Excuse et tendresse
Toriel prend un visage dure et sévère qui m'intimide un peu je dois l'avouer et ordonne de nous soigner séparément et envoie un grand homme lui ressemblant à la mairie pour parler immobilier. Un petit fantôme et un homme flamme s'approchent de moi pour me séparer de mes adversaires.
Ils me soignent les quelques éraflures et brûlures qui couvrent mon corps.
Je suis épuisée et ne fais pas vraiment attention aux soins qu'ils me portent quand le petit fantôme prend la parole:
"Excuse moi, je ne veut pas te déranger.....ni te contrarier mais pourquoi t'es tu attaquée au petit frère de Sans?......Il n'est pas méchant il ne veut faire de mal à personne....désolé de parler....aussi longtemps."
Je me raidi puis tourne ma tête pour le regarder dans les yeux. Les siens ne sont pas vide comme on pourrait le croire ils sont d'un bleu foncé, violet avec beaucoup d'autre nuances remplis de points blancs brillants d'une délicate lumière et des larmes au bord de ces grands yeux comme la plus belle nuit étoilé que je n'ai jamais vu. Je lui souris et baisse la tête honteuse ne voulant pas lui répondre et je ne sais comment le barbecue sur deux jambes à fais pour répondre à ma place d'une façon si précise.
"Napstablook, disons que Papyrus à toucher une corde sensible qu'il vaut mieux éviter pas vrai, Nova?
-Oui c'est ça. Comment vous l'avez devinez?
-Disons que être barman m'a donné le don de comprendre plus que nécessaire.
-Je vous remercie pour les bandages. Mais pouvez-vous gardez cela pour vous?
-Naturellement."
Je suis contente que quelqu'un est compris sans que j'en parle.
Les deux monstres arrêtent brusquement leurs soins et me laisse seule sans un mot. Je lève la tête et vois le grand squelette en armure approché et s'accroupir devant moi le regard triste mais déterminé.
"HUMAIN LE GRAND PAPYRUS SE SENS VRAIMENT DÉSOLÉ DE T'AVOIR FAIS DE LA PEINE ET QUE MON GRAND FRÈRE T'ES FAIS DU MAL. ALORS POUR ME FAIRE PARDONNÉ JE TE FERAIS UN PETIT PLAT DE SPAGHETTIS REMPLIE D'AMOUR RIEN QUE POUR TOI! NYEHEHEHE!"
Je le regarde et n'en crois pas mes yeux. Il s'excuse alors que c'est MOI qui l'ai frapper! Je m'en veut tellement, je suis une lâche, et lui est si courageux. Je pleure sans gêne et me lance dans ces bras pour chercher un brin de réconfort et de courage, il ne semble pas comprendre mais referme doucement ces bras sur mon dos. J'en profite pour me lové contre lui qui est plus confortable que prévu pour lui chuchoter à l'endroit où il aurait dut avoir une oreille:
"Papyrus ce n'est pas à toi de t'excuser mais à moi je suis vraiment désolée enfaîte tu as juste touché une corde sensible. Ne t'excuse pas...ce n'est pas toi c'est moi. Tu es si courageux de me parler après se que je t'ai fais et ce n'est pas la peine de me faire à manger ne tant fais pas. sanglotait je malgré moi.
-J'ACCEPTE TES EXCUSES HUMAINS MAIS TU SAIS C'EST LES RISQUES D'ÊTRE LA MASCOTTE DES MONSTRES APRÈS TOUT ET MOI LE GRAND, MAGNIFIQUE, INCROYABLE CHEF PAPYRUS VEUT TE FAIRE GOUTER LES PLAISIRS DE LA CUISINE!
-Si tu tiens à me faire plaisir aux niveaux cuisine je préfère les beignets nappage caramel."
Je ris et me sent remplie de TRANQUILLITÉ. J'aurai voulu que ce moment de réconfort et de calme dure toute la journée si ce n'est pas toute ma vie. Mais ils faut bien ce bouger dans la vie et j'ai des choses à découvrir sur ce cher Sans et sur Frisk qui me cachent certaines choses qui me perturbe. La propriétaire du bâtiment me regarde au loin et avec une tendresse inouïe dans le regard qui me fais lâcher une petite larme le long de mon visage pâle.
Je me décolle doucement de son armure blanche, saisi ma guitare pour jouer les accords de gaité qui s'envole vers mon petit frère d'amour puis la posé sur mon dos avec la sangle.
Le grand homme chèvre au regard triste reviens avec une enveloppe marron qui paraît précieuse et réunis tous les monstres autour de lui ce qui me rappelle l'arbre creux de la clairière qui renferme mon trésor fleuri et tous les petits animaux qui y trouvent refuge. En quelques phrases, que je n'ai pas écoutés trop concentrée sur cette personnes si imposante, tous le monde se met à marcher tout sourire et poussant des cris de joies. Rapidement je suis entraînée par la foule et commence à m'angoisser de tout voir défiler si vite, être bousculer de partout, sans contrôle, pas de sortie...je tourne de l'oeil, manque de tomber à genoux et de me faire piétiner mais deux bras couvert d'un tissu épais bleu à rayure rose me retienne avant de me sentir soulever dans d'autres plus moelleux et solides. Je trouve mes dernières forces pour ouvrir mes yeux pour admirer cet personne, qui n'est d'autre que Toriel me portant comme une princesse sans soucis. La femme au pelage crème me sourie doucement ces petits crocs dépassant ces babines sans pour autant être effrayants, ces yeux marron brillants surmontés de longs cils noir avec ces oreilles semblables à des cheveux tombant délicatement sur ces épaules enfin c'est l'image que je garde dans les yeux avant que mes paupières couvrent mes yeux rouges aillant vu trop de choses aujourd'hui.
