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Chapitre 7 : Nathan

J'envoie un coup de coude à Marius. Il me regarde avec ce regard tueur, style je l'ai tapé. Et c'est vrai. J'ignore ses yeux et re jette un regard par la fenêtre.

— Le soldat Théo est battu tête de clou.

Pour récupérer Antoine (ben ouais, on l'aime bien malgré sa tronche de con) on a envoyer notre plus fort élément, Pierre. Mais on s'est aperçu qu'il a été battu par une de ses femmes, sa fille (on aurais dû s'en douter dans toutes ses personnes, c'était sur qu'il y avait sa descendance là dedans) et donc on avait envoyer Théo. Ce mec est complètement insensible, comment on aurais pus se douter qu'il y avait SA COPINE dedans ??

Oui, nous sommes de les observer par la fenêtre. J'entends mon ventre gargouiller.

— J'ai faim.

Le noiraud à mes côtés râle.

— T'es sérieux ? On vient de manger une pizza !

C'était la mienne d'abord. Quand notre base à brûlé, (pas du tout a cause de moi) j'ai risquer ma vie pour aller la cherchée. Au moins elle était bien cuite.

— Oui, mais j'ai encore faim.

Marius m'ignore et murmure.

— Je devrai y aller.
— Nan, comme d'habitude tu va tout faire foirer.
— Connard.
— On va envoyer.. Julien !

Je concerné se retourna, ses cheveux bruns tombant sur son visage. J'observe encore une fois son mystérieux tatouage au détails sur son cou. Putain qu'c'est classe. Je vais me faire le même avec des flammes.

— Tu vas y aller.

Il paniqua.

— Q-Quoi ?

Tête te clou lui répondit :

— Ben t'es le plus intelligent de nous tous.. Donc...

Mais il est con ? Je le rectifia.

— Nan, c'est qu'on garde le meilleur pour la fin ! Donc moi !
— C'est ça ta gueule. Julien, vas y.
— M-Mais vous êtes sûrs ? M-Moi Je...
— Aller !

Il se leva et fit le tour du bâtiment. On regarda par la fenêtre pour le voir entrer. Marius ouvre légèrement la fenêtre pour l'entendre.

— Je.. Je viens récupéré An-An-Antoine !

Je fronce les sourcils. Mais il fait pas du tout peur mon dieu ! On entend Léo derrière nous, mort de rire, je lui lance un regard, ses cheveux " blond vénitien " (comme il le dit) en bataille. Je me retourne, et on voit soudainement le diable rouge en personne entrer dans notre champ de vision. Je suis parcourût d'un grand frisson d'un coup, en repensant à la dernière fois que je l'avait en face de moi. Marius eu un rire saccadé, son visage couvert de sueur.

— A-A-Alors c-c-crétin ? T-T-T'as peu-peur ?
— N-N-N'importe q-quoi ! T-T-Toi y-tu devrai a-arrêter de s-s-suer, t-t-tu va r-rouiller !

On se tape un peu, puis on revient à la scène. Où Julien est agenouillé devant le diable et celui ci l'engueule. On a raté un truc je crois. Je regarde mon coéquipier, en colère :

— C'est de ta faute putain !
— Tu rigole ? C'est de la tienne !

Le temps qu'on finissent, Léo est dans la salle, en train de draguer une blonde avec des gros seins.

— Qu'est ce qu'il fout là lui ?
— Mais j'en sais rien moi !
— Bon, j'en ai marre, j'y vais !

Je contourne l'immeuble, et entre dans la pièce en hurlant :

— JE VAIS TOUS VOUS BUTER !

Marius est sur mes talons et sort une mitrailleuse de nul part. Mais la scène que nous voyons est complètement différente de la fenêtre ou on voyait rien. Antoine essaye d'échapper à une fille aux cheveux étrangement bleus, Théo discute avec une fille aux cheveux platines à l'écart des autres, Pierre boit avec sa fille, Léo tente de faire un câlin à la meuf blonde au gros seins, Julien est accroché à une jambe du démon, qui lui hurle de la lâcher, et pleure toutes les larmes de son corps, et deux petites filles, une blonde et une brune claire lisent des livres. J'arrache la mitrailleuse des mains du con à côté de moi et je tire au plafond.

Effet garantis. Tout le monde se tourne vers moi, le silence au lèvres. Mais un sanglot brise mon silence. La petite blondinette a les larmes aux yeux.

— M-Mon plafond...

Je balbutia. Elle renifle et d'un seul coup sans prévenir, tout le monde se précipite vers elle pour la consoler. J'ai raté un chapitre c'est sûr... Et la, je sens les muscles de Marius se contracter encore plus qu'ils étaient avant. Mon regard se pose sur le milieu de la pièce. Elle.

Elle a réussi à ce débarrasser de Julien qui est à plat ventre au milieux de la pièce, en train de chouiner. Elle court vers nous et je voix toute ma vie défiler devant mes yeux. Une vie uniquement composée de pizza et d'hamburgers.

Noir.

Je me réveille, un mal de crâne immense. J'ouvre mes yeux difficilement, et me tourne vers une grande blonde assise sur une chaise à mes côtés, en train de lire un magasine. C'est qui elle ? Elle se tourne vers moi et sa voix ni grave ni aigue me parle, comme pour me répondre à la question que je me poser :

— Émilie t'as assommé et on t'as ramener ici, le temps que tu te réveille. Je suis avec toi pour te surveiller.
— T'es qui ?
— Je m'appelle Lucie.

Elle me tend sa main. Qu'est-ce qu'elle veut ? Je l'as tchèque instinctivement, et lui répond.

— Moi c'est Nathan. Mais appelle moi Nath'.

Sa main reste en l'air et son regard semble étonné. Puis, elle relâche son bras et rigole.

— T'as l'air d'être un cas, toi !

Je sens qu'on va bien s'entendre elle et moi. Je rigole à mon tour et m'assois sur le lit.

— C'est souvent comment on me décrit. Je peux sortir ?

Elle secoue négativement la tête.

— Je suis désolée mais non.
— Quoi ? Mais pourquoi ?
— Parce que. Émilie ne veut pas.

Qui est Émilie ?

— Qui est Émilie ?

Elle me souris.

— Celle qui t'as assommé.

Toutes les images me reviennent d'un coup. Je ramène mais jambes contre mon torse et murmure, littéralement mort de peur.

— Ah-Ah... Donc si Émilie veut pas j'imagine vais rester ici hein.. Héhé...
— Tu imagines bien dit donc !

Je sais pas pourquoi, mais cette fille, je la sens bien.

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