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Chapitre 1

Salut tous le monde, voici ma toute première Fic, c'est une ZoroSanji avec aussi du KidLaw. Je m'excuse d'avance pour le caractère des personnages qui seras certainement OOC, mais je suis une débutante. Sinon, une petite précision, le texte en italique et entre deux *. . .* sont les pensées du personnage.

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Enfin de retour après six longs mois d'infiltration à l'autre bout du pays dans l'un des cartels mafieux des plus dangereux ! Mais pour l'agent des stups Roronoa Zoro, cette mission avait était l'une des plus facile à accomplir, comparé à celles qu'il avait l'habitude d'effectuer et où le vert avait failli à plusieurs reprises perdre la vie.

La mission était uniquement basée sur le recueil d'informations qui permettraient à Zoro et son partenaire, Eustass Kid, de planifier la suite des opérations et ainsi faire tomber le cartel pour en finir une bonne fois pour toute avec ce Akainu. Un dangereux trafiquant de drogues qui depuis peu s'était lancé dans la vente d'esclaves sexuelles.

Après un vol interminable et alors qu'il rentré tranquillement chez lui au volant de sa magnifique Mustang de 1965 bleu nuit. Une petite merveille qu'il possédé depuis son adolescence, l'agent l'avait acheté et retapé dans sa totalité avec son meilleur ami, Sanji.

Zoro imaginé déjà l'engueulade, ainsi que les coups qu'il allait recevoir le lendemain venant d'un blondinet inquiet de ne pas avoir eu de ces nouvelles durant une demie année. Rien que d'y penser le fit sourire, il avait hâte d'être à demain.

D'ailleurs en parlant de Sanji, le vert était impatient de le revoir, lui et ses bons petits plats, qui lui ont tant manqué ces derniers mois. Et c'est sur ses délicieuses penser que Zoro gara sa voiture pour rentrer chez lui et y passer une bonne nuit de repos bien méritée.

L'agent des stups vivait dans un appartement trois pièces, juste ce qu'il lui fallait. Etant seul et le plus souvent partit en mission, celui-ci lui convenait parfaitement. L'appartement comprenait une cuisine ouverte sur la salle à manger et le salon, ainsi qu'une chambre et une salle de bain.

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Pendant ce temps dans un restaurant très populaire du centre-ville, le Baratie s'était son nom. Le meilleur des cuisiniers de tout l'établissement, Blue Sanji, était en train de terminer le service du soir en compagnie du patron, Zeff, qui n'est autre que son grand-père.

Une fois les derniers clients parties, la salle et la cuisine nettoyées, ainsi que remis en état pour le service du lendemain. Le blond rentra tranquillement à pieds jusque chez lui, il n'habité qu'à 20 minutes de son boulot, tout en fumant son éternel bâton de nicotine.

Tout en marchant, Sanji se demandé où pouvais bien être son cactus préféré. Cela devais bien faire six mois maintenant qu'il n'avait pas vue Zoro ou même eux de ces nouvelles, mais le cuistot ne s'inquiété plus comme avant. Le blond était, depuis un peu plus d'un an maintenant, au courant du réel métier de son meilleur ami.

Un soir, alors que Sanji venait de finir son service plus tôt que d'habitude, il avait eu envie de faire une petite visite surprise au marimo. Arrivé chez son ami, il avait sonné, puis attendu le sourire aux lèvres que Zoro lui ouvre.

Quand la porte s'était ouverte, le sourire de Sanji s'était fané pour laisser place à un regard inquiet. Là, devant lui se tenait un Zoro simplement vêtu d'un pantalon, mais ce qui l'avait choqué était l'état dans lequel se trouvait le torse de son ami, celui-ci était couvert de blessures et d'hématomes.

Après l'avoir fait entrer, l'agent des stups avait préféré tout lui expliquer en détail, ceux à quoi consister son vrai métier. Pour en premier calmer son flot de questions qu'il ne cessé de poser au marimo depuis son arrivé et en deuxième pour éviter qu'il ne s'inquiète de nouveau, si à l'avenir il le voyait dans le même état qu'aujourd'hui.

Ce même-soir, Zoro en avait profité pour lui dire, que si il lui arrivé quelques chose au cours d'une mission, il en serait le premier informer. N'ayant plus de famille, le cactus l'avait mis comme personne à contacter en cas de problèmes.

