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• chapitre 28

Cela faisait maintenant plus d'une semaine que Jisung n'avait pas eu de vrai contact avec Minho. Et ça commençait à lui manquer. Depuis le retour de Dayoung, ils n'avaient pas eu un seul moment rien que tous les deux, à part en voiture quand ils devaient se rendre à la concession. Leurs discussions se résumaient à des banalités et c'était frustrant. Très frustrant. Jisung avait l'impression que leur relation avait reculé, comme si ce qui s'était passé en l'absence de sa demi-sœur n'avait jamais existé. Il allait même finir par croire qu'il avait tout simplement rêvé ces instants avec Minho ; leurs baisers, les caresses dans le canapé, le bain et leur discussion le matin sur la terrasse.

Ça commençait à vraiment l'agacer. Il voulait bien faire des efforts et essayer d'aller vers l'homme, mais il ne pouvait pas être le seul à vouloir avancer. Si Minho n'y mettait pas du sien, ça n'allait pas être simple. Avec son caractère bien à lui, ses sautes d'humeur et son attitude changeante, il ne lui facilitait pas la tâche. Il n'était déjà pas bien loquace en temps normal, mais ces derniers jours il était étrangement silencieux.

Jisung perdait patience. Il rongeait son frein et chaque jour de plus passé à attendre un signe de sa part ne faisait qu'alimenter l'énervement qu'il ressentait face à cette situation. Il était temps d'avoir une vraie discussion avec Minho. Il pouvait bien lui faire de grands discours sur le fait qu'il n'appréciait pas les personnes indécises et qu'il ne voulait pas qu'il lui fasse perdre son temps, mais il n'était pas mieux.

Alors quand le vendredi arriva et qu'il eut terminé ses cours de la journée, Jisung envoya un message à Minho afin qu'il vienne le chercher à l'université. La réponse ne se fit pas attendre, l'homme lui indiqua qu'il serait là au plus vite. Étonné, Jisung rangea ses affaires en quatrième vitesse sous les regards curieux de ses amis. Il ne s'attendait pas à ce que son beau-frère accoure de la sorte après ces derniers jours à quasiment l'ignorer. Cependant, il était déterminé à lui demander des explications concernant son attitude évitante.

— Il vient te chercher ? demanda Ryujin alors qu'ils rangeaient le reste du matériel.

— Hm, oui.

— Tu vas lui parler ?

Jisung hocha la tête en enroulant un câble autour de sa main gauche. C'était important qu'il comprenne davantage comment fonctionnait Minho, mais qu'il lui montre également qu'il n'était pas une girouette. Ce n'était pas seulement quand il voulait, quand il était disposé à lui donner des miettes. Il ne voulait pas être un jouet qu'on prenait quand c'était arrangeant. Même s'il était d'accord pour avoir une aventure avec Minho et qu'elle soit purement sexuelle, il avait quand même des sentiments et n'avait pas envie d'être blessé. Après tout, il était humain. Il voulait aussi que ses désirs soient pris en considération, qu'il soit écouté et traité décemment.

— Il est spécial quand même.

Jisung soupira. Ryujin n'avait pas tort, ça il l'admettait volontiers. Il n'avait jamais rencontré quelqu'un comme Minho et il avait beaucoup de mal à le cerner. Il était on ne peut plus clair qu'il avait un mode de fonctionnement bien à lui, très différent de ce qu'on pouvait appeler « la normalité » et qui s'avérait déroutant. Jisung avait l'impression qu'il ne le faisait pas exprès, qu'il n'en avait même pas conscience parfois. Mais ce n'était pas pour autant qu'il devait tout encaisser. Certes, il n'était pas très à l'aise à l'idée d'oser lui faire des remarques sur sa manière de se comporter, mais il ne pouvait pas non plus accepter sans rien dire.

— Je sais pas ce qui lui passe par la tête… Des fois j'aimerais juste comprendre pourquoi il est comme ça.

