Tout est de ta faute !

Jungkook ricana, mauvais, avant de répliquer violemment, se retournant sur sa chaise pour pointer un doigt accusateur dans la direction de Susan :

- Alors là, c'est la meilleure ! Tu n'étais jamais là ! Tu étais la première à annuler nos rendez-vous ! Même quand on était dans la même maison, on n'a jamais eu un moment ensemble !

- Parce que tu crois que j'en avais envie ? répondit-elle, estomaquée par tant d'audace, tu dormais, tu jouais à tes jeux idiots ou tu étais énervé pour X ou Y raisons ! C'était insupportable, moi aussi je voulais me reposer !

Bang Shi-Hyuk ne faisait qu'observer ses deux artistes se disputer. Une tristesse peu commune emplit peu à peu ses yeux. Que leur était-il arrivé ? Que s'était-il passé pour qu'ils en arrivent à se détester de la sorte et à ne plus être capable de tenir une conversation normale, sans en venir à se hurler dessus ?

- Tu n'étais jamais là pour moi ! lui reprocha Susan, j'étais tout le temps seule ! Tu ne pensais qu'à toi, sale égoïste !

- Comment oses-tu sortir un mensonge pareil ! l'accusa-t-il en retour, depuis que tu es arrivée ici, on n'a eu que des ennuis et des scandales ! Où que tu passes, il arrive des choses affreuses ! Je ne veux plus jamais te voir ! Dégage de ma vie !

- Il suffit ! s'écria le PDG de la Big Hit en repoussant sa chaise d'un mouvement bruyant et en tapant un grand coup sur son bureau, je ne tolérerai pas de telles paroles dans mon agence ! Si vous ne pouvez pas régler vos différents personnels, soit, mais vous êtes des professionnels et j'exige un comportement tel de votre part.

Les deux jeunes gens eurent la présence d'esprit de baisser le regard et de se taire.

- Nous nous occuperons du communiqué de presse visant à établir la vérité. Pendant ce temps, je ne veux plus voir vos noms dans un seul tabloïd, qu'il soit coréen ou international ! Vous avez intérêt à faire profil bas, surtout toi Jungkook, je te rappelle que le comeback approche et cela me ferait mal au cœur de te bannir de toute promotion et toute apparition en public !

A l'entente de cette menace, le jeune homme se mordit l'intérieur des joues. Il allait devoir être plus que prudent, quitte à ne pas se montrer dehors ou sur les réseaux sociaux. Sa carrière était en jeu !

- Quant à toi Susan, je ne tiens pas à ce que tu sois dans l'obligation de terminer ton contrat plus vite que prévu. Cependant, sache que le renouvellement approche et je ne veux pas que ce scandale te porte préjudice lors de la discussion de tes avantages et de tes droits. Réfléchissez-y tous les deux, avant de faire une bêtise que vous regretteriez jusqu'à la fin de votre vie !

Ils hochèrent la tête, acceptant les remontrances. Bang Shi-Hyuk finit par se rasseoir lourdement, mentalement épuisé et vidé de toute énergie. Sans un mot de plus, il les congédia d'un signe de la main. Ils ne se firent pas prier et s'échappèrent de la pièce, disparaissant chacun de leur côté.

L'homme s'enfonça dans son fauteuil et se prit, une fois de plus, la tête entre les mains. Comment allait-il faire pour gérer la vague d'articles, de messages sur les réseaux sociaux et de critiques qui allaient leur tomber dessus ?

Il haïssait au plus haut point Dispatch et toute la bande de journalistes corrompus et pourris qui gérait le magazine, ainsi que la rubrique people. Comment osaient-ils s'immiscer dans la vie des gens, amplifier des disputes bénignes, réduire en cendres des relations censées rester secrètes et des carrières entières par la même occasion ?

Et pourtant, en tant que PDG d'une entreprise, il se devait de résoudre le problème et de gérer tout cela. Non seulement devait-il s'occuper de Susan et Jungkook, mais il se devait de préserver la réputation de ses autres artistes. L'agence ne devait pas en pâtir.

Lassé, il appuya sur l'interphone communiquant avec ses subordonnés :

- Monsieur Yu, je vous prie de venir dans mon bureau le plus rapidement possible. Nous avons des choses à régler et un communiqué à rédiger. Tâchez de réunir les personnes nécessaires pour réaliser cela de manière efficace, je ne souhaite pas que cette affaire s'ébruite plus que cela.

- Bien monsieur, comptez sur moi, lui répondit une voix sinueuse, légèrement désappointée et excédée par la bombe qui venait de surprendre tout le monde.

Dans les couloirs de l'agence, Susan marchait d'un pas décidé, la tête haute et le dos droit. Son regard froid dissuadait toute personne de lui adresser la parole, tandis que ses talons claquaient sur le sol, annonçant sa venue et, avec elle, une vague glaçante qui gelait l'atmosphère et provoquait des frissons aux employés de l'agence ayant eu le malheur de croiser son chemin.

