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• chapitre 15

Jisung était allé déjeuner avec Minho avant de reprendre son travail. Il avait passé un bon moment, bien qu'assez silencieux et toujours empreint d'une tension déstabilisante. Les regards, les sourires et les conversations à double sens s'étaient enchaînés et l'avaient laissé perplexe. Il se demandait toujours ce qu'attendait Minho de sa part, mais aussi s'il le faisait exprès de se comporter ainsi. Il pouvait se montrer sympathique, bavard et agréable, tout comme il pouvait d'un seul coup devenir froid, distant et presque inaccessible. Jisung en était arrivé à la conclusion qu'il était véritablement lunatique et qu'il le troublait au plus haut point. Il avait quelque chose de mystérieux, et de très attirant. Chaque mot, chaque geste, chaque regard avait une saveur toute particulière, un goût d'interdit et de tentation. Même s'il voulait y succomber, il ignorait quand et comment. Et surtout, il ignorait si Minho lui laisserait l'occasion de céder à ses désirs.

Jisung avait conscience qu'il n'était pas seul dans l'équation, ils étaient trois d'ailleurs. Minho et Dayoung en faisaient partie, et c'était sans doute la présence de sa demi-sœur qui rendait tout plus compliqué. Bon, il n'avait aucune idée de ce qui traversait l'esprit de son beau-frère mais il ne risquait pas grand-chose à part se faire repousser par ce dernier. En revanche, il se sentirait toujours coupable d'éprouver de l'attirance pour lui, car il était marié à Dayoung et elle semblait l'aimer. En tout cas, il ne voulait pas briser leur couple et passer pour la pire personne.

Ses réflexions se bousculaient dans sa tête alors qu'il s'efforçait de rester concentré. Il venait de terminer une prise sur une des Ferrari et il n'était pas satisfait de ce qu'il avait fait. À cause de toutes les questions auxquelles il ne pouvait pas encore apporter de réponses, il n'était pas assez concentré sur son travail. Son souhait de satisfaire Minho était important, il voulait lui prouver qu'il était doué et sérieux, alors il recommença une seconde fois. Il dut lutter pour ne pas à nouveau penser à tout ce qui le tourmentait ces derniers jours.

Habilement, il mania sa caméra de façon à capter le meilleur angle, la meilleure dynamique, afin de rendre sa vidéo intéressante et moderne. Il avait bien pris note de tout ce qu'il ne fallait pas faire et il savait d'ores et déjà que le résultat qu'il allait fournir serait bien au-dessus de ce que Minho lui avait montré. Il n'était peut-être qu'un étudiant, mais il savait se débrouiller et avait envie de se surpasser.

Il prit quelques autres vidéos pour avoir davantage de matière pour les différents montages, puis consulta son téléphone portable. Il était près de dix-sept heures, alors il décida qu'il était temps de faire une petite pause. Minho lui avait assuré qu'il pouvait prendre du temps pour se détendre, aller boire un verre d'eau ou un café, et fumer si l'envie lui prenait — ou si le stress était trop intense.

Il se dirigea tout d'abord vers la machine à café, une employées croisées ce matin s'y trouvait et attendait sa boisson. D'un petit signe de tête, elle le salua et lui adressa un sourire. Il y répondit, puis elle prit son gobelet et disparut dans un des bureaux. Il se retrouva seul dans le long couloir, encore une fois entouré de ses pensées et interrogations qui semblaient prendre un malin plaisir à le torturer. Il était fatigué de cette journée qui n'était pas encore terminée. Il voulait seulement souffler, que son esprit le laisse tranquille et que Minho ne soit plus le centre de ses incessantes rêveries.

— Ça se passe bien ?

La voix de l'homme le fit sursauter et le bruit de la machine se mettant en marche le fit bondir une seconde fois. Sa surprise amusa Minho, en témoignait son mince sourire.

— C'est une habitude de sursauter chez toi.

— Vous m'avez fait peur.

