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• chapitre 45

Jisung avait repris ses habitudes ; rentrer chez lui après les cours, se préparer un repas rapide, plonger dans ses révisions, jouer un peu de guitare s'il avait quelques minutes de libres. Il essayait de ne pas trop cogiter, de s'occuper l'esprit, mais ce n'était pas si facile. Minho lui manquait. Ne plus le voir le matin avant de partir à l'université, ne plus croiser son regard le soir pendant le dîner, ne plus pouvoir l'effleurer discrètement quand il passait à côté de lui pour à son tour occuper la salle de bain. Toutes ces petites choses pourtant insignifiantes pour certains lui manquaient. En quittant l'appartement, il savait que ce serait difficile de retrouver sa vie d'avant, mais il était loin de se douter que ce serait aussi insoutenable. Cétait bien pour cela qu'il cherchait à tout prix à ne pas y penser, sinon son cœur se serrait de douleur et les larmes lui montaient.

Et ce soir, pour éviter de se retrouver seul, Felix était venu chez lui afin qu'ils regardent un film en buvant du soju qu'ils étaient allés chercher à la supérette du coin. Même si son ami pouvait se montrer agaçant parfois, un peu trop enjoué et bruyant, il appréciait sa compagnie et ses conseils en matière d'histoire de cœur. Bien sûr, toutes ses suggestions n'étaient pas bonnes à prendre, ils étaient différents et n'avaient pas la même manière d'appréhender les choses, mais il pouvait compter sur Felix pour être compris et soutenu.

— J'ai plus de chips, se plaignit le jeune homme avec des yeux de chien battu.

Jisung lui tendit son paquet, il n'avait plus d'appétit ces derniers temps.

— Finis les miens.

— Mais… Jisung.

Felix se tourna légèrement vers lui, juste assez pour capter son regard. Aussitôt son camarade détourna les yeux, feignant de se concentrer sur l'écran de l'ordinateur posé sur la table basse. Il se pencha pour attraper la bouteille de soju à la mandarine et en but deux grosses gorgées.

— Ji, sérieusement, t'es déjà pas épais, alors si tu arrêtes de te nourrir comment tu vas finir ?

Il soupira. Felix se souciait de lui, et c'était vraiment très gentil de sa part, mais il ne l'avait pas fait venir pour qu'il lui fasse la morale. Ça ne partait pas d'une mauvaise intention, bien au contraire, mais il voulait juste passer un bon moment avec son ami et ne plus penser à celui qui lui manquait tant. Cependant, il se rendait bien compte que malgré la présence de Felix, Minho parasitait ses pensées. Il était là, sans cesse, et des tonnes de questions l'accompagnaient.

Que faisait-il ? Avec qui était-il ? Pensait-il à lui ?

— Désolée, c'est… c'est ridicule.

— Non Ji, c'est pas ridicule. Mais tu peux pas te morfondre comme ça éternellement.

— Je sais, souffla-t-il. Et crois-moi, je préférerais pas ressentir tout ça et penser qu'à lui.

Felix lui caressa affectueusement le dos.

— Je me doute. Quand t'es amoureux ça se contrôle pas.

Jisung se redressa et fusilla son ami du regard, comme s'il venait d'insulter ses ancêtres. Il resta fixé sur lui pendant quelques secondes, et Felix l'observait en retour, un sourcil haussé.

— Quoi ? J'ai pas raison ?

— Non, bien sûr que non ! cracha Jisung. Je suis pas amoureux !

Son ami ne cilla pas et ils continuèrent à se défier du regard jusqu'à ce que l'un d'eux ne craque. Felix leva les mains en signe d'abandon et il se réinstalla confortablement dans le canapé-lit, plongeant sa main dans le paquet de chips pour en mettre une poignée dans sa bouche. Jisung resta pantois, étonné par le fait qu'il ne cherche pas à insister pour prouver qu'il avait raison. Mais ce n'était pas pour cela qu'il cessait de penser à Minho. L'homme était toujours là, dans sa tête, et il n'arrivait pas à s'en débarrasser. Il l'avait marqué au fer rouge, au plus profond de son être. Une semaine sans lui, c'était insoutenable. Une semaine sans entendre sa voix. Une semaine sans sentir son parfum. Sans toucher sa peau douce. Sans embrasser ses lèvres tentatrices.

