One-shot
Je suis encore une fois au sommet de la tour d'astronomie. Je pleure toute les larmes de mon corps encore une fois. La guerre est terminé et nous sommes tous de retour à Poudlard pour terminé nos études. Sauf que je n'arrive plus à obtenir les notes d'autre fois. La guerre fut dur... Malgré la bonne humeur que j'affiche en publique, je suis détruite de l'intérieur. Ceux qui connaissent ce qui m'est arrivé ne me parle plus. Oui, aussi incroyable que cela paraissent, Harry Potter et Ronald Weasley m'ont désertés comme si j'avais la peste. À chaque fois que je tente de leur parler, ils prennent la fuite. J'ai tenté de demandé aux autres, mais c'est la même chose pour toute ma maison. Ils ne veulent plus de moi et je ne comprends pas. En fait, peut-être, mais je préfère ne pas pensé à lui... Ne pas pensé à ses paroles... Chaque mangemort a eu le droit à son procès. Harry, Ron et moi avions été invité aux procès des mangemorts fréquentant Poudlard...
Flashback
Je suis en compagnie de mes meilleurs amis quand ce fut enfin son tour.
- Draco Malfoy, vous êtes accusé d'avoir pris part aux crimes des mangemorts. Que le premier témoin, Ronald Weasley, prenne la parole.
Le rouquin se leva et prit une grande inspiration avant de dire tous ce qu'il avait à dire.
- Draco Malfoy n'a jamais été le moindrement agréable avec qui que se soit, mais en particulier avec Harry. Alors personnellement, je ne vois pas comment l'on peut obligé quelqu'un a prendre part pour le parti qui s'oppose à son ennemi.
Il se rassit et je commença à stressé.
- Bien, Harry Potter avez-vous quelque chose à ajouter?
- Non, monsieur, fit-il.
- Très bien, et vous, Miss Granger?
Le regard de Malfoy croisa le mien et je su que je devais faire ce que ma raison ne cessait de me répété.
- Oui. C'est vrai que le jeune Malfoy n'a jamais démontré une quelconque empathie pour qui que se soit, mais que pouvons-nous demandé d'un enfant ayant été élevé ainsi? Pensez-vous réellement qu'un fils de mangemort ait pu vivre une enfance heureuse et remplis d'amour? Non, je ne le crois pas. Il s'imposait au autre pour de sentir important, se sentir vivant, pour comblé les vides d'une éducation défaillante. Non, son enfance ne lui permettait pas toutes les moqueries blessantes, mais comment lui en vouloir alors que lui vivait cloîtrer entre sa subsistance et sa raison? Je dois également rappelé qu'il n'a jamais réussi a mené à bien la mission qu'il avait reçu de Voldemort, qu'il en fut incapable! Il a la capacité de changé, de devenir quelqu'un de bien. Ne le jugeons pas par sa descendance avec Lucius Malfoy. De plus sans lui et sa mère, nous ne serions même pas ici aujourd'hui pour témoigné. Il nous a sauvé la vie au péril de la sienne. Il a mit de côté ce que son éducation lui dictait pour écouté son cœur. Il a empêché Bellatrix Lestrange d'appeler son maître sous prétexte qu'il n'arrivait pas à reconnaître l'homme en face de lui, alors qu'il savait très bien qui il était. Il ne mérite pas de se retrouvé enfermé, je crois qu'il a droit à une seconde chance, à un avenir meilleur.
Je m'assoya, alors que l'Assemblée me regardait étonné. J'avais été sa première victime, mais n'avions nous pas attisé cette haine être nous? Oui. Nous sommes tous aussi coupable sur se plan.
Les délibération allait de bon train et le vote arriva. Plus du trois-quarts de l'Assemblée vota non-coupable tout comme moi. J'étais soulagé. Lorsque l'on rentra au Terrier, la tension depuis la sortie du jugement céda.
