Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

• chapitre 19

nda : assurez vous d'avoir bien lu le chapitre d'avant, je crois que la notif ne s'est pas envoyée au moment de la publication 🙌🏼

•••

Jisung avait encore passé le samedi à la concession afin de prendre d'autres vidéos, puis il avait fait du montage. Minho lui avait permis de s'installer dans son salon privé afin d'être au calme et il était même venu le rejoindre en milieu d'après-midi pour regarder ce qu'il faisait. Il ne s'était pas laissé intimider, ou tout du moins il avait essayé, même s'il sentait ses yeux noirs et emplis de mystère peser sur lui. Minho semblait intéressé, il lui avait posé beaucoup de questions quant à sa manière de faire, mais aussi sur ses études qui avaient l'air de beaucoup lui plaire. Jisung avait réussi à lui faire part de ses projets pour l'avenir, et l'homme se montrait enthousiaste — enfin, à sa manière. Cependant, la tension était toujours là. Les regards, les gestes, les paroles, tout semblait signifier que Minho était entré dans un jeu de séduction et cela ne laissait pas Jisung indifférent. Leur proximité le rendait fébrile. Il avait peur de craquer un jour, de se lancer et de se prendre un râteau monumental. Même si les signes étaient là, cela ne voulait pas dire que son beau-frère comptait aller jusqu'au bout.

En fait, il n'arrivait pas à le cerner, à savoir ce qu'il pensait et qu'elles étaient ses réelles intentions. Et puis, il ne pouvait pas lui demander. Alors il préférait prendre son mal en patience et attendre que Minho fasse le premier pas. Car une chose était sûre : lui ne le ferait jamais.

Après cela, ils partirent pour rejoindre l'appartement. Minho avait encore changé de voiture, cette fois il avait opté pour une BMW à la carrosserie bleue métallisée, un modèle sport qu'il semblait dompter d'une main de maître. Jisung prenait un certain plaisir à voir son beau-frère au volant de belles voitures. Il avait toujours l'air concentré, mais dans son élément. En fait, il le trouvait carrément sexy quand il conduisait. Il ne pouvait s'empêcher de détailler ses mains veineuses, et parfois ses avant-bras quand il retirait sa veste et retroussait les manches de sa chemise. Minho était un homme charmant, qui prenait soin de lui et qui, sans aucun doute, devait aller quelques fois à la salle de sport. Personne n'avait une telle carrure sans lever le petit doigt.

Une fois de retour à l'appartement, Jisung s'empressa d'aller déposer ses affaires dans sa chambre. Il soupira en se laissant tomber sur le lit, les yeux rivés vers le plafond. L'échéance approchait, Dayoung allait bientôt quitter l'appartement pendant quatre jours. Quatre jours où il serait seul avec Minho. Il déglutit. C'était tout ou rien. S'il devait se passer quelque chose, ce serait là. Sinon, cela voulait dire qu'il ne se passerait jamais rien et il pourrait tirer un trait sur ses envies irraisonnables. Il prit le temps d'y réfléchir, de repenser à ce que ses amis lui avaient dit, et aussi à sa discussion avec Dayoung, mais il n'avait toujours pas de solution à son problème. À part succomber à la tentation si Minho le lui permettait, il ne pouvait rien faire.

Oh si, il pouvait aussi y résister, mais était-ce vraiment ce dont il avait envie ? Absolument pas.

De plus, la relation qu'entretenait Dayoung et Minho n'avait rien de romantique. Alors ce mariage, ce n'était qu'un bout de papier sans importance.

— Jisung ?

Il sursauta à la voix de sa demi-sœur qui venait de retentir derrière la porte. Il se redressa et lui indiqua d'entrer, ce qu'elle fit sans tarder. Le sourire aux lèvres, elle avança doucement et referma avant de le rejoindre sur son lit.

— Ça s'est bien passé aujourd'hui ?

Il acquiesça et elle sourit de plus belle. Sa venue n'était pas anodine, Jisung avait parfaitement compris qu'elle allait encore lui demander quelque chose. Elle baissa la tête et joua à faire tourner son alliance.