A force de penser à lui, le cuistot n'avait pas remarqué qu'il était déjà arrivé au pied de son immeuble. Après avoir monté les escaliers, Sanji ouvrit la porte et rentra dans son appartement, qui on pouvait le dire était luxueux.

Une fois celle-ci franchis, on arrivé directement dans un salon spacieux où sur la droite se trouvé une splendide cuisine américaine ouverte sur la salle à manger, quoi de plus normal me direz-vous pour un cuisinier. A la gauche du salon, il y avait un couloir dans lequel on pouvait distinguer quatre portes, deux de chaque côté. Derrière celles de droite se trouvait les chambres, celle de Sanji avec un dressing et une d'ami. Sur la gauche, on y trouvé la salle de bain et une autre pièce, qui pour le moment était vide.

Sanji se dirigea directement vers la salle de bain pour y prendre une bonne douche. Après une journée de travail, il aimait se détendre sous l'eau bien chaude de celle-ci, mais surtout et c'était là sa principale raison, le blond n'aimait pas aller se coucher en ayant l'odeur de friture sur lui, il ne supporter pas ça.

Une fois qu'il eut fini de se séché, il enfila un bas de pyjama et partit s'allonger dans son lit, les mains croisées derrières la tête. Le cuistot se mit à réfléchir aux sentiments qu'il avait développés depuis peu envers son meilleur ami. Ces derniers temps, il n'arrêté pas de faire des rêves étranges où il voyait Zoro couvert de blessures suite à une de ces missions. Même si ce n'était que des rêves, Sanji ne pouvait s'empêcher d'avoir un pincement au cœur en sachant que le vert pouvait à tout moment se faire tuer.

Sanji : Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Sa fait un moment que je ressens cette étrange sensation au niveau du cœur et à chaque fois, c'est quand je pense à lui. J'ai beau réfléchir, je ne vois pas ce que ça pourrait être. De l'inquiétude ? Probablement vue le métier qu'il fait, mais je mis suis habitué depuis qu'il m'a tout avoué ce soir-là. Alors je ne comprends pas, qu'est-ce que j'ai ? Tout ce que j'espère, c'est que tu vas bien, marimo.

C'est sur ses paroles murmurés à lui-même que Sanji s'endormis tout en rêvant de son cactus préféré. De son côté, Zoro venais de finir sa douche, il s'habilla d'un pantalon pour la nuit et était sur le point d'aller se coucher, quand-il entendit un bruit de verre brisé venant de sa chambre.

Instinctivement l'agent s'approcha de la pièce discrètement, mais quand il y entra, il n'y trouva rien d'autre qu'une brique au sol avec du verre éparpiller autour. Zoro se dit que sa devait-être des petits voyous qui n'avais rien trouvés de mieux à faire à une heure si tardive.

Alors qu'il se dirigé vers sa cuisine pour prendre de quoi ramasser le verre et de quoi calfeutrer le trou dans sa fenêtre pour la nuit, en attendant de réparer celle-ci, Zoro remarqua que sa porte d'entrée était entre-ouverte. Pourtant, il était sûr de l'avoir fermé à clé lorsqu'il était rentré, comme à chaque fois.

Le marimo eut à peine verrouillé sa porte pour la deuxième fois de la soirée qu'il se fit plaquer contre celle-ci avec force, l'empêchant de riposter. Etant dos à son agresseur, Zoro ne pouvais voir qui il était.

Zoro : Qui êtes-vous ?! Que voulez-vous ?! demanda-t-il énervé.

. . . : T'inquiète pas Roronoa, tu vas bientôt trouver la réponse à ta question, sale flique !

Zoro : De quoi ?! J'vois pas de quoi vous parlez ?! *Et merde ! C'est qui ce mec ?! Et puis, comment il a su où j'habité ?! Sa sent vraiment pas bon pour moi ça !*

. . . : Ne te fait pas plus bête que tu ne l'est, Roronoa ! Et surtout, ne nous prend pas pour des cons ! Mr. Roronoa Zoro, agent des stups ! dit-il au vert avant de s'adressé à son partenaire. Qu'est-ce qu'on en fait Lucci ?

Lucci : Attache-le sur une chaise. Ensuite, va chercher ton matériel, on va s'amuser un peu avec notre cher ami, l'agent des stups. Hein ? Quand penses-tu Kaku ?

