Rose ne paniquait  pas plus au sujet de sa sécurité. Maintenant, elle était presque excité par la situation. Être entraîné dans une folle aventure sans explication avait cet effet sur une femme ?

- Sûrement pas, dit-elle d'un ton de maîtresse d'école.

-Je partage l'avis de cette jeune dame, dit Joël en actionnant la fermeture automatique des portières.

-  Je m'appelle Rose.

- De Rose.
Il lui sourit avant de s'adresser à Jason : comment comptez-vous vous y prendre ? Il y a des flics partout, nous avons une civile dans la voiture.

Une civile ?

- Je me débrouillerai. Ouvrez-moi, ordonna Jason. Joël s'exécuta et Jason bondit hors de l'habitacle.

Elle aurait dû être impressionné et sans doute, quelque part, l'était-elle. Mais la situation la frustré en même temps. Si Jason voulait la sauver, il devait rester en vie.

- Allons-y.
Elle ouvrit la portière avant que Joël est le temps de la verrouillé. Ça lui apprendra à hésiter. Mais, comme elle s'élançait derrière Jason, Joël sauta de son siège pour la courser. Il la rattrape  en un  temps record.

- Quelle réactivité ! Dit-elle d'un ton admiratif. D'autant que vous étiez au volant.

- Si je vous laisse partir,  Jason voudra me tuer et il me faudra courir plus vite encore.

- Je ne vous demande rien. C'est vous qui avez besoin de ma collaboration. Voilà pourquoi j'ai sauté de la voiture.

- Pardon ?

C'était limpide pour rose mais, à voir l'expression perplexe de Joëlle, il était pas de même pour lui.

- Je sais que vous ne pouvez pas me laisser seule. Je sais aussi qu'il vous faut assurer les arrières de Jason. Alors nous y allons, je reste en retrait. Et peut-être je dis bien peut-être, réussirons-nous à rester en vie dans l'heure qui suit.

- Je ne suis pas en mesure de vous le garantir.

- Sinon j'ai encore la possibilité d'appeler la police et d'en finir avec cette histoire.
Aussitôt, l'attitude de Joël changea. Il posa la main sur son arme et carra les épaules.

- Vous n'êtes pas juste, dit-il. Vous ne vous battez pas à la loyale.
Elle se doutait que lui-même ne le faisait pas souvent.

- Quelque chose me dit que c'est ma seule chance de l'emporter face à Jason ou à vous.

Jason s'efforçait de se focaliser sur la traque, mais les propos de rose lui trottait dans la tête. Sa force de caractère le médusé. Il avait cru que, confronté à l'intrus chez son frère. Elle se serait mis à hurler. Une telle réaction aurait été compréhensible. Mais elle avait fait face et c'était défendu.
Par la suite, elle avait parlé tard, nécessité de lutter, comme une femme qui a l'habitude de se battre et qui sait que, lorsque la violence règne, il n'y a jamais de véritable gagnant. cela l'amener à s'interroger sur ce qu'elle avait vécu. Imaginé rose aux prises avec des brutes lui donna des envies de meurtre. Il se reprocher encore de ne pas avoir été capable de désamorcer le détonateur accroché à la porte arrière de la maison, de n'être   pas intervenu plutôt qu'en cet animal sans été pris à elle dans le salon de Paul. Il  ne la connaissait que depuis 1h, et déjà elle hanté ses pensées. Au lieu de ne songez qu'au poseur de bombe, qu'il devait absolument rattraper, il se poser des questions sur le passé de cette jeune femme.
Il s'arrêta de courir devant un bungalow au bout de la rue et fit abstraction des bruits ambiants, des sirènes, de la rumeur de la foule, du grondement de l'incendie qui avait réduit la maison de Paul en cendres. Une fois concentrer sur son objectif, il se glissa dans le jardin, traversa la petite pelouse, passa devant le potager installé dans un coin et se dirigea vers la porte d'entrée. Il n'y avait apparemment personne, mais le type avait pu entraîner la famille qui vivait ici à l'intérieur pour en faire des otages.
comme il sentait les poils de sa nuque se hérisser, il se retourna. Voir Joël franchir à son tour l'accueil, talonner par rose, le remplis de rage. Il marchait à découvert. N'était-il pas conscient du danger?
Il n'avait pas besoin d'une équipe. Il avait prévu d'entrée et de sortir très vite de la maison, de neutraliser le suspect avant d'exposer rose à d'autres risques. Tu t'étais remis en cause, à présent. Percevant un discret bruit de pas, Jason se raidit, se préparant au pire. Lorsque le type surgit, il plongea à terre. Cependant l'autre a été le plus rapide et le frappa au bas-ventre. Il eu le temps d'apercevoir le canon d'une arme et un sourire mauvais. Mais déjà son agresseur sauté sur lui et, d'un coup de pied, faisait valser son arme.
Le souffle coupé, Jason ressentait une vive douleur au côtes. Sa blessure se réouvert . Sans lui laisser le temps de réagir, Le blond lui tordit le bras dans le dos pour l'immobiliser. Jason tenta de se dégager. Jason tenta de se dégager. Il parvint à se soulever assez pour déstabiliser son adversaire Joël et rose se rapprocher sans mesurer le danger, alors que le type pouvait les abattre d'une balle.
Joël et Rose se rapprocher sans mesurer le danger, alors qu'il pouvait les abattres d'une balle. Jason fit appel à toutes ses réserves d'énergie et, avec un cris, il envoya bouler son assaillant d'un coup de poing en pleine tête. Puis, d'un geste vif, il plaqua la main sur son pistolet. Il devait absolument l'empêcher de pointer son arme vert Rose.
Joël été capable de se battre, de se défendre. Il était qualifié, entraîner, expérimenté. En revanche Rose n'était qu'une femme innocente.
Les doigts crispés sur le canon, Jason met toutes ses forces à le pousser vers le blond. Quand ce dernier se tourna brièvement vers Joël,  Jasin su qu'il tenait la une chance de l'emporter. Il le frappa la mâchoire, l'envoyant valser en arrière, dans le même mouvement récupéra son arme. Comme il s'apprête à faire feu, l'homme se redressa d'un bon et lui lança  son pied dans les côtes, sur sa blessure. Une violente douleur secoua Jason. Le souffle coupé, il s'effondra. Le pistolet s'échappa de ses doigts.
Avec un ricanement, le poseur de bombe tiras un poignard de sa ceinture et le brandi, prêt à lui enfoncé dans le ventre. Mais, au moment où Jason pensais que tout étais perdu, une déflagration retentit. Le sang jaillit. Toucher à la tête, le blond s'écoulera. Il était mort. Une détermination brié dans les yeux de Joël lorsqu'il baissa son arme. Il avait fait ce que Paul lui avez appris à faire ... tuer les méchants. L'ennui était qu'il avait du même coup empêcher ce type de donner des réponses aux nombreuses  questions que se posait Jason...