— Tu sais, ça m'a beaucoup travaillé ce dont je t'ai parlé il y a deux jours.

— Pour…

Elle hocha la tête. Ils s'étaient compris.

— Je veux vraiment pas te mettre dans l'embarras vis-à-vis de ça et tu n'as pas à le fliquer pendant mon absence, ce n'est pas ton rôle. Et pour l'autre chose dont je t'ai parlé, cette histoire de… plan cul, dit-elle plus bas, ne t'en fais pas, c'était ridicule de ma part.

Jisung avait envie de la soutenir, de lui montrer qu'il était là pour elle et qu'il ferait ce qu'elle lui avait demandé. Mais il avait toujours en travers de la gorge le fait qu'elle se soit empressée de raconter à Minho qu'il regardait du porno gay. Et puis dans le fond, il n'avait peut-être pas envie de dénoncer l'homme qui l'obsédait tant s'il le voyait faire quoi que ce soit d'un tant soit peu répréhensible. Après tout, peut-être serait-il celui qui finirait dans son lit ?

— Hm, t'inquiète pas.

— Tu oublies tout ça, d'accord ?

— Oui, c'est oublié.

Dayoung lâcha un lourd soupir, une main au niveau du cœur.

— Merci Ji, t'es vraiment un petit frère en or.

Il força un sourire lorsqu'elle vint lui ébouriffer les cheveux. Ses paroles étaient empreintes de bienveillance et pourtant, il peinait à les accueillir à bras ouverts. Il lui en voulait quand même. Elle n'avait pas hésité à le balancer et à le mettre dans l'embarras, et il ignorait pourquoi.

— On va peut-être dîner ? Tu dois avoir faim après une journée pareil. Et puis après, on n’aura qu'à regarder un film.

Pour ne pas la contrarier, il accepta, mais il avait juste envie de rester dans son lit jusqu'au lendemain matin. Il se fichait bien de regarder un film et de la gentillesse de sa demi-sœur. Il en avait marre d'être là, entre deux feux, à jongler entre la culpabilité et le désir ardent qu'il ressentait pour Minho. Il n'arrivait même plus à le faire taire, il était là, constamment, à le torturer. Plus les jours passaient et plus il s'enfonçait dans cette irrépressible envie de l'avoir pour lui tout seul. C'était dangereux. Et délicieux aussi. C'était douloureux, mais tellement agréable. Ses pensées contradictoires lui martelaient le crâne, il avait parfois l'impression de ne plus être lui-même.

Dayoung lui tapota la cuisse pour l'inciter à la suivre et il ne se fit pas prier. Dans la pièce à vivre, une bonne odeur de poulet grillé flottait dans l'air. La table mise dans la salle à manger, ils purent tous s'installer et Minho déboucha une bouteille de vin rouge. Jisung accepta sans rechigner, ça ne lui ferait pas de mal de boire un peu.

Le silence était de mise, seul le bruit des couverts venait le rompre. Minho restait encore impassible, comme s'il n'avait aucune envie d'être là, et la jeune femme à ses côtés essayait de temps à autre de lui décrocher un sourire. Mais ce fut peine perdue. L'ambiance était insoutenable, et la tension toujours aussi palpable.

— Alors, qu'est-ce que vous avez fait aujourd'hui ? demanda Dayoung pour briser la glace.

Minho haussa un sourcil avant de reprendre un morceau de poulet qu'il enfourna dans sa bouche. Jisung déglutit, il supposa que c'était à lui de répondre.

— J'ai encore fait quelques prises et j'ai commencé le montage.

— Ça doit te plaire, non ?

— Oui, c'est…

Il jeta un bref coup d'œil vers Minho qui semblait plus agacé qu'autre chose.

— C'est intéressant. Ça change de ce que je fais d'habitude.

— Mais j'imagine que c'est bien de pouvoir toucher un peu à tout.

