🥀ii. where it all begins🥀
Tenant les mains de Bellatrix et Phoebe, deux femmes éperdument amoureuses et plutôt malheureuses en amour, elles n'avaient pas eues beaucoup de chance ensemble, Venusia attendait que le spectacle commence.
-Pourquoi...Pourquoi est-ce que je t'aime comme ça ? J'en ai marre de ne pouvoir te laisser, de revenir à chaque fois...Alors que je n'aime pas ce que tu fais tout les soirs, avec ta bande de mage noir. Je ne sais même pas pourquoi je continue. Pourquoi je te laisse me prendre dans les bras. Tout est toujours si étrange avec toi. La seule chose dont je suis sûre est que tu es méchante, que je suis gentille...que je ne devrais pas t'aimer mais que je t'aime, répliqua la voix fragile de Phoebe Fererröne.
L'enfant assise entre les deux adultes ne comprenait rien et ne savait rien. Que se passait-il dans la tête de ses parents, de ses deux femmes qui l'élevait mieux que quiconque ? Cela, elle ne pouvait le savoir. Elle ressentait simplement quelque chose d'étrange dans l'air. Une chose qu'elle ne pouvait comprendre.
-Mais tu m'aimes, et tu le sais. Et c'est ce qui compte. Nous pouvons être heureuses si nous nous aimons toutes les deux. répondit la douce voix de Bellatrix, une voix qui à présent semblait dénouer de raison.
Elles s'aimaient mais tout était difficile. Leurs points de vues divergeaient. L'une faisait partie d'un clan étrange, les mangemorts, l'organisation de Voldemort, l'ennemi de l'ordre du Phoenix et organisait torture et meurtre sur des gens qu'ils appelaient les sangs-impurs. L'autre faisait partie de l'ordre du Phoenix, suivant ses nombreux amis de toujours, se remettant dans le droit chemin, prenant un boulot de bibliothécaire à Poudlard, adjointe de Mme Pince. L'une était dans le camps du bien et l'autre dans le camps du mal. Ce n'était que bien trop compliqué de s'aimer ainsi alors que l'on se devait de se faire la guerre.
-Tu sais que c'est bien plus compliqué que cela. Tu le sais, hein, commença Phoebe, Si l'on reste ensemble, que vont dire les autres ?
Bellatrix attendait que sa petite amie continue, que celle qu'elle aimait de tout son cœur lui révèle ce qu'elle avait en tête, qu'elle lui parle.
-Que va-t-il nous arriver ? Tu es dans le camps qui me pourchasse sans arrêt, moi et les autres, les sangs-mêlées, les nées moldues et autres variétés de personnes qui t'insupporte et que tu tue. Tu es dans le camps qui tue sans vergogne sans même éprouver une once de compassion, en aimant faire cela. Je ne peux que ne pas apprécier ceci, je ne peux que vouloir que tu quitte mon monde et que tu te promène dans le tien, répliqua la jeune femme au cheveux roux.
L'autre plongea son regard dans celui de sa petite amie, celle qu'elle avait aidé, celle qui l'avait suivie et qui l'avait regretter. Bellatrix ne paraissait pas s'énerver de cette nouvelle phrase sortant de la bouche de la seule femme qu'elle ait aimé de cet amour, de la seule personne qu'elle aimait comme cela, la seule personne qu'elle aimait embrasser et câliner, la seule personne qu'elle ne voudrait jamais perdre.
-Je ne peux que vouloir te quitter à chaque minute de notre relation. Relation que j'apprécie, que j'adore...Mais que je méprise sur ce point. Relation si belle, si jolie mais qui ne peut continuer. Tu le vois bien, j'imagine, que notre relation si nous continuons nos activités extérieures ne pourra que se détruire de jour en jour. Je te crierait dessus parce que j'aurais entendue que tu aurais fait une nouvelle victime de mon camps, de l'ordre ou des aurors, et tu me feras pareil lorsque j'enfermerai ou tuerais un des tiens. Je ne veux pas qu'on se dispute sur cela, lança la rousse d'une traite tandis que la brune la regardait dans les yeux.
Il y eut un long silence. Après tout, Bellatrix ne savait pas quoi répondre et ne savait même pas si ce que Phoebe voulait dire était terminé.
-Je ne veux garder en mémoire que les bons moments avec toi. Je ne veux que te voir comme la femme aimée, celle avec qui j'aurais voulue élever l'enfant qui est le tiens. Mais je ne peux que le vouloir, pas le faire, pas si tu es une telle meurtrière, pas si l'on doit se faire la guerre. Pas en ce temps, pas pendant cette guerre, répliqua enfin Phoebe, cherchant le mieux possible les mots qui décrivait la situation et qui devait faire comprendre à Bellatrix que cela devait être finit, Mais je t'aime, je t'aime comme tu m'aimes, je t'aime comme avant, comme à l'école lorsqu'il n'y avait pas de camps, lorsque l'on ne se faisait pas la guerre, lorsque l'amour était ce qui importait le plus les jeunes adolescents.