D'habitude avenante et souriante, elle donnait rarement l'impression d'être une femme inaccessible dans son amertume et plus qu'antipathique. Cependant, tout dans son expression et dans sa posture exhalait un poison âpre et mortel, elle apparaissait plus que dangereuse et semblait être capable d'entrer dans une colère noire à tout moment.

Susan était terrifiante. Et c'était tout ce qu'elle recherchait.

Elle n'était pas d'humeur à entamer une conversation bénigne et sans autre intérêt que de lui soutirer des informations sur sa nouvelle condition de célibataire. Ils n'avaient pas besoin de savoir, ils n'avaient pas besoin de s'apitoyer sur son sort tout en lui crachant dessus dès que l'occasion se présenterait, dès qu'elle aurait le dos tourné. Son regard captait déjà les mines déconfites et les sourires forcés, censés lui apporter un semblant de réconfort, et tout ce cirque lui inspirait la nausée.

Alors qu'elle se soutirait enfin au climat de compassion malsaine et aux faux airs de pitié, elle aperçut la personne qu'elle souhaitait voir le moins du monde et qu'elle aurait aimé éviter à tout prix.

- Monsieur Yu, susurra-t-elle d'une voix emplie de fiel, que me vaut le plaisir de votre rencontre ?

Son sourire en coin parut le mettre hors de lui. Susan ne pouvait pas s'empêcher de se réjouir. L'homme était dans un état pitoyable : ses cheveux – d'ordinaire gominés à l'extrême – ne formaient plus qu'un tas de paille ébouriffé, sa chemise froissée dépassait de son pantalon et sa veste de costume semblait avoir été plusieurs fois bouchonnée. Quant à son visage, ô son visage ! Susan resplendissait à la vue de sa mine défaite, ses joues rouges de colère et ses yeux manquant d'être avalés par l'angoisse et la fureur, les gouttes de sueur perlant sur ses tempes n'étaient que le bonus de toute cette histoire !

La jeune femme n'aurait jamais cru à une telle chose mais une satisfaction plus que malsaine lui broyait le cœur devant cette vision. Qu'elle aimait assister à ce spectacle ! Et quel spectacle !

- Vous ne paraissez pas être au meilleur de votre forme, pourquoi ne prendriez-vous pas une pause ? continua-t-elle, ivre de satisfaction, cela serait regrettable que vous ne puissiez plus assurer vos fonctions. N'est-ce pas ?

- Petite garce, attaqua-t-il d'une voix sifflante, tu l'as fait exprès !

- Tututut, pas de ça entre nous, voyons, le réprimanda-t-elle avec amusement, je ne vous pensiez pas un si grand fan de mon couple. J'avais plutôt cru comprendre que vous tentiez de me saboter... une telle nouvelle devrait vous réjouir !

Il fulminait. Si cela avait pu être possible, il l'aurait foudroyée sur place.

- Tu vas tomber avec moi, salope, la menaça-t-il d'un doigt tremblant, j'ai toujours mon dossier. Si tu fais un seul faux pas, si tu me refais un sale coup comme ça, je te balance et tu coules. Je te détruis et je détruis tous tes petits copains ! Vous ne vous relèverez pas de ça, crois-moi !

- Mon cher, comment pouvez-vous me dire de telle chose, s'offusqua-t-elle en posant une main sur son cœur, vous avez bien du courage de le faire dans un couloir, où n'importe qui pourrait faire son apparition !

- Je possède cette agence ! Je possède toutes les caméras de cet immeuble ! Je pourrais faire n'importe quoi, à n'importe qui, n'importe où, sans que personne ne s'en rende compte et sans qu'il n'y ait aucune preuve ! Ne joue pas à la plus maligne avec moi, Susan... tu vas perdre !

Au fur et à mesure de son flux de paroles, il s'était rapproché d'elle jusqu'à se retrouver à quelques centimètres de son visage, forçant la jeune femme à reculer de manière quasi imperceptible. Ses lèvres se pincèrent et elle retint sa respiration. Elle ne faiblirait pas, pas devant lui, pas encore.

- A votre place, je couvrirais mes arrières, le défia-t-elle en s'avançant lente et menaçante, le faisant fléchir.

La peur dansait dans ses iris et une vague de courage grandit en Susan avant de s'abattre sur monsieur Yu, impuissant devant le pouvoir qu'elle dégageait et qui radiait de tous ses pores.

- Vous ne me connaissez pas, vous ne connaissez personne ici. Vous êtes là depuis combien de temps, six mois maximum ? Vous croyez avoir berné tout le monde, mais c'est faux. Si je peux vous donner un conseil, mon cher, c'est de faire profil bas, de disparaître avant que je ne vous annihile et de ne plus jamais revenir.

- Si tu penses que je vais me retirer, après tout ce temps !

- Ne me coupez pas la parole ! siffla-t-elle, vous n'êtes rien ici, Yu. Vous n'êtes qu'une énième pourriture, juste bon pour croupir dans un trou, en compagnie des raclures de la pire espèce.

- Je te ferai ramper à mes pieds.

