Je suis devant la porte d'un gymnase. C'est le point de rencontre que Olivier, Émilie et moi nous nous sommes donnés. Je suis assez nerveuse puisque je ne les ai jamais rencontrés au paravent. Puis, je les vois venir vers moi, ce qui augmenta mon stress. Lorsqu'ils furent devant moi, Olivier me tendit la main pour que je la serre.
-Enchanté commença-il, je m'appelle Olivier et voici Émilie, mais d'après moi, ta mère t'a déjà parlé de nous.
-Oui, en effet.
-Bon, dans ce cas, commençons!
Il sortit un trousseau de clés puis, il débarre la grosse porte qui, ouverte, nous permettait de voir des trampolines, des trapèzes, des anneaux, etcétéra. Cependant, nous nous dirigeons plutôt vers un escalier qui mène à une seconde porte. Lorsqu'elle fut ouverte, je put observer une salle semblable à une ruelle. C'est à ce moment que je comprit la sorte d'entraînement nous allons faire: du parcours.
Ce sport consiste à passer des obstacles comme, sauter par dessus une clôture, escalader un mur, grimper sur des cordes, marcher sur des poutres et ainsi de suite. De toute évidence, cette salle d'entraînement est de bonne qualité. Nous aurons besoins de ces capacités pour traverser tout le chemin qui nous attend. J'avoue que mon nouvel entraîneur est très prévisible.
Je me rend soudainement compte que Émilie n'a pas encore prononcé un seul mot. Je l'avais imaginé plus bavarde, petite et avec ses cheveux bruns beaucoup moins longs. Heureusement, nous avons au moins un point en commun: nous sommes toutes les deux timides avec les personnes que nous ne connaissons pas.
-Sarah, dit Olivier en se tournant vers moi, je vais laisser Émilie te montrer le gymnase. Moi, pendant ce temps, je vais aller prendre les choses que nous aurons besoin.
Puis, il partit.
Émilie me demanda de venir et elle commença à me présenter pleins de choses. Lorsqu'elle eu fini, et que nous attendions son père, je commençai une discussion.
-Est-ce que vous venez à cet endroit depuis longtemps?
-Cela fait maintenant deux ans, mais cette partie du gymnase n'est ici que depuis six mois.
-Donc, tu pratiques déjà ce sport?
-Oui, mais, j'ai aussi fait de la natation il y a deux ans. As tu déjà fais un sport?
-J'ai fais un peu de gymnastique et de la natation aussi.
-La natation était ma passion,mais quand mon père m'a fait découvrir le parcourt, j'ai tout de suite arrêter pour pouvoir avoir plus de temps pour ma nouvelle passion. Depuis, je vient régulièrement ici.
-Vous n'habiter pas loin de ce gymnase?
-Effectivement, nous sommes sur la rue Macell. Et toi?
-Ma maison est sur la rue Sivale, c'est celle qui est juste à côté de la tienne.
-Génial, comme cela on pourra se voir facilement!
-Oui, c'est vrai!
À ce moment, on entendit une personne nous demandant de venir.
-Ah! Il a finit, me dit Émilie en regardant son père. Nous pouvons le rejoindre.
Il avait installé les obstacles. Un seul regard sur tout ces objets qui m'entourent m'ont permit de savoir que j'allais adorer ce sport.
Au court de mon premier entraînement, ma nouvelle amie et Olivier m'apprennent les règles, par exemple, il est interdit d'appuyer nos genoux sur l'obstacle pour nous hisser dessus. Je trouve qu'ils sont très sympathique.
* * *
Je rentrai chez moi épuisée. Mes parents me bombardèrent de questions. Je leurs dis simplement que mon premier entraînement s'est très bien passé et que je doit aller chez François pour étudier le livre que nous avons trouvé.
Chez François, il m'explique comment résoudre une énigme. Il faut se concentrer sur les informations données lors de celle-ci et ne pas en inventer, c'est-à-dire qu'il peut y avoir des éléments de l'énigme qui portent à déduire trop vite. Par exemple, si dans l'énigme une
information dit que sur une feuille de papier, il n'y a aucune couleurs foncé, cela ne veut pas dire qu'il y a des couleurs pâles. Il pourrait n'y avoir rien sur la feuille. C'est assez difficile de réussir à le faire. Cela va prendre du temps, donc, nous nous sommes donnés une heure précise pour nous rencontrer pour que je m'entraîne. Ce sera de cinq heures à sept heures de l'après-midi à tout les jours, juste après mon entraînement de parcours. J'espère que je me rendrai jusqu'au Puissant avec Émilie et Olivier et que mes efforts n'auront pas été vain. Je tiendrai ma promesse faite à mes parents, j'obtiendrai le remède contre la malédiction et je convaincrai le Puissant de faire en sorte que le Démoniaque ne nuise plus jamais nuire mon pays.

Je suis très fatiguée ce matin. Je n'ai presque pas dormit de toute la nuit, car, je ne faisait que penser aux énigmes, au Puissant, au Démoniaque, au parcourt et ainsi de suite. Je suis, alors, à moitié endormie lorsque quelqu'un cogne à la porte. J'ouvre la porte pour constater que c'est Émilie qui est là.
-Salut! Qu'est-ce que tu fais ici? Je demande.
-Je viens t'avertir que l'entraînement commencera une heure plus tard.
-Une heure plus tard?! Mais je n'aurai pas le temps d'aller chez François!
-François? Qui est-ce?
-C'est quelqu'un qui m'aide à résoudre des énigmes et je dois aller le voir de cinq heure à sept heure.
-Ce n'est pas grave, nous pouvons nous rendre au gymnase après ton cours.
-D'ailleurs, pourquoi l'entraînement est remis une plus tard?
-Mon père croit savoir ou trouver le Puissant grâce à une carte qu'il a trouver.
J'avais presque oublié qu'il faut trouver le remède avant de l'obtenir. J'espère qu'il réussira. Soudain j'ai une idée. Je demande à Émilie si elle veut, elle aussi, apprendre à résoudre des énigmes. Elle a tout de suite accepter. Par la suite, je l'invite à entrer et nous parlons longtemps.
                                                                    *   *   * 
Un mois a passé depuis que j'ai rencontré Olivier et Émilie. Nous savons à présent où trouver le remède et nous nous préparons à partir. Notre départ est demain. La route est principalement dans une forêt très dense, donc, nous devrons nous y rendre à pied. Je place le livre que j'ai trouvé à la bibliothèque dans mon sac à dos. Je suis sûre qu'il me sera utile. J'ai rempli mon sac, maintenant je dois me reposer, car, demain, ce sera le début d'une aventure où je risque peut-être de mourir lors de ce long chemin.