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• chapitre 22

Jisung avait eu beaucoup de difficultés à trouver le sommeil. Non seulement Minho et ses amis avaient fait beaucoup de bruit, mais il n'avait cessé de cogiter. Cette première soirée sans Dayoung avait été plutôt étrange et elle ne s'était pas déroulée comme il l'avait imaginée. Le fait que Minho ait tout de suite pensé à inviter des amis à l'appartement signifiait qu'il n'était peut-être pas si impatient de se retrouver seul avec lui. Mais en même temps, il savait désormais plus que jamais qu'il était attiré par lui, et qu'il avait envie d'aller plus loin qu'un simple flirt discret. Les sous-entendus, les regards, les gestes... Tout était calculé pour lui faire comprendre qu'il lui plaisait et qu'il le désirait. Et ce que Chan avait dit ne laissait même plus de place au doute.

Encore allongé, le regard fixé sur la porte de sa chambre, Jisung soupira lourdement. Il se frotta les yeux et pivota de l'autre côté pour atterrir sur le ventre. Le visage contre l'oreiller, il étouffa un râle.

Toute cette histoire devenait à la fois de plus en plus simple et de plus en plus compliquée. D'accord, maintenant il savait à quoi s'en tenir, l'attirance qu'il ressentait pour Minho était réciproque. Mais il se posait toujours autant de questions. Comment allaient-ils bien pouvoir se rapprocher ? Était-ce vraiment raisonnable au vu de leur lien ? Il allait craquer, tôt ou tard, mais il n'était pas certain d'assumer ses actes. Pourtant, il mourait d'envie de goûter à l'interdit qu'il savait déjà délicieux. S'il s'avérait aussi exquis, il aurait envie d'y retourner, encore et encore. Et ça, c'était aussi terrifiant qu'excitant.

Jisung releva la tête et décida qu'il était temps de sortir de sa tanière. Il n'était pas loin de onze heures et il n'entendait aucun bruit dans l'appartement. Tout était calme, paisible. Il se demanda même si Minho n'était pas parti à la concession finalement. Cette semaine, il ne lui avait rien demandé concernant le travail. Peut-être parce que Dayoung n'était pas là et qu'il avait d'autres plans plus personnels.

Après être passé par les toilettes pour vider sa vessie, Jisung traîna les pieds jusqu'à la grande pièce baignée par un soleil éblouissant. Il fronça les sourcils face à cette luminosité un peu trop forte et retroussa le nez. Une odeur étrange imprégnait les lieux et en tournant la tête vers le salon, il retint un soupir de stupeur. Minho était allongé dans le canapé, un bras dans le vide. Jisung ravala difficilement sa salive tout en s'approchant à pas de loup. L'homme semblait en piteux état ; sa chemise était ouverte et laissait entrevoir son buste aux muscles en tout point parfait. Des pectoraux développés, un sillon qui traversait son ventre pour se perdre dans son pantalon. D'ailleurs, le bouton de celui-ci avait été retiré et la ceinture débouclée.

En s'attardant davantage, Jisung sentit le rouge lui monter aux joues et il fut obligé de détourner le regard. La bosse qui déformait son vêtement le laissa imaginer que son beau-frère avait été gâté par la nature. Son cœur s'emballa et une sensation étrange se logea au creux de ses reins. Il posa les yeux sur la table basse, là où gisaient une bouteille de Whisky et cinq verres dans lesquels une fine couche d'alcool tapissait le fond. Il y avait également une coupelle qui servait de cendrier et qui accueillait quelques mégots de cigarettes, mais aussi quelque chose de plus large. Un cigare qui n'était même pas terminé.

Alors c'était ça que Minho faisait avec ses amis ? Boire, fumer, et parler de sexe.

Il comprenait un peu mieux pourquoi Dayoung ne les appréciait pas, et pourquoi ils ne l'appréciaient pas en retour. Au moins, c'était réciproque. Ne sachant pas comment réagir, Jisung tourna les talons pour rejoindre la cuisine. Son ventre lui criait famine et même si Minho était encore assoupi dans le canapé, il devait bien cuisiner quelque chose afin de ne pas finir en hypoglycémie. Il n'avait rien avalé depuis la veille à l'heure du déjeuner.

