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Chapitre 26. Juste une fois 🍆

Aurèle

Elle retombe près de moi sur le canapé et me caresse la main du bout des doigts. Je me rapproche, sentant la chaleur qui irradie de son corps. Elle en profite pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Je ne peux détacher mes yeux d'elle et la détaille. Ses joues en feu, ses iris étincelants, sa bouche pulpeuse qui esquisse un sourire coquin.

Putain, j'ai envie d'elle !

Il est vrai que j'avais fait une croix sur ce scénario depuis quelques jours, songeant avant tout à préserver notre amitié, mais la tension est trop forte entre nous.

— Tu penses toujours qu'il y a matière à discuter sur les coucheries entre amis ? m'interroge-t-elle d'une voix diablement sexy.

— Parfaitement.

Ses lèvres douces effleurent les miennes et elle murmure :

— Juste une fois, d'accord ?

Pour toute réponse, je hoche la tête et frotte mon nez sur le sien. Je la serre contre moi, profitant de chaque seconde de ce moment tant espéré. Elle passe ses doigts dans mes cheveux tandis que je frôle la peau fine et délicate de sa gorge du bout de la langue en remontant jusqu'à sa bouche.

Mes lèvres trouvent les siennes, nous échangeons un baiser enfiévré qui me donne des palpitations. Quitte à ne le faire qu'une seule fois, autant savourer ces instants pour graver ma mémoire d'un souvenir merveilleux, même si mon esprit me hurle de la prendre sur le champ.

Je resserre mon étreinte, mes mains se faufilent sous son haut. Elle ôte mon t-shirt, ses doigts se promènent librement sur mon torse, me provoquant frissons et picotements partout où ils passent. Elle se penche vers moi, lèche mon lobe d'oreille et dépose des baisers légers sur ma gorge et mes épaules.

Sa bouche sur ma peau, son souffle chaud dans mon cou attisent le feu en moi. Je lui retire son haut et frôle doucement ses beaux petits seins, objet de mes fantasmes de ces dernières semaines. Je laisse courir mes lèvres dessus, mordille et suçote ses tétons durcis. Elle halète, frissonne, s'agite sur moi et me pousse dans le fond du canapé, ses yeux noisette ancrés aux miens, en arborant un sourire sensuel.

Elle saisit mon visage entre ses mains et m'embrasse à nouveau. Un baiser d'une telle volupté, que j'en perdrais presque mes moyens. Mon sang bouillonne, tout mon être s'embrase à son contact.

J'ai envie d'elle plus que jamais. Nous ôtons le reste de nos vêtements, elle récupère un préservatif dans son sac avant de me chevaucher derechef.

Je me délecte de ses courbes nues et de sa peau laiteuse, exposées sans aucune gêne, elle qui est pourtant intimidée si facilement d'habitude. Je l'effleure et la goûte, souris de voir ma belle se tortiller sur moi en frémissant.

Quand elle saisit ma nuque d'une main et caresse mon sexe de l'autre, tout en enfouissant sa langue dans ma bouche, je ferme les yeux, le corps agité par des frissons de plaisir. Il est impératif que je me calme, au risque de ne pas être endurant. Je n'ai pas juste envie de la baiser et on n'en parle plus, comme je le fais avec mes conquêtes d'un soir. Je tiens trop à elle pour ça. Je veux qu'elle jouisse pour moi et qu'elle prenne son pied dans mes bras.

Mes doigts remontent l'intérieur de sa cuisse jusqu'à atteindre son intimité brûlante et humide que j'explore, caresse et titille sans cesser de la regarder. Je ne me lasse pas de la contempler, elle est encore plus belle que dans mes rêves coquins, et moi je n'ai jamais été aussi raide.

Les yeux révulsés et la bouche ouverte, sa tête chavire vers l'arrière au moment où elle laisse échapper un râle de jouissance en se contractant autour de mes doigts. La vague passée, elle me sourit et habille mon sexe. Son visage presque collé au mien, elle soulève son bassin et j'inspire profondément tandis qu'elle s'empale lentement sur moi en gémissant.

J'en ai si souvent rêvé, mais ce n'était rien à côté des sensations éprouvées à cet instant. Le plaisir qu'elle me procure à onduler sur moi et la douceur de sa peau qui frotte sur la mienne me transcendent.

Je l'accompagne dans ses mouvements, ne cesse de la toucher et de l'embrasser, la serre contre moi comme un trésor. Nous basculons sur le canapé et je plonge en elle, la prends avec passion en variant le rythme de mes coups de reins. Ses cris m'enhardissent.

Elle m'emprisonne entre ses cuisses, m'appelle et me supplie de ne pas m'arrêter. J'empoigne ses fesses rondes, m'enfonce au plus que je peux en elle, jusqu'à la sentir venir et se cambrer sous moi. Le nez dans son cou, je hume l'odeur délicieuse de sa peau et de son parfum qui m'est devenu si familier.

