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Chapitre 12 : Marie (2)

Oh non. Oh pitié non ! Mes yeux parcourt la conversation que Mandarine a fait avec le mec de la prison. Déjà, il a deviner que c'était pas moi, ensuite ils ont taper la discute sur MON portable !

« Tu es très doué dit moi ! Tu as deviner que c'était pas la vraie Marie ! »

« Alor elle sapelle mari ! »

« Pitié les fautes mon dieu ! »

« O cet bon ! »

« Mais tu sais, Marie, elle a l'air très attachée à toi ! »

« A bon ? O_O »

« Oui ! Elle nous a parler que de toi hier soir ! »

« A cet bon a savoir sa ! »

« Et pourquoi ? »

« Parceque je lui et menti dan toute la conversation quon a u »

« Comme quoi ? »

« Secré »

« Rah, tu m'énerve ! > < »

Et la conversation s'arrête là. Je tape rapidement une explication.

« Je suis désolée ! C'est une amie qui a piqué mon téléphone ! Tout ce qu'elle a dit est TOTALEMENT FAUX !!!! »

Je repose avec ardeurs mon portable, et m'allonge sur mon lit, pour attendre quelques minutes. J'entends le vibreur de mon téléphone, et me précipite dessus pour y voir le message. Un sentiment de déception indescriptible m'envahit. C'est Mandarine.

« Hey mon bébé ! Tu sors ? <3 »

Je ne comprend pas. Pourquoi je suis déçue ? Ce n'est qu'un mec, il n'est pas différent des autres après tout...

« Oui si tu veux, j'arrive <333 Tu est où ? »

C'est vrai. Se préoccuper d'un mec comme ça, c'est idiot. Je suis une idiote. Et c'est la tête dans les fesses que je salue mes parents et mes deux frères, en leurs disant que je rejoint Manda' que je sort de chez moi. La blonde platine est devant chez moi, et me saute dessus.

— Heyyyy !!! Ça roule ma poule ?

Putain les jeux de mots. Je lui lance un petit sourire et je lui grogne dessus.

— Je pourrais aller mieux si tu n'avais pas fait la discute avec un mec sur mon portable !
— Oh, c'était une petite blague Marinette !

Il faut savoir que Mandarine Jean ne fait JAMAIS de PETITES BLAGUES sans avoir quelques chose derrière la tête. Reste à trouver quoi.

— Mouais...
— Aller haut les cœurs !

Elle me prend la main, et m'amène dans les rues de notre petite ville, Mirette-sur-mer. Et sans m'en rendre compte, je marche, je marche, et d'un coup, HOP ! Bizarrement, nous atterrissons pile devant notre base. Je regarde Manda' avec horreur.

— Non... Tu n'as pas osé...

Elle me sourie. Avec ce sourire là, celui qui fais TRÈS peur.

— Si.

Elle m'attrape la manche et m'emmène dans le bâtiment. Arrivés devant la porte, elle pose sa main vernie blanche sur le détecteur d'empreintes, et nous tombons dans les toboggans si caractéristiques de notre base.

Je hurle et en bas, c'est Émilie qui me rattrape comme une princesse, tandis que, comme à son habitude, Manda' tombe habilement sur ses pieds, les mains en l'airs. Je me dégage des bras de la rousse et pointe un doigt accusateur devant son nez.

— Tu as osé !!!

Je regarde autours de moi, Lucie et Julie se sont aussi faites avoir. Elle me regarde amèrement, et me font la bise. Lisa arrive toute contente, avec... Pierre ? Il souris fièrement de toutes ses dents. Lisa alors, nous explique la raison de sa présence.

— On a un gros problème. Un groupe mafieux veut attaquer le président...

Émilie fronce les sourcils.

— Je peux très bien m'en occuper seule, sans vouloir vous vexer, mademoiselle Lisa.

Le visage de la petite blonde se coupe en un petit sourire rassurant.

— Malheureusement, ils sont trop, et la plupart sont très bien entraînés, trop pour être normal. Alors j'ai demander l'aide de Pierre et de ses troupes. Vous ferez équipe avec eux.

Lucie sourie, Émilie râle, Mandarine trépignes, mais pas autant que Julie, qui devient carrément hystérique, et moi, je fronce les sourcils. Ça dois vraiment être une grosse mission pour que Lisa nous demandent de faire équipe avec quelqu'un. La plupart du temps, nous y arrivons seules. Elle a raison. Pour que une centaine d'hommes bien entraînés soient là bas, ça doit cacher quelques chose.

Notre boss et celui des garçons partent dans la salle principale. Et quand nous y arrivons, les mecs sont déjà là. En trains de faire un concours de boissons avec Anna. Un roux est en train de la draguer d'ailleurs. Je vois la masse de muscle de Pierre se raidir, et il hurle :

— LÉO !!! PETIT CON DE MES DEUX ! ARRÊTE DE DRAGUER MA FILLE !!

Celui ci blêmit atrocement et lâche :

— Merde, il est déjà là !

Je les voient se courir après. Mon portable dans ma poche arrière vibre, et je le sort. C'est le mec de la prison.

« A cété ton tel ? :,,,D »

Je lève le regard discrètement et le cherche des yeux. Il n'est pas là ? Quelqu'un me souffle dans le cou.

— Hey, lapin.

Il avait prononcé le dernier mot d'un consonance que je ne peux pas expliqué. En moins de deux, je me retourne, les joues en feu.

— Ne fait pas ça !!!

Il rigole, dévoilant ses canines plus grandes que la normale. Le crush de Julie, qui l'a déjà collée aux torse, appelle :

— Hé Marius ! Arrête de draguer et viens tronche de con !
— Ta gueule connard ! Je sors des chiottes ! J'ai mis des heures à les trouver !
— Hé, ferme la ! Je t'en veux toujours pour hier !

Il me dépasse, en hurlant sur son ami. Une certaine démone pose sa tête sur mon épaule, en sifflant.

— Vous êtes encore plus proches que je le pensais.

Émilie hoche la tête.

— C'est vrai.

Un garçon aux cheveux bruns qui colle Émilie depuis hier demande :

— Tu vas sortir avec Marius ?

Lucie et Nathan qui l'avait suivie sourient.

— Vous serez bien ensemble !

Le rose ricane.

— Ah c'est elle qui a remué Marius toute la soirée ?

Julie qui a embarqué le noiraud de tout à l'heure aborde un petit sourire pleins de sous entendus.

— Julie pense pareil ! Pas vrai Monsieur Antoine ?
— Ils sortent ensembles ?

Anna, sa bouteille à la main me " conseille " :

— Tu devrais le prendre maintenant tant qu'il est encore chaud.

Son père renchérie :

— Bien dit ma Anna chérie !

Le prénommé Léo qui a on ne sait comment, survécu, pose sa main sur mon épaule :

— Je vais apprendre à Marius comment draguer les filles, t'inquiètes.

Et Lisa qui est là depuis le début tape dans ses mains :

— Oh je suis si heureuse !

Oh j'en ai marre d'eux pitié Dieu ! Une voix grave s'incruste dans le rond qui s'était formé autour de moi, faisant tourner les regards vers lui.

— Vous parlez de quoi ?

Oh NON !!!

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