— Et visiblement, être dans la lune aussi c'est quelque chose de courant.

Il passa la langue sur ses lèvres, elles étaient horriblement sèches, tout comme sa bouche. Minho avait le pouvoir de le déstabiliser en une fraction de seconde.

— Désolé, je suis… perturbé en ce moment.

— Perturbé ? Ah oui, ton studio.

L'homme sourit, et Jisung eut l'impression qu'il était en train de se moquer de lui. Et quand il avait cette sensation désagréable, il n'avait qu'une envie : entrer dans son jeu, le tester et le provoquer. Il avait besoin de voir jusqu'où il était prêt à aller, ce qu'il était prêt à dire.

— Oui, mon studio. Quoi d'autre sinon.

Minho haussa les sourcils et fit un mouvement de tête en direction de la machine à café. Jisung récupéra sa boisson et lui laissa le champ libre. Il pouffa de rire.

— J'ai ce qu'il faut dans mon bureau, pas besoin d'utiliser cette machine. Elle fait un café dégueulasse en plus.

Jisung grimaça. Lui qui aimait les bons cafés, il n'était plus impatient de goûter à celui-ci. Mais pourquoi Minho était-il venu jusqu'à lui s'il n'utilisait pas cette machine ? Que venait-il faire là ?

— Ne bois pas cette merde, tu vas avoir des crampes d'estomac, dit-il alors qu'il allait avaler une gorgée.

— Tant pis, je préfère ça que de ne pas en boire.

D'un geste vif, Minho lui ôta le gobelet des mains pour le jeter dans la poubelle à proximité. Puis il revint l'observer, un sourcil arqué et un léger sourire aux lèvres.

— Tu devrais être plus exigeant et plus sélectif dans tes choix. Surtout pour ce que tu mets dans ton corps.

Ce n'était qu'un café, pourquoi son beau-frère se montrait soudainement aussi critique ? Il ne comprenait rien à son fonctionnement et il avait beaucoup de mal à suivre. En réalité, c'était sans doute lui qui l'épuisait plus que le travail qu'il lui avait confié. Chaque échange avec ce dernier drainait un peu plus son énergie et il allait rentrer sur les rotules. Reprendre les cours et les révisions allait être difficile, mais il n'avait pas le choix. Il n'allait pas abandonner son école parce qu'un homme jouait avec ses nerfs.

— Si tu veux vraiment un bon café, suis-moi.

Jisung ne résista pas. C'était simple, il n'arrivait pas à lutter. Minho le portait là où il voulait. Il lui faisait faire tout ce qu'il désirait, à la seconde, sans qu'il ne soit en mesure de réfléchir. Face à lui, il n'avait aucune volonté. C'était sans doute dangereux, mais le danger ne lui faisait absolument pas peur et au contraire, il le trouvait terriblement excitant. Il grimpa les marches qui menaient à l'étage, là où le bureau de Minho se trouvait. Il sentait les regards des trois vendeurs du showroom braqués sur lui. Il préféra ne pas se retourner, il avait déjà beaucoup de choses à gérer. Une fois la porte close, il s'autorisa à soupirer.

— Ils sont juste curieux, ne t'en fais pas.

Jisung déglutit. Minho lisait dans ses pensées ? Il n'allait pas être déçu ! Il se sentit soudainement plus vulnérable, son cœur battant un peu plus fort.

— Je ne m'en fais pas, répondit-il d'une voix plus assurée qu'il ne l'était réellement.

— Bien.

Sans rien ajouter de plus, l'homme se dirigea vers sa machine à café personnelle. Il déposa un peu de grains dans le moulin et après quelques manipulations, un double espresso en sortit. Il tendit la tasse à Jisung, il fut frappé par les fragrances suaves et légèrement chocolatées qui se dégageaient de la boisson.

— C'est mon préféré. Il est doux, il glisse parfaitement sur la langue et n'a aucune amertume.

Encouragé par Minho, il le goûta. Il était délicieux, exactement comme il le lui avait décrit.

— Alors ?

