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Chapitre 11


Bonjour,

Je n'ai pas eu le temps d'écrire durant les 3-4 derniers jours, ayant passé un peu de temps entre amis dans un chalet, mais me revoilà et je ramène le chapitre 11 avec moi, donc je vous en souhaite une excellente lecture ! :D

Chapitre 11.

— Tu t'es enfui et tu dois en payer le prix. Je n'ai pas baisé depuis une semaine, Isaac, et c'est de ta faute. Je suis frustré et très en colère, maintenant.

Isaac grinça des dents en essayant de se dégager, mais plus il gigotait, plus Chaz raffermissant sa prise sur son bras, le tordant de plus en plus dans une position anormale. Il grimaça de douleur.

— Argh ! cracha-t-il, mécontent.

Chaz se pencha sur lui et il sentit sa main descendre son pantalon et toucher ses fesses.

— Pourquoi tu fais ça ?

Isaac se raidit quand la main de Chaz caressa la raie de ses fesses, frôlant dangereusement la zone interdite.

— Parce que tu es ma pute, Isaac, j'espère que tu ne l'avais pas déjà oublié. Je ferai ce que je veux avec ton corps. Et si tu continues à être aussi insolent avec moi, je te garantis que je vais te le faire regretter. Tu as encore huit ans à tirer, alors tu devrais te tenir à carreaux avec moi.

Isaac fronça les sourcils.

— Comment sais-tu cela ?

Chaz eut un rictus.

— Les informations circulent vite en prison.

Les prisonniers parlaient entre eux et les gardiens aussi... Il était si facile de soudoyer un agent quand on avait un peu d'argent, de pouvoir et de charisme. Chaz avait gagné au loto : il avait tout ça.

Le prisonnier descendit d'un geste brusque le pantalon d'Isaac sur ses cuisses.

— Jolie vue, ne se retint-il pas de se moquer en lui claquant le cul.

La paume de Chaz laissa une trace rougeâtre et brûlante sur sa peau blanche.

— Je te défends de... – !

— De quoi ? susurra-t-il.

Il roula les yeux et ricana. Comme si Isaac pouvait faire quelque chose ! Il était revenu de son propre gré dans leur cellule, alors de quoi pouvait-il se plaindre ? Il en connaissait les conséquences.

— Je vais te le faire payer.

Chaz haussa un sourcil, plus amusé qu'intimidé.

— Ah, ouais ? Je demande à voir ça, alors... En attendant que tu te décides à tenter quoique ce soit, je vais prendre mon dû et je pense que, au vu de ton comportement déplaisant, tu ne mérites aucune préparation de ma part. Je pourrais te laisser te doigter toi-même, mais je suis pressé...

La main libre de l'homme à la peau noire descendit la fermeture éclair de son jean délavé, libérant son sexe. Il en agrippa la base et se masturba dans le dos d'Isaac jusqu'à se sentir durcir. Il dut raffermir sa prise sur le bras de sa proie parce qu'elle commençait à gigoter, pressentant l'inévitable.

— Tu es si impatient que ça ? demanda-t-il sur un ton moqueur, épinglant le jeune homme brun plus sévèrement contre le petit matelas.

Avec un rictus sadique, il pressa le bout de son membre contre l'entrée d'Isaac et poussa son sexe érigé à l'intérieur d'un seul et puissant coup de rein qui arracha un cri à sa victime. Les doigts de Chaz s'enfoncèrent dans la hanche du brun, tandis qu'il extirpait sa virilité pour pénétrer Isaac une nouvelle fois, plus brusquement encore.

Le jeune homme tremblait de tout son corps. Il avait cette impression d'être déchiré, coupé en deux. Il brûlait. Il aurait pu supplier s'il avait eu l'espoir que ce puisse changer quelque chose à ce qui était en train d'arriver, mais il savait que Chaz n'écouterait rien. Seule la vengeance, la colère et son désir le dominaient.

L'Afro-américain accéléra ses mouvements en serrant les dents, tant la sensation était grisante. Issac était tellement étroit, l'aspirait à l'intérieur. Il ne se contrôlait plus. Il voulait jour à l'intérieur du brun et voir sa semence couler sur ses cuisses, tandis qu'il serait encore frissonnant, sur le lit.

La tête enfoncée dans le matelas, Isaac ne retenait plus ses larmes qui glissaient abondamment le long de ses joues. Elles avaient un goût salé sur sa langue. Il ne s'appartenait plus et la douleur le submergeait, une telle douleur. Il sentait le sexe de Chaz aller et venir entre ses chairs, le déchirer – le détruire – de l'intérieur. Comment cela pouvait-il faire aussi mal ?

Chaz se pencha sur Isaac pour avoir un meilleur angle de pénétration et il en profita pour mordiller son oreille et laisser des morsures sur ses épaules. Personne n'essayerait de lui piquer Isaac. Il le savait déjà. Personne n'oserait prendre le risque, alors qu'il était déjà sien et tant et aussi longtemps qu'il serait dans cette prison. Ce n'était pas ça : il aimait tout simplement marquer son territoire. Il aimait voir les marques sur la peau blanche de son codétenu quand celui se changerait, qu'il prendrait sa douche... et par-dessus tout, il voulait qu'Isaac voit ses marques, qu'il sache à qui il appartenait ; un rappel constant de son statut à West Island. Méchamment, il lui tordit un téton, songeant qu'il pourrait y accrocher une de ses boucles d'oreilles noires, un de ces jours. Ce serait sexy.

Le brun était bouillant sous ses doigts et sa respiration hachée. Chaz se donna un dernier élan, pressant les premiers fourmillements de sa jouissance dans le creux de son ventre contracté sous l'effort. Il grogna quand l'orgasme le survolta, comme une traînée de feu qui le parcourut jusqu'au bout de son sexe. Crispant ses muscles, il jouit à l'intérieur d'Isaac, puis s'effondra sur le jeune homme pour reprendre son souffle quelques instants.

— Alors, Isaac ? demanda-t-il tout près de son oreille. Tu as aimé ?

Il n'obtint aucune réponse.

— Tu as décidé de me bouder ?

Il fronça les sourcils, peu habitué à ce qu'on lui tienne tête. Il n'aimait décidément pas le comportement provocateur de son codétenu.

— Répond-moi, Isaac, ou je recommence !

Il se retira d'entre les chairs de son partenaire et c'est là qu'il les remarqua. Il vit les gouttes de sang qui tachaient les draps blancs (comme une nouvelle mariée le soir de sa nuit de noce), le sang qui coulait sur les cuisses d'Isaac, mêlé au sperme.

La panique s'infiltra dans Chaz d'un seul coup, foudroyante.

— Isaac !

Il répéta plusieurs fois le nom du jeune homme en boucle en lui donnant des coups pour le sortir de l'inconscience.

— Réveille-toi ! Ouvre les yeux immédiatement ou je... –

Il tourna le corps d'Isaac sur le matelas et lui donna une claque, puis deux, puis trois au visage, continuant de crier son nom.

— Merde..., murmura-t-il.

Il avait du sang. Il avait du sang partout sur les mains, partout sur le lit. Et Isaac ne bronchait pas. Chaz se mordit la lèvre avec inquiétude. Il restait figé devant son crime.

— Merde, merde, merde ! répéta-t-il, furieux contre lui-même.

Mais qu'avait-il fait ? Il prit quelques secondes pour soupirer et réfléchir, contemplant le corps immobile sur le matelas. Il n'y avait pas dix solutions... Chaz se leva, traversa la pièce et, d'une main, enfonça le bouton d'alerte dont chaque cellule était pourvue en cas d'urgence.

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