Je ferais peut-être mieux de m'excuser aussi au près d'elle. Elle ne le sait pas mon histoire, si la directrice a tenu sa promesse.
Je me réveille le plus lentement possible pour profiter de la chaleur du lit où je me trouve mais aussi car mes blessures me font mal, je tourne la tête et vois Toriel sur une chaise somnoler devant son livre ça petite paire de lunette tombant sur son museau velue. Je commence à parler fort pour la réveiller et avoir certaines réponses à mes questions:
"Je ne suis pas dans ma chambre?
-Non tu es dans les vielles bâtisses que la mairie nous a prêté pour notre intégration, en gros tu es chez moi. Après l'annonce tu as été emmené par la foule puis Frisk et moi sommes aller te "sauver" puis tu t'ai endormi dans mes bras. Arrivé ici j'ai jeté un œil aux bandages que l'on t'as fais et j'ai posé ta guitare dans un coin de la chambre.
Mais sinon ça ne fait que 15minutes que tu dors repose toi je vais faire une tarte au caramel et à la canelle mon enf....Nova. répondit elle après un sursaut au réveille.
-Non merci je déteste la canelle je préférerai que l'on discute et je n'ai plus envie de dormir juste de rester au chaud.
-C'est comme tu veux, commence.
-Qui et où est le grand homme vous ressemblant qui était devant tous le monde et par rapport à ici où est là forêt?
-Oh ! La forêt est juste derrière la maison et lui c'était notre roi et aussi mon ex-mari il est dans une autre bâtisse plus loin. Tu veux le voir? Dit-elle amèrement.
-On va dire qu'il m'intrigue.
-Bon à moi! Vu que tu n'aimes pas la canelle qu'aimerais tu dans ta tarte?
-Du chocolat et du caramel beurre salé. Ce sont mon goût préférés.
-D-du chocolat.....si tu veux. Elle déglutit avec peine mais se reprend rapidement.
-Où est Frisk? je continue sans prêter attention à sa réaction.
-Elle est chez les frères squelettes tu n'as pas à t'en faire ils sont aussi gentil l'un que l'autre. Mais, cela m'amène à ma question, pourquoi tu t'es battu avec Sans et Undyne?
-J'en étais sûr."
Je soupire et commence le récit du combat en commençant par la menace faite à Papyrus sans dire pourquoi je l'ai menacé. Les lances et la tête de cocotte squelettique dans un écran noir et termine par l'excuse pour Papyrus qui me donne envie d'aller le revoir.
Je m'attend à entendre la voix douce et apaisante de la chèvre mais à la place c'est une voix qui claque, puissante pourtant féminine. Je vois la femme poisson appuyer sur l'encadrement de la porte. Même sans ces lances elle dégage une puissance incroyable. Ces cheveux rouges comme le feu contrastant magnifiquement avec ces écailles bleus, son œil jaune menaçant remplie de détermination puis l'autre couvert d'un cache témoigne de combats acharnées.
"Yosh! Miss Toriel l'humaine dis la vérité et est-ce que je peut m'entretenir avec elle, seule?
-Bien sûr MAIS pas de combat!"
Toriel part alors que la guerrière se rapproche de moi retourne la chaise s'assoit, s'appuie sur le dossier pour me parler:
"J'ai parler à Papy, et je viens m'excuser moi aussi. Mais surtout n'oublie pas que si tu recommence je te tuerai sans pitié petite punk! Il m'as demandé d'essayer d'être amie avec toi ou essayer de te connaître.
Alors parle moi de toi!
-Non. Je ne peux pas te parler de moi....mais je peux te faire se que je fais de mieux.
-OUAIS! Donne moi tout s'que t'as!"
Je me lève à contre cœur, prend ma guitare et lui joue un morceau qui me remue l'âme. Pendant les longues minutes il n'y a que les notes jouées qui emplissent la pièce et nous emmènent dans un autre monde elle ne parle pas et moi non plus, jusqu'à la fin.
Elle plante ces ongles dans le dossier de sa chaise, les yeux écarquillés sur moi comme si je lui avais fais le tour de magie le plus dur au monde. Après un moment de silence elle finit par prendre la parole avec un ton sérieux et assez triste:
"Je te remercie punk. Enfaîte Papyrus a raison tu n'es pas aussi méchante ou insensible que tu ne le laisse croire. Je pense que je t'aime bien et que tu dois continuer à jouer. Tu es très douée comme moi avec le combat.
-Merci.
-Au faite, tu ressembles beaucoup à Sans. Vous êtes toujours en train de nous cacher des choses et de protéger au maximum ceux que vous aimez. Si vous arriviez à vous entendre ce serait formidable."
Elle sort de la chambre me laissant seule avec mes questions.
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