Déjà une semaine de trop.

Il pouvait essayer de se convaincre qu'il n'était pas amoureux, il savait pertinemment que Felix avait visé juste. Il l'était bien plus qu'il ne l'aurait imaginé. Et c'était difficile à encaisser, parce qu'il ignorait où tout cela allait le mener. Il n'y avait pas de solution, Minho était marié à sa demi-sœur, il ne pouvait rien attendre de lui. La situation était trop complexe et il savait que ce qu'il ressentait pour cet homme ne pourrait rien donner. Il pouvait en être amoureux, ses sentiments étaient voués à rester cachés aux yeux du monde. Ils pouvaient s'aimer en secret, tromper tout le monde, mais ils ne seraient jamais pleinement heureux.

— Et merde, soupira-t-il en basculant la tête en arrière.

Il ravala sa salive, et ses larmes aussi. Pourquoi avait-il fallu qu'il jette son dévolu sur son beau-frère ? Il aurait pu rencontrer quelqu'un d'accessible, avec qui tout aurait été bien plus facile. Mais comme le disait si bien Felix, ces choses-là, ça ne se contrôlait pas.

— Pourquoi c'est si compliqué ? Le seul gars duquel je tombe amoureux est mon putain de beau-frère, qui n'aime même pas ma demi-sœur.

Il laissa échapper un soupir de frustration, son esprit tourmenté par cet amour interdit. Le poids de la situation pesait sur ses épaules, et il se sentait piégé dans un dilemme émotionnel impossible à résoudre. Il savait que son cœur le conduisait vers un chemin semé d'embûches, mais il se sentait impuissant face à l'attraction qu'il ressentait pour Minho. Et alors qu'il se débattait avec ses émotions, une seule pensée persistait dans son esprit : pourquoi devait-il être tombé amoureux de la personne la plus inaccessible qui soit ? Par compassion, Felix lui tapota le genou et se pencha vers la table pour ouvrir une nouvelle bouteille de soju.

— Allez, noie ton chagrin dans l'alcool.

Jisung repoussa doucement la bouteille, une grimace pendue aux lèvres. Il avait déjà bien trop bu, assez pour avoir la tête qui tourne et mal à l'estomac. Il se leva, essuyant ses yeux larmoyants et se dirigea vers la fenêtre sur laquelle une rafale de vent fit battre la pluie.

— Temps de merde, cracha-t-il.

— Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville, lança Felix.

Aussitôt, Jisung se tourna vers lui, les sourcils froncés.

— Qu'est-ce que tu racontes ?

— C'est un poème de Verlaine, adapté à ta situation.

Il grimaça à nouveau et sursauta quand la sonnerie retentit dans son studio. Felix se leva et lui proposa de répondre à l'interphone, mais Jisung préféra le faire lui-même. Son index s'écrasa sur le bouton.

— Oui ? dit-il d'une voix incertaine.

Il ne s'attendait pas à une quelconque visite aussi tardivement. Une voix familière lui répondit de l'autre côté, faisant battre son cœur plus fort.

— C'est Minho.

Son pouls s'accéléra, sa respiration se coupa. Il sentait un mélange de panique et d'excitation parcourir son corps. Il se tourna vers Felix, comme pour chercher de l'aide, mais ce dernier haussa simplement les épaules, tout aussi perplexe que son ami.

— Minho, mais… qu'est-ce que tu fais là ?

— Je… je voulais te voir, dit-il avec hésitation. Je peux entrer ?