— C'est… surprenant.

Minho laissa filer un rire.

— Oui, c'est le mot. J'adore ce qui est surprenant, ces petites choses auxquelles on ne s'attend pas mais qui ajoutent une touche d'excitation à la vie.

Son regard était intense, ses yeux semblaient dévorer chaque réaction de Jisung. Il le testait. Il le défiait. Il se nourrissait de ce qu'il provoquait en lui et s'en délectait. L'atmosphère dans le bureau était chargée de cette tension qui persistait depuis des jours, dès qu'ils ne se trouvaient que tous les deux. Jisung ne savait pas toujours comment se comporter dans ces cas-là. Il était à la fois intimidé, déboussolé, mais terriblement émoustillé aussi.

— Sinon, ça se passe bien ? Tu as pu avancer comme tu le souhaitais ?

Minho se prépara un café.

— Oui, j'ai presque toutes les prises pour les Ferrari.

— Elles sont belles, n'est-ce pas ?

Il termina sa tasse et acquiesça.

— Je ne m'intéresse pas aux voitures mais je dois avouer qu'elles sont très classes.

— Je les ai choisies avec minutie. Certaines ont des coupes plus brutes, d'autres des courbes arrondies, cela dépend des goûts. Mais elles trouveront toutes preneur, je n'en ai aucun doute.

— Ça fait longtemps que vous travaillez là ?

La question flotta dans l'air, Minho leva les yeux vers le plafond pour réfléchir, puis il alla s'installer sur son siège. Il pointa du doigt le fauteuil en face de son bureau pour inviter Jisung à y prendre place. Il obtempéra.

— J'ai intégré ce poste il y a cinq ans, avant que mon père parte à la retraite. Il a fondé cette entreprise il y a vingt ans de cela, et il s'est fait un nom dans le monde de l'automobile de luxe. Il est… comment dire ?

Les sourcils froncés, il pinça ses lèvres entre elles.

— Un peu comme une célébrité.

— Vous aussi alors.

— Hm, je n'aime pas trop me montrer mais…

Du tiroir qu'il venait d'ouvrir, il extirpa un magazine qu'il tendit à Jisung.

— Page 25, déclara-t-il.

À sa plus grande surprise, Jisung découvrit une interview qu'il avait donnée. Sur la double page qui lui était dédiée, il y avait également quelques clichés de lui dans la concession. Il savait qu'il était extrêmement riche, mais il n'imaginait pas non plus qu'il avait autant de notoriété. Son union avec Dayoung était encore plus logique, mais aussi plus suspecte. Était-il amoureux d'elle ? Ou avait-il fait cela pour les apparences ? La situation ne pouvait pas en être plus ambiguë.

— Vous formez un fameux couple, souffla Jisung comme pour lui-même.

— Pardon ?

— Avec Dayoung. Vous êtes tous les deux reconnus dans vos carrières, ça doit être… spécial.

Le visage de Minho s'était fermé. Pourquoi se sentait-il attaqué seulement parce qu'il lui parlait de son épouse ? Il n'avait rien dit de mal, c'était un simple constat.

— Cela n'a rien à voir.

Le ton fut aussi tranchant qu'une lame aiguisée et Jisung en eut le cœur meurtri. Minho n'en avait que faire de ce mariage, il le voyait un peu plus chaque jour, mais il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait épousé sa demi-sœur. Était-ce une sorte d'arrangement ? Leurs familles s'étaient-elles accordées pour les unir afin de les faire gagner en popularité ? Où alors, il s'agissait juste d'une question d'argent et de business. Tous deux étaient fortunés, tout comme leurs parents, et il y avait sans doute pas mal de paramètres que Jisung n'était pas en mesure de comprendre. Ce monde de paillettes et d'hypocrisie n'était pas celui dans lequel il voulait évoluer. Ça ne lui plaisait pas, ce n'était que des contraintes et des apparences qui ne rendaient pas heureux. Lui, il aspirait à quelque chose de plus léger, où il pourrait s'épanouir en étant lui-même.

