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Chapitre 15






15. Désir irrésistible

Sofia sentit ses jambes faiblir. Alessandro était si près, ses yeux brûlant de passion. Elle savait qu'il avait raison, qu'ils étaient tous deux sur une pente glissante, mais elle ne parvenait pas à s'en détourner.

L'attraction entre eux était magnétique, inévitable. Alessandro se rapprocha encore, ses lèvres effleurant celles de Sofia, comme une question silencieuse. Leurs souffles se mélangèrent, créant une tension palpable dans l'air.

Leur baiser s'intensifia, leurs langues se rencontrant dans une danse passionnée et désespérée. Chaque instant semblait suspendu, comme si le monde autour d'eux avait cessé d'exister. Les mains d'Alessandro devinrent plus audacieuses, glissant le long de la courbe des hanches de Sofia, la rapprochant davantage de lui, comme s'il voulait la fusionner à lui, ne faire qu'un avec elle.

Sofia se laissa emporter par la vague de désir qui montait en elle, ses propres mains se perdant dans les cheveux d'Alessandro, explorant la texture soyeuse tout en approfondissant leur étreinte. Elle n'avait jamais ressenti une telle intensité, une telle connexion. Il y avait en lui une force magnétique qui la tirait irrésistiblement vers le bord du précipice, un lieu où elle savait qu'elle pourrait se perdre complètement.

Le baiser s'interrompit brusquement lorsque Alessandro recula légèrement, son souffle rapide et irrégulier. Leurs fronts se touchèrent, et il ferma les yeux un instant, comme s'il luttait contre ses propres démons.

— Sofia... murmura-t-il, sa voix rauque trahissant l'effort qu'il faisait pour se maîtriser. Si nous continuons, il n'y aura pas de retour en arrière.

Sofia le savait. Elle savait que franchir cette ligne signifierait entrer dans un territoire inconnu, où rien ne serait plus jamais pareil. Mais la tentation était forte, trop forte pour être ignorée. Leurs regards se croisèrent de nouveau, et dans les yeux d'Alessandro, elle vit ce même conflit, cette même hésitation.

— Je ne veux pas arrêter, Alessandro, avoua-t-elle enfin, sa voix à peine plus qu'un souffle. Je ne peux pas...

Il la fixa un moment, cherchant une dernière fois la réponse dans son regard. Puis, comme si toutes les résistances cédaient d'un coup, il l'attira de nouveau à lui, l'embrassant avec une ardeur renouvelée, plus pressante, plus urgente. Ce n'était plus un simple baiser, mais une revendication, une déclaration de ce qui allait suivre.

Sofia se laissa porter par cette vague, ses mains explorant les contours musclés de son dos sous sa chemise entrouverte. Elle ressentait chaque muscle se tendre sous ses doigts, chaque mouvement de son corps en résonance avec le sien. Alessandro la poussa doucement vers le lit, et sans quitter ses lèvres, ils tombèrent ensemble sur les draps, leurs corps s'entremêlant dans un ballet de désir et de besoin.

Alessandro laissa glisser ses lèvres le long de la gorge de Sofia, ses baisers brûlants contrastant avec la fraîcheur de la pièce.

Chaque bouton qu'il défaisait révélait un peu plus de sa peau, et chaque centimètre dévoilé intensifiait l'électricité dans l'air. Lorsque sa chemise fut enfin ouverte, Sofia se retrouva à moitié nue sous son regard intense, son souffle s'accélérant à mesure que l'excitation montait.

Les mains d'Alessandro se firent plus caressantes, ses doigts effleurant doucement la peau de son ventre, puis remontant pour se poser délicatement sur ses seins, en explorant les contours avec une lenteur exquise.

Le contraste entre la chaleur de ses mains et la froideur ambiante accentuait chaque sensation, chaque frisson. Les tétons de Sofia se durcirent sous cette attention, et elle laissa échapper un soupir tremblant, perdue entre le désir et l'appréhension.

Alessandro s'arrêta un instant, ses yeux capturant ceux de Sofia, cherchant une dernière confirmation dans son regard. Il y avait une intensité presque féroce dans ses prunelles, un besoin primal qu'il peinait à contenir. Sofia, à bout de souffle, lui répondit par un léger hochement de tête, un consentement silencieux qui le poussa à aller plus loin.

D'une main experte, Alessandro glissa ses doigts sous le tissu délicat du soutien-gorge de Sofia, le retirant lentement, comme pour savourer chaque moment, chaque réaction de son corps. Lorsqu'elle fut complètement dévoilée à lui, il prit un instant pour contempler sa beauté, ses yeux se promenant sur ses courbes avec une adoration silencieuse. Puis, sans un mot, il se pencha pour capturer un de ses tétons entre ses lèvres, le mordillant doucement avant de l'embrasser, sa langue traçant des cercles lents et délicieux.

