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Fou de rage


Flores de la Mortega qui a suivi la scène que Peter a faite, elle sort de l'ombre et se rapproche de Peter Kovosky. Elle vient sur sa gauche pour l'accompagner dans le salon de jeux et s'assoit à ses côtés. Elle lui sourit, lui fait du charme et surtout, elle mise gros sur cette partie de poker.

Peter ne reste pas insensible aux charmes de la jeune femme qu'il connaît bien pour avoir déjà fait des affaires avec elle. Après quelques parties, il pose sa main sur la cuisse de la jeune femme sans gêne. Il la glisse à l'intérieur de la jambe pour sentir un étui à couteau.

" Vous êtes des plus charmantes et des plus dangereuse, ma chère Flores."

Il continue de remonter vers l'entre-jambe.

"Est-ce ceux-ci que vous cherchez ?"

Demande-t-elle en posant sa main sur celle de Peter et au moment de la retirer, il se retrouve avec un morceau d'étoffe dans la paume. Il reconnaît tout de suite un string de fine dentelle noire.

Il lui fait un sourire carnassier, d'un geste précis, il vient plaquer sa main sur le sexe épilé de la jeune femme pour constater qu'elle mouille déjà abondamment et annonce que la partie est en pause pour un petit moment.

Les joueurs à table le remercient et tout le monde se lève. Plusieurs personnes profitent du buffet et du bar pendant que Peter et Flores se retirent dans un petit salon bibliothèque à la lumière tamisée.

La porte à peine fermée que Peter s'approche de la jeune femme, la pousse contre un siège, il pose ses mains sur la nuque de Flores, attrape les ficelles qui retiennent la robe, détache les fines lanières de la robe au niveau du cou et laisse le fin tissu glisser jusqu'au sol. Il voit une sublime femme au corps parfaitement dessiné, aux courbes musclées et à la peau de velours.

Peter attrape Flores par les épaules, la retourne et la penche sur le bord du fauteuil. Il lui donne de grosses claques sur les fesses. Elle ne dit rien, ferme les yeux et sent la cyprine envahir son intimité. Il continue de la fesser et, avec sa main libre, ouvre son pantalon et le baisse en même temps que son boxer.

Il crache dans sa main pour humidifier son membre qui est déjà dur, se place derrière la jeune femme, lui écarte les jambes, pose sa verge entre les lèvres mouillées et d'un coup sec la prend en levrette avec des mouvements rapides et brutaux.

Il râle de plaisir très rapidement tellement il avait envie de la baiser, depuis toutes ces années où elle le narguait. Flores reste silencieuse tout le temps. Peter, après quelques minutes de puissants coups de reins, jouit au creux de la jeune femme et se retire. 

Elle se retourne, se met à genoux et nettoie le membre de cet homme qu'elle trouve beau dans sa bestialité. Peter reste avec le membre bien tendu, il met ses mains dans les cheveux de Flores pour la forcer à avaler tout son atribu. Elle a de la peine à respirer, mais il continue de la prendre ainsi jusqu'à ce qu'il jouisse une deuxième fois dans la gorge de la jeune femme.

Lorsque Flores a fini de le nettoyer, Peter remonte son boxer et son pantalon, réajuste ces habits, retourne dans le salon de jeux et prend un verre au bar en passant. Il regarde Flores aux joues rougies de son assaut s'asseoir et il reprend sa place pour continuer la partie de poker.

Après de longues heures de jeu et avoir tout gagné, Peter remercie les joueurs présents et demande à un domestique d'aller chercher son épouse à l'étage.

Quelques minutes plus tard, le jeune serveur revient complètement apeuré. Il s'approche de Peter et lui murmure à l'oreille le fait qu'il n'a pas trouvé madame Kovosky et la jeune Faustine.

Dans un mouvement de colère, il bouscule le pauvre homme de service. Il piétine de rage, appelle son bras droit qui était resté dans le fond de la salle. Il vocifère contre le personnel et c'est à ce moment que les parents de la jeune Faustine rentrent dans le salon, suivis par toute une horde de gardes du corps.

Un silence s'installa rapidement, le patriarche Don Vitelo prend la parole et donne des consignes rapides à ces hommes de main.

Il interpelle Flores de la Mortega. 

"J'ai du travail pour vous, retrouver ma fille et ramener là ici peux importe le prix et quant à vous monsieur Kovosky je vous conseille de régler le cas de votre épouse le plus rapidement possible sinon je vais m'occuper personnellement de votre famille."

Don Vitelo sort de la pièce, toujours dans un silence et la porte à peine refermée que les discussions vont bon train. Plusieurs chefs de famille quittent rapidement la propriété.

Peter et son bras droit font la même chose et vont directement aux bureaux de la société K-Tec. Arrivé sur place, Peter monte directement dans son bureau, allume son ordinateur et cherche sur l'application de surveillance les GPS posés dans les affaires de Victorine.

L'écran donne la position des badges, c'est une rue dans un quartier remplie de boutiques. Peter prend son ordinateur portable et les deux hommes descendent au parking. Ils sont rejoints par une dizaine d'hommes lourdement armés que Maurice, le bras droit de Peter, avait appelés en renforts.

Dans la nuit froide, les phares éclairent la route pour Val-d'Or, les jeunes femmes roulent depuis bientôt cinq heures en évitant les grands axes routiers. Victorine et Faustine se relaient pour conduire et aux premières heures de la journée, elles s'arrêtent dans un Dîner pour faire une pause, le plein de la voiture et manger.

Pendant ce temps, Peter et son équipe arrivent à la friperie, font le tour du bâtiment pour arriver dans la ruelle. Ils progressent en restant sur leurs gardes, car Peter ne sait pas si elles ont fui ou si elles ont été kidnappées.

Le signal vient d'une benne à ordure. Peter fait signe à deux hommes pour aller voir. Ils ouvrent le couvercle avec prudence, éclairent à l'intérieur et ne trouvent que les habits et les sacs vides.

Dans un geste de colère, Peter vide le chargeur de son arme de poing dans la direction de la benne à ordure, car il vient de comprendre que sa femme chérie a osé exécuter ces menaces.

Maurice fait embarquer tous ces hommes et donne une adresse après avoir regardé l'ordinateur et constaté qu'elles s'étaient arrêtées pendant quelques minutes au même endroit.

Il retourne vers Peter et lui donne ces informations. Tous les deux connaissent cette adresse qui correspond au garage de Jo et ils se mettent en route.

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