Bellatrix, au fond de son esprit, voulut rétorquer qu'elle n'avait jamais pu se concentrer sur ses nombreux états d'âmes, que lorsqu'elle était adolescente, elle, elle devait s'occuper de ses deux sœurs et qu'elle devait survivre aux nombreuses tortures de son père, cet homme qui ne l'aimait ni la comprenait. Elle, elle se devait de suivre des règles bien stricte qu'elle préférait contourner. Elle, elle n'avait pas le temps de penser à l'amour. Elle, lorsqu'elle pensait à l'amour, elle était triste. Car elle aimait les femmes et qu'elle savait qu'elle ne pourrait en aimer une. Qu'on la punirait d'autant plus. Et c'était la seule chose qui avait frappé son esprit. Non pas qu'elle était un monstre. Non pas qu'elle aimerait qui elle voudrait. Elle, elle savait qu'on ne l'a marierait pas par amour mais par argent, pour la pureté du sang d'une époux, d'un homme qui ne l'a traiterait pas comme il faut et non d'une femme qui l'aimerais et la traiterais comme on traite un être aimé.
Et elle avait eue raison. Ses parents l'avaient marié à Rodolphus Lestrange, un homme que la jeune fille n'aimait aucunement. Un homme qui devait faire son travail et qui, quelque mois après le mariage, neuf pour être exact, vit naître une jeune fille du ventre de sa femme. Une jeune enfant qu'ils nomèrent Venusia. Une jeune fille qui ressemblait beaucoup à Bellatrix. Une enfant que la jeune mère emmenait souvent lors de ses visites chez Phoebe Fererröne, une amie de longue date, c'était ce qu'avait dit Bellatrix lorsqu'elle était partie avec l'enfant, c'était ce qu'elle avait dit à Rodolphus.
Aujourd'hui, les deux Lestrange étaient ensembles, avec Phoebe Fererröne, et aujourd'hui, Phoebe et Bellatrix discutaient d'un sujet sérieux que l'enfant ne pouvait comprendre. Venusia, elle, était trop jeune pour comprendre quoique ce soit.
-C'est dur de me dire que je ne pourrais plus te revoir, plus t'entendre dormir, plus te tenir dans mes bras, plus t'embrasser sur ces jolies lèvres que tu as, plus sentir ton odeur lorsque tu sors de ta douche, les cheveux rincés et frisonnant. C'est dur. Et je sais que ce doit l'être pour toi aussi. Mais...Tu dois avoir raison. Tu dois avoir raison. On ne devrait plus se voir. Je dis ça, oui, pourtant, cela me brise le cœur de le dire et je préférerais me dire que tu me mens. Mais comme l'aurait dit Andromeda, tu es tout ce qui est raisonnable. Alors...Je, oui, on va devoir se quitter comme tu viens de le dire, décida Bellatrix, son visage se baissant de tristesse et de honte.
Son visage n'était pas joli à voir. Ses yeux s'abaissaient ne voulant voir le visage qu'elle connaissait tant. Ses lèvres se mordaient ne sachant pas comment se tenir. Ses bras l'emprisonnaient ne se sentant que mal. Sa petite amie, ou ancienne petite amie, quoiqu'elle soit, la regardait, triste, elle aussi.
Pourquoi devait-elle faire ce choix ? Cette décision était torture. Elle ne comprenait même pas pourquoi son sérieux revenait aux galots, pourquoi ce que tout le monde voyait d'elle n'était pas, actuellement là. Pourquoi devait-elle prendre une décision concernant tout cela ? Phoebe l'avait aimé et à en voir le visage de celle-ci, elle l'aimait toujours. Pourquoi se quitter alors que leur cœurs flambaient d'amour l'un pour l'autre ?
-Maman ! Maman ! Quand est-ce que cela commence ? Là c'est long et j'ai hâte de voir ce que c'est. répliqua l'enfant, tirant sur le pan de la robe de sa mère.
Bellatrix regarda sa jeune fille. Son grand sourire, une fois parvenu aux yeux de sa mère, fit sourire celle-ci. Bellatrix aimait beaucoup sa fille, sa petite Venusia et c'était l'une des seules personnes qui réussissaient à la faire sourire.
-Oh, cela ne devrait plus tarder, ma chérie, cela ne tardera pas, déclara-t-elle quelque temps après.
Le spectacle qu'elles allaient voir se trouvait dans un cirque que certains appelaient le cirque des bois sombres, d'autres le nommait le cirque des monstres en raison des acteurs qui n'étaient autre que des personnes diformes, des personnes qu'on pouvait appeler monstrueuse qui occerstrait magie sur magie, beauté sur beauté, magnifique sur magnifique tout en ayant une apparence étrange, que certains qualifiait de monstre.
C'était un endroit où les gens qui avaient de l'argent se rendait. Souvent pour se montrer ou pour observer. Là, Bellatrix et Phoebe y étaient allées pour passer un bon moment ensemble autour d'un spectacle où elles avaient eues leurs premiers vrais baisers, un baiser sans que l'une de leur amies les interrompent et qu'elles doivent arrêter de s'embrasser. C'était plus pour se souvenir d'un doux moment que pour en vivre un nouveau. D'ailleurs les deux femmes le savaient bien. Il était question de leur séparation, de la fin de leur couple.