Avec le plus de discrétion possible, il ouvrit le réfrigérateur pour regarder ce qu'il y avait d'intéressant à l'intérieur. Il n'était pas un excellent cuisinier, mais la découpe des légumes était dans ses cordes. Il attrapa une carotte et la moitié du chou qui restait dans le compartiment à légumes, puis fouilla un peu les placards pour trouver une planche en bois et un récipient. Sur le plan de travail, à proximité de la plaque de cuisson, se trouvait tout un attirail de couteaux de différentes tailles. Il lava les légumes pour ensuite les découper finement, puis trouva une poêle dans laquelle il mit un peu d'huile de sésame. Une fois bien chaude, il y mit la carotte et le chou, puis ajouta de la sauce soja. Une délicieuse odeur lui titilla les narines et il en saliva d'avance. Comme il avait vu quelques morceaux de poulets dans le réfrigérateur, il décida de les couper également pour les ajouter. Bon, c'était un plat complètement improvisé et qui n'avait pas beaucoup de sens, mais il avait tellement faim qu'il aurait pu manger n'importe quoi.

Quand ce fut cuit, il mit le tout dans le récipient et à l'aide d'une paire de baguettes, goûta un morceau de chaque ingrédient. C'était bon. Même meilleur qu'il ne l'avait imaginé. Mais il manqua de s'étouffer lorsque Minho se redressa dans le canapé. Il avait les cheveux en bataille et observait autour de lui avec de petits yeux fatigués. Il lâcha un grognement et s'étira avant de se lever. Traînant les pieds, il appuya sur son entrejambe avant de se figer. Son regard croisa celui de Jisung et ce dernier déglutit.

- Oh ! Bonjour.

Sa voix était rauque, il essayait de paraître inébranlable mais sa surprise était palpable. Et Jisung ne savait même pas comment réagir face à lui. Face à ce torse musclé qu'il s'efforçait de ne pas reluquer.

- Bonjour, marmonna-t-il. J'ai... j'ai préparé à manger et...

- Il est déjà l'heure de manger ?

- Oui.

Minho replaça correctement ses cheveux tout en avançant vers la cuisine. Il vacilla légèrement, mettre un pied devant l'autre semblait difficile. Quand il arriva au niveau de l'îlot central, il s'appuya dessus, les mains à plat pour trouver le soutien nécessaire.

- Ça sent drôlement bon.

Jisung esquissa un sourire pour ne pas montrer son embarras. Il se demandait si son beau-frère allait un jour reboutonner sa chemise, et surtout son pantalon. Il ne devait pas regarder. C'était déplacé, mais en même temps terriblement tentant.

- C'est... c'est tout simple.

Minho fronça les sourcils et grimaça tout en se tenant le front.

- Vous avez mal à la tête ?

- Hm, je vais boire quelque chose, ça me fera du bien.

- De l'eau, j'espère.

Jisung regretta aussitôt ses propos lorsque l'homme le fusilla du regard. Il baissa la tête et s'occupa du repas qu'il divisa en deux, il n'allait pas tout manger alors que Minho venait de se réveiller et qu'il devait lui aussi avoir faim. Il l'observa se servir un verre de son jus de superfruits habituel, comme si cela allait faire quelque chose contre la gueule de bois. En même temps, s'il n'avait pas autant bu avec ses amis, il ne serait pas dans cet état lamentable. Le PDG bien propre sur lui n'était pas présent aujourd'hui, et il n'avait même pas l'air d'avoir honte de se montrer ainsi.

Il termina son verre d'une traite et le reposa sur le plan de travail sans aucune délicatesse. Le bruit fit sursauter Jisung.

- Je vais prendre une douche.

- Vous ne voulez pas manger un peu ?

