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Chap 2 : Découvrir

 Le pilote prit la parole.

« - A cette distance, personne ne peut nous écouter ou communiquer avec nous. Je ne sais pas pourquoi tu veux aller sur Terre, mais tu as réussi à venir jusqu'ici, alors je te fais atterrir mais tu ne m'a jamais vu compris ?

Marion ne répondit pas.

-Je ne vais pas te manger tu sais. Si j'avais voulut t'empêcher de descendre tu serais restée là-haut.

N'obtenant toujours aucune réponse de sa part, il continua.

- T'as eu raison de tenter ce pari. T'es la première à vouloir descendre, qu'est-ce qui t'as mis sur la piste ? Tu dois mourir de chaud sous ces couettes. La vue est magnifique tu sais. On voit tout depuis l'espace. Les étoiles, l'Esvi et la Terre. Même si elle est ravagé au sol, elle reste toujours aussi belle depuis ici.

La curiosité l'emporta et elle sortit lentement de sa cachette.

- Ha ! Te voilà. Alors toi...

Quand il la vit, il ne put s'empêcher de rire.

- Tu va bien les secouer la haut, partir juste avant la cérémonie d'Initiation. Pas mal. Ce sera vraiment drôle à voir. Comment tu t'appelle ? Moi c'est Julian.

- Marion. Marion Mistinzi

- Nooon, c'est pas vrai ! La fille de la pute du prez ? Oula, pardon, désolé je voulais pas... je...

- Vous en faîtes pas, je partage votre point de vue.

- L'habitude de parler avec les Terriens, on en oublie presque que les Esvitiens sont censé être parfait. Tu va voir, là-dessous c'est bien différent. Mais vu ton caractère je suis sûre que tu t'en sortira.

- C'est vraiment beau.

- Oui.

Sous les yeux ébahis de Marion, la Terre se déployait dans toute sa splendeur. Majoritairement beiges, les taches marrons étaient séparées par quelque traits bleus, des nuages gris en couvraient une bonne partie.

- Elle n'est pas sensé être bleue ?

- La pollution et la sur-exploitation l'ont complètement détruite. Mais d'en bas, ça ne se sens pas, elle se bats, je suis sûre qu'elle s'en sortira. On arrive, retourne de cacher. Bientôt, nous serrons de nouveau connecté et sur écoute. Une fois en bas, je sortirai du vaisseau en courant pour aller faire mon p'tit boulot. Tu comptera jusqu'à vingts avant de sortir. Trouve les Gardiens, ils t'aideront. Méfie toi de tout le monde. Certains Terriens travaillent avec nous, certains Esvitiens travaillent avec eux. Change rapidement de vêtements et d'identité. Si tu tombe sur une certaine Jasmine, dit lui que c'est Julian J. qui t'envoie, elle t'aidera. Bon courage, tu peux changer le monde, j'ai confiance en toi. »

Marion retint le maximum d'information possible et retourna dans la couchette. Quelques instants à près, le pilote discuta avec une tour de contrôle.

« - Ici le pilote Julian, numéro 4728, demande autorisation d'atterrissage sur le secteur d'Antarivo.

- Demande acceptée, heureux de vous voir enfin, c'est un peu chaud au sol.

- Tu m'étonne. On se fait un café après ça ?

- Pourquoi pas. La piste 9B est libre.

- Héla, tu m'as mis loin de la base ! T'as rien de plus proche du centre ville ? Je vais pas courir pendant 5 minutes, il crève de chaud en bas et y a aucune ombre là où tu me mets.

Marion su que cette demande était plus pour elle que pour lui.

- Espèce de fainéant. Attends un peu je vais voir ce que je peux faire. Si, la piste 2A est libre dans cinq minutes.