— Désolé, murmura-t-il.

Minho ne répondit pas. Il se contenta de le fixer avec encore plus d'insistance. Le silence déjà bien pesant ne fit qu'amplifier. C'était horrible cette sensation d'oppression, cette impression que les murs se resserraient petit à petit autour d'eux. Jisung en eut le rythme cardiaque décousu et les mains moites.

— Bref, tu penses avoir terminé toutes les prises pour aujourd'hui ?

La voix plus douce de Minho lui permit de reprendre son souffle.

— Hm, non, j'ai fait mon maximum mais…

— Pas de problème. Tu reviendras la semaine prochaine.

Il hocha la tête lorsque le téléphone sonna, Minho appuya sur le haut-parleur.

— Monsieur Lee, l'expert-comptable est arrivé.

— Dites-lui de me rejoindre dans mon bureau.

— Très bien.

Il raccrocha, un petit sourire aux lèvres. L'arrivée de cet homme avait l'air de le mettre de bonne humeur. Il se leva et débarrassa quelques papiers qui trainaient sur le meuble et des bruits contre la porte vitrée retentirent.

— Entre !

Jisung ne savait pas ce qu'il devait faire. Partir ? Rester ? Il tourna la tête pour suivre les pas de Minho. L'homme qui venait de pénétrer dans la pièce était d'à peu près sa taille et de la même corpulence. Il portait un costume cintré et son visage à l'expression enjouée portait également les traits d'un professionnalisme hors norme.

— Je t'attendais avec impatience, sourit Minho.

Jamais Jisung ne l'avait vu aussi à l'aise et jovial. Aux côtés de cet homme, il semblait complètement différent et il se demanda s'il s'agissait encore de son beau-frère ou d'une tout autre personne.

— J'en pouvais plus, dit-il en ôtant sa veste. Je reviens de chez un client, je suis tombé sur un accident c'était le bordel pour arriver jusqu'ici !

— Je t'en prie, assieds-toi je vais te préparer un café.

L'inconnu prit place sur le fauteuil à côté de Jisung, ce dernier se leva pour s'incliner.

— C'est ton nouveau ?

— Mon nouveau quoi ?

La question de Minho le fit rire, mais Jisung n'en menait pas large. Il ignorait comment agir en leur compagnie, il se sentait de trop dans ce bureau à l'atmosphère qui recommençait à l'étouffer. Les sous-entendus et l'ambivalence étaient visiblement leur mode de communication préféré. De plus , ils discutaient comme s'il n'était pas là, ou comme s'il ne pouvait pas les comprendre.

— Je sais pas, à toi de me le présenter comme ce qu'il est.

— Il travaille pour moi, il s'occupe des vidéos de présentation pour mes nouveaux modèles. Ah oui, et c'est… mon beau-frère.

Minho avait prononcé ces derniers mots dans un chuchotement.

— Ah ! Oui donc pas du tout ton nouveau…

Il secoua négativement la tête.

— Pas du tout, en effet.

Jisung fronça les sourcils. De quoi parlaient-ils à la fin ? Cette situation était plus qu'embarrassante et il n'avait qu'une envie : que Minho lui demande de quitter le bureau sur le champ. Il n'osait pas le faire de lui-même, de peur de paraître impoli, mais subir cette ambiance le tendait au plus haut point. Il n'avait pas eu l'occasion de fumer aujourd'hui, alors dès qu'il rentrerait à l'appartement il se jetterait sur son paquet de cigarettes.

— Et c'est quoi son petit nom ?

Il lui fallut plusieurs secondes avant de comprendre que l'homme s'adressait directement à lui.

— Han Jisung.

— Hm, enchanté.

Minho s'en approcha et déposa une main ferme sur son épaule.

— Il est intimidant, mais pas méchant, dit-il. C'est Bang Chan, un très bon ami et accessoirement mon expert comptable.

