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Chapitre 18 : Marius (2)

Nous nous sommes fais éclatés. Littéralement. Sans pressions. Après le départ carrément non compris du con, la démone aux cheveux rouge à complètement pété un plomb. Elle à pris une mitrailleuse, et à tirer dans tout les recoins de la pièce. Pierre à disparut, Léo aussi. Alors étant que deux avec Théo, sans sa copine pour calmer Émilie, nous avons dû fuir, en abandonnant lâchement Julien.

Quand j'arrive chez moi, mon téléphone vibre dans la poche de mon jean. Je l'attrape, et ouvre un nouveau message du lapin brun.

« Dis a ton pote de tout de suite ramener Lucie ! »

Ben elle est mignonne elle ! Je sais pas où elle est la tête brûlée moi !

« A t marante toi ! Je sai pa où il et »

Je pose mon téléphone sur ma table basse en râlant. J'allume machinalement la télé. Que des histoire de merdes aujourd'hui... Je zappe sur la musique, et reprend mon portable, pour aller sur internet. Il vibre une nouvelle fois.

« Ben cherche le !!! »

« Calm toi g la fleme »

« Tu es sérieux ? J'ai faillis mourir moi ! »

« Ben je men fou :,,,D »

J'attend quelques minutes sur la conversation. Elle doit être occupée... Je divague un peu sur les réseaux sociaux, et une heure plus tard, la petite ne répond toujours.

« Eh tu boudes ? »

Toujours pas. Pourquoi elle répond pas ?

« Lapin »

Je dois me rendre compte. Elle m'en veux. Qu'est-ce que je me fait chier... Et si j'allais la voir ? Ça serais marrant ! Je tape rapidement un message à Julie. Elle, elle va répondre.

« Elle abite ou mary ? »

J'enfile ma veste en cuir et mes chaussures. Comme je le disais, mon amie d'enfance me répond tout de suite.

« 17 rue de la mairie... Pourquoi ? »

Pas la peine de répondre. Et puis, elle doit passer du bon temps avec Antoine ! Ghihi ! Je marche dans la rue vers la mairie, en regardant le soleil tomber. J'aime pas les couchés de soleil. C'est chiant et ça éclate les yeux.

Quand j'arrive devant chez elle, c'est devant une grande maison moderne que j'atterie. Putain elle est riche ??? On dirais chez Théo... Je grimpe habillement par dessus le muret, en esquivant les caméras de surveillances. Et oui, je suis un habitué moi ! En contourna la maison, je vois que seule une fenêtre est allumée.

À l'étage. J'escalade un arbre, et regarde par cette fenêtre, et la vois, sur son bureau, son téléphone à ses côtés, donc elle à vu mon message... Je toque à sa fenêtre, elle lève la tête, puis la remet dans son livre. Sympa. Je re toque, et cette fois, elle tourne la tête vers moi. Et là, je vois. Elle pleure. Je ne sais pas comment réagir.

C'est à cause de moi ? Mais... Pourquoi ? J'ouvre de force sa fenêtre avec une vieille méthode de voleur. Une fois rentré dans sa chambre, je sens la chaleur m'envahir. Je m'approche d'elle, et lui caresse la joue.

Je voulais l'embêter et la faire rougir, mais son regard est froid, et ses joues blanches. Je demande alors :

— Tu pleures ?

Ses yeux roulent dans leurs orbites, et elle soupire pour dire ironiquement.

— Nan, j'ai soif !

Et, sans me retenir, j'éclate de rire, et en voyant qu'elle ne me suit pas, je me calme et m'approche d'elle avec un petit sourire.

— C'est de ma faute ?

Elle détourne le regard, alors qu'elle le soutenait depuis le début.

— Non... C'est à cause de mon livre...

Pourquoi elle ment ?

— Pourquoi est tu là ?

Arg... Je vais pas lui dire la vérité. Elle me ment, je lui ment. Œil pour dent ma belle.

— Oh, je me faisais chier, et j'ai vu ta baraque, alors je suis venu.

Elle fronce les sourcils sur ses yeux bruns.

— Tu connais mon adresse ?

J'hoche la tête machinalement. Style, oui, oui, bien sûr... J'en profite pour mater sa chambre. Le bon genre intelo. Bien rager, féminin. Moi ma chambre, c'est plus le bordel, c'est l'apocalypse. Pour changer de sujet, je me dirige vers la porte.

— J'ai faim. Il y a tes parents ?
— Pourquoi ?

Je ricane.

— Pour savoir si on peut baiser après ou pas, ghihi !

Cette fois, elle rougit énormément, et elle fait soudainement un sourire étrange.

— Nan, ils sont pas là.

C'est quoi ce sourire ? Quelque chose bouge dans mon ventre, me chatouille, mais je l'ignore, et me dirige vers la cuisine, que je vois en sortant. Soudain, elle me dépasse en courant et hurlant.

— ALEX' !!! HUGOOO !!! QUELQU'UN C'EST INTRODUIT DANS LA MAISON !!!

Quoi ? Mais elle m'avait dit qu'il y avait personne.. Je me sens soudainement en danger. Deux hommes arrivent, devant moi. Le premier, gros et brun, lâche sa pizza au dernier moment. Le deuxième, roux, me crachent des mots au visage.

— T'es qui toi ? Et qu'à tu fais à notre petite sœur ??

Alors c'est ses grands frères... Elle a joué sur les mots. Je regarde Marie, qui derrière eux, aborde un sourire vainqueur. La pute !! Elle veut donc jouer à ça...

— Elle blague. Je suis son copain.

Le brun s'évanouie. L'autre blanchit atrocement.

— Q-Quoi s-son copain ??

Je le contourne, et prend Marie dans mes bras, ma main sur sa taille, en lui lançant un regard sadique.

— Regarde. Nous sommes en couple ! Hein, mon lapin ?

J'adore prononcer lapin de cette façon. J'ai toujours l'impression qu'elle perd pieds à chaque de fois. Mais cette fois-ci, c'est mon estomac qui a tout pris. Elle vient de me donner un coup de tibia la salope ! Ainsi que de te me pousser loin d'elle.

— Nan mais Alex' ! Comment peux tu le croire une seconde ? Lui, mon copain ? JAMAIS DE LA VIE ! C'est un pervers ! Un pervers psychopathe !!

Ça, c'est pour mon pauvre petit cœur bien trop égocentrique. Le roux soupire de soulagement.

— Ouf, je me disais, il est bien trop moche.

Et bim ! Dans ta tronche Marius ! Non mais c'est quoi cette famille bordel ? Ils ont tous un don pour m'énerver ? Il ne manquerai plus que ses parents arrivent...

— Je peux savoir qui vous êtes ?

Je me retourne sur une femme, plutôt grande, ma taille, à la chevelure rousse courte et ondulée. Je reconnais les yeux de lapin dans les siens. Mon Dieu tout entier, c'est sa mère.

Et hop ! Un Marius dehors ! Ça t'apprendra à vouloir embêter Marie ! Putain de bordel de merde...

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