Les mains des deux femmes se rapprochèrent sans qu'elles ne le veuillent vraiment, elles avaient d'ailleurs l'air gênée de faire cela alors qu'après ce spectacle, elles ne devraient plus se revoir. L'une comme l'autre ne serait plus qu'un souvenir. Un souvenir qu'elles voudraient garder en mémoire toute la fin de leurs vies. Ses mains, cependant, ne se lâchaient pas.
-D'ailleurs, ça commence, là, répliqua la rousse à la fille de sa plus qu'amie, à la fille de celle qu'elle avait aimé et qu'elle ne pourrait qu'aimer toujours.
En effet, plusieurs acteurs venaient d'arriver sur scène. Trois femmes toutes d'âges différents dansaient autour d'une autre. Une certaine Vanity Chels. Une femme qui chantait ses états d'esprit et sa vie à travers la plupart de ses chansons. Il y en avait d'ailleurs une qui avait été l'élément déclencheur du premier baiser entre les deux adultes, une rousse, une brune, qui se tenaient la main, là, aujourd'hui.
Elle se mit à chanter, entourée de tout côté par les autres femmes. Il y en avait beaucoup qui se rajoutait mais c'était elle que l'on remarquait tout de suite, c'était elle sur qui nos yeux étaient focaliser. Son corps ne faisait pas rire, au contraire. Bien que diforme, elle avait certains charmes qui ne laissait pas tout le monde indifférent. Différente des autres, elle était et c'était ce qui faisait son charme. Son nez et ses yeux avaient des formes qui étonnait plus d'un. Son rire ruisselait comme un doux message à ton oreille tandis que sa voix était d'une beauté incroyable.
Cependant, ce jour-là quelque chose paraissait plus bizarre qu'à l'original. Elle scrutait chaque membre du public comme si elle cherchait quelqu'un. Son regard s'arrêta sur Bellatrix et sa bambine qui s'était finalement installé sur les jambes de sa mère. Qu'est-ce que cela voulait-il dire ? Pourquoi la regardait-on, elle et sa fille ? Toutes ces questions lui paraissait sans réponse, tout du moins pour l'instant.
La chanson continuait. Le spectacle était toujours aussi bien qu'il y a quelques années, lorsque Bellatrix et Phoebe y étaient allées pendant une sortie à Pré-au-Lard, sans leurs amies pour les gêner, sans leurs amies pour les interrompre en pleins baisers.
-C'était cette musique...Cette musique. Tu m'as embrasser pendant celle-ci. J'étais la plus heureuse des filles de ce monde. La fille la plus joyeuse du monde. Et j'ai répondue au baiser. Et tu étais heureuse toi aussi, toi aussi, tu étais joyeuse. Tu t'en rappelle de ce moment où nos yeux se sont croisés, après notre baiser, demanda Bellatrix, chuchotant à l'oreille de Phoebe.
Cela lui rappelait les souvenirs qu'elle ne voulait pas quitter. La seule chose pour laquelle elle se serait battue. Cette jeune femme qui était la sienne.
Maintenant, elle n'était que le monstre que ses parents avaient voulu qu'elle soit. Une personne horrible qui utilisait de ses pouvoirs pour obtenir ce qu'elle souhaitait. Une femme qui torturait pour savoir où son maître pouvait être. Une femme qui, au final, n'était qu'un souffifre. Un sbire...Une chose que l'on ne pouvait apprécier à son réel potentiel. Elle était devenue idiote, devenant la plus loyale des suivantes de ce Voldemort. De l'homme qui compliquait sa relation avec la femme de sa vie.
Cependant, oui, elle lui était loyale. Et elle était devenue une sorte de monstre. Un monstre sauf avec ces deux personnes. Sauf avec Phoebe et Venusia. Elle avait fait des choses horribles qu'une partie d'elle ne regrettait pas. La partie qui s'exprimait. La partie qui était la seule à pouvoir se montrer. Dans sa tête, cependant, elle regrettait les actions passées. Toutes ces choses qu'elle disait pouvoir vouloir refaire si cela lui rapportait des informations sur ce qui était arrivé à son maître, elle n'aurait pas voulu les refaire mais les aurait tout de même refaite, ne pensant qu'à sa loyauté envers Son Maître. La partie qui regrettait ses actes allait disparaître, et c'était bien ce qu'avait vue Phoebe dans les doux yeux de sa femme, de celle qu'elle aurait voulue appeler comme cela.
Torturer les Londubat en compagnie de son beau-frère, de son mari et de Barty Croupton Junior n'avait pas été la chose la plus intelligente qu'elle ait fait dans sa vie. Elle avait privé le jeune enfant de ses parents, les rendant fous à lié, ce qu'elle détesterait qu'on lui fasse. Oui, elle regrettait des choses dans sa vie et elle espérait que d'une façon ou d'une autre certains le savaient. Mais cela ne se verrait jamais et tous penseraient toujours qu'elle était monstre, et qu'elle n'était que ça. Mais ça, elle s'en fichait, le plus important était sa loyauté à ceux qui comptaient.