Le cœur de Jisung tambourinait dans sa poitrine. Minho était là, au pied de son immeuble  et il ne savait pas quoi faire. Devait-il lui ouvrir ? Devait-il le laisser entrer et affronter toutes les émotions tumultueuses qui se bousculaient en lui ? Il se tourna une fois de plus vers son camarade qui hocha vigoureusement la tête cette fois.

— Oui, bien sûr !

Il ne pouvait pas laisser Minho seul dehors et par un temps pareil. Peu importe ce qu'il ressentait et toutes les questions qui venaient l'assaillir. Il appuya sur le bouton pour déverrouiller la porte du hall de la résidence.

— Vas-y, entre. Tu connais le chemin.

— Oui, merci.

Jisung resta immobile pendant de longues secondes avant de se tourner vers Felix, pris de panique. Il se précipita vers la table de salon pour attraper les bouteilles de soju et autres cannettes de bière comme s'il voulait dissimuler les preuves, comme s'il avait organisé une fête en l'absence de ses parents. Il apporta tout dans la cuisine, mais ne trouva pas d'endroit où les dissimuler et il en fit tomber dans la manœuvre.

— Putain ! pesta-t-il.

Il tenta de les ramasser, mais il avait la tête qui tournait alors il abandonna, surtout que Minho venait de frapper à la porte. Non pas sans crainte il alla ouvrir. Leurs regards s'ancrèrent aussitôt l'un dans l'autre avant que Jisung ne détaille l'homme devant lui. Il était trempé — sans doute s'était-il pris l'averse — et il tenait un sac de voyage. Il se décala pour lui permettre d'entrer dans son studio et Minho se figea lorsqu'il remarqua Felix toujours installé dans le canapé.

— Je dérange peut-être.

— Non, t'en fais pas c'est…

Comprenant la situation, Felix se leva et attrapa son manteau à la volée.

— J'allais partir !

Tout sourire, le jeune homme les salua et disparut du studio en un coup de vent. La porte fermée, le silence s'installa dans la pièce tandis que Minho et Jisung restaient là, debout l'un devant l'autre.

— J'aurais dû te téléphoner d'abord, si j'avais su que tu étais occupé…

— Non, t'en fais pas c'était juste une soirée entre amis.

L'homme posa les yeux sur les bouteilles qui jonchaient le plan de travail, Jisung déglutit. Il ignorait quoi dire ou quoi faire. La venue de Minho le prenait de court et il n'avait plus les idées très claires, cette présence le perturbait au plus haut point. Surtout qu'il n'était pas comme d'habitude, sûr de lui, indestructible et fort. Là, Jisung le voyait affaibli, brisé, sans aucune envie de lutter. Il reluqua une fois de plus son sac et se demanda ce qu'il pouvait bien contenir, même s'il pensait deviner.

— Tu, euh…

— Je me suis engueulé avec Dayoung, avoua-t-il.

Un silence prit place avant que Jisung ne lui propose de poser ses affaires quelque part et d'enlever son manteau. Pas besoin d'en dire davantage, il avait compris.

— T'es trempé, tu veux aller te sécher ?

Il hocha la tête mais ne dit rien. Jisung décelait la gratitude dans ses yeux fatigués et vitreux.

— Tu veux que je te prête des vêtements confortables ? Ou tu en as pris ?

— Je… je veux bien. J'ai mis un peu n'importe quoi dans mon sac.

Il ouvrit son armoire et sortit un jogging ainsi qu'un t-shirt large, puis il le conduisit dans la minuscule salle de bain. Le mutisme de son amant lui brisait le cœur car il savait qu'il n'allait pas bien. Ce n'était pas la première fois qu'il le voyait ainsi, aussi vulnérable et désemparé, mais ça le bouleversait profondément. Il le laissa seul dans la salle de bain, lui donnant un moment d'intimité pour se remettre de ses émotions. Pendant ce temps, il s'occupa de ramasser les bouteilles vides et ranger un peu la pièce, essayant de se calmer et de rassembler ses pensées.