- Parfait, je fais le tour, le temps de me mettre dans l'axe ça devrait être bon. »

Un atterrissage et vingts secondes plus tard, Marion posait pour la première fois un pieds sur Terre. Elle n'eus pas le temps de s'en extasier, des voix se rapprochaient. Elle courut ses talons toujours à la main pour sortir de la base. Une fois à l'extérieur elle se força à s'arrêter pour reprendre son souffle, le soleil couchant lui éblouissait les yeux, par réflexe elle leva sa main pour s'en protéger. Autour d'elle, des millions de gens, de tous parts. Certains étaient assis et observaient, d'autre marchaient en discutant, les enfants se couraient après. C'était vivant. Pour la première fois depuis bien longtemps Marion se sentit remplit d'un sentiment de bonheur et sourit. Ils portaient des habits de toutes les couleurs, des rouges, noirs, bleus et verts dansaient devant ses yeux. Qu'ils soient filles ou garçons, tous étaient en pantalon et t-shirt, couverts de poussières et rafistolés pour la plus part. Elle devait être la seule à des kilomètre à la ronde à porter une robe bleue immaculée. Rapidement elle se fit repérer, les passants la regarder d'un air interrogatif et certain était clairement agressif. Apparemment, les Esvitiens n'étaient pas bien acceptés ici.

De plus, elle vit des hommes en noirs avec une paire d'aile comme blason : les Anges. Intrigués, beaucoup la regardaient et discutant dans leurs oreillettes. Un groupe commença à se rapprocher d'elle. Marion se rappela la mise en garde Julian, ne pas faire confiance, et à leur démarche, ils n'avaient pas l'air des plus amicaux. Elle ne savait pas trop pourquoi mais elle sentait que si ils l'attrapaient s'en était finit pour elle. Elle allait probablement devoir retourner sur l'Esvi... Elle se mis à marcher en direction d'une rue où il y avait le plus de monde. Probablement celle du marché clandestin. Elle devait paraître le plus naturelle possible. Avant de rejoindre la foule, il y avait une bonne partie de la rue où il serait facile de l'interpeller. Elle se mis à marcher d'un pas de promenade, regardant autour d'elle. La plus part des bâtiments tombaient en ruines mais les gens continuait de vivre dedans. Des déchets jonchaient le sol, et malgré la pauvreté apparente, tout le monde souriait et vivait, ils avait l'air heureux. Marion attirait de plus en plus de regards, certains curieux tentait de l'approcher mais elle détournai aussitôt la tête, d'autre -sûrement drogué- l'abordaient violemment mais elle les esquivait facilement tant ils ne tenaient plus debout.

Elle risqua un rapide un coup d'œil derrière elle. Les Anges ne voulaient pas alerter la foule au risque de ne plus pouvoir la maîtriser mais avançaient d'un pas rapide pour la rattraper. Marion accéléra, priant pour qu'ils cherchent la personne devant elle. Mais ils accélérèrent aussi. Elle se mis alors à courir, le collier avec la clé se balançant sur ses épaules, les Anges gagnaient de l'espace. Plus que quelques mètres, courage. Elle s'élança dans la foule, évitant de justesse un passant qui la détailla rapidement avant de se décaler pour couper la route aux Anges. Il siffla deux fois, une note courte puis une longue. Aussitôt les passant faisant passer cela comme un acte des plus involontaires, se décalèrent nonchalamment pour empêcher les Anges d'avancer et les ralentir.

Marion courut encore un peu avant de se rendre compte qu'elle avait gagné cette partie. Elle s'adossa à la vitrine d'une boutique pour reprendre son souffle. Même si les passants n'avaient pas l'air des plus respectueux envers les Esvitiens, ils détestaient encore plus les Anges. Elle avait eu chaud.

Un bras jaillit de la porte d'entrer et la tira vers l'intérieur tout en l'empêchant de parler. Marion tenta de se débattre et essuya un échec cuisant lorsqu'elle se retrouva assise sur une chaise, une lampe braquée sur elle.

« - Bonjour, ma grande. Détends-toi je suis pas méchante.

- Bon... Bonjour...