Ryujin lui tapota l'épaule en signe de compassion. Un nouveau soupir échappa au jeune homme, le poids de la frustration s'accumulait sur ses épaules. Il avait peut-être réussi à atteindre Minho, mais il avait la sensation de le perdre jour après jour. Ce n'était pas facile avec Dayoung dans les parages, et il ne demandait pas non plus à ce qu'il lui saute dessus pour l'embrasser sans retenue. Juste un regard complice, juste un sourire équivoque. Quelque chose qui lui prouvait qu'il avait toujours envie de lui.

— Il est temps de lui poser la question et peut-être que la réponse t'aidera à comprendre pourquoi il se comporte ainsi.

Jisung hocha la tête en signe d'approbation. Il avait atteint un point où la communication directe devenait cruciale. Leurs attentes l'un envers l'autre méritaient d'être clarifiées pour éviter de laisser place à des malentendus. Minho était un homme atypique, ça ne faisait aucun doute, mais Jisung ne pouvait pas se contenter de ça et attendre qu'il se décide à lui accorder de l'attention. Ce n'était pas une histoire de couple, mais ils étaient deux dans cette relation et il était primordial qu'ils soient sur la même longueur d'onde.

Quand il eut rangé les derniers câbles dans la réserve, son téléphone vibra dans la poche arrière de son jean. Minho l'attendait au même endroit que d'habitude.

Accompagné de Ryujin, il sortit du campus et se dirigea vers l'arrêt de bus. Plusieurs étudiants attendaient et semblaient subjugués par la voiture garée plus loin. Cette fois, Minho était au volant d'une Lamborghini jaune. Le cœur battant la chamade, il se dirigea dans sa direction. Tous les regards s'étaient braqués sur lui tandis qu'il arrivait à proximité du véhicule et quand il se tourna pour saluer Ryujin, il ne put que constater qu'il était bel et bien l'attraction du moment.

Il grimpa rapidement dans la voiture et boucla sa ceinture, gardant son sac à dos entre ses bras. Minho redémarra aussitôt, sans même lui adresser un mot. L'ambiance était pesante. Trop pesante.

— Vous allez bien ? demanda Jisung pour briser la glace.

Minho sembla surpris par la question. Il ne s'attendait sans doute pas à ce qu'il engage la conversation. Il fronça les sourcils et accéléra légèrement.

— Oui, et toi ?

Son ton était incertain, comme s'il se méfiait. Comme s'il appréhendait quelque chose.

— Hm, ça pourrait aller mieux.

— Ah oui ? Qu'y a-t-il ?

Jisung passa la langue sur ses lèvres. Il devait se lancer, il devait être honnête et montrer à son beau-frère qu'il n'était pas un lâche, qu'il pouvait le confronter. Il inspira à pleins poumons avant d'expirer bruyamment.

— Pour être honnête, votre comportement m'insupporte.

Au départ, Minho écarquilla les yeux. Puis il se détendit et pouffa de rire, reprenant un air hautain et arborant un petit sourire que le jeune homme ne parvint pas à déchiffrer.

— Tu sais ce qui m'insupporte moi ? Te savoir aussi inaccessible alors que tu es là, juste sous mes doigts.

Jisung se raidit à cette réponse, traversé par un mélange de surprise et d'irritation. La tension dans la voiture était palpable, mais il refusa de céder à cette colère soudaine qui montait en lui.

— Ce n'est pas le moment de jouer, dit-il. Il serait peut-être temps de parler sérieusement.

Minho haussa un sourcil et ses mains se contractèrent davantage sur le volant.

— Parlons sérieusement alors. Je t'écoute.

— Depuis le retour de Dayoung je vous sens… distant. J'ai l'impression que ce qui s'est passé entre nous n'a jamais existé.