- Bordel, Hermione, tu peux nous expliqué c'était quoi ça!? hurla Ron hors de lui.
- La vérité, Ronald.
- Tu as fait libéré un criminel!
- Il ne l'est guère plus que nous! hurlais-je sur la défensive. Si je te rappelle bien, Harry la pratiquement tué en sixième année et il en a eu que faire lorsqu'il a sauvé Harry!
- On ne parle pas de la même chose!
- Bien sûre que si! Malfoy ne méritait pas le même sort que son père, maintenant si tu n'es pas content, je ne peux rien y faire!
- Si, tu peux disparaître de nos vies comme tu l'as si bien fait avec tes parents.
Ses paroles avaient raisonné dans la pièce comme un avada kedavra. Je n'arrivais pas à croire qu'il est osé dire cela. Harry opinia en silence. La trahison, voilà ce que je vivais. Je m'enfuya à l'extérieur et transplana vers le premier qui me passa par la tête, Poudlard. J'entra sur le terrain et couru jusqu'à chez Hagrid. Je frappa violemment à sa porte qu'il ouvrit après quelques secondes.
- Hermione?
J'entra avant de me laissé tombé en pleure aux sols. Il me regardait visiblement très inquiet, mais je n'arrivais pas à dire ce qui n'allait pas. Il me rassura du mieux qu'il le pouvait, mais mon cœur était anéanti pour toujours. Jamais ne n'arriverai à me départir de ses paroles.
Fin du flashback
Je pleurais à chaude larme. Effacé la mémoire de mes parents pour que je disparaisse de leur vie, n'avait été qu'une précaution contre Voldemort que je n'avais jamais regretter, sauf lorsqu'il prononça ses paroles. J'avais pris la défense d'un Serpentard, d'un mangemort et par-dessus tout mon bourreau. Je n'avais dit à personne ce qu'il était arrivé entre les deux autres et moi. Personne ne savais. Personne ne pouvais les approuvé. Personne pouvais nous réconcilié. Je sais que je dois me ressaisir. Je sais que j'ai une vie que je dois vivre, mais pourquoi continué à combattre si c'est pour que vos plus chers amis vous poignard sans préavis? Pourquoi continué alors que la lumière est éteinte? Je n'ai aucune raison d'être encore ici, mais pourtant je le suis. J'entendis des pas s'approcher de moi, un main se déposé sur mon épaule.
- Granger?
C'était sa voix. Lui. Je l'ai défendu au-delà de mes valeurs et j'en ai perdu tout. Je ne répondis pas. Je ne lui en voulais pas.
- Hermione... Tu dois dormir.
Cette phrase est presque risible.
- Pourquoi, Draco? Tout le monde se fout de mon existance...
Je l'avais regardé dans les yeux en disant cela. J'ai pu y lire un mélange d'étonnement et de tristesse.
- Je ne sais pas ce qu'il t'ai arrivé, mais tu m'as aidé, alors je fais en faire autant.
- Je n'ai jamais fait cela dans l'espoir d'une reconnaissance.
- Je sais, mais je te dois beaucoup trop pour te laissé dépérir ainsi.
Il me força à me levé et me traîna derrière lui. Quelque minutes plus tard, je me retrouvais dans la salle sur demande. Elle était magnifique et chaleureuse. Il n'y avait cependant qu'un seul lit.
- Malfoy, pourquoi n'y a-t-il qu'un lit?
- Je veux être sûr que tu te reposes, fit-il négligemment.
Il enleva ses vêtements pour rester qu'en pantalon. Il m'invita à me couché et je céda. Je me coucha à une distance raisonnable de lui et ferma les yeux. Je sentis un bras prendre ma taille pour me rapprocher d'un corps chaud. Je ne ronchonna même pas. Sa présence me faisait légèrement du bien. Je me sentais à l'abri. Je me retourna et me colla encore plus à lui avant de m'endormir pour la première fois depuis des mois sans faire de cauchemar. Au matin, il me secoua légèrement. J'ouvris les yeux et l'aperçu, la tête surélevée par l'appuie qu'elle avait trouvé sur son bras replié.