Quelques minutes plus tard, Minho réapparut, le teint blême et le regard toujours aussi fatigué. Jisung expira doucement, il avait beaucoup de mal à aller vers lui car il craignait qu'il ne le repousse. Pourtant, s'il était venu jusqu'ici, ce n'était pas pour rien. Il aurait très bien pu prendre une chambre d'hôtel ou même aller à la concession. Mais il était là, dans son petit studio en désordre.

— Tu veux t'asseoir ? Boire quelque chose ?

Minho secoua la tête et fit un pas vers le jeune homme. Il saisit un de ses poignets et le tira vers lui pour l'enlacer de toutes ses forces. Jisung ferma instantanément les yeux et se laissa faire. Il entendit le cœur de son partenaire battre plus fort, sa respiration se faire plus saccadée, et il répondit à son étreinte avec l'impression que le temps s'était arrêté. Que le monde qui les entourait s'était mis en pause pour leur permettre de se perdre dans cet instant chargé de soulagement. Les tensions s'évaporaient, ils se retrouvaient enfin et les questions de Jisung avaient disparu. Dans les bras de Minho, il ne pensait plus à rien. Tout ce qui comptait était leur proximité.

— Tu m'as tellement manqué, soupira l'homme.

Jisung resserra son étreinte sur sa taille et chercha à se coller davantage. Il avait envie de se fondre en lui, de ne faire plus qu'un, mais pas d'une manière sexuelle. Ce soir, c'était différent. Il voulait Minho, dans ses bras, dans ses draps, pour sentir qu'il était bel et bien là. Pour s'imprégner de son parfum, de sa présence, de sa chaleur.

— Tu m'as manqué aussi. Énormément.

— J'aimerais tellement que tu reviennes vivre à l'appartement. Tout était plus agréable.

Jisung se recula légèrement et leva les yeux vers Minho. Était-ce une façon de lui avouer ses sentiments ? Il n'en savait rien et puisqu'il n'avait pas envie de tout gâcher, il préféra garder sa question pour lui. Parler de tout cela maintenant et ouvrir son cœur demandait trop d'énergie et d'implication. Il n'en avait pas la force. Et l'état de Minho lui laissait penser qu'il n'en avait pas non plus.

— Je vais déplier le lit, on a qu'à s'y installer, ce sera plus confortable.

L'homme acquiesça et Jisung s'exécuta. Il sortit deux gros oreillers du placard ainsi que son épaisse couverture, puis ils se glissèrent dessous. Les minutes s'écoulèrent dans un silence apaisant, seulement troublé par le bruit de la pluie battante contre les fenêtres. Jisung sentait la chaleur du corps de Minho contre le sien, une sensation réconfortante qui lui rappelait les moments passés ensemble. La tête de l'homme reposait sur son épaule et il en profita pour passer doucement la main dans ses cheveux humides.

— Tu veux en parler ? demanda finalement Jisung.

Minho hésita un instant avant de soupirer lourdement.

— Je ne sais pas par où commencer… Tout est si compliqué en ce moment, dit-il.

Il se serra davantage contre le jeune homme, ce dernier intensifia les caresses dans ses mèches brunes, cherchant une manière de le détendre et de le rassurer. Il ne voulait pas le forcer à parler si c'était douloureux, mais il se mettait à sa place et peut-être que ce soir, pour une fois, Minho avait besoin de vider son sac. D'être écouté et soutenu. À force de se cacher derrière un air impassible, à force de vouloir tout gérer seul, il se détruisait à petit feu.

— Tu n'as pas besoin de tout dire d'un coup, murmura-t-il. Prends ton temps, je suis là pour toi.