Susan ne répondit pas. Elle se contenta de se relever de toute sa hauteur, droite sur ses talons, régalienne et supérieure. Un seul de ses sourcils se haussa et ses lèvres peintes de rouge s'étirèrent en un rictus glaçant.

- Vous n'êtes pas prêt pour cela... le jour où je ramperais, vous aurez peur et vous fuirez.

Elle s'éloigna, sinueuse et serpentine. Et il comprit. Il comprit son erreur, il comprit la terreur et il comprit l'épouvante. Le jour où elle rampera, sera le jour où son dernier souffle passera la barrière de ses lèvres. On n'a jamais eu idée de se confronter à une vipère.

Après sa petite altercation et son acte de bravoure, Susan fit tomber le masque et s'empressa de trouver une pièce vide. Elle pénétra rapidement dans un studio et s'enferma à clé, laissant la pénombre l'envelopper dans une étreinte rassurante.

La jeune femme se blottit dans un coin. Ses bras enveloppèrent ses épaules et son corps commença à se balancer d'avant en arrière, adoptant un rythme régulier et réconfortant. Sa respiration ne semblait pas vouloir reprendre une cadence normale et elle ne cessait d'inspirer et d'exhaler difficilement, de manière saccadée.

- Ca va aller... ça va aller... se répétait-elle, comme un mantra ou comme une incantation censée la ramener à la réalité.

- Tu n'es pas toute seule... tu n'es pas toute seule... ça va aller...

La panique grandissait en elle jusqu'à former une boule dans sa gorge, empêchant l'air de passer. Les battements de son cœur accélérèrent tandis que des larmes coulaient sur ses joues en des torrents rageurs, sans vouloir s'arrêter. Ses paupières se fermèrent d'elles-mêmes alors que des flashs lumineux et des volutes d'ombres dansaient sur sa rétine, lui faisant voir des images horribles et terrifiantes.

Elle avait demandé beaucoup trop à son corps et à son esprit pour tenir tête à Yu de cette manière. Elle n'aurait jamais cru en être capable, pas aussi tôt, pas alors qu'elle arrivait à peine à sortir la tête de l'eau.

La crise d'angoisse avait été inévitable. Elle l'avait sentie venir à la seconde où elle s'était détournée de l'homme, s'empressant de se réfugier dans un endroit où le silence serait la seule chose à l'accueillir. A ce moment, une pensée pénétra dans son cerveau et lui coupa le souffle, lui fit écarquiller les yeux et ouvrir la bouche à la recherche d'oxygène.

Jungkook. Elle avait besoin de Jungkook.

Qu'est-ce qu'ils avaient fait ? Etait-ce réellement la solution ? Avaient-ils bien fait ?

Cette séparation n'aurait pas dû être aussi douloureuse, elle n'aurait pas dû l'affecter de cette manière. Mais, tout comme elle, elle n'aurait pas non plus dû rencontrer monsieur Yu dans les couloirs de l'agence. Ce n'était pas prévu – cela ne l'était jamais.

Elle aurait juste dû rentrer chez elle, se blottir sur le canapé, enveloppée de couvertures et de duvets, et dormir. Dormir jusqu'à ce que son corps se remette, jusqu'à ce que ses muscles ne hurlent plus de douleur et que son cœur ne soit plus gonflé de rancœur et de désespoir. Elle voulait juste fermer les paupières et confier ses pauvres membres épuisés à Morphée, se replier dans les bras chaleureux du sommeil et se laisser emporter par des volutes léthargiques.

Exténuée, Susan se roula en boule sur le sol du studio, les genoux collés à la poitrine et ses bras enlaçant ses mollets. En position fœtale, ses yeux papillonnèrent un instant avant de se clore. Elle s'endormit, dans le silence d'une petite pièce isolée, noyée dans le noir.

La sonnerie de son portable brisa la tranquillité du lieu, alors que plusieurs messages déferlaient sur l'écran en un flot continu.

« 12 appels manqué de Maman »

« Chérie, appelle-moi.

J'ai vu pour Jungkook et toi.

Que s'est-il passé ? Tu vas bien ? Tu veux en parler ? »

« Susan, mon cœur,

Réponds-moi. Ton père et moi on s'inquiète. On veut juste savoir si tu vas bien.

Nous t'aimons »

« 2 appels manqués de Luce »

« Sou, ta mère m'a appelée en panique !

Rappelle-la, s'il te plaît !

Tu n'es pas obligée de tout lui dire mais donne-lui au moins de tes nouvelles.

Elle a le droit de savoir »

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Que de rebondissements dans ce chapitre 15 héhéhéhé

J'espère que vous avez aimé ! Des idées pour la suite, des interrogations particulières ? Hâte d'avoir vos retours !

Juste pour vous prévenir, la nouvelle année va commencer et je change complètement de ville. La publication des prochains chapitres risque d'être un peu chaotique le temps que je m'habitue à toutes ces nouveautés mais cette histoire continue !

Des bisous mes tigrous en sucre,

Sweety ~


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