Rappelle-toi
Mon croassement toujours tu l'entendras,
Que ce soit ici ou dans l'au-delà.
Alors crois moi,
L'enfer à mille bras
Est bien chez moi.
Ma plume jamais ne se taira,
Toujours elle battra.
Et regarde comment phœnix
Rimera encore à fixe.
Tu peux me détester si tu veux,
Mais rappelle-toi,
Plus noirs que les Enfers elles-mêmes sont mes yeux.
Et si tu veux disparaître
Pour ensuite renaître
Dans le plus grand de mes berceaux,
Qu'il en soit ainsi, Oiseau.
Mais rappelle-toi,
Oui rappelle-toi,
Si tu continues mon enfer sera ta cage,
Sans issues sont mes passages.
Et tu ne pourras me voir
Car je suis invisible dans le noir.
Rappelle-toi,
Je suis le créateur de tes et mes pensées
Qui nous font glisser et couler.
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