Il secoua la tête et appuya son refus d'un geste de la main avant de s'en aller sans un mot.

Désormais seul, Jisung soupira lourdement. Minho était vraiment un homme très, très compliqué à cerner. Et ça devenait vraiment insupportable d'avoir affaire à ses changements d'humeur incessants. Résigné, il déjeuna seul, assis sur un tabouret de l'îlot central, le regard fixé sur le canapé. Il n'arrivait toujours pas à croire qu'il avait vu son beau-frère dans un tel état, la chemise ouverte et visiblement bien excité dès le réveil. D'accord, c'était une réaction naturelle de son corps, mais tout de même... Il secoua la tête pour chasser l'image de cette bosse proéminente qui déformait son pantalon. Il devait arrêter de penser à ça.

Il termina son repas et prit le temps de tout laver. Comme ce n'était pas chez lui, il ne voulait pas laisser quoi que ce soit traîner. Puisqu'il était lancé, il décida de ranger le salon et de débarrasser la table de basse. Il grimaça en attrapant le cendrier rempli de mégots qu'il alla vider dans la poubelle. L'odeur de tabac froid qui flottait dans la pièce semblait s'être atténuée, ou peut-être s'y était-il habitué. Il avait pris soin de déposer le cigare sur le côté, il ignorait s'il pouvait le jeter ou non puisqu'il n'était pas terminé. En l'observant plus attentivement, il se demanda si Minho l'avait fumé ou s'il appartenait à un de ses amis. Mais l'idée qu'il puisse être à lui le fit frissonner. En temps normal il aurait trouvé ça étrange, mais comme il s'agissait de Minho, c'était plutôt agréable comme vision. Après tout, il avait l'allure pour s'adonner à ce genre de petit plaisir.

Après un moment passé à remettre de l'ordre, il s'arrêta. Son beau-frère n'était toujours pas revenu de la salle de bain et ça faisait tout de même un bon bout de temps qu'il s'était éclipsé. Avait-il eu un souci ? Peut-être devait-il s'assurer que tout allait bien ? Il ravala sa salive et abandonna ce qu'il était en train de faire pour rejoindre le couloir. Tendant l'oreille, il avança mais ne perçut aucun bruit. Un calme olympien régnait dans l'appartement.

- Minho ? se risqua-t-il.

Pas de réponse.

Il marcha jusqu'à arriver devant la porte de la salle de bain et se pencha vers celle-ci. Rien. Les sourcils froncés, il se redressa et se demanda s'il devait ouvrir. Mais il n'eut pas le temps, Minho le fit à sa place et il tomba nez à nez avec son torse large et musclé. D'un vif regard qu'il ne put contrôler, il reluqua son corps avant de revenir se concentrer sur son visage. Un boxer. Il ne portait qu'un simple boxer noir. Les yeux dans les yeux, Jisung sentit son cœur s'emballer, mais sa respiration se fit capricieuse. Elle était saccadée et il avait l'impression de suffoquer.

- Tu voulais... ?

- Euh, je... je...

Minho passa la langue sur sa lèvre inférieure et Jisung resta subjugué par le geste. Il voulait goûter à cette bouche qui l'appelait depuis bien trop longtemps. Il voulait succomber à cet appel contre lequel il avait l'impression de lutter de toutes ses forces.

- Jisung.

Il plongea à nouveau dans son regard et un puissant frisson le secoua quand la main de Minho s'enroula autour de son poignet. Paralysé. Il était incapable de bouger ou de parler. Il n'arrivait même pas à penser correctement tant le contact avec la peau chaude de cet homme qu'il désirait tant le rendait fébrile.

- Et si on arrêtait ?

Il entrouvrit la bouche mais aucun son ne sortit. Minho l'impressionnait tellement qu'il se sentait incapable de faire quoi que ce soit. Il était là, devant lui, quasiment nu. Il voulait lui demander de quoi il parlait, lui demander ce qu'ils devaient arrêter, mais c'était tout simplement impossible. Peut-être était-ce enfin le moment de le revendiquer. De lui montrer qu'il le voulait.

