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Chapitre 41

L'excursion touche enfin à sa fin, j'ai le corps brûlant par la forte chaleur. J'ai bu plus que de raison, ma vessie en a pris un coup. Je demande à Amir de me montrer les toilettes.

— Les toilettes ?
Il ricane.

— Oui. Il faut que je te fasse un dessin ?

— Tu peux aller ici.
En me montrant un buisson.

— Ou là.
Il dirige sa main vers un palmier.

C'est donc ça qui le fait rire. J'observe les deux directions qu'il a pointé du doigt. L'envie est trop pressante, je me mets à courir en direction du buisson le plus proche. Je l'entends rire, c'est agaçant.
Je m'installe derrière un buisson et soulage mon envie pressante. Je n'avais jamais fait ça au regard de tous. Il faut une première fois à tout. Je me faufile à travers les buissons et le rejoins à côté des dromadaires. Je sens qu'il retient un rire, mais je souhaite déguerpir le plus vite possible de ce cauchemar éveillé. Mes sous-vêtements sont toujours trempés, je rêve d'une douche froide et d'un cocktail glacé.
Je grimpe sur le dromadaire, et nous faisons le chemin inverse. Les deux hommes nous y attendent. Je descends en furie du dromadaire, sans oublier de remercier ces deux locaux, et me dirige vers la voiture. En entrant dans la voiture, il me fixe étrangement.

— Tu n'es pas un peu rouge ?

— C'est sûrement la forte chaleur qui fait rougir ma peau.
Il hoche les épaules et démarre.

On roule l'heure suivante sans échanger au point que je m'endorme, bercée par le bruit de la voiture et la chaleur étouffante. Il me secoue légèrement quand nous sommes devant son domaine, je bâille et tends mes bras pour m'étirer. Je sors à toute vitesse et rejoins ma chambre. J'enlève les vêtements mouillés et je me glisse sous l'eau froide. Moi qui habituellement suis frileuse, c'est bien la première fois que je prends une douche aussi froide. Je sors de la douche et l'entoure d'une serviette, je pose mes yeux sur mon reflet dans le miroir et je crie. Je me frotte les yeux pour être sûr que ce ne soit pas l'eau froide qui me fait voir des choses. Mon visage et mes épaules sont rouge vif par des coups de soleil, je descends plus bas et je me fige. J'ai des centaines de points blancs sur une peau rouge.

Je sors de la douche en panique, j'enfile un t-shirt et je tourne en rond. Quelques minutes plus tard, je suis envahi par des envies de me gratter tout le corps. Je me laisse vite submerger par cette envie. Je me gratte chaque millimètre de mon corps. Je pleure de désespoir. Je sors de cette pièce en continuant à me gratter et je me dirige vers sa chambre. Je frappe sur sa porte en larmes, il m'ouvre et observe les stigmates de mes démangeaisons.

— Qu'est-ce qu'il te prend ?

— Ça me gratte, je n'arrive pas à m'arrêter.

— Entre.

Il soulève mon t-shirt, mais je ne suis pas intimidée par la situation. Je veux juste que ces démangeaisons s'arrêtent.

— Reste là, je reviens.

— D'accord.
En larme.

Je continue de me gratter, en espérant qu'il ne tarde pas trop. Il revient dans la pièce avec des médicaments. Il me fait avaler un cachet, je ne me préoccupe pas de sa contenance. Il me demande de m'allonger, je m'exécute. Il applique une pommade et je crois que c'est la chose la plus apaisante que je n'aie jamais ressentie. Les démangeaisons s'estompent peu à peu. Il prend une autre pommade et en applique sur mes coups de soleil. J'émets un râle de soulagement. Il s'allonge à mes côtés, je glisse ma tête sur son buste.

— Ça va ?

— Maintenant, oui.

— Repose-toi.
Je hoche positivement la tête.

Une partie de la nuit, il m'a empêché de me gratter en retenant mes mains fermement. Il a renouvelé la procédure de soins toutes les deux heures. Je m'endors épuisée par la journée, dans ses bras et je m'y sens bien, je me déteste.

Au réveil, mes démangeaisons semblent s'être arrêtées, je me redresse et je me dirige vers la salle de bain pour constater des dégâts. Comme je m'y attendais, j'ai des marques un peu partout sur tout le corps, à cause de mes irritations de la veille. Je suis dépitée, je ne peux pas sortir comme ça. Mes coups de soleil sont toujours aussi visibles. Il me faudra quelques jours pour retrouver un visage présentable.
Je quitte la salle de bain, je trouve une domestique accompagnée d'Amir qui porte un petit déjeuner. Je ne me supporte plus d'aimer ses attentions. Je remercie Amir, je m'assois et mange pour reprendre des forces. Je n'avais pas mangé depuis la veille. Il m'observe manger avec empathie. Je déteste être affectée par ce qu'il représente. Je devrais être hermétique à ce qu'il me donne, mais après cette nuit, je ne suis plus sûre de rien.

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