- Bien dormi?
- C'est ma première vrai nuit depuis longtemps...
- Tant mieux. Maintenant, prépare-toi. Aujourd'hui étant samedi, nous allons faire nos devoirs.
Mes devoirs... La longue histoire d'amour entre eux et moi sait rompu avec mes amis. Je n'ai remis aucun devoir convenable cette année. J'approuva et m'habilla rapidement des vêtements trouvé dans la pièce. J'imagine qu'un elfe de maison est passé par ici. Nous sommes descendu sans un mot vers la grande salle. Une fois arrivée, je voulu rejoindre les Griffondor, mais je me fit traîné par Draco jusqu'à la table des Serpentard sous l'œil attentif de tous.
- Malfoy, qu'est-ce que tu fais?
- Les Griffondor sont cruels avec toi, alors je fais te faire épargné leur compagnie. Peut-être n'as-tu jamais porté attention, mais cette année, les Serpentard font des efforts pour se montré gentil, alors je ne vois pas le problème. En plus, je fais pouvoir m'assurer que tu manges convenablement.
J'étais vraiment très surprise. Étais-ce parce que quelqu'un voulais mon bien? Étais-ce parce que l'aide venait de Malfoy? Je n'en sais rien, mais l'envie irristible de le remercier me traversa. Pas l'ombre d'une seconde, je fis attention à notre entourage. Je le pris dans mes bras, les larmes ruisselants doucement sur mes joues.
- Merci Draco. Merci d'être là...
Il me serra fortement contre lui.
- Je ne peux pas t'abandonné. Pas après ce que tu as fait pour moi, Hermione.
Il se détacha et me souria avant de me tiré vers Blaise Zabani et Pansy Parkinson. Ils nous regardaient avec de grand sourire et non pas avec la haine d'autrefois.
- Salut Dray, Granger, me salua Zabani.
Pansy se contenta dont signe de tête.
- Salut Blaise.
- Tu fais quoi aujourd'hui?
- J'aide cette chère Miss Granger a reprendre le dessus sur ses études. Vous pouvez vous joindre à nous si ça vous chante.
- On viendra, déclara Pansy.
Draco se prit à mangé, alors que je regardais les plats sans intérêt. Une pomme arriva par miracle dans mon assiette, mais je le regarda sans appétit.
- Granger, tu dois mangé cette pomme, me dit Malfoy en me fixant.
- Et si je n'ai pas faim?
- Hermione, tu n'as pas mangé depuis des lustres, alors tu vas être gentille et me faire plaisir en mangeant cette pomme.
Je soupira, mais j'obtempéra tout de même. Je tourna ma tête vers Zabani et Parkinson et ils nous regardaient réellement choqué. J'avoue que cela doit être étrange. Les deux pires ennemis se tenant ensemble, démontrant de l'amitié en publique et surtout, l'indomptable lion qui obéi aux moindres caprices du serpent... Je fini finalement ma pomme sous l'œil attentif de Draco ce qui réussi à m'arracher un mince sourire.
- Tu souris parce que je suis trop beau? demanda-t-il avec un sourire moqueur.
- Toujours aussi narcissique, le nargais-je. Je souriais parce qu'étonnamment ta présence me rassure.
Ma révélation le fit sourire. Puis, il se leva en m'indiquant de rester avec Blaise et Pansy. Je le regarda et remarqua qu'il alla voir Minerva McGonagal, la directrice. Mais mon attention fut vite de retour aux deux Serpentard.
- Je n'aurai jamais cru que Dray pourrait avoir un aussi grand pouvoir sur toi, déclara Blaise.
- Qu'est-ce que tu veux dire?