Le moment d'arrêter de lutter.

Il fit un pas vers Minho et ce dernier le tira à l'intérieur de la salle de bain. La porte fermée, il le plaqua contre, sans lui lâcher le poignet. Sa main libre se cala sur sa taille, puis remonta jusqu'à son cou avant de glisser dans sa nuque. Immobile, le souffle court, Jisung n'arrivait plus à bouger malgré l'irrépressible envie d'embrasser Minho. Il voulait le faire, plus que tout, mais il n'arrivait pas à réaliser que c'était en train d'arriver. Que ses fantasmes les plus inavouables étaient sur le point d'avoir lieu.

- Je vais t'embrasser.

La voix rauque de Minho l'électrisa et il crut que ses jambes allaient le lâcher. Mais il n'eut pas l'occasion de réagir et de se préparer plus que de raison à ce qu'il venait de dire que ses lèvres s'écrasèrent sur les siennes avec fougue. Sans attendre, Minho entreprit de les mouvoir et il ferma les yeux pour simplement profiter de ce qu'il lui offrait. Il ne répondait pas, non pas parce qu'il n'en avait pas envie, mais parce qu'il n'y arrivait pas. C'était trop d'informations en peu de temps. La main de Minho pressa dans sa nuque et un de ses genoux remonta entre ses cuisses. La pression qu'il exerça sur son entrejambe provoqua une explosion dans son bas-ventre. Il ne savait plus sur quoi se concentrer, tout était trop. Trop rapide, trop intense. Trop.

La bouche de Minho était entreprenante, elle caressait si bien la sienne même s'il restait toujours stoïque. Mais quand il lui administra un coup de langue, Jisung entrouvrit ses lèvres en guise de réponse. Il lui donna accès à ce qu'il voulait, parce qu'il était incapable de lui refuser quoi que ce soit. Parce qu'il désirait qu'il prenne tout ce qui lui faisait envie.

Il ne contrôlait rien, il se laissait simplement faire car, entre ses mains, il était emporté dans un tourbillon d'émotions qu'il n'avait jamais expérimenté auparavant. Chaque contact, chaque caresse, faisait naître en lui un feu ardent, consumant toute rationalité. La langue de Minho vint à la rencontre de la sienne, sans pudeur, et Jisung osa enfin réagir. Il alla s'agripper à ses épaules, les muscles de l'homme étaient contractés sous ses doigts et quand son corps se rapprocha davantage du sien, il ne put retenir un gémissement.

Les bruits humides de leur baiser résonnèrent dans la pièce. Puis des soupirs, de plus en plus intenses.

L'homme continua son exploration, déplaçant habilement ses mains le long du corps de Jisung pour éveiller chaque parcelle de sa peau, même par-dessus ses vêtements. Il délaissa sa bouche et descendit ses baisers brûlants le long de son cou, laissant une trace indélébile du désir qu'il ressentait pour lui. Jisung bascula la tête en arrière et ferma les yeux, profitant de cette langue chaude et de ces lèvres humides qui cherchaient à le dévorer. Toujours agrippé aux épaules de son beau-frère, il ne put s'empêcher de rouler des hanches contre sa cuisse musclée qui se contractait entre ses jambes. Il se fichait bien de gémir audiblement, Minho lui faisait perdre la tête et lui procurait un bien-être inimaginable.

Puis tout s'arrêta, brutalement, et Jisung rouvrit les yeux comme s'il venait de quitter un rêve trop prenant. Le souffle court, la vision floue, les mains encore tremblantes. Minho était là, devant lui, et ses yeux étaient si sombres qu'il eut l'impression qu'il pouvait le faire fondre instantanément. Mais ils ne dirent rien. Il n'y avait que leurs respirations saccadées qui emplissaient l'air, et une tension suffisamment puissante pour qu'ils comprennent tous les deux que ce n'était pas terminé.