Minho resta concentré sur la route. La voiture filait à travers l'avenue et Jisung reconnut les abords de la concession. Il l'emmenait là pour travailler sans doute, mais c'était tout ce qu'il ne voulait pas faire en ce moment. Après un long  silence, l'homme finit tout de même par répondre.

— Comment voudrais-tu que je me comporte en sa présence ? Tu sais parfaitement que c'est impossible de faire comme si elle n'était pas là, d'agir comme lorsqu'elle était au Japon.

— Vous pourriez trouver un juste milieu.

— Il n'y a pas de juste milieu avec moi. Je te donnerai absolument tout lorsqu'elle sera de nouveau partie, sois-en certain. Tu obtiendras de moi tout ce que tu désires.

— Vous ne pouvez pas juste attendre son départ et faire comme si je n'étais pas là.

Minho lui lança un bref regard.

— Sais-tu ce que je ressens quand tu te trouves près de moi ?

Jisung ne répondit pas, car il savait que Minho continuerait la discussion de lui-même. Et il n'eut pas tort.

— J'ai envie de t'embrasser à en perdre haleine et de te dire ô combien j'ai envie de te prendre là, maintenant, tout de suite. J'ai envie de sentir ton corps tout entier frémir sous mes doigts et d'entendre ta putain de voix me demander d'autres caresses. Plus fortes, plus rapides, plus profondes.

Les mots de Minho le transcendèrent, son cœur loupa un battement et son ventre se tordit violemment. Il déglutit, essayant de faire face à cette franchise si crue qu'il eut l'impression de suffoquer.

— J'imagine que tu comprends que me laisser aller à de telles envies en sa présence serait fort problématique.

— Oui, je… je comprends. Mais vous auriez dû me le dire parce que…

— Ne prends pas mon attitude comme un manque d'intérêt envers toi. Bien au contraire, j'ai toujours très envie de continuer ce que nous avons commencé. Et je ne suis pas très doué pour exprimer ce que je ressens de manière spontanée, excuse-moi.

Jisung se tut. Que pouvait-il ajouter ? Minho avait été honnête et c'était tout ce qu'il souhaitait en engageant cette conversation.

***

La tension était à son paroxysme et Jisung avait l'impression qu'il pouvait exploser d'une seconde à l'autre. Il avait terriblement envie de Minho, si bien qu'il n'arrivait même plus à réfléchir correctement. Son ventre se tordait dès que leurs regards se croisaient et il comprenait mieux pourquoi l'homme avait imposé une certaine distance entre eux depuis le retour de Dayoung. C'était insoutenable. Il voulait seulement sentir ses mains sur son corps, sa bouche parcourir chaque centimètre de sa peau en demande d'attention.

Quand ils rentrèrent à l'appartement, ils s'adressèrent un simple coup d'œil avant que Dayoung ne les retrouve dans le hall. Elle leur demanda comme s'était passé leur journée et leur proposa de rejoindre le salon car elle avait envie d'entamer une bonne bouteille de vin blanc tout en dégustant des tapas qu'elle avait fait livrer un peu plus tôt. Jisung prétexta être sur les rotules. Il ne pouvait pas rester là plus longtemps en compagnie de Minho et de sa demi-sœur. Et puis il n'avait pas faim.

Il déposa son sac à dos dans sa chambre, saisit des vêtements plus décontractés et rejoignit la salle de bain pour se doucher. L'eau tiède lui fit du bien mais ne fut pas suffisante à calmer ses ardeurs. Il avait besoin de se toucher, de soulager cette horrible sensation de lourdeur qui pesait sur tout son être. Une seule chose pouvait le relaxer : un orgasme.

D'un pas pressé, il alla se terrer sous les couvertures, la lumière éteinte pour ne pas risquer de voir débarquer Dayoung. Il saisit son téléphone quand il constata qu'il avait reçu un message et que l'expéditeur n'était autre que Minho. Ce n'était pas le moment d'entamer une discussion avec lui alors qu'il était sur le point de se masturber. Mais la curiosité était plus forte.