- Ce que Blaise tente de dire, c'est qu'il n'aurai jamais pensé que la pire rivale de son meilleur ami puisse obéir au doigts et à l'œil à ce dernier. Nous savons tous qu'il est arrivé quelque chose avec le blafaré et la belette et je tiens à rajouter que tu peux nous en parler quand tu le souhaites. Nous ne sommes plus les méchants Serpentard que tu as toujours connu, nous tentons une nouvelle approche. Et puis, je n'avais jamais vu Draco se faire du sang d'encre pour quelqu'un...
Je lui souria et elle me le rendu.
- Peut-être un jour je vous en parlerai, dis-je.
Ce n'était ni un oui, ni un non. Les minutes passèrent et je parlais naturellement avec les deux Serpentard jusqu'à leur l'arrivée.
- Tien, ne serait-elle pas en train de trahir à nouveau, dit une voix dans mon dos qui me fit frisonner. Mais cette fois, elle trahi les Griffondor.
Je ne répondis pas lançant seulement un regard désespéré aux deux autres.
- Allez jouer ailleurs, cracha Blaise.
- Pourquoi? Les Griffondor sont permis à cette table puisqu'elle est là.
Je n'en pouvais plus. Voilà plus de quatre mois que je me retiens, que je me détruit. Dans deux semaines c'est Noël autant m'offrir mon propre cadeau à l'instant.
- Va t'en, Weasley! criai-je en me levant. Depuis quand je suis une Griffondor!? Parce que je doute de vouloir faire partie de cette maison. Vous m'avez tournez le dos, alors que j'ai agit de manière juste! Vous me haisez pour l'avoir défendu, lui avoir permis d'avoir une deuxième chance! Je vous jure que vous je n'hésiterai pas une seule seconde à vous déclaré coupable, alors déguerpissez et ne revenez jamais m'adresser la parole!
La grande salle était silencieuse. Je vis Draco et McGonagal qui venait de revenir et je ne supporta pas le silence. Je m'enfuya de la salle laissant mes jambes me guidé. Je me retrouva à nouveau au sommet de la tour d'astronomie, mais ma solitude fut de courte durée puisque Blaise, Pansy et Draco arrivèrent. Je pleurais et dès que j'aperçus le blond, j'alla me blottir dans ses bras. Il prit le temps de ma calmé avant de m'interroger.
- Hermione, si tu ne te tiens plus avec les Griffondor, c'est réellement parce que tu as pris ma défense lors de mon procès?
- Oui, soupirais-je. Quand nous sommes rentrés chez les Weasley, la belette était en colère tout comme l'autre. Nous nous sommes engueuler et je lui ai dis que je ne pouvais rien contre son mécontentement. Il a répliqué mot pour mot "Si, tu peux disparaître de nos vies comme tu l'as si bien fait avec tes parents."
Les Serpentard semblèrent troublé, n'arrivant pas à comprendre ce que pouvais signifié la référence à mes parents, alors je décida de la leur expliquer.
- Peu avant le début de la guerre, je me suis effacer de ma vie de mes parents avec un sort d'oubliettes pour les protéger... Ils ne savent même pas qu'ils ont une fille, une vie ici à Londres.
Cette fois, j'avais trois regards stupéfaits fixé sur moi. Puis, Pansy s'approcha de moi et me serra dans ses bras.
- Les Griffondor sont des salauds, ne les écoute pas. Ils ne méritent en rien ton amitié.
Les deux autres approuvèrent.
- En plus, pour s'effacer de la vie de nos propres parent il vaut un courage hors du commun, décréta Blaise.
Je leur souria et essuya mes larmes.
- En passant, je dois vous montrez quelques choses, venez, dis Malfoy en se relevant rapidement.
Nous l'avons suivi et il nous fit traverser Poudlard pour s'arrêter devant un tableau.
- Renouveau, murmura-t-il.
Le tableau pivota et nous laissa passé. Il s'agissait d'un appartement privé.