N'arrivant plus à repousser ce moment, je m'abandonne complètement en elle, à bout de souffle. Tant de plaisir me donne le tournis. Elle enroule ses bras autour de ma nuque et m'étreint avec tendresse.

Front contre front, nos sueurs et nos corps mêlés, je l'embrasse avec douceur, en effleurant ses joues rosies, au son de nos cœurs qui tambourinent à l'unisson.

J'ai beau avoir couché avec des dizaines de filles avant elle, aucune ne m'a autant fait vibrer que Séléné.


Séléné

Après s'être oubliés dans le plaisir, nous restons un moment à nous taquiner dans le canapé, à grand renfort de chatouilles, tendres bécots et éclats de rire jusqu'à ce qu'un courant d'air frais s'immisce dans l'appartement et me donne la chair de poule. Je me lève pour refermer le velux. J'en profite pour remettre ma culotte et mon t-shirt.

— Pourquoi es-tu si pressée de te rhabiller ? Laisse-moi te contempler encore un peu.

Je m'accroupis, mon visage est à quelques centimètres du sien.

— Parce que je devais finir de ranger mes affaires et au lieu de cela, je me suis abandonnée à un beau diable.

— C'est toi qui as commencé, je te signale.

Je hausse les sourcils et le considère quelques secondes, bouche bée tant je suis surprise par son aplomb.

Non, mais celui-là, alors...

— Parce que tu n'en avais pas envie, peut-être ?

— Prétendre le contraire serait scandaleux.

— On devait évacuer cette tension sexuelle entre nous.

Ma justification lui déclenche un éclat de rire. Il se lève à son tour pour se rhabiller et nous nous faisons face.

— Qu'est-ce que tu sous-entends ?

— Tu sais bien de quoi je parle. Comment aurions-nous pu être amis en nous désirant l'un l'autre ?

Il s'apprête à me répondre, mais je le coupe.

— Aurèle, je... je n'ai pas envie de te perdre. Je refuse de courir ce risque, je tiens trop à toi pour ça.

— Mais pourquoi ça se passerait mal entre nous ?

— Parce que je nous connais. Ni toi ni moi ne sommes prêts pour une relation.

Il réfléchit brièvement, puis son visage s'éclaire tandis qu'il m'attire contre lui et m'embrasse sur le front.

— Tu as peut-être raison.

Nous demeurons quelques instants enlacés. Pour la première fois depuis des semaines, le stress et la fatigue m'ont délaissée. Je me sens juste calme et apaisée, nichée dans les bras protecteurs d'Aurèle. Je profite de ce moment, durant lequel seul le bruit de nos respirations est perceptible, le nez dans son cou, à me repaître de son odeur. C'est la sonnerie de mon téléphone qui nous ramène à la réalité.

— Bon par contre, même si j'ai savouré chaque instant de cette délicieuse parenthèse avec toi, j'ai du boulot pour tout ranger !

— Par quoi commence-t-on ?

— Les rideaux comme prévus, non ?

— Allez, c'est parti.

Durant les heures qui suivent, nous finissons de mettre de l'ordre dans l'appartement. J'ai ramené pas mal de choses qui étaient dans ma chambre et les objets trouvent petit à petit leur place dans mon nouveau chez-moi cosy.

— Beau boulot, me félicite Aurèle alors que nous nous asseyons dans le canapé pour contempler notre travail.

— Merci pour ton aide.

— Avec plaisir, tu sais que tu peux compter sur moi.

— T'es trop chou.

Je me presse contre lui et il passe un bras autour de moi.

— Et puis j'aime bien ce canapé, il est vraiment confortable...

— N'y pense même pas.

Une œillade coquine, un sourire complice. Mon cœur s'agite. J'ai envie d'un dernier baiser avant que nous quittions l'intimité de mon appartement. Jamais je n'avais pris autant de plaisir avec un homme. Pourquoi a-t-il fallu que ça m'arrive avec lui ? Mon ami, celui avec qui j'ai choisi de ne coucher qu'une seule et unique fois.

J'espère ne jamais avoir à regretter ce choix, je ne m'en remettrais pas. D'un geste tendre, je caresse son visage et plonge dans son regard si intense. J'aimerais être dans sa tête pour connaître ses pensées, dissimulées derrière son expression si énigmatique. Je ferme les yeux et dépose mes lèvres sur les siennes pour un dernier baiser.

Il est l'heure d'éclater la bulle de douceur dans laquelle nous nous étions enfermés. Je rassemble en silence quelques affaires que je dois remporter avec moi, puis je récupère mon sac et nous quittons l'appartement.

Devant l'entrée de l'immeuble, nous sommes vite rattrapés par le temps et le brouhaha de la ville. Après avoir été amants, nous redevenons les deux amis que nous étions auparavant.

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