Devant elle se tenait une dame. Elle avait probablement la cinquantaine, elle portait une robe verte avec des motifs floraux plus foncés. Son visage quelque peu ridé la fixé avec ses yeux bruns un peu interrogatifs. Ses cheveux d'un noirs d'encres étaient attachés en une tresse qui lui descendait dans le dos malgré les quelque mèches qui s'en échappaient.

- Qui peux-tu bien être... »

Un petit carillon retentit, semblable à celui des maisons dans l'Esvi. Avait-elle échouée ? Cette femme allait-elle la ramener là-haut ? Marion ne parvint pas à y croire. Elle avait réussi à descendre et cette dame allait la ramener là-haut. S'en étais finit pour elle. Elle se leva silencieusement prête à partir.

« - Mais c'est pas vrai, vous savez pas lire ou quoi ? C'est fermé ! Allez, oust !

- Bonjour Madame. Navré de vous dérangez, nous somme les Anges, on recherche une...

- Mais qu'est-ce que ça peut bien me faire qui vous êtes ? Vous vous prenez pour qui ? C'est fermée bon sang. Sortez immédiatement de mon magasin ou je vous botte le cul à coup de balais. Aller, aller on se dépêche.

- Oui mais nous somme à la recherche d'une jeune fille qui...

- Je m'en moque complètement de ce que vous faites. J'étais fermée toute la journée, j'ai rien vu, commencez pas à m'énerver hein ça va bien. Dehors maintenant. »

Elle fit sortir les Anges et referma la porte derrière eux. Elle se remis à chercher des objets dans les rayon la boutique éclairée par les néons bleus fatigués tout en pestant contre les Anges.

« - Non mais j'vous jure, aucun respect. Moi c'est Jasmine. Tu as peur, ça se voit. Je te veux aucun mal si c'était le cas tu serais déjà entre les mains de ces Démons. Tu viens d'Esvi n'est-ce pas ? Fais comme chez toi je t'en prie. Comment tu es descendu ?

- Je... Je... Merci. C'est Julian J. qui m'a aidée...

- Haha ! J'ai toujours sût qu'il était de notre côté ! Tu as bien eu de la chance ma petite.

Marion ne répondit pas, elle était déjà entrain d'observer la boutique. Il y avait beaucoup, beaucoup de vêtements. Dans un coin, les habits étaient sur des cintres, parfaitement repassé, les chapeaux dépoussiérés et les chaussures bien alignées. Ailleurs, c'était en vrac, aucun n'était parfaitement propre, les coutures étaient voyantes, la plus part était froissé et tous étaient empilés les uns sur les autres. Dans le fond de la boutique, il y avait un comptoir avec un escalier à gauche et un rideau qui emmener à une sorte d'atelier de réparation.

- Viens me voir, j'ai un marché à te proposer. Je vais t'aider à t'habituer à ce monde et t'en expliquer les bases mais en échange tu travaillera pour moi. Aucun secret entre nous d'accord ? Je suis une Habilleuse, ça veut dire que j'habille la populations. Tout le monde me connaît, j'en ai aidé plus d'un à se sortir de situations compliquée. Comme tu as pu le remarquer, les vêtements là-bas c'est pour les plus riches, le reste pour tous les autres, comme toi et moi. Pour commencer il faut que tu changes d'habits, viens là, je vais te mesurer. Raconte moi tout. Comment tu t'appelles ?

- Marion Mistinzi. Vous connaissez probablement ma mère, elle s'appelle Zoé et passe pas mal de temps avec le Président Mao.

-Mmm... Lève les bras. Il faudra changer ça : le président n'est pas très apprécié ici bas, et ta mère n'arrange pas notre sort. Dorénavant, tu sera Alysson. Alysson Zayn, c'est mon nom de famille, ça te dérange si on raconte que tu es ma nièce ?

- Non.

- Très bien. Personne ne doit savoir qui tu es réellement. Tu risque gros. Tu as 17 ans non ? Tu aurais dû être à la cérémonie n'est-ce pas ?