Kaku : Avec grand plaisir. On va lui apprendre ce qui arrive au flique, un peu trop curieux.

Après ces quelques paroles échangés, Zoro fut assommer et transporter dans la pièce principale de son appartement. Quand il se réveilla, l'agent remarqua qu'il était solidement attaché à une chaise et sur sa table de salon, il put voir tout le matériel du parfait drogué, ce qui n'annoncé rien de bon pour lui dans les heures à venir.

Zoro savait pertinemment ce qui l'attendait. Ces mecs aller lui injecter, il ne savait pas quelle saloperies dans le sang et peut-être même qu'ils le tueraient pour ainsi faire passer un message à tous ses collègues des stups. Là, il pouvait dire qu'il était dans une belle merde. Le vert allait peut-être mourir ici, ce soir dans son appartement, mais la seule chose ou plutôt personne à laquelle il pensé en ce moment n'était autre que Sanji.

Zoro : *Pardonne-moi blondinet. Je t'avais promis de toujours revenir en vie, mais là, je croix que je ne pourrais pas tenir ma promesse envers toi, encore pardon, Sanji*

Kaku : Alors Roronoa, prêt à t'amuser avec nous ? Tu vas voir, on va s'occuper de toi comme si tu étais un VIP. Pas vrai, Lucci ? dit-il tout en préparant plusieurs seringues.

Lucci : Ouais, c'est exacte Kaku. Tu sais que tu en as de la chance, Roronoa ! Kaku est un expert dans ce domaine, car il ne laisse JAMAIS de trace sur ces victimes qui pourraient remonter jusqu'à nous. dit-il avec un large sourire à l'attention de Zoro.

Zoro : Waoh ! Super ! Quel chance j'ai que ce soit vous qui soyez venus me rendre une petite visite nocturne, j'en suis honoré ! BANDE DE SALES ENFOIRÉS ! crachat-il au visage de Lucci.

Kaku : EH ! SOIT PLUS POLI QUAND TU T'ADRESSE A LUCCI, ESPÈCE DE SALOPARD ! cria-t-il tout en décochant une bonne droite dans le visage de Zoro.

Lucci : Du calme Kaku. dit-il posément à son partenaire, puis il se retourna vers Zoro. Eh bien, tu en as dû crans pour un flique, surtout dans ta situation actuelle. D'habitude, nos victimes n'arrête pas de nous supplié de l'ai épargné, mais toi, tu restes calme et tu oses même nous insulter. Bravo, quel courage, mais inutile. dit-il à l'agent en lui balançant à son tour un bon coup de genou en pleine tête. A toi de joué Kaku, il est tout à toi.

Kaku : Ok, pas de soucis. Je pense qu'avec toi, je vais me surpasser, Roronoa. dit-il au vert, légèrement étourdis, tout en lui enfonçant une première seringue dans le bras.

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Quand Zoro se réveilla, la première chose qu'il vit avec difficulté était son plafond, il tourna ensuite la tête de chaque côté et remarqua qu'il était de nouveau seul dans son appartement. Apparemment, Lucci et Kaku l'avaient détachés et laissés à même le sol, pensent qu'il ne survivrait pas au "traitement spécial" qu'ils lui avaient administrés durant plusieurs heures. Ces bourreaux lui avaient également retournés toute la pièce, mais le vert se doutait bien que tout son appartement devait-être dans le même état.

Tout son corps lui faisait mal, ce qui était normal après avoir subi un tel traitement, mais cette douleur-là n'était rien comparée à celle qui le lancer à son œil gauche. En parlant de celui-ci, Zoro avait beaucoup de mal à l'ouvrir. Dans un réflexe, il posa difficilement sa main gauche sur son œil. C'est là qu'il sentit quelques choses d'humide sous sa main, il la retira est pu voir qu'elle était couverte de sang.

Zoro : Merde, ils n'y sont pas allaient de mains mortes ces enfoirés ! se dit-il à lui-même, s'en se douter un seul instant de la gravité de cette blessure.

Zoro se retourna sur le ventre et essaya de se relever une première fois, mais retomba aussi vite en toussant et en crachant du sang. Le tabassage qu'il venait de subir, ainsi que la fatigue accumulé ces derniers temps commençait