Cette fois, l'homme esquissa un discret sourire et une chaleur étrange envahit Jisung. Les mots de sa demi-sœur pouvaient être interprétés autrement et il savait que Minho avait pensé à la même chose. Les sous-entendus et les phrases à double sens étaient devenus monnaie courante entre eux.

— Je veux offrir à Jisung l'occasion de tout expérimenter, intervint-il soudain.

Cette fois, le concerné manqua de s'étouffer.

— Oui, c'est… c'est une bonne occasion pour me faire la main.

— Je suis contente, ça va t'aider pour tes études, et aussi pour le futur, quand tu voudras trouver un emploi. Les entreprises aiment quand quelqu'un a de l'expérience. N'est-ce pas Minho ?

Il posa ses baguettes et attrapa son verre de vin pour en boire une gorgée. Puis il croisa les bras.

— Je ne suis pas vraiment de cet avis. Les personnes sans expérience sont intéressantes. Elles apportent souvent un regard neuf et présentent une volonté d'apprendre. Comme je l'ai déjà dit, elles ne sont pas façonnées par des habitudes. Elles sont bien plus à même de faire preuve de créativité. Tu vois ce que je veux dire ?

Dayoung acquiesça, elle absorbait chaque mot de Minho avec attention. Jisung voyait bien que, malgré les doutes qu'elle avait à son égard, elle avait des sentiments. Et ça, c'était quelque chose qu'il avait du mal à supporter. Il se retrouva partagé entre l'admiration pour les paroles de Minho et l'inconfort de la situation. La tension dans l'air s'épaississait, il allait suffoquer à force de rester là sans rien faire.

Minho, toujours aussi impassible, reprit la parole après une courte pause.

— Tu as du potentiel. Tu as cette fraîcheur et cette passion que je trouve rare. Et je suis content de voir que tu sais saisir les opportunités qui te sont offertes.

Cette déclaration prit Jisung au dépourvu. Ses pensées se bousculaient, il se demandait si Minho parlait uniquement de son travail ou si ses mots avaient une signification plus profonde. Il se sentit submergé par une curieuse excitation mêlée d'appréhension. Son beau-frère n'avait peur de rien. Il osait lui faire passer des messages juste devant Dayoung, et pourtant elle ne pouvait pas un seul instant deviner qu'il y avait un quelconque sous-entendu derrière.

Ils continuèrent de prendre leur repas et une fois que tout fut débarrassé, la jeune femme leur proposa de rejoindre le salon. Sur le grand canapé d'angle, Jisung se retrouva sur un bord, à côté de Minho — enfin, il était tellement grand qu'il y avait au moins une place qui les séparait. Recouvert d'un plaid, il put allonger ses jambes et se détendre totalement devant le film qui se jouait sur l'immense écran plat. Ils avaient opté pour un thriller et ils semblaient tous très pris dans le long métrage. Il était dynamique et ne laissait pas le temps de s'ennuyer. Les scènes s'enchaînaient avec fluidité et les mystères s'épaississaient au fur et à mesure.

— Je suis sûr que c'est le politicien qui a tué le fils de la flic, lança Minho.

Dayoung fronça les sourcils.

— Et qu'est-ce qui te fait dire ça ?

— C'est simple, le politicien a un alibi trop parfait, c'est louche. De plus, le fils de la flic avait des doutes sur ses activités au sein de l'association dont il faisait lui aussi partie. Il était trop curieux, il lui a posé des questions trop précises qui l'ont poussé à croire qu'il savait. Et il a eu peur qu'il dévoile tout.

La jeune femme acquiesça et Jisung resta concentré sur l'écran, même s'il avait pris note de la théorie de Minho. Il n'avait pas forcément pensé à cela, mais ça fait sens après tout. Son beau-frère était observateur et intelligent, il n'en avait plus aucun doute. Et c'était dangereux. S'il était capable de résoudre l'énigme de ce film avec autant de facilité, il ne devait pas avoir de mal à discerner ce qu'il ressentait pour lui.

À la fin, la théorie de Minho se confirma et Jisung sut qu'il était vraiment dans de beaux draps.