- Oui, c'est ça.

- D'accord... Fais voir. Regarde moi. Tourne-toi. Très bien, on ne va pas changer ton âge, c'est inutile et ce ne serais pas crédible. Pourquoi es-tu descendu ?

- Ma mère a envoyé mon père sur Terre juste pour coucher avec ce foutu président. Je suis à sa recherche, je pense qu'il est toujours en vie.

- D'accord. Ça personne ne doit le savoir non plus. Attends-là je reviens. Tes parents sont morts de maladies, ton père quand tu avais cinq ans et ta mère il y a quelque mois, ça arrive assez souvent par ici. Tu m'as rejoint pour trouver du travail. Tu es arrivé il y a deux jours d'accord ?

- Oui.

- Qu'est-ce qu'on peut te demander d'autre... Si on te demande des détails sur ton enfance, dit qu'elle ressemble à celle de tout le monde et que tu n'aime pas en parler. C'est ce que serve les jeunes de ton âge, tu verra. Personne ne partage ses secrets avec les autres, mis à part avec moi bien entendu.

- Je peux poser une question ?

- Bien sûr, n'hésite pas.

- Que font réellement les Anges ?

- Les Anges ? Ha oui, nous on appelle ça les Démons. Que sais-tu d'eux ?

- Probablement que du faux. Là-haut, on nous raconte que sur Terre il n'y a presque personne, mis à part les plus grands criminels. Les Anges sont là pour les empêcher de se rebeller et de nous attaquer. Les criminels servent à faire le travail le plus physique pour les Esvitiens.

Jasmine lui répondit en riant.

- Effectivement. Je pense que tu as remarqué qu'il y a plus de criminel que ce que tu crois. En bas, les Démons, ou Anges comme tu veux, nous tiennent en laisse. Pour avoir une boutique comme moi, il faut l'accord du président. Et pour acheter de l'argent. Mais bon, on fonctionne aussi pas mal avec du troc et il y a beaucoup de boutiques clandestines, comme le marcher de ce soir. Il y a peu de travail légal pour nous et tu as raison, c'est le plus physique et il ne sert qu'à faire fonctionner votre société parfaite. Tiens, change de vêtement, ta robe et trop reconnaissable. Enfile moi ça. Tes soit-disant Anges sont de vrai démon, d'où leur surnom. Ils violent les jeunes filles et forcent les garçons à se battre jusqu'à la mort. C'est pas joyeux, joyeux ici-bas, tu t'en rendra rapidement compte.

Elle lui lança un pantalon noir très serrés dont les jambes n'avait pas la même taille, celle de droite lui arrivait mi-mollet et l'autre était un peu trop grande et Marion, non Alysson maintenant, dû lui faire un ourlet. Elle avait aussi un t-shirt beige large avec des manches jusqu'au coude et un trou assez important en bas sur le devant.

- Je suis désolée pour la qualité de ce que je te donne mais il faut que ce soit réaliste. Si tu veux, demain je t'apprendrai à les rendre quelque peu plus intéressant.

- Non ça va, c'est bien plus confortable que les robes serrés de là-haut.

- Très bien, pour ton visage, pour l'instant tu travaillera dans l'arrière boutique. Nous verrons plus tard comment le modifier un peu. Il te faudra aussi une nouvelle puce et... enfin bref tu veux manger quelque chose Alysson ?

- Hein ? Ha oui. Non ça va aller merci. Mais je veux bien dormir si c'est possible.

- Bien sûr, viens avec moi, c'est à l'étage. »


Sur Esvi :

Zoé se décida enfin d'arrêter de se contempler dans la robe blanche. Mao avait vraiment bien choisi, et Anastasia avait vu juste, ça lui plaisait beaucoup et elle avait été captivée pendant toute la fin de soirée. Après l'avoir mise, elle s'était longuement observée, la robe était blanc neige, elle était constituée d'un premier jupon très léger qui lui descendait jusqu'au pieds. Ensuite, il y avait un second jupon relié au corset en dentelle. Le décolleté très prononcé et l'absence de manches avait encouragé Zoé à mettre sur sa poitrine des paillettes. Ainsi tous les regards seraient rivés dessus.