‐Oui, je m'en rappelle, tu avais les yeux les plus magnifiques de ce monde. La lueur qui se dégageait d'eux était impressionnante, incroyable. Je ne t'avais jamais vu sourire comme cela, déclara Phoenix, un léger sourire aux lèvres.
Se rappeler d'un moment magique lui faisait du bien. Savoir qu'il n'y en aurait plus, la brisait en mille morceau. Mais il fallait qu'elles se séparent, qu'elles fassent leurs vies de leurs côtés le temps que la guerre s'arrête ou plus peut-être...Peut-être qu'il ne fallait plus qu'elles se parlent, plus jamais, plus du tout. Qu'elles gardent leurs amours comme un souvenir, un souvenir beau, merveilleux mais qui ne devait être qu'un souvenir.
-Et je t'ai dit que je t'aimais. Que je t'aimais comme on ne peux qu'aimer une seule personne. Ton sourire, je ne l'avais jamais vu aussi beau, aussi brillant. Toi et moi, assises là, s'embrassant et dansant ensemble. C'était le parfait de ma vie, le meilleur souvenir que j'ai eu. Si j'avais appris à faire un expecto patronum et que je réussissait à le produire, le souvenir joyeux qui me serait venue en mémoire serait l'un de ceux que je partage avec toi, mon amour, déclara Bellatrix, cherchant à fuir les belles prunelles océans de Phoebe.
Des souvenirs qui créaient des étincelles, des étoiles dans les yeux des deux femmes, des astres dans leurs beaux yeux. Tout était si étrange. Elles se quittaient de bon cœur, presque heureuses, se disant intérieurement qu'il était possible que l'amour fasse des miracle, qu'elles se recroisent et que l'amour leur retombe dessus et pourtant, elles se quittaient. Elles savaient que rien ne serait plus pareil. Que demain, elles ne seraient pas amené à se revoir ou alors qu'elles devraient se battre l'une contre l'autre, un camps contre un autre, ce qui leur paraissait horrifiant.
Le spectacle continuait, les danseuses et la chanteuse Vanity Chels partirent laissant place à un homme à l'allure miteuse. C'était le mangeur de chair humaine et celui-ci se plaignait de se manger lui-même, des choses étranges en somme. Il y a quelques temps lorsque Bellatrix avait amené Phoebe là-bas, Phoebe avait eue peur de cet homme et elle s'était réfugiée dans les bras de celle qu'elle venait à peine d'embrasser. C'était un moment génial pour un couple nouveau.
Une autre saynètes, elle encore rappelait d'autres bons souvenirs aux deux femmes, aux deux exs femmes, aux femmes qui s'étaient aimées jusqu'à la fin, qui s'aimeraient jusqu'à la fin tout du moins. Si elles auraient pu continuer à s'aimer, elles l'auraient fait, elles seraient restées ensembles. Mais il n'y avait que des problèmes qui se rapprochaient de leurs petits paradis. Elle qui avait rejoint les mauvais, Phoebe, elle, rejoignant les bons. Ce n'était pas une vie de se courir après.
-Ooooh ! Maman, maman ! cria Venusia lorsque des chimères entrèrent sur scène.
Ces choses qui étaient un mixte de plusieurs animaux avaient effrayé la jeune fille qui ne comprenait pas comment cela pouvait être possible. Ses mères lui prirent alors les mains, la tenant, la protégeant de ces choses. Soudain alors que tout allait bien, dans le meilleur des mondes, les lumières s'allumèrent, puis s'éteignèrent. Un courant d'air froid pénétra la salle et plongea tout les spectateurs dans l'inquiétude et le froid, comme lors d'une attaque du seigneur du ténèbres. Une froid des plus glaciale. On n'avait jamais vu cela en plein spectacle. Tous frissonnaient. Les acteurs comme les spectateurs, ce qui signifiait que rien n'était prévu dans le script.
Il n'y avait ni courant d'air, ni lumière qui s'allumait avant de s'éteindre dans le numéro. Cela venait de l'extérieure. Cela venait d'en-dehors. Et ce n'était pas quelque chose de rassurant. Très inquiétant, tout cela. Des personnes se levèrent, partirent aller voir ce que tout cela était et alors qu'on s'attendait à ce qu'ils reviennent, leurs âmes et leurs corps se désintégrèrent. Il ne fallait pas se risquer à sortir. Mais qu'est-ce qui pouvait provoquer tout cela ? Qu'est-ce qui ou qui est-ce qui les désintégraient tous ? Personne ne savait, et plus personne ne se lèverai pour essayer de le savoir.
-Maman ! Maman....Que se passe-t-il ? Pourquoi j'ai peur ? Devrais-je avoir peur ? demanda la jeune fille, perdue, ne regardant plus le spectacle mais la population environnante qui semblait grelotter de peur.