— Bon, vous ne m'en voudrez pas mais je vais aller me coucher, annonça Dayoung. Vous pouvez encore regarder la télé, vous en faites pas pour moi.

Jisung se redressa légèrement, un peu soucieux, mais en constatant que Minho n'avait pas bougé d'un millimètre, il se réinstalla en silence.

Tandis que son cœur s'était mis à battre avec force, il ravala sa salive. Fuir n'était pas la solution. Rester là non plus. Mais il n'avait pas envie que cette soirée se termine ainsi. Il sentait que quelque chose pouvait se produire, et s'il pouvait passer davantage de temps avec Minho, alors il n'était pas contre. Certes, il aurait tout le loisir de profiter de sa présence rien que pour lui la semaine à venir, mais chaque instant était bon à prendre.

Il souhaita une bonne nuit à Dayoung et elle le remercia avec un sourire. Puis elle disparut de la grande pièce.

— Tu veux regarder quoi ? demanda Minho. Un autre thriller ? Ou quelque chose d'un peu plus léger ?

— Qu'est-ce que vous préférez, vous ?

— Hm, un film où il faut réfléchir. Je ne suis pas friand des comédies, des romances ou des films d'action. En fait, je n'aime pas ce qui ramollit le cerveau.

Jisung lâcha un rire, mais le regard noir de Minho le fit arrêter aussitôt.

— Comme vous voulez.

L'homme haussa les épaules et passa en revue quelques films policiers. Jisung n'en menait pas large, il avait toujours autant de difficulté à le cerner et à comprendre ses réactions. Peut-être avait-il cru qu'il se moquait de lui ? Non, il avait juste ri un peu, ce n'était pas si grave.

Après d'interminables minutes, Minho lança un nouveau film. L'atmosphère était toujours aussi oppressante et Jisung avait pourtant bien besoin de se détendre. Après sa semaine de cours et le travail qu'il avait fourni aujourd'hui, il avait droit à du repos. Mais c'était difficile de lâcher prise et d'avoir l'esprit tranquille à côté d'un homme aussi charismatique et mystérieux que Minho. De temps en temps, il le regardait du coin de l'œil, mais il avait l'air absorbé par l'enquête. Il ne disait rien. Aucune théorie ne lui avait échappé pour le moment.

Jisung laissa filer un discret soupir et étira une jambe sur le canapé. Son pied heurta celui de Minho et, alors qu'il ouvrait la bouche dans l'optique de s'excuser, il remarqua qu'il n'avait pas cillé. Il était si concentré qu'il n'avait même pas senti qu'il venait de le toucher malencontreusement. Alors il recula encore un peu pour que cela ne se reproduise plus.

Son cœur battait encore plus fort, il se demandait si Minho n'avait rien senti ou s'il faisait seulement semblant pour ne pas le mettre dans l'embarras. Mais lorsqu'il sentit un pied se glisser sur le sien, il se figea et sa respiration se coupa net. Ce n'était pas une erreur. Ce n'était pas un geste anodin. C'était volontaire et c'était horriblement sensuel.

Minho avait peut-être pensé qu'il l'avait fait exprès de lui toucher le pied ? Il avait sans doute interprété ça comme une invitation et voilà qu'il y répondait ouvertement.

Les joues de Jisung s'empourprèrent furieusement. Comment allait-il se sortir de cette situation ? Il ne pouvait pas se lever et partir. Il ne pouvait pas non plus tourner la tête vers Minho au risque de s'embraser sur place. Il passa la langue sur ses lèvres, cherchant une solution qui ne voulait pas venir dans son esprit. Il essayait de réfléchir, mais il ne pensait qu'à la sensation que le pied de son beau-frère caressant le sien lui procurait. Il allait devenir fou. S'il continuait, il allait craquer et se jeter sur lui pour l'embrasser à en perdre haleine.

Mais il ne pouvait pas. Dayoung n'était pas loin. S'il voulait agir de cette façon, il pouvait au moins avoir la décence d'attendre qu'elle soit partie.