« Tu es parti bien vite, un souci ? »

Jisung déglutit. Il pouvait aisément deviner que l'homme se voulait taquin. Il savait parfaitement tout ce qu'il lui faisait ressentir et ça l'amusait. Pour éviter d'entrer dans les détails, il lui assura qu'il était juste fatigué et qu'il avait vraiment besoin de repos, mais Minho ne le croyait pas. Un deuxième message arriva, et cette fois, un puissant frisson le transcenda.

« Tout ça pour te branler. »

Perspicace. Pouvait-il espérer lui cacher quoi que ce soit ? Pas sûr. Il devinait absolument toutes ses pensées, et c'en était déstabilisant. Mais c'était aussi excitant. Terriblement excitant. Ce petit jeu qui s'installait entre eux le tenait en haleine et attisait encore plus son désir. De plus, il savait que Minho se trouvait avec Dayoung à cet instant, et le fait qu'il lui envoie ce genre de message juste à côté d'elle le rendait fou. Jamais elle n'aurait pu se douter de ce qui se tramait. Désormais, il n'en avait que faire, il voulait reléguer dans un coin reculé de son esprit l'infime culpabilité qu'il pouvait encore ressentir. Ce qu'il éprouvait pour Minho était plus fort que ça et il voulait l'accepter à cent pour cent.

Il répondit simplement qu'il avait visé juste et attendit une nouvelle réaction de la part de l'homme. Et elle ne tarda pas à arriver.

« Tu aurais sans doute préféré que ce soit moi qui m'en charge. J'espère que tu vas penser à moi. »

Jisung sourit et dirigea une main vers son entrejambe. Bien sûr qu'il allait penser à Minho, à ses mains parcourant son corps, à ses doigts habiles le caressant dans les moindres recoins de son intimité. Il pressa son sexe qui s'éveillait peu à peu et entreprit de se toucher par-dessus son pantalon de jogging dans un premier temps. Une plainte lui échappa, puis il poussa un long soupir comme s'il était soulagé d'enfin pouvoir se faire du bien.

Alors qu'il continuait de caresser son membre tout en remuant lentement le bassin, une nouvelle notification le fit se stopper.

« T'as déjà ta queue dans la main ? »

Une explosion se manifesta dans son bas-ventre. Il ne s'attendait pas à ce qu'il revienne à la charge, mais il se rendait compte qu'il adorait quand l'homme lui parlait de cette manière. C'était cru, mais c'était tellement enivrant. Il se mordit la lèvre et hésita à répondre avec la même audace dont Minho pouvait faire preuve. Il décida d'envoyer un simple « Non, pas encore » avant de reprendre là où il en était. Son sexe était désormais dur et tendu dans son pantalon, si bien qu'il se débarrassa du vêtement pour le faire voler au bout du lit. Il avait déjà chaud, mais il préférait rester sous la couverture. Puis il se rendit compte que son boxer le gênait plus qu'autre chose alors il l'enleva aussi pour se retrouver en t-shirt.

Cette fois, il enroula les doigts autour de son pénis et débuta quelques mouvements de va-et-vient. Les yeux fermés, il se concentra sur les sensations qui le traversaient tout en imaginant qu'il s'agissait de Minho. Son corps se mit à bouger machinalement, cherchant plus de contact, plus de plaisir. Ses lèvres s'entrouvrirent pour laisser filer quelques soupirs qu'il tenta de garder discrets. Mais il commençait vraiment à mourir de chaud et il n'était pas encore pleinement satisfait. Il décida d'envoyer un message à Minho, lui demandant s'il pouvait le prévenir au cas où Dayoung quittait le salon pour se diriger vers les chambres. Il valait mieux ne pas prendre le risque de se faire une nouvelle fois surprendre, et en pleine séance de masturbation. Mais peut-être n'oserait-elle plus entrer dans sa chambre désormais.