Sa mère l'observa tendrement, lui tenant la main pour essayer de la déstresser, de l'aider à aller mieux. Bellatrix ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Rien du tout. Tout était si étrange. Elle ne pouvait rien dire de rassurant à sa fille car elle ne savait rien de tout ce qui s'était passé. Ce n'était pas une opération des mangemorts, Voldemort l'en aurait informé et elle n'aurait pas emmener sa fille et sa petite amie. Voldemort, de toute façon, d'après les médias sorciers, n'était plus de ce monde.
Soudainement, trois personnes arrivèrent de l'extérieure. Ils avaient l'air puissants et dangereux. Probablement ceux qui avaient désintégrer les curieux et curieuses qui s'étaient enfuis du théâtre vivant, du cirque des monstres. Deux femmes et un homme. Les deux femmes étaient toutes deux brunes, l'une cependant plus vieille que l'autre et l'homme avait des cheveux blonds cendrés et un sourire avenant.
-Qui sont ces gens, Phoebe, tu les connais, demanda Bellatrix qui paraissait ne rien comprendre du tout.
Alors c'était eux qui les avaient désintégrer ? C'était cela ? Mais comment l'avaient-ils fait ? Et pourquoi, Bellatrix demandait à Phoebe cela ? C'était étrange. D'ailleurs, Phoebe n'avait jamais vue une Bellatrix aussi étonnée, aussi désemparée par les événements.
-Non. Et toi, tu les connais ? oui ou non, répliqua Phoebe, d'ailleurs pourquoi j'ai l'impression que tu devrais les connaître ? C'est p'tetre parce qu'ils ont l'air dangereux et prêts à en découdre. Comme toi et tes monstrueux de petits compagnons.
Les deux amantes se regardèrent droit dans les yeux. Comment la situation avait-elle pu dégénérer autant ? Quelques minutes auparavant, les deux femmes se remémoraient de bons souvenirs, des souvenirs magnifiques d'elles-deux où tout était toujours plus heureux, des souvenirs où elles s'aimaient toutes les deux et où rien n'aurait pu briser leur couple, des souvenirs d'avant la guerre et maintenant, les deux femmes ne pouvaient plus se les remémorer, ces belles pensées, elles étaient accaparé par les événements actuels. Leurs pensées n'étaient plus aux souvenirs, mais aux doutes et aux peurs, aux attaques et aux pleurs, aux accusations et aux malheurs.
Elles avaient peur de tout ce qui pouvait se passer, de ces gens étranges qui venaient d'apparaître de l'extérieure alors que les gens qui étaient allés voir ce qui dérangeait le spectacle étaient morts ou désintégrer. Il n'y avait pas de doute à avoir sur cela. C'était eux les monstres. Ceux qui avaient fait tout cela. Ceux qui les avaient tués et désintégrer. Personne n'était en sûreté et personne ne pensait l'être.
Pour le moment, pourtant, les deux femmes étaient entrain de régler des problèmes personnels, des accusations en l'air qui ne faisaient que les énerver plus encore.
-Je les connais, tu penses ? Tu penses vraiment que je les connais ? Eux ? Ces gens...
-Je te demande ça p'tetre parce que tu as des amis assez étrange, étonnant, glauque et qui pourraient très bien ressembler à eux. Tu es une mangemort, Bella. Il est évident que tu vois des gens tout aussi monstrueux qu'eux et peut-être que ces gens, tu les connaissait. Mais à l'évidence, non, à l'évidence, ces trois personnes glauques ne sont que des personnes glauques, répliqua Phoebe, le visage empli de doutes.
Le massacre continuait, les gens fuyaient et les trois monstrueuses personnes tuaient, fracassant crâne après crâne. La bambine aux joues roses criait et tirait sur la robe de sa mère. Il était temps qu'elles s'en aille, que tout le monde partent. Mais le temps, pour les deux anciennes amantes, était à la dispute, à la discussion.
-Eh ben, me regarde pas comme si tu savais quelque chose, comme si je t'avais menti ! Si je savais quelque chose, on serait pas aller ici, si c'était des mangemorts et qu'ils faisaient parties d'une des missions, je ne nous aurais pas fichus là. Pas avec toi. Pas avec la petite. Tu ne me fais vraiment plus confiance, tous nos souvenirs ne sont donc plus que des radeaux égarés pour toi ? Des choses lointaines qu'on ne devrait plus se rappeler, Bellatrix gronda, sa dernière phrase figeant Phoebe dans une expression étrange, un mixte entre confusion et colère.
Le bruit, dans le cirque tonnait. Les spectateurs comme les acteurs et danseurs fuyaient, les jambes à leurs cous. Les trois sorciers marchaient autour de chacun et leurs volaient leurs âmes. Ou du moins, c'était ce que Venusia voyait de son point de vue ridicule, près du pan de la robe de sa mère qui ne l'écoutait pas, bien trop occupé à se disputer avec son ex-petite amie.