Ce moment, suspendu dans le temps, sembla durer une éternité. Jusqu'à ce que Minho se baisse légèrement pour l'attraper sous les cuisses et le soulever du sol avec une force impressionnante. Jisung n'opposa aucune résistance et alla même enrouler ses bras autour des épaules de son partenaire. Il se laissa porter jusqu'au large meuble du lavabo où il atterrit sans plus de cérémonie. Sans lui lâcher les cuisses, mais en les agrippant avec plus de poigne, Minho revint à la charge. Il s'empara de sa bouche et y imposa sa langue que Jisung accepta volontiers. C'était chaud. C'était sauvage. C'était la libération de tant de jours à s'observer, à se chercher, à se désirer.

Il le tira un peu plus vers lui et Jisung constata sans mal l'excitation dont il faisait preuve. Dur, contre son entrejambe, alors qu'il portait son pantalon de jogging. Lui-même n'était pas indifférent à toutes ces sensations qu'il provoquait en lui. Mais quand Minho pressa ses fesses pour que leurs bassins se rencontrent avec plus d'intensité, il fut obligé d'écourter le baiser pour laisser passer un gémissement incontrôlé et qui sonna affreusement piteux.

Il baissa la tête pour dissimuler son embarras, conscient qu'il avait dû paraître ridicule de se mettre dans des états pareils pour si peu. Non seulement c'était la première fois qu'il avait ce genre de rapport, mais en plus il s'agissait de Minho et ça avait le don de le rendre fébrile au possible.

Quand il essaya de reprendre là où ils en étaient, Jisung posa les mains sur son torse pour l'en empêcher. Minho planta le regard dans le sien, son souffle lui chatouillait le visage et il frissonna. Il avait très envie de continuer, il ne pouvait pas le nier, mais il se sentait aussi bloqué de par son inexpérience. Aller plus loin que de simples baisers, ce n'était pas qu'il en avait peur, mais à cet instant c'était peut-être trop.

- Pas comme ça... marmonna-t-il.

- « Pas comme ça » quoi ? demanda Minho d'une voix étrangement douce.

Jisung essaya de déglutir, mais sa gorge était affreusement sèche. Il ne savait pas comment aborder le sujet avec Minho. Ce dernier était très entreprenant et il ne devait pas vraiment se douter qu'il était encore vierge.

- Je... j'ai jamais...

Son regard se fit fuyant.

- Hm, d'accord.

Il fut surpris qu'il ait aussi vite saisi le problème, sans même l'énoncer.

Minho passa une main sous sa jambe, un bras autour de sa taille, puis l'aida à descendre du meuble. Pendant quelques secondes, ils restèrent là, l'un en face de l'autre. Jisung n'osait pas relever la tête vers l'homme, mais peut-être était-ce mieux de l'affronter directement plutôt que de rester figé sur son sexe tendu, comprimé dans son boxer.

- Ça te dirait d'aller regarder une série ?

- Oui, pourquoi pas. Enfin, oui, avec plaisir, se reprit Jisung.

Minho esquissa un petit sourire avant de se mordre la lèvre.

- Je ferais mieux de m'habiller avant, dit-il.

Jisung acquiesça vivement. Une chaleur insupportable était encore en train de déferler dans tout son corps.

- Je vais attendre dans le salon.

Dans la précipitation, il manqua de trébucher, mais sortir de la salle de bain au plus vite était vital. D'un pas pressé, une main appuyée sur son entrejambe, il se hâta à travers le couloir pour rejoindre le salon et s'installer sous un plaid. Les yeux rivés vers l'écran noir, le cœur battant, Jisung réalisa enfin ce qui venait de se produire.

Minho et lui s'étaient embrassés. Et il avait terriblement envie de recommencer.

•••

Bonsoir bonsoir ✨
J'espère que ce chapitre vous a plu ! En tout cas j'ai beaucoup aimé écrire ce rapprochement... (Désolée s'il reste des fautes, en plus Wattpad a fait disparaitre mes tirers cadratins 🤡)
À très vite pour la suite 🩷

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