— Dayoung me reproche de ne pas assez m'investir dans notre… relation. En fait, depuis que tu es parti, c'est difficile pour moi de passer du temps à l'appartement quand elle est là. J'ai toujours cette sensation qu'elle attend plus de moi, quelque chose que je ne pourrai jamais lui offrir. Je me suis énervé, je lui ai dit d'aller se faire foutre et…

Il secoua la tête, comme s'il regrettait.

— Je voulais pas entrer en conflit, je voulais l'ignorer mais ce qu'elle me reprochait, ce qu'elle me demandait, c'était au-dessus de mes forces.

Jisung déglutit. Il pouvait facilement deviner les attentes de Dayoung. Sans doute plus d'attention, plus d'affection. Plus d'amour. Mais comment Minho aurait pu lui donner tout cela ? Il ne pouvait pas aller si loin et jouer un tel rôle.

— Minho, faut que je te pose une question.

Il releva la tête vers lui et fit un petit signe pour l'encourager. Jisung continua :

— Elle t'a épousé à cause de mon père et son entreprise, mais est-ce qu'elle le savait ? Je veux dire, mon père lui a bien expliqué les enjeux ? Et elle sait que tu es… gay ?

— C'est la seule chose qu'elle ignore, mon père m'a interdit d'en parler à qui que ce soit. À part ça, oui, elle était au courant de tout. Je n'ai jamais été vraiment avenant avec elle et pourtant, elle a accepté le mariage. J'avais espoir qu'elle refuse tu sais, même si mon père aurait trouvé une autre femme à qui me marier, mais elle n'a rien lâché. Pour votre père je pense, pour ne pas le décevoir et se sentir utile. Et je crois qu'elle s'est imaginée pouvoir me faire changer.

Jisung n'arrivait pas à comprendre. Dayoung était une femme qui n'avait besoin de rien, de personne, qui avait une carrière en or et une renommée mondiale. Elle n'avait pas besoin d'argent, et surtout pas d'un mariage arrangé. Accepter cette union pour faire plaisir à son père et lier son entreprise à une autre, c'était tout bonnement insensé.

— C'est n'importe quoi, putain… Et c'est tellement injuste !

Minho esquissa un faible sourire, empli d'amertume.

— La vie n'est pas toujours juste. On fait avec ce qu'on a. Moi aussi j'ai accepté cette situation, parce que je n'avais que ça. Alors à quoi bon ? Je m'y suis résigné, et voilà où j'en suis.

Il ponctua sa phrase d'un rire sarcastique. Jisung se rendait compte qu'à part son travail, Minho n'avait rien. Il avait relégué qui il était au second plan depuis longtemps, pour ne pas froisser son père, pour ne pas entacher la réputation de son affaire, pour ne pas perdre la seule chose qui le maintenait hors de l'eau. S'il avait perdu son héritage, qu'aurait-il fait ? Toute sa vie s'était bâtie sur l'idée de marcher sur les traces de son père, depuis sa plus tendre enfance il était destiné à reprendre le flambeau.

— Qu'est-ce que tu veux faire ? demanda Jisung.

— Rester là un peu, si tu es d'accord. Je n'ai pas pensé à te téléphoner avant, j'ai pris des affaires et je suis parti. J'ai roulé jusqu'ici, un peu comme… une évidence.

Le cœur de Jisung fit un bond dans sa poitrine et un petit sourire étira ses lèvres.

— Bien sûr que je suis d'accord. Tu peux rester pour le week-end, même plus si tu veux.

D'une petite voix, Minho le remercia et vint se blottir contre lui. Jisung le serra dans ses bras, espérant l'apaiser des tourments qui venaient l'accabler. Avoir Minho près de lui était si agréable, mais il aurait aimé que ce soit dans d'autres circonstances. Il eut envie de se dévoiler, d'avouer ses sentiments, mais il s'en empêcha pour ne pas gâcher cet instant. Car il savait que rien ne serait facile, et qu'ils vivraient des jours de doutes, de craintes, qui les feraient souffrir.

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