Complot & Découverte
Salut c'est moi le note de l'auteur alors je suis là pour vous informer que ce chapitre est plus long que les autres à cause de la très grande attente et qu'il si passe beaucoup de choses donc bonne lecture à tous.
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Après quelques semaines de conflits permanent entre Toriel et Asgore, le roi parvient à garder ma garde ayant trouver un travail comme jardinier et me connaissant mieux que cette femme-monstre égoïste. Cependant je ne l'appelle pas "papa" et il respecte mon choix.
Je suis assise sur une chaise de bureau peu confortable, ma guitare posée sur mes genoux avec les cordes qui glissent sur mes doigts pour siffler quelques notes banals mais jolies, aujourd'hui je suis seule le roi est parti pour une rencontre pacifiste et amicale avec les autres humains. L'ennui m'étouffe assez rapidement alors je me suis rendu dans le plus grand bâtiment que je n'ai jamais exploré même si depuis il est habité.
Oui, je sais que visiter un bâtiment habité pendant l'absence de son propriétaire qui est la scientifique royal n'est pas la meilleur chose à faire quand on s'ennuie mais Frisk m'évite et est toujours fourrée avec la tête d'os débile qui au passage empêche Papyrus de me voir, sans parler de Toriel qui me harcèle pour que je vienne avec elle.
Il me faut un endroit calme et agréable,en temps normal je serais aller à la clairière mais il pleut et ce n'ai pas bon pour ma guitare donc ma curiosité m'a guidé jusqu'ici alors me voilà devant un bureau plein de dossiers sur la façon d'aider le roi et des théories sur les humains, quelques mangas cachés ainsi que des figurines qui vont avec mais ce n'est pas tout sur ce bureau envahie ce trouve un ordinateur qui règne en maître sur se tas de paperasse inutile.
Après l'observation rapide des lieux mes vielles baskets usées claquent sur le carrelage blanc alors que je me dirige à l'autre bout de la salle où un cadre attire mon intention.
Il y a en son intérieur, Undyne qui sourit avec sous son bras un petit dinosaure aux écailles jaune tout gêné et les joues écarlates, ma pensée s'égare et s'amuse à faire défiler le visage de Grillby calme et doux, à ces pensées troublante je me secoue la tête les joues toutes rosies et reprend ma recherche sans but précis.
À cet étage rien de vraiment intéressant donc je reviens sur mes pas mais un bruit sourd attire mon ouïe sensible à travers le tapis à la tête d'ours, une trape en bois est cadenassée alors je le brise avec ma guitare (qui résiste au choc ce qui est incroyable) en dessous tout est sombre et vieux ce qui au début me fais paniquer mais je reprend rapidement mon sang froid.
Je continue ma descente sur les marches au parquet noir poussiéreux et crissant mon portable me sert de lampe de poche éclairant mon chemin d'un vaisseau lumineux blanc contrastant avec le sombre des lieux.
Au sous-sol, l'humidité règne ainsi que l'odeur et les cartons commence à pourrir laissés ici par la nouvelle propriétaire des lieux les documents, ustensiles et produits semblent être unique et précieux et pourtant dangereux et confidentiels mais il en faudra plus pour me décourager. L'adrénaline me consument plus que la raison alors je mitraille la salle de photos et prend le plus de d'objets possibles dans un grand carton que j'ai vidée préalablement de son contenu.
Dans la cave je chuchote pour me convaincre:
"Après tout elle les laissait pourrir ils vaut mieux que ça serve à quelqu'un."
Et je repars du bâtiment en faisant attention à ne croiser personne. Ce manège de vol improvisé se répéta plusieurs fois de suite jusqu'à se que ma chambre soit remplie.
Je la ferme à clé le cœur battant à tout rompre calmant ma respiration saccadée.
Une fois mes émotions passées je pose mon instrument à l'autre bout de la pièce en prenant soin de ne pas me cogner le petit orteil dans tout ce foutoir.
Je prend une pile de feuilles ayant pour titre "Les âmes". La pluie tombe toujours et ne semble pas vouloir s'arrêter alors je commence ma lecture.
J'ai finis de lire le dossier bouleversée et fascinée, les monstres sont fais de magie et une fois mort il deviennent poussière sauf pour les "boss" qui ont assez de pouvoir pour survivre une poignet de seconde cependant le plus intéressant sont les âmes humaines.
Ils en connaissent seulement 7:
Justice =>jaune
Intégrité=>bleu foncé
Patience=>bleu clair
Persévérance=>violet
Gentillesse=>vert
Courage=>orange
Détermination=>rouge
En temps normal ce sont les seules à exister cependant devant moi j'ai bien vu un cœur noir perforé d'un grand trou, je ne sais pas si je doit m'inquiéter.
En moins d'une après-midi ma chambre est passée de grand foutoir à un laboratoire scientifique j'ai tout lu et ai fait la plupart des expériences avec les outils et composant que j'ai.