Il essaya de se concentrer sur le film, mais il n'y arriva pas. L'homme continuait, doucement, comme s'il attendait qu'il réagisse. Mais il devait rester fort. Puis d'un seul coup, Minho arrêta et se leva. Il coupa la télévision sans prononcer un mot et alors qu'il allait passer devant Jisung, ce dernier quitta à son tour le canapé d'un bond pour se planter face à son beau-frère.

— Je vais me coucher aussi, annonça-t-il.

— Si tu veux.

Devant le visage impassible de Minho, il tourna les talons et traversa la pièce pour atteindre le couloir. Il se sentait suivi et pour cause, l'homme n'était pas loin derrière lui. Il se rapprochait dangereusement, il le savait. Et lorsqu'il atteignit enfin la porte de sa chambre, Minho toussa et il fut obligé de se tourner. Leurs regards s'ancrèrent l'un dans l'autre, ce fut intense, ce fut brutal et dévastateur. Désormais, tout semblait bien plus limpide. Aucun d'eux ne pouvait nier cette attirance, et Jisung était persuadé que Minho avait compris depuis bien longtemps ce qui se tramait dans son corps et dans sa tête quand ils étaient à proximité.

Il recula pour atterrir dos à la porte, Minho fit un pas en avant.

— Qu'est-ce que tu ressens quand nous sommes proches comme ça ?

L'estomac de Jisung se noua et Minho avança encore, réduisant considérablement la distance entre eux. Encore un peu et il pouvait sentir son souffle s'échouer sur son visage. Il ferma les yeux. Son corps tout entier brûlait d'un désir ardent et douloureux. Si sa demi-sœur ne s'était pas trouvée à proximité, il aurait perdu le contrôle.

— Réponds-moi, Jisung.

La voix de Minho était douce, mais une onde électrique lui parcourut le corps. L'homme n'avait plus cette sévérité habituelle, cette rudesse qui paraissait tellement naturelle chez lui. Il se montrait sous une autre facette, une facette que Jisung appréciait tout autant. Il hésita un instant, puis répondit à peine audiblement :

— Je ne sais pas…

Il n'avait toujours pas ouvert les yeux. C'était plus simple de rester ainsi, dans l'ignorance. C'était plus raisonnable pour le moment.

— Tu ne sais pas mentir. J'imagine facilement ton cœur qui s'emballe.

La tension qui émanait de Minho était insoutenable. Il avait l'impression de pouvoir sentir la chaleur de son corps.

— C'est mal, marmonna-t-il.

— Qu'est-ce qui est mal ?

— De convoiter quelque chose auquel nous n'avons pas droit.

Un petit rire échappa à Minho et cette fois, Jisung ouvrit les yeux.

— On désire toujours ardemment ce qu'on ne peut pas avoir, dit l'homme. C'est ce qui nous permet d'avancer.

Un autre puissant frisson le secoua. La proximité de Minho, ses yeux scrutateurs, tout contribuait à brouiller ses pensées et sa raison. L'idée que tout pouvait basculer à cet instant était à la fois effrayante et excitante. Il était sur le point de succomber à l'attraction qui les liait, mais une partie de lui se retenait encore.

— Passe une bonne nuit, Jisung.

Minho s'éloigna pour le laisser seul dans le couloir, les battements de son cœur résonnant encore dans ses oreilles. Il se demandait comment il allait réussir à trouver le sommeil après cela.

Il inspira profondément, puis se tourna lentement vers la porte de sa chambre. Il était au bord d'un précipice, pris entre l'interdit et le désir dévorant. Alors qu'il s'allongeait dans son lit, il lâcha un profond soupir. Il était on ne peut plus clair que ce qu'il ressentait pour Minho était réciproque, et dans le fond il savait que ces quatre jours rien que tous les deux allaient marquer un tournant décisif dans leur relation.

•••

Hello ✨
Ça y est, on entre dans la deuxième partie de l'histoire ! J'ai super hâte de poster la suite et j'espère qu'elle vous plaira.
À très vite 🩷

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro