O.k., j'ai pas d'idées, ça commence super. 8)

Bon, foutons un cadre. C'est deux petits gens, Eyumài et Kebab, qui sont amenés, comme ça, par LE PLUS GRAAAAAAAND des hasards, à faire une fellation + sodomie (OUI, EFFECTIVEMENT, C'ETAIT PAS DANS LES CLAUSES LE COMBO, MAIS J'AIME PAS RENDRE UN TRAVAIL TROP COURT.), en 2018... Ou peut-être pas en 2018... Je mets ça pendant la Renaissance? Ça peut être sympa, mais ne serait-ce pas trop ambitieux pour une débutante? Nan, attends, déjà, j'vais m'mettre en condition, parce que Arms de Christina Perri, c'est sympathique, mais pas très propice à "ce genre" de sujet. Bon, en fait,  je doute que Scary Love de The Neighbourhood soit mieux... Autant dans le sens, ui, mais dans le rythme, c'est pas ça... Va pour The beach, j'ai pas envie de me taper les musiques de merde de ma mère (ui, l'idée m'a effleuré un court instant). Donc, voilà, en 2018, c'est du sm, donc, forcément, j'vais devoir mettre un peu de violence. Et il me faut un dominant et un dominé... Le truc, c'est que je connais ni l'un ni l'autre... On va faire la plouf! :D Alooooors... A droite, c'est Eyumài, et à gauche, c'est Kebab...  Kebab dominant, Eyumài, dominé. 

J'vais me chercher une bouteille d'eau. Et un autre pack de mouchoirs, juste au cas où.

Je suis de retour. :D Nan mais en fait, ça fait une heure que je suce (croque plutôt, je sais rien garder plus de 30 secondes dans la bouche) des bonbons au pin. J'adore ça, mais ça me donne soif. ;0; Je m'écarte du sujet? Oui? Sans transition, nous repassons à l'écriture des mes pensées, sans les trucs hors-sujets.

Donc, dominant, dominé. Et maintenant, un contexte spacial. Vas y, je le fais dans les toilettes du lycée. :') C'est super gore et franchement pas hygiénique, mais c'est le seul truc pas trop commun qui me vient. En plus, ça me fait penser à Bianca de Loulou Robert. All<<<<<<<<<<< Simon/Kid, je tiens à le préciser.

Bon bah c'est parti.

Enfin, non, j'vais changer de musique d'abord.

J'trouve que Female Robbery, toujours de The Neighbourhood, c'est très bien. :')

PUTAIN, MAIS CES BONBONS, C'EST UNE HORREUR, J'AI DEJA FINI MA BOUTEILLE.

Uais donc...

    A l'intercours, Kebab (Bon Dieu, c'est ridicule... J'ai l'impression d'écrire un truc sur un nourriturephile (je connais pas cette pathologie, et Internet ne me dit rien, donc ce sera nourriturephile)... On va l'appeler Brayan.) se posta parallèlement à la longueur de la  table d'Eyumài, et vint placer son pied, en s'accoudant sur son genou, entre les jambes du premier. Il approcha son visage du sien (J'ai froid. ;0;), le rendant rougeoyant, lui souffla dans l'oreille, faisant tressauter l'autre, avant de lui chuchoter qu'il avait envie de faire ce qu'il lui avait promis maintenant (là, je me prépare psychologiquement à saigner du nez, j'ai fait tout un petit système pour ne pas avoir à tenir le mouchoir, et donc, ne pas être handicapée, et donc, ne pas trop être gênée. Le truc, c'est que si un membre de ma famille débarque, j'vais m'faire interner. :') Mais osef. ). Il appuya davantage là où se trouvait sa basket, et Eyumài émit un léger gémissement. Lorsqu'il vit que leurs camarades les regardaient,  curieux pour certains, s'imaginant déjà maintes et maintes scènes pour d'autres, cela l'excita fortement, et la chose (Je viens de me rendre compte de ce dont je parlais) cogna contre sa fermeture éclair . Il attrapa son (futur) partenaire par la manche, sortit de la classe,  et se dirigea vers les toilettes pour hommes. (On me signale dans mon oreillette (Merci A. <3) que les toilettes des garçons,  c'est pas comme chez les filles). Et se dirigea vers les toilettes.  Dans la précipitation, ainsi que la crainte qu'on... (On me signale dans mon oreillette qu'il y a des cabines. Le seul truc qui diffère,  en gros, c'est que chez eux il y a des urinoirs.... Attends pourquoi des urinoirs,  alors qu'il y a déjà des toilettes ?)

   Il rentra dans une cabine, et Brayan le regarda avec une expression sadique et un grand sourire aux lèvres.  Il fixa l'objet de son ami, s'agenouilla, défit la fermeture éclair et glissa sa main à l'intérieur de la fente. (Bon Dieu, mais qu'est ce que je fous?) Il en saisit ce qui l'intéressait plus particulièrement,  l'examina,  le tâta, avant de le presser soudainement,  du moins de ce que la dureté lui en permettait.  L'autre cria de plaisir (J'aurais plus de réputation après ça.), avant que l'acteur principal de cette scène,  qui s'était relevé avec une vitesse impressionnante, vienne étouffer le son avec un baiser, alors qu'il tenait toujours le penis. "Si tu refais le moindre bruit,  que ce soit le plus petit gémissement ou un hurlement, j'arrête.",  puis en insistant sur ce dernier mot "Tout". Eyumài plaqua sa main contre sa bouche,  presque les larmes aux yeux, tandis que Brayan reprit sa place.  Il enfourna l'objet (Mon Dieu,  j'espère que les deux sont vraiment consentants pour que j'écrive cette fic' ;0;.) goulûment dans sa bouche, jouant avec les testicules en parallèle,  s'attardant sur l'extrémité, faisant des allers et retours de plus en plus vifs. Au moment où la victime (oui, la victime.  Consentante,  certes, mais Osef) allait éjaculer, Brayan sortit un élastique de sa poche,  (Mais où vais je pêcher mes idées ?) et le mit autour du membre, baissa d'un coup sec le pantalon et le caleçon (Je viens de finir mon troisième paquet de mouchoirs,  bordel) d'Éyumài, laissant à l'abandon son jouet au grand regret de ce dernier. Il passa derrière son partenaire, en enlevant également ses bas, bien qu'avec une maladresse plus présente due à son impatience,  et frotta son penis, devenu dur à son tour, contre l'anus de celui ci. Le futur pénétré s'appuya à la porte,  se retenant tant bien que mal de crier, tandis que le futur pénétrant pinça ses tetons avec une force impressionnante. Puis, il se redressa,  écarta les deux battants de son partenaire au-delà des limites du possible ,  et donna un puissant coup de hanches. Sa chose s'enfonça avec vigueur,  repoussant tissus et chair.

   Éyumài fut alors frappé d'un bonheur, doublé d'une peur, que la cavité prenne de façon définitive la forme gargantuesque de son ami, et qu'ainsi, il reste pour toujours ancré en lui. Les coups se faisant toujours plus fort,  il cru un instant craquer, cependant il ne désirait pas que cela s'arrête,  alors, il se retint au bord de l'explosion, bien qu'elle se produit à un autre endroit.  En effet,  sous la puissance de l'excitation ressentie,  l'élastique avait cédé,  et le sperme (Je décède.) s'écoula à flot, allant même jusque sous la porte de la cabine. Au même moment,  le même flux provenant de Brayan se déclencha,  bien que lui préféra  déverser la totalité du liquide à l'intérieur de son ami. Ce dernier fit le souhait que sa vie s'achève après un moment comme celui-ci,  et qu'elle en soit remplie également,  afin de goûter au Paradis,  AVANT d'y être envoyé.

   Brayan se rhabilla à la va-vite, recoiffa ses cheveux maladroitement, laissant Eyumài, assis contre un des côtés de la cabine,  baignant dans ses propres fluides corporels.

(Voilà,  c'est tout pour moiiiiiiiiii! Sur ce,  je m'en vais faire la version finale, pour que vous puissiez lire sans toutes les parenthèses, et ensuite,  j'irai me confesser. J'espère que ça ne vous a pas trop fait vomir, c'est seulement ma deuxième de ce genre aussi poussée.  '^^ Bye-bye.  :))