Je suis parvenu à faire du feu tiède, des fleurs écho, cristaux de lumière...
Il ne me reste qu'un livre "Histoire des monstres" que je garde pour ce soir.
Je suis fière de tout ce que j'ai pu produire et ait hâte de le montrer au roi.
Les heures défilent doucement et la nuit commence déjà à tomber je décide donc d'aller travailler au bar.
Ce soir les monstres sont plus agités et me fixe plus que d'habitude, j'ai déjà demandé à l'allumette barman des infos mais il resté muet comme une carpe. Dans un coin du bar deux jeunes monstres commencent à me gaver et à me provoquer sérieusement, au début je les ignoraient jusqu'au moment où je dois servir leur commande j'hésite à cracher dans leurs chope de bière mais me retiens quand d'un coup l'un d'eux mon prend le bras et commence à me prendre de haut:
"Dis donc l'humaine tu pourrais nous jouer un petit morceau avec ta guitare, non? Tu semble bien là manier et t'être précieuse pour jamais la quitter..."
Pile à ce moment là Sans entre et prend sa place habituelle en face de la tapette enflammé qui ne bouge pas son derrière pour m'aider alors que l'autre reprend de plus belle:
"Sauf si en réalité elle te sert juste d'arme et que tu ne sais même pas en jouer."
En un éclair je vois le squelette souriant plus que d'habitude à mon malheur, Grillby plus calme que jamais et le monstre mi-lézard mi-démon approcher son poing à toute vitesse de mon visage qu'il ne loupa pas. Je me retrouve le dos contre le mur, encerclée par une dizaine d'individus près à en découdre avec moi pour une raison que j'ignore mais il venait de cracher sur l'âme de mon frère ainsi que les raisons de sa mort ils devaient TOUS souffrir, ils devaient TOUS avoir mal avec ou sans arme. Pour mon frère.
Ma vision devient monochrome mon âme noir aux yeux de tous, je ne leur laisse même pas la voir que j'attaque mon agresseur avec le plateau à boisson qui vient se fracasser contre sa tempe. Chacun m'attaque mais à côté des attaques de Sans et Undyne c'est de la rigolade, je les évite tous sans difficultés et leur fout à tous une patate dont ils se souviendront malheureusement ça ne se passe pas comme prévu et l'un d'eux me prend en traite pour me cogner le derrière de ma tête avec une chaise ce qui la brisa en plusieurs morceaux éparpillés autour de moi, par réflexe j'en prie un et le planta profondément dans la jambe d'un de ces congénères qui tomba au sol la moitié de sa jambe partit en poussière.
Mes yeux revirent normalement j'étais sonné mais tenait le coup pendant que l'autre hurlait à la mort. Je devrais m'en vouloir mais je suis fière de moi il l'avait mérité, tous ses amis autour de lui pour le soutenir et moi toute seule avec mon ami au bout de la pièce le regard triste et chamboulé pendant je m'accroche au mur pour avancer jusqu'au vestiaire toujours sans aucune aide mais ça ne me dérange pas vraiment.
Quelque chose en moi a grandi ou évolué suite à se combat.
La porte s'ouvrit en grand fracas avec pour responsable l'héroïne aquatique alerté par les cris de souffrance de l'abruti. Elle comprit bien vite qu'un combat avait provoqué tous ceci son oeil en colère balaya la salle pour trouver le coupable qui n'était autre que moi. Je m'attendais à être balancée sur tout les murs mais elle me pris dans ces bras avec une grande précaution pour m'emmener au vestiaire, tout le monde restaient les yeux scotchés dans leurs assiettes.
Malgré le fait que je n'ai pas besoin d'aide ne m'empêche pas de sourire quand j'en reçois. Une fois sur le seuil de la porte Undyne ouvre la bouche pour lâcher une simple phrase:
"Vous êtes pitoyable."
Les réactions furent différentes selon les individus mais les plus intrigante ont été celles du comique en veste bleu de rigoler et Grillby de soupirer en baissant le regard.
Serait-il au courant de quelque chose?
Après le drame je passe toute la soirée avec Undyne car Asgore ne revient que demain matin et m'explique enfin pourquoi tout cela c'est passé après des sushis qui m'ont remis sur pieds:
"Comme tu le sais tu ne plaît pas à beaucoup de gens ici depuis la première fois que l'on t'a vu dans la clairière surtout Sans qui se méfie de toi comme d'une armure de fer dans un territoire de lave. Mais depuis que Frisk raconte que tu es dangereuse et que tu as agressée Toriel alors qu'elle ne faisait que disputer Asgore comme à chaque fois qu'il se voit tout le monde commence à s'imaginer des théories sur ta personne. Sans à organiser un petit complot pour pouvoir se forger une opinion sur toi mais le connaissant il a sûrement des ambitions personnels. Le complot parlait de te trouver puis de te provoquer pour observer ton instinct mais personne n'était précisément désigné ni ne savait où tu te trouverais, forcément certains n'était pas d'accord comme moi qui t'ai cherché toute l'aprèm pour te prévenir, Toriel qui a été drogué aux somnifères par Frisk pour ne pas qu'elle intervienne, Papyrus évidemment mais je ne sais pas où il est, Napstalblook mais le pauvre ne peut pas faire grand chose puis enfin Grillby qui c'est laissé convaincre par Sans je ne sais par quel argument. Mais dans n'importe quel cas tu es tombé dans le piège et ça va faire du bruit punk!"
