A l'intercours, Kebab se posta parallèlement à la longueur de la table d'Eyumài, et vint placer son pied, en s'accoudant sur son genou, entre les jambes du premier. Il approcha son visage du sien, le rendant rougeoyant, lui souffla dans l'oreille, faisant tressauter l'autre, avant de lui chuchoter qu'il avait envie de faire ce qu'il lui avait promis maintenant. Il appuya davantage là où se trouvait sa basket, et Eyumài émit un léger gémissement. Lorsqu'il vit que leurs camarades les regardaient, curieux pour certains, s'imaginant déjà maintes et maintes scènes pour d'autres, cela l'excita fortement, et la chose cogna contre sa fermeture éclair . Il attrapa son (futur) partenaire par la manche, sortit de la classe, et se dirigea vers les toilettes pour hommes.

    Il rentra dans une cabine, et Kebab le regarda avec une expression sadique et un grand sourire aux lèvres. Il fixa l'objet de son ami, s'agenouilla, défit la fermeture éclair et glissa sa main à l'intérieur de la fente. Il en saisit ce qui l'intéressait plus particulièrement, l'examina, le tâta, avant de le presser soudainement, du moins de ce que la dureté lui en permettait. L'autre cria de plaisir, avant que l'acteur principal de cette scène, qui s'était relevé avec une vitesse impressionnante, vienne étouffer le son avec un baiser, alors qu'il tenait toujours le penis. "Si tu refais le moindre bruit, que ce soit le plus petit gémissement ou un hurlement, j'arrête.", puis en insistant sur ce dernier mot "Tout". Eyumài plaqua sa main contre sa bouche, presque les larmes aux yeux, tandis que Brayan reprit sa place. Il enfourna l'objet goulûment dans sa bouche, jouant avec les testicules en parallèle, s'attardant sur l'extrémité, faisant des allers et retours de plus en plus vifs. Au moment où la victime allait éjaculer, Kebab sortit un élastique de sa poche, et le mit autour du membre, baissa d'un coup sec le pantalon et le caleçon d'Éyumài, laissant à l'abandon son jouet au grand regret de ce dernier. Il passa derrière son partenaire, en enlevant également ses bas, bien qu'avec une maladresse plus présente due à son impatience, et frotta son penis, devenu dur à son tour, contre l'anus de celui ci. Le futur pénétré s'appuya à la porte, se retenant tant bien que mal de crier, tandis que le futur pénétrant pinça ses tetons avec une force impressionnante. Puis, il se redressa, écarta les deux battants de son partenaire au-delà des limites du possible , et donna un puissant coup de hanches. Sa chose s'enfonça avec vigueur, repoussant tissus et chair.

    Éyumài fut alors frappé d'un bonheur, doublé d'une peur, que la cavité prenne de façon définitive la forme gargantuesque de son ami, et qu'ainsi, il reste pour toujours ancré en lui. Les coups se faisant toujours plus fort, il cru un instant craquer, cependant il ne désirait pas que cela s'arrête, alors, il se retint au bord de l'explosion, bien qu'elle se produit à un autre endroit. En effet, sous la puissance de l'excitation ressentie, l'élastique avait cédé, et le sperme s'écoula à flot, allant jusque sous la porte de la cabine. Au même moment, le même flux provenant de Kebab se déclencha, bien que lui préféra déverser la totalité du liquide à l'intérieur de son ami. Ce dernier fit le souhait que sa vie s'achève après un moment comme celui-ci, et qu'elle en soit remplie également, afin de goûter au Paradis, AVANT d'y être envoyé.

    Kebab se rhabilla à la va-vite, recoiffa ses cheveux maladroitement, laissant Eyumài, assis contre un des côtés de la cabine, baignant dans ses propres fluides corporels.

(Voilà,  voilà. :D LÀ,  je m'en vais me confesser.)