-Je ne sais plus comment tu réagirais à cela. Je ne sais plus comment tu pourrais agir ni si tu réagirais. Après tout, ne sommes-nous pas entrain de nous disputer, une fois encore alors que l'on pourrait faire tant de choses encore ? Tu...Tu n'as de bonnes relations qu'avec moi et ta famille, à savoir ta fille et l'une de tes sœurs. Chaque choses que tu fais te rendent si étrange. Et monstrueuse, parfois. Tu tues des gens, Bella. Et moi j'enferme les tiens. Comment veux-tu que je te fasse confiance si dans tout les journaux que je lis, je vois qu'un nouveau délit à été commis, et par toi ?! Comment veux-tu que je fasse avec ça, demanda la rouquine, plus qu'énervée, se levant de son siège pour partir et quitter la femme qu'elle aimait.
En se levant, Phoebe découvrit le chaos abondant. Des dizaines de personnes couraient dans tous les sens tandis que les trois sorciers noirs avançaient calmement et sereinement vers leurs proies, leurs victimes. Ce n'était pas quelque chose qu'elle appréciait, la pagaille. En voir la fit frissonner et alors que Bellatrix allait répliquer, elle l'attrapa et la tira vers le haut, sa fille aussi. Les trois se précipitèrent alors au dehors, à l'extérieure comme les autre.
-L'as-tu trouvé, celle que l'on cherche, demanda la fille brune aux rides marquées à l'homme aux cheveux blonds cendrés.
Les pleurs de plusieurs enfants se firent entendre, ils ne se sentaient que plus mal dans les bras de cet homme.
-On finira par la trouver. J'en suis convaincu, répondit-il, passant sa main dans ses cheveux laqués.
De qui parlaient-ils donc ? Qui était la personne qu'ils cherchaient ? Qui qu'elle soit, cela n'enthousiasmait ni Phoebe ni Bellatrix. Elles avaient peur, encore une fois. Cela les effrayait. Peut-être était-ce elles ou alors la fille de l'une des deux, Venusia Lestrange ?
-C'te gosse, c'est quoi son nom déjà, demanda l'autre, la plus jeune des deux brunes.
Une enfant ? Un gosse ? Bellatrix regarda sa fille, effrayée. Venusia correspondait à cela. C'était une enfant. C'était une bambine. Tout était si étrange, horrible et bizarre. Comment cela pouvait être le futur, ce qui était leur vie ? La jeune brunette prit sa fille par la main, courant vers l'extérieure, Phoebe à ses côtés.
-Qu'y a-t-il ? Pourquoi tu cours comme cela, demanda la rousse à la brune tandis qu'elle reprenait son souffle prêts d'un arbre à l'extérieure du cirque.
Elles avaient réussi. Pour le moment, elles étaient en sécurité. Elles étaient saines et sauves toutes les trois entourées d'autres rescapés de ces événements. Certains semblaient reconnaître la grande mage noire, bras droit de Voldemort mais aucun d'eux n'allaient le dire. Ils venaient d'échapper à une menace, ils ne voulaient pas en rencontrer une autre. Plutôt croire et penser que celle-ci n'était qu'une inconnue comme les autres, une autre de ces personnes qu'ils ne connaissaient pas au lieu de clamer une fois encore qu'ils étaient en danger, et selon ce qu'ils savaient de Bellatrix, en créer un.
-Ils parlent d'une enfant, d'un bambin. Ils veulent trouver une fille. Donc, possiblement la notre. Et je ne veux pas qu'on me vole ma fille, ma petite démone qui me ressemble, déclara Bellatrix, froide et féroce comme certains pensaient qu'elle était réellement.
Bellatrix était énervée, elle ne comprenait pas qu'on puisse l'imaginer sans sa fille dans ses bras et elle ne comprenait pas réellement pourquoi Phoebe lui demandait cela. C'était le bordel à l'intérieur, le bazar totale. Autant s'en éloigner que rester à leur mercis. Bellatrix aimait sa fille tendrement et c'était tout ce dont elle avait besoin de comprendre sur elle. Elle l'aimait donc elle la protégeait, la sauvant de danger qu'il valait mieux qu'elle évite. Pour elle, elle serait même prête à défier Voldemort. Pour sa fille, elle serait capable de tout et de rien, de pleins de choses à la fois, de beaucoup trop de choses. Pour sa fille, la jeune mangemorts briserait ciel et terre, cassant mer et océan.
-Toi, lorsqu'il s'agit de ta petite Venusia, tu serais prête à tout, répliqua la sorcière faisant partie de l'ordre à la sorcière qui était devenue mangemorts.
Phoebe avait dit cela avec un petit sourire, c'était une des choses qu'elle avait toujours trouvé mignonne chez Bellatrix. La brunette avait toujour été prête à tout faire pour aider sa famille. Jeune, déjà, Bellatrix se blâmait de tout ce qui était blâmable pour protéger celles qui étaient ses sœurs et ceux qui étaient ses cousins, elle prenait des punitions à leur place. Elle était la grande sœur, la grande cousine. C'était son rôle, ce qu'elle devait faire, ce qu'elle faisait rien que pour protéger les plus jeunes de sa famille.
Même si...Sa vision de la famille n'était pas toujours la meilleure. Elle trouvait important que tous soit lié, que chacun veulent rester ensemble et elle ne pouvait comprendre ce que l'une de ses sœurs avait fait. Elle l'aimait toujours, oui, mais elle ne lui dirait jamais. Et c'était une des choses qui lui faisait le plus de mal. Elle était très proche de ses deux sœurs et devoir perdre l'une d'entre-elles, celle qui la gardait dans la lumière plus que l'autre, ce n'était pas une chose qu'elle avait voulue vivre. Phoebe avait remarqué que depuis que la sœur de l'héritière Black n'était plus là, des choses avaient changé en Bellatrix.
En réalité, Bellatrix jalousait Andromeda. Celle-ci avait réussit à partir, à fuir une famille toxique qu'on ne pouvait que détester et à rencontrer quelqu'un qui l'aimait vraiment et avec qui elle était heureuse, dans un mariage heureux, avec une fille dont l'enfance avait été heureuse. Quelque chose que Bellatrix aurait voulue faire mais ne l'aurait jamais pu. Bellatrix, encore une fois, voulait protéger la sœur qu'elle aimait, la seule sœur qui lui restait et la seule qui avait besoin de son aide.
Les gens qui les entourait, partaient, rentrant chez eux, dans leurs voitures magiques, par un magicobus ou alors par un portoloin. Phoebe et Bellatrix devraient faire la même chose de leur côté, pourtant, encore une fois, sonnées par tout ce qui s'était passé, les deux femmes marchaient tranquillement dans la forêt, la bambine dans les bras. Des bruits se firent entendre, Phoebe frissonna, suivie par Bellatrix, qui pour une fois, ne se sentait pas à son meilleur potentiel. Ses gens, ils n'étaient pas à combattre, elle le savait. Ils avaient quelque chose dans leurs yeux. Quelque chose qui semblait montrer qu'ils étaient invincibles.
-On...On devrait se dépêcher, ils arrivent. Ils viennent à peine de sortir du cirque, répliqua Bellatrix tandis que sa fille s'endormissait dans ses bras.
Phoebe acquisa. Les deux femmes avançaient de plus belles. Soudain, les deux femmes qui venaient à peine de se quitter furent encerclées. Ils étaient bien plus que ce que les spectateurs avaient pensé. Plus que trois en tout cas. Il y avait plusieurs personnes, tous avec la même lueur dans leurs regards, le même quelque chose dans leurs yeux, la même flamme, la même étincelles que les trois autres. Ces derniers s'étaient d'ailleurs rapprochés et tenaient d'ailleurs la main de la jeune Lestrange, l'enfant qu'ils cherchaient.
-Eh bien, eh bien, nous nous rencontrons enfin, Venusia. Venusia Lestrange. Quel plaisir de vous voir, hôte de notre sagesse, hôte de notre âme...
-Qu'est-ce que vous lui faites, laissez ma fille tranquille, interrompit Bellatrix en leur prenant leurs mains, réussissant à déjouer la connexion qu'il y avait entre les trois monstres et sa fille.
Bellatrix ne savait pas ce qu'ils tentaient de faire mais cela ne lui plaisait absolument pas. Venusia ne devait pas donner la main à des inconnus, à des gens qu'elle ne connaissait ni d'Ève ni d'Adam et d'ailleurs, la jeune fille ne l'avait jamais fait. Aujourd'hui, on l'avait forcé, arrachée aux bras de sa maman alors que celle-ci dormait dedans.
-C'est comme cela que l'on nous traite ? Alors même que nous ne faisons que nos affaires, nous ne nous melons pas des autres, nous. Cette jeune fille...a une destinée. Eh bien, elle ne l'aura que dans des mauvaises conditions. Nous allons la maudire pour vous punir de nous avoir interromput. répliqua la voix de l'homme tandis que les deux femmes reprenaient les mains de Venusia dans les leurs.
L'autre le fit, Venusia pleura, sans doute au contact de cette mains mal raser, abîmée par le temps et les époques. Les trois rièrent. Ils n'étaient que malveillance et monstruosité. Alors, pour essayer de récupérer sa fille de ces meurtriers, Bellatrix décida d'en combattre une, cette fille, là, la plus jeune des deux brunes. Elle lui semblait moins forte et en plus mauvaise posture que l'autre.
-Avada Kedavra, Bellatrix gronda, sa baguette en l'air, Phoebe, derrière elle, étonnée et apeurée de tout ce qui se passait.
La baguette obéit à sa volonté, étincelante de vert, un vert qui courut vers la femme et deux secondes plus tard, le corps de cette femme gisait au sol, ce qui laissait un passage à Bellatrix pour récupérer sa fille des mains du diable. Soudainement alors que Bellatrix s'approchait, le corps de la morte revient à la vie, celle-ci renaissant de ses cendres comme un phénix l'aurait fait. Bellatrix n'avait jamais vue cela de ses propres yeux, elle ne savait même pas que c'était possible, de mourir et de se remettre de cela, de vivre à l'éternité. Il y avait bien les vampires qui vivaient éternellement. Ou tout du moins bien plus que d'autres. Ceux-ci souffraient de l'ail, des rayons du soleil et de l'argenterie. Mais eux n'avaient pas l'air de souffrir de cela. Et de plus, ils n'avaient pas les canines qui faisaient la réputation des vampires.