Je ne pouvait pas y croire je suis tombé dans un piège aussi gros sans personne pour dire qu'il a frappé le premier sans compter le fait que je lui est arraché la moitié de la jambe plus les autres blessures infligées à ses amis.
Je remercie Undyne pour son hospitalité et repars dans les rues vides mais où je peut sentir des millions de jugements me coupant le cœurs en des millions de petites entailles inconsciemment je serrais plus fort ma précieuse guitare contre mon cœur pour le guérir de ses souffrances. J'ai besoin de retrouver ma famille dans mon paradis vert alors je m'y dirige doucement surveillant que personne me suivent.
Je marche tranquillement bien contente que cette journée de malheur soit fini, le vent frais traverse mon corps et les feuilles caressent mon visage meurtri par la bagarre, le ciel sombre, rempli d'étoiles plus belles les une que les autres, flote au dessus de ma tête.
Cette liberté et les ténèbres de la nuit qui s'offre à toi te remplissent de TRANQUILLITÉ.
Je suis presque arrivée quand je voit du coin de l'oeil une petit ombre furtive mais bien là et elle se dirige droit vers la clairière pour la surveiller en toute discrétion je monte à l'arbre le plus proche me déplaçant de branches en branches mon serviteur à cordes sur le dos sans bruit et en vitesse un vrai singe.
L'ombre c'est arrêté devant le buisson à myrtille bleu donc je descend doucement pour finalement comprendre que c'est mon chère petit fantôme venu chercher à manger pour ces escargots de compétition. Il est tout gêné de me voir et s'excuse pour être venu si tard, perdu dans ces excuses infinies je le coupe pour lui avouer ce que je veux lui dire depuis la première second où je l'ai vu:
" Napstalblook, tes yeux sont magnifiques on peut y voir le plus belle univers étoilé que personne ne peut imaginer et j'adore ton casque il te va super bien."
Le petit fantôme rougie violet-bleu avant de me remercier et me souhaiter la bonne nuit. Parler à ce petit fantôme me fait toujours beaucoup de bien.
Seule je commence le rituel, je me pose la couronne de fleur sur la tête et nettoie sa tombe pour leur jouer et leur chanter tout l'amour et qu'ils sont mon univers et ma famille même si maintenant il y a Asgore dans la famille comme une sorte d'oncle. À cette nuit parfaite je m'endors bien vite dans le creux du grand arbre comme un petit faon sans sa maman ayant enfin trouver un refuge.
Le soleil vient m'effleurer de ses rayons de lumières et me d'éloge de ma paresse matinal. Dans ce creux d'arbre je solidifie et rajoute des fleurs au diadème florale toute en pensant au projet de ma journée au village tout le monde doit vouloir me chasser ou me tuer et Asgore ne rentre pas avant un moment et pour être honnête je veux voir autre chose que ce village où je ne supporte plus personne ou presque. C'est décidé aujourd'hui je m'en vais visiter l'underground, emmitouflée dans mon sweat bien chaud je me dirige vers le bout de terre cultivé pour laissé un mot au roi pour l'informer de ma disparition.
Je suis rentrée et marche depuis un moment déjà tout est sombre, mon cœur bat aussi fort qu'un tambour de guerre, une porte avec le symbole que porte la cape de mon roi est au bout du long chemin qui s'étale devant mes pieds ce qui me fais accélérer le pas.
J'y suis arrivée, j'ai traversé la grande porte et je suis atterrie dans un grand corridor doré avec des tapisserie sur les murs ainsi que de grands rideaux prune pour cacher quelques fenêtres ici et là.
J'écarte chaque rideaux du corridor pour admirer la vue sur la grande paroi rocheuse saupoudré de cristaux coloré et étincelant et un panorama comme nulle part ailleurs de l'énorme ancienne ville des montres où je peut y voir plusieurs coin bien distinct.
Un de ces rideaux ne donne pas sur une fenêtre mais sur un portrait de deux enfants tout deux portant le même pull vert rayé jaune, un enfant monstre chèvre comme le roi et une petite fille aux cheveux châtain coupé en carré négligé comme nous, de belle petites joues rose un trait venant de ma grand-mère disait on, le même sourire que Ruka et enfin ces deux perles rouges pétillantes comme mon père et moi.
C'est notre grande sœur une quête venait de s'achever alors les larmes aux bords des yeux, la guitare à mes côté, mon cœur battant comme jamais, j'ai prononcé ces mots:
"Ruka, j'ai retrouvé notre grande sœur."
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