« Ça devient sérieux cette histoire de branlette. »

Minho devait jubiler derrière son téléphone. Jisung devinait parfaitement quel sourire il devait arborer. Ou alors restait-il de marbre pour que sa femme ne lui pose pas de questions ? Après tout, il était doué pour avoir l'air naturellement impassible.

Après s'être assuré que son beau-frère couvrait ses arrières, Jisung sortit de sous la couverture pour s'installer contre la tête de lit, les jambes légèrement écartées. Il cracha dans sa main et reprit son sexe pour aller et venir énergiquement. Il avait vraiment besoin de jouir, c'était devenu vital. Mais c'était sans compter sur la nouvelle intervention de Minho. Il semblait décidé à l'empêcher d'aller jusqu'au bout. Il lâcha un râle et consulta la notification.

« J'aimerais bien être avec toi là. J'aimerais te toucher partout, que tu te cambres sous mes mains, que tu gémisses de toutes tes forces pendant que je te baise avec mes doigts. »

Jisung sentit son cœur battre plus fort à la lecture du message. Les mots crus et suggestifs résonnaient dans son esprit, alimentant davantage ses désirs. Il retint une plainte, craignant d'être trop bruyant, puis de sa main libre il prit l'initiative de répondre : « J'aimerais que tu me baises avec autre chose. ». Le plaisir qui grimpait ne lui permettait plus de réfléchir correctement, ni à ce qu'il disait ni même à sa manière de s'adresser à Minho. Tout ce qui comptait était qu'il atteigne le point culminant de son plaisir.

« Moi aussi, mais tu devras te contenter de tes doigts pour l'instant. Ou tu peux toujours imaginer que ce sont les miens. Ou autre chose, comme tu dis. »

L'idée était si tentante qu'il ne lui fallut pas longtemps avant de s'exécuter. Il se positionna sur le côté et abandonna son téléphone pour s'occuper de quelque chose de plus urgent. De sa main désormais libre, et après s'être mouillé les doigts de salive, il alla jouer avec son orifice. Pendant quelques instants, il cessa les mouvements sur son sexe pour se concentrer ailleurs. Ses yeux se révulsèrent lorsqu'il se pénétra d'un premier doigt. Il le fit aller et venir avec aisance, étrangement détendu, puis reprit sa masturbation en même temps. C'était sensationnel, et le fait d'imaginer qu'il puisse s'agir de Minho avait le don de faire trembler ses jambes.

Il ajouta un second doigt et continua sans relâche. Le plaisir grimpa de plus en plus au fil des minutes et Jisung se cambra sous la décharge électrique qui venait de le traverser violemment. Il était près du but.

Portée par ses envies, il se positionna à genoux sur le lit, puis laissa son visage et son torse reposer contre le matelas tandis qu'il gardait les fesses en l'air. Ses doigts s'activèrent en lui, plus fort, plus rapides, plus loin, pendant que son autre main s'affairait sur son membre. Il s'imagina que Minho était là, derrière lui, qu'il s'offrait entièrement à cet homme sans la moindre honte.

Un gémissement lui échappa, plus fort qu'il ne l'aurait souhaité, alors il enfonça la tête dans l'oreiller pour étouffer ceux qui suivraient.

— Putain… lâcha-t-il.

Ses jambes tremblaient et son dos cambré commençait à lui faire mal, mais il ne voulait pas s'arrêter en si bon chemin. Il poussa davantage en lui, son bassin ondulant à la recherche d'un plaisir plus intense.

Le souffle court, il finit par atteindre l'orgasme dans un cri étouffé. Il s'effondra sur le lit, haletant et transpirant, épuisé mais satisfait. Le silence envahit la pièce, mais un bourdonnement incessant résonnait dans ses oreilles. Et puis, comme s'il avait deviné qu'il en avait terminé, Minho lui envoya un nouveau message.

« Alors, soulagé ? »

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