Ensuite, elle l'avait enlevé et choisi ses dessous les plus fragiles, ceux qui cachaient le moins de chose. Mao ne pourrait pas résister. Tout en chantonnant et toujours en sous-vêtements elle s'était maquillée. Ses joues étaient rouge bonbon, et sa bouche attiserait tous les feux. Elle avait mis ses yeux bleus un maximum en valeur et avait noué ses cheveux blonds en une tresse complexe et serrés.

Puis elle avait remis la robe et était resté devant son miroir pendant plusieurs heures à s'imaginer danser la valse dans les bras du président après la cérémonie. Son rêve deviendrait réalité.

« - Marion ? Tu as vu ce que le président m'a offert ? Elle est magnifique ! Viens, je vais t'apprendre à marcher avec des talons, non à danser avec. Tu sera parfaite. Moins que moi mais mieux que les autres. Marion ?

Zoé entra dans la chambre de sa fille et essaya d'allumer la lumière.

- C'est pas vrai qu'est-ce que tu as encore fait ? Réponds-moi bon sang. »

Elle avança en tâtonnant, les mains en avant lorsqu'elle tapa son pied sur le coin du lit, elle poussa un juron de douleur en sautillant. Mais alors qu'elle sautait, elle posa son pied sur quelque chose de froid et rond qui roula un peu plus loin tout en la faisant s'étaler par terre. Un nouveau juron retentit dans la maison vide. Zoé se mis à quatre pattes à la recherche de l'objet et trouva la lampe de poche. Elle l'alluma et découvrit le mot de sa fille écrit en grand sur toute la surface du mur qui supportait la porte. Elle ferma la porte et un petit clic se fit entendre mais captivé par le message qui prenait la totalité de l'espace et elle n'y prêta pas attention et dut reculer pour le lire :

En théorie, je devrai m'excuser de partir mais non. Et non je ne reviendrai pas. Je suis déjà sur Terre, tu as échoué. Je vais retrouver mon père, celui que tu as trahi et je vivrai heureuse sans toi et toutes les règles de cette stupide société. J'espère ne jamais te revoir. Va voir le président dit-lui que la stupide fille qui vous empêche de vivre ensemble est partie d'elle-même, pas besoin de mettre en route le programme pour rechercher une autre planète habitable. Et ton stupide discours pour la cérémonie je l'ai quelque peu modifier : j'y ai rajouté la vérité. À jamais.

PS : Bonne chance pour sortir d'ici, on échange les rôles.

Afin d'être sûre qu'elle aurait le temps d'arriver sur Terre, Marion/Alysson, avait bricolé rapidement un petit système qui maintenait la porte close.

« - Petite peste ! Cette fois s'en est trop, je vais te retrouver et tu fera ce que JE te dis et rien d'autre ! Ça t'apprendra à vouloir briser mon avenir !Tu n'as pas le droit de piétiner mes rêves ! Tu veux jouer ? Très bien. Prépare toi à perdre ! »

Zoé se rua vers la fenêtre, avant de se rappeler qu'elle avait elle-même cassé le système de fermeture. Il fallait absolument qu'elle sorte de-là avant la cérémonie de demain. Le président devait être au courant de ces changements de dernières minutes. Elle s'assit sur le lit et, peut-être pour la première fois depuis longtemps, se mis à réfléchir.



................... 

Et voilà le deuxième chapitre !

Que peut bien prévoir Zoé ?? 

Grande découverte des Terriens ou vous vous y attendiez ?

Que pensez-vous de Jasmine ?

Et du changement d'identité ?

Ça vous a plu ? Alors on se revois au prochain chapitre :)

~El

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