Son emprise sur l'homme se resserra et Jisung acquiesça avant de déglutir. Il tentait de faire bonne figure face à eux, mais ce n'était pas aussi simple que ça. Déjà que Minho le rendait particulièrement nerveux parfois, il était encore plus mal à l'aise lorsqu'il se trouvait en compagnie de Chan. Il dénotait en leur présence ; à eux deux ils étaient la personnification de la réussite à la Coréenne, de l'excellence. Ils étaient deux hommes qui, par leur apparence, laissaient entrevoir à quel point ils étaient fortunés. Jisung, quant à lui, était emprisonné dans une chemise qui ne lui allait pas, avec ses cheveux longs qui dissimulaient ses piercings sans doute trop originaux pour leur monde.

— Tu devrais même me présenter comme un excellent ami, je me sentirais presque vexé.

— Je préfère éviter de te caresser dans le sens du poil, après tu risquerais d'être un peu trop imbu de toi-même.

Chan se mordit la lèvre et leva les yeux vers Minho. Jisung décela quelque chose de spécial, une connexion forte, qui transcendait les mots.

— Et puis, tu sais bien ce que je pense de toi, dans le fond.

— Dans le fond, s'amusa Chan. Bien sûr.

Avant de s'éloigner, il lui tapota l'épaule.

— Bon, c'est pas tout mais je t'écoute pour le dernier bilan, lança Minho en s'asseyant à moitié sur son bureau.

Chan fit un signe de tête en direction de Jisung et Minho le considéra un instant de la tête aux pieds.

— Il reste là.

Jisung retrouva son fauteuil et s'assit de manière inconfortable. Il était un intrus dans ce bureau, il se retrouvait malgré lui témoin d'une scène qui ne le concernait pas. Les deux hommes se plongèrent dans des discussions professionnelles, le laissant à ses pensées tourbillonnantes. Il se demandait comment il avait pu se retrouver là, au centre de ce rendez-vous où se mêlaient travail et relation douteuse. Leurs échanges étaient empreints d'une familiarité qui le laissait perplexe, il se sentait tel un voyeur étranger dans leur sphère privée. Il se concentra sur le contenu de la conversation et essaya de comprendre les tenants et aboutissants de l'entreprise de Minho, mais aussi de ce qu'il y avait réellement entre les deux hommes.

Chan exposa ses analyses de manière méthodique. Il faisait preuve d'une assurance qui montrait son expertise dans le domaine. Jisung, bien que peu familiarisé avec ces sujets, observait avec attention. Minho écoutait, mais ses yeux semblaient souvent dériver vers lui, suscitant en lui de puissants frissons. C'était comme s'il percevait quelque chose que lui-même ne comprenait pas.

Après un moment qui lui parut interminable, le rendez-vous prit fin. Chan se leva et se tourna vers Jisung.

— Ravi de t'avoir rencontré.

Il s'empressa de bondir sur ses deux pieds pour s'incliner, Chan lâcha un rire.

— Allez, on se voit plus tard Minho.

— Je t'appelle dès que je suis seul, on se fera une soirée, comme avant.

Jisung se redressa lorsque la porte se referma. Minho tourna les talons, dévoilant un sourire radieux comme jamais il n'avait arboré auparavant. Comme quoi, il était capable d'avoir l'air vraiment heureux. Et Chan semblait être la cause de ce bonheur.

— Je pense que c'est tout pour aujourd'hui, déclara-t-il. Tu peux remballer tes affaires, on va rentrer.

Jisung acquiesça et quitta le bureau. Aussitôt, les vendeurs levèrent la tête dans sa direction et il eut l'impression d'être une cible à abattre. Il ne comprenait toujours pas pourquoi Minho l'avait emmené dans son bureau, ni pourquoi il avait tenu à ce qu'il reste lors de son entrevue avec Chan, mais tout ceci commençait à vraiment le perturber. Les questions s'accumulaient pour lui embrouiller la tête, et s'il n'obtenait pas de réponses rapidement, il allait vraiment devenir fou.

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