-Tu vas nous laisser la maudire, à la fin, tonna la voix de l'homme, sortant sa baguette de sa poche et usant d'un sortilèges d'immobilisation sur les deux femmes, sur les deux anciennes amantes.
Des cris et des pleurs, ceux de Venusia qui voyait sa mère impuissante, une mère qui à présent ne pouvait l'aider.
-Enfin seuls avec toi, ma jolie, commença la femme aux cheveux bruns et aux rides marquées, hihihi, on va bien s'amuser.
Cris et pleurs ne faisaient que s'accroître, Venusia ne sachant pas quoi faire ni quoi dire, elle était perdue, seule, destinée à se faire maudire par ses gens qui étaient venus pour faire elle ne sait pas quoi sur elle puisque c'était elle qu'ils avaient cherchés.
-Meryl, enfin, reste professionnel, on te l'a déjà dit, ne t'amuses pas avec nos petits nouveaux, répliqua un de ceux qui n'étaient pas responsables directement du massacre au cirque.
Les bruits de leurs voix ne faisait qu'accentuer la peur qu'avait Venusia au fond d'elle. Chacuns et chacunes paraissaient féroces et monstrueux, de vrais monstres, peut-être pire encore que ce qu'était les mangemorts. Il fallait juste découvrir qui ils étaient, eux, eux qui n'avaient toujours rien révélé et qui disaient que Venusia était une des leurs, une petite nouvelle.
-À l'âge de tes dix-septs années d'existence, Venusia, tes proches ne te verrons plus de la même manière, tu deviendras monstre à leurs yeux. Et la mort te sera action impossible. Le désespoir te consommera, et tu nous reviendras de droit, rapportant ce qu'elle veut. Cependant, si tu découvres....
Le sorcier fut coupé dans sa phrase par les yeux noirs d'une de ses acolytes, celle qui aimait s'amuser avec les petits nouveaux. Elle n'aimait pas ce que celui-ci disait et l'homme l'avait très bien vu, se coupant alors lui-même en pleine phrase, évitant de la finir.
-Combien de fois il faut te dire de ne pas parler du "Cependant". Genre ton but secret, c'est de les aider à s'échapper de la malédiction, de la destinée qui les attends, demanda la dite Meryl, une main dans ses cheveux, l'autre tenant la main de la petite fille qu'ils devaient désormais maudire tous ensemble.
Celui-ci s'excusa platement, trouvant que cela rapportait un peu plus de challenge, la personne maudite voulant défaire sa malédiction grâce aux choses qui lui avait échapper. Ils chantèrent tous en cœur dans une langue inconnue, probablement une langue démoniaque et disparurent après avoir mis fin à leurs sortilèges d'immobilisation.
Bellatrix se mit à les chercher, voulant en découdre, mais ne les découvrit point. Seule Venusia était là, à la place où elle avait été lorsqu'elle tenait la main de ceux-là. Bellatrix se rapprocha alors de sa fille, la prit dans ses bras, la câlinant comme une maman qui avait eue peur pour son enfant l'aurait fait. Les yeux de sa fille avait changé, on n'y voyait plus que du blanc, son corps semblait trembler de peur et s'élever un peu plus haut, ne prenant pas en compte la gravité.
-Je te promet que si maman les retrouve, ces monstrueuses personnes qui t'ont touchés, je les détruirait un par un, répliqua chaleureusement Bellatrix à sa fille avant de rentrer au manoir Lestrange à l'aide de son balais magique, Phoebe derrière elle.
Tout devait être finit. Tout devait recommencer. Bellatrix et sa fille n'auraient jamais été ici, n'y seraient pas allées. Tout aurait été mieux si Bellatrix avait emmenée Phoebe et sa fille dans un autre endroit, un endroit qu'elle savait sûr et où allait tout le temps lorsqu'elle était encore adolescente. Le cinéma des pauvres, des minorités, de l'égalité, des amours d'un siège, des lesbiennes, des gays, des bisexuels.les, de tout ce qui fachait au sein de la société. Ici, Venusia n'aurait pas croisé de mage noir qui aurait voulue la maudire ou quoique ce soit d'autre. Les deux femmes n'auraient fait que se souvenir de divers jours où elles y étaient allées, de grands et beaux souvenirs.
Tout serait parfait, dans le bonheur des choses, personne ne serait mort dans le périmètre et ce serait bien mieux. Personne n'aurait été maudite à vivre sans apprécier la vie en elle-même et à ne pouvoir mourir, vivant jusqu'à la fin des temps, immortel.le. Mais ce n'était pas ce qui s'était passé. Des gens étaient morts. Venusia avait été maudite. Phoebe et Bellatrix ne se reverraient plus.
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