- Bienvenue dans notre nouveau dortoir. J'ai réussi à convaincre McGonagal que j'étais pour le mieux. Le seule problème c'est qu'il n'y a que deux chambres et deux lits.
- Je suis avec Blaise, cria Pansy en partant en courant dans l'une des chambre apportant Blaise par la même occasion.
Je ria avec Draco avant de me dirigé vers notre chambre. Il était verte et argent, c'était magnifique.
- Elle te plait?
- Oui, beaucoup! Merci, Draco.
Je l'embrassa sur la joue avant d'aller chercher mes choses pour étudier et dissimulé mes rougeurs. Il prit également les siennes et nous sommes retourner dans la salle commune pour entamé le devoir de potion. Pour mon plus grand malheur, je ne comprenais rien.
- Draco?
- Oui?
- Je comprends rien... Tu veux bien m'expliquer?
- Bien sûre.
Il passa donc trois bonne heure a me résumé tout ce que nous avions vu depuis le début de l'année en potions. Le temps passait vite et il fut rapidement l'heure d'aller dormir. Je pris l'un de mes pyjama, une camisole et un short, et l'enfila avant de rejoindre un Draco en torse nu. Encore une fois, je me blottie contre lui et lui m'enlaça de manière à m'approcher encore plus de lui. Les jours passaient, ma fatigue s'estompait, mon appétit revenait et je souriais. Bref, je revenais à la vie tout comme ma part de Miss-je-sais-tout. Aujourd'hui c'était le bal de Noël. Draco m'avait invité et Blaise avait invité Pansy. Nous nous préparions donc ensemble. Je mis une robe bustier verte émeraude, argent et noir (média de gauche), j'attacha mes cheveux en un chignon laissant quelques mèches en sortir et je me maquilla légèrement. Pansy portait un robe verte émeraude (média de droite), les cheveux détachées et légèrement maquillé. Satisfaite nous nous sommes rendu au bal et tous les regard se posèrent sur nous alors que nos cavaliers s'approchaient dignement.
- Vous êtes magnifique, mais surtout toi, ma princesse, dit Draco en me fixant dans les yeux.
Il m'avait donné se surnom et j'aimais bien être sa princesse. Il m'invita à danser et j'accepta. Nous passâmes des heures à danser, rire et nous amusé, parfois seulement nous deux, d'autre moment avec Blaise et Pansy. Vers 2 heures du matin, nous sommes sortis, Draco et moi, prendre d e l'air frais. Il m'enlaça par derrière et déposa ses lèvres dans mon cou.
- Je sais que nous avons toujours été ennemi, que tu as tout perdu par ma faute, mais je dois t'avoué que je n'imagine plus ce que serai là vie sans toi. Tu m'as sauvé et je t'en suis reconnaissant parce que cela m'a ouvert les yeux. Je t'ai observé pendant c'est trois mois et j'ai cherché une solution. Je l'ai trouvé, mais je ne croyais pas que te côtoyé dans cette faiblesse me rendrai fou amoureux de toi... Je t'aime Hermione, ma princesse, ma reine, mon avenir.
Je le regardais émue de ses paroles. Moi aussi j'avais remarqué que Draco occupait une place de plus en plus importante dans ma vie.
- Je ne veux jamais être séparer de toi, Dray.
Je plongea ma tête dans son cou pour sentir son odeur, mais il se recula et me releva le menton tout en passant une main derrière ma nuque.
- Je t'en fais la promesse. Je ne t'abandonnerai pas, je resterai à tes côtés peu importe ce qu'il nous arrivera.
Dès qu'il eut terminé sa phrase, il scella nos lèvres dans un tendre baiser. Je glissa mes bras autour de son cou alors qu'il me prenait par les hanches.
- Je t'aime Dray.
- Je t'aime aussi, ma princesse.
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Coucou :)
Voici mon plus long one-shot sur le merveilleux couple que sont Draco et Hermione. J'espère qu'il vous a plus parce que je l'ai écrit sur un coup de tête x)
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