Sofia ferma les yeux, la tête renversée en arrière, se laissant submerger par les sensations. Chaque baiser, chaque caresse semblait embraser son corps, la plongeant dans une transe dont elle ne voulait plus sortir. Ses mains agrippèrent les épaules d'Alessandro, ses ongles s'enfonçant légèrement dans sa peau, comme pour ancrer ce moment, cette passion.

Alessandro poursuivit son exploration, sa bouche descendant le long de son ventre, traçant un chemin de baisers qui éveillait des flammes sous la peau de Sofia.

Les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, Sofia était l'incarnation même de l'abandon, prête à tout lui offrir.

Il se redressa légèrement, ses mains se posant sur les hanches de Sofia, son regard brûlant d'envie tandis qu'il la contemplait. Son corps s'offrait à lui, dévoilé, seule une ultime barrière de tissu séparant encore son désir de la réalité.

Alors qu'Alessandro se penchait de nouveau vers elle, ses doigts commencèrent à glisser lentement le long de ses hanches, effleurant les bords de sa petite culotte avec une lenteur calculée. Chaque mouvement de sa main, chaque centimètre parcouru par ses doigts, faisait naître en Sofia des vagues de désir qu'elle n'avait jamais connues. Elle sentait son corps tout entier vibrer sous ses caresses, comme si chaque parcelle de sa peau devenait hypersensible à son toucher.

Leurs regards ne se quittaient pas, capturés dans une intensité qui les dépassait tous les deux. Alessandro, plongeant ses yeux dans les siens, tira doucement sur le dernier morceau de tissu qui les séparait encore, dévoilant complètement son intimité. Leurs souffles s'entremêlaient, lourds de désir, créant une atmosphère électrique où chaque seconde semblait s'étirer à l'infini.

Sofia frissonna, à la fois de froid et d'anticipation, son cœur battant à tout rompre. Elle pouvait sentir la tension dans l'air, une tension prête à éclater à tout moment. Alessandro, percevant l'hésitation sur son visage, déposa un baiser rassurant sur ses lèvres, doux et plein de promesses. Ce geste, à la fois tendre et intense, lui confirma qu'il était entièrement avec elle, partageant le même désir, mais aussi la même appréhension.

Il fit glisser ses mains sur ses cuisses, les écartant doucement, créant un chemin de baisers le long de l'intérieur de ses jambes. Chaque contact était un feu d'artifice de sensations pour Sofia, un mélange de douceur et de passion brute.

Alessandro prenait son temps, savourant chaque réaction qu'il suscitait en elle, chaque soupir, chaque frémissement.

Lorsque les lèvres d'Alessandro effleurèrent enfin l'intimité de Sofia, un gémissement involontaire échappa à cette dernière, un mélange enivrant de plaisir intense et de vulnérabilité totale.

La chaleur de sa bouche contrastait avec la fraîcheur de l'air ambiant, créant une onde de choc qui parcourut tout son corps, la laissant frémissante sous l'assaut des sensations.

Chaque baiser, chaque mouvement de sa langue était une exploration minutieuse, une danse subtile entre le contrôle et l'abandon.

Sofia se laissa emporter, son corps répondant avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue.

Ses mains agrippèrent les draps, ses doigts se crispant alors qu'Alessandro la guidait vers des sommets inexplorés.

Chaque mouvement de sa bouche semblait calculé pour lui offrir un plaisir toujours plus grand.

Pourtant, il y avait une tendresse dans ses gestes, une attention délicate, comme s'il cherchait à la comprendre, à lire en elle à travers chaque réaction.

Le souffle de Sofia s'accélérait, devenant erratique à mesure que le plaisir montait en elle, déferlant comme une vague implacable.

Alessandro sentait chaque frémissement, chaque contraction de son corps, et il intensifia ses caresses, sa langue traçant des cercles de plus en plus rapides et précis, déclenchant en elle une série de gémissements plus forts, plus désespérés.

— Alessandro... murmura-t-elle, sa voix tremblante, à peine audible, alors que ses hanches commençaient à se soulever d'elles-mêmes, cherchant à prolonger ce contact brûlant.

Alessandro répondit par un grognement sourd, redoublant d'ardeur.

Ses mains se posèrent fermement sur les hanches de Sofia pour la maintenir en place, alors qu'il l'emmenait au bord du précipice du plaisir.

Chaque instant était un délice torturant, une montée irrésistible vers un point de non-retour.

Sofia sentit son corps s'abandonner complètement, ses pensées se dissipant dans un brouillard de sensations pures et brûlantes.

Puis, soudain, le monde sembla exploser.

Le plaisir la déferla, une vague dévastatrice qui la laissa tremblante, chaque nerf vibrant sous l'effet de l'extase.

Alessandro lapa une dernière fois, savourant cet instant où Sofia s'abandonna totalement, puis il se redressa lentement.

Ses yeux étaient sombres, brûlants d'un désir à peine contenu, mais aussi empreints d'une certaine satisfaction d'avoir vu Sofia céder à la vague de plaisir qu'il avait provoquée.

Haletante, Sofia ouvrit lentement les yeux pour croiser son regard.

Elle se sentait à la fois vulnérable et puissante, comme si cet acte de soumission avait révélé en elle une force insoupçonnée.

Dans les yeux d'Alessandro, elle vit un mélange d'admiration et de désir brut, une reconnaissance silencieuse de l'intensité qu'ils venaient de partager.

— Tu es incroyable, souffla-t-il d'une voix rauque, ses doigts glissant doucement sur la peau de son ventre, traçant des cercles apaisants.

Sofia ne répondit pas immédiatement, encore sous l'emprise des sensations qui s'atténuaient lentement en elle.

Elle le regarda se relever du lit avec une lenteur calculée, chaque mouvement révélant la tension dans son corps.

Il se redressa complètement, et Sofia ne put s'empêcher de remarquer la déformation évidente de son pantalon de costume , trahissant le désir qui continuait de brûler en lui.

Sofia tenta de se redresser, encore sous le coup des sensations intenses qui la submergeaient, mais Alessandro, d'une voix grave et ferme, l'arrêta :

— Non, reste où tu es.

Ce soir n'était que pour moi.

J'avais besoin de te goûter, et je l'ai fait.

Sofia, surprise par la soudaineté de son ton, resta immobile, ses yeux cherchant à comprendre ce qui se passait dans l'esprit d'Alessandro.

Il la fixait, son regard sombre et profond la transperçant, mais elle y percevait quelque chose de plus, quelque chose qu'il tentait de dissimuler.

Une tension palpable flottait dans l'air, comme si un équilibre fragile venait d'être rompu.

Alessandro s'éloigna du lit, tournant le dos à Sofia, ses épaules tendues.

Il se dirigea vers la fenêtre ouverte, laissant l'air frais de la nuit entrer dans la pièce.

Pendant un moment, il resta silencieux, contemplant l'obscurité à l'extérieur, tandis que Sofia, allongée sur le lit, observait chaque mouvement de son dos, chaque respiration qu'il prenait.

Elle sentit un mélange d'inquiétude .

Quelque chose dans l'attitude d'Alessandro avait changé, une froideur nouvelle dans sa voix, une distance qu'il n'avait jamais mise entre eux auparavant.

Pourtant, elle savait que cela n'était pas dû à un manque de désir ou de passion ; c'était autre chose, quelque chose de plus profond, de plus compliqué.

Finalement, Alessandro parla, sans se retourner :

— J'avais besoin de te sentir à moi, Sofia.

De te posséder, même si ce n'était que pour un instant.
Mais... (Il marqua une pause, cherchant ses mots) ce n'est pas si simple ce que tu me fais sentir.

Sa voix s'éteignit, comme s'il luttait contre ses propres sentiments, incapable de les exprimer pleinement.

Sofia se leva lentement, laissant les draps glisser sur sa peau.

Elle s'approcha de lui, hésitante, puis posa une main légère sur son dos.

— Alessandro ? murmura-t-elle, la voix douce, tentant de percer la barrière qu'il semblait ériger entre eux.

Il soupira profondément, fermant les yeux sous le contact apaisant de sa main.

— Je ne devrais pas... (Il se tourna vers elle, son regard intense et brûlant) Je ne devrais pas te désirer autant, Sofia. Ce n'est pas juste... pour toi, pour nous. Il y a trop de choses que tu ignores encore.

Sofia sentit un frisson parcourir son échine.

— Quelles choses, Alessandro ?

Alessandro baissa les yeux sur le corps nu de Sofia, son regard se perdant sur chaque courbe, chaque détail de sa peau.

Il semblait à la fois captivé et torturé par ce qu'il voyait, comme s'il se débattait avec un conflit intérieur qu'il ne pouvait plus ignorer.

L'air se chargeait d'une tension presque palpable, lourde de secrets non dévoilés.

— Des choses que je ne peux pas encore te dire, Sofia, murmura-t-il, sa voix rauque d'émotion. Pas maintenant.

Alessandro lutta pour détourner son regard du corps de Sofia, chaque parcelle de sa peau semblant l'attirer irrésistiblement.

Ses seins, durcis par la fraîcheur de la pièce, avaient un effet hypnotique sur lui, renforçant ce désir qu'il s'efforçait désespérément de contenir.

Il savait que s'il cédait à nouveau maintenant, il se perdrait totalement dans une passion qu'il ne pourrait plus maîtriser.

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