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Chapitre 6 : Antoine

Mon dieu je vais finir par crever dans cette baraque. Mais depuis quand ses folles sont à côté de notre base bordel ? Avec une psychopathe qui veut m'épouser alors qu'on vient de ce rencontrer, une autre qui passe son temps à me narguer pour n'importe quelle raison, encore une autre qui me menace de me tuer à chaque occasion, toujours une autre qui est du côté de la folle amoureuse, et la dernière qui a blessé mon ego personnel. Sans oublier une petite pousse qui fait obéir tout le monde, et une meuf qui boit tout le temps, visiblement.

Je vais finir par mourir c'est sûr. Et pis ce connard de Marius qui m'a abandonné, là. N'empêche qu'ils m'ont foutu la honte devant les filles ! À faire leurs kékés par téléphone là... Idiots. Ils ne sont rien sans moi. Je regarde Julie. Elle est jolie, c'est vrai. Avec ses cheveux bleus qui enveloppent son visage d'une pâleur extrême, tout ça lui va si bien. Mais je l'ai rencontrée il y a quoi ? À peine une heure tout au plus. Elle me regarde et rougit.

— Julie vous aime tellement quand vous la fixer Monsieur Antoine...

Et cette manie de parler à la troisième personne... Unique. Je sais que j'ai toujours eu du succès avec les filles, mais là... Ça deviens un peu trop.... Trop quoi ! Soudain, un tapement se fit retentir à la porte du bâtiment. Elle s'ouvre sur un homme plutôt baraqué, roux avec une barbe mal rasée. Je murmure, le sourire aux lèvres :

— Pierre !

Il arque un sourcil vers moi, et m'approche, moins heureux que je le pensais. Et merde. Il se force à me sourire :

— Antoine !

Il s'approche encore plus rapidement de moi.

— Pierre ?

Il sort un flingue.

— Antoine.

Je commence à paniquer.

— Hé Pierre !!!!

Il l'arque vers moi, avant se pencher en avant, une bouteille de bière l'ayant frappé sur la nuque. Il se retourna vers une fille brune, avec un haut de maillot de bain comme haut et un short. Je me souvient que les filles l'avait appelée " Anna " tout à l'heure. Mon boss se précipite vers elle.

— Anna !!!

Il s'apprêté à ce jeter dans ses bras, quand elle l'esquive habilement pour qu'il s'écrase à plat ventre par terre. Il est ridicule mon dieu... Mais... Qui est cette fille ? L'assistante de Lisa, et mais qui est Lisa ? En fait, qui sont elles toutes ? Julie me serre contre son corps, et la chaleur monte tout d'un coup. Qu'est ce que j'ai chaud... Pourquoi est ce que j'ai aussi chaud ? Pierre se relève et colle Anna :

— Mais Anna, viens voir ton père chéri !

Son père. D'accord. Son père. Ce mec couche avec tout ce qui bouge, et il a une fille. Donc il couche avec tout le monde, et ne se protège donc pas ? La blonde au gros seins se tourne vers moi et hurle d'un coup, le visage cramoisie. Tout le monde se tourne vers moi et crient. Alors je regarde mon corps. Et merde.

— Il est nu !!!

Je rougit moi aussi. Pourquoi ça recommence ? Je croyais être guéris !! Je tente de cacher tout ce que je peux tandis que les filles se cachent les yeux, sauf Julie qui ne se gêne pas et Anna, qui elle, se faisait cacher ses yeux par son père, mais qui s'arrête pas de boire pour autant. J'attrape mes vêtements qui étaient au sol et me vêtît, toujours plus rouge qu'une tomate.

J'essaye de bredouiller des excuses, mais tout ce que je réussi à faire, c'est de le de remettre uniquement mon pantalon, laissant mon torse nu sous les caresses de Julie.

— Ah votre corps est beau Monsieur Antoine...

Je souris faussement, et agite la main dans sa direction en articulant les dents serrées, comme pour faire partir un insecte.

— Va t'en Julie... Allez steuplé...

Je sens d'un coup une force froide derrière moi. Je me retourne, et voit les deux pires démons. Émilie, se tient là, en face de Pierre qui lui sourit orgueilleusement. La rousse tient un bâton de plombs (avec un peu de sang dessus accessoirement) sortit de nul part, et ils se regardent, comme un défis. La voix sèche de la femme retentit dans le silence.

— Que viens tu faire là, Pierre ?
— Je n'est plus le droit de venir voir ma fille adorée ?

Émilie s'apprêtait à répliquer, mais Lisa la devança.

— Tu es seul ? Les garçons ne sont pas là ?

Le sourire du roux s'efface et ses yeux se perdent dans le vague perdant quelques minutes. Avant de répondre :

— Je sais pas...

Quoi ? Il les a perdu ? Mais ils sont peut être morts dans l'incendie ! Lisa commence à paniquer. Le père d'Anna continue :

— Mais ils sont en vie...

Soulagement pour moi et Lisa, et je remarque la fille aux cheveux platines qui semble soulagée aussi.

— Enfin je crois.

Panique totale. Tout le monde se met à hurler, la grande blonde hurle de panique pour une raison qu'elle ignore sûrement, la platine hurle en se demandant qu'est ce qu'ils allaient faire maintenant, Lisa hurle sur le manque de maturité de Pierre, la petite aux cheveux châtains hurle qu'elle aimerait réviser tranquillement, Julie hurle qu'elle veut m'épouser, j'hurle de peur, elle me colle trop, Émilie hurle qu'elle va me massacrer, alors que j'ai rien fait, Pierre hurle qu'il aime Anna de tout son cœur, et Anna elle... Elle boit sa bière.

Bref, beau bordel, quoi. Jusqu'au moment, où la porte du bâtiment, s'ouvre encore une fois, mais sur un homme, que je connais que trop bien. Je souris, et murmure (cette scène me rappelle quelque chose) :

— Théo !

Ses cheveux blonds en bataille sur sa tête, son visage sévère, ses yeux d'une noirceur immense, sa cicatrice traversant son œil droit sans pour autant le crever, et sa masse de muscle impressionnante lui allant parfaitement. Il dit alors de sa voix claire et grave :

— Je viens récupérer Antoine, vu que Pierre a sa flaiblesse ici.

Il salua Anna, la connaissant visiblement qui lui répond vaguement, bourrée. Mais son visage se blêmit. Je suit alors son regard, qui tombe sur la jeune femme aux cheveux blonds platines, que je perçoit soudainement très belle. Elle a les joues rosies, et un petit sourire en coin. Elle murmure alors, visiblement heureuse.

— Théo...
— Mandarine...

Ils se connaissent ? Je les voient se rapprocher, de plus en plus près, Théo passe ses bras sur la taille de la blonde et enfouie son visage dans sa nuque. Elle fait de même, caressant ses cheveux de ses mains blanches. Sûrement de vieux amis. Elle murmure :

— Tu m'a tellement manqué... Et dire que tu était là depuis tout ce temps...
— Tu es encore plus belle qu'avant...

Il attrapa soudainement sa joue pour l'embrasser langoureusement. De vieux amis ? Je suis plus trop sûr là... Je détourne le regard, gêné, pour tomber sur le visage de Julie, qui ne rate aucune seconde. Je détourne encore le regard, pour tomber sur la tête d'Émilie : on peut la confondre avec ses cheveux. Je re tente de jeter un œil vers le couple.

Je ne savais pas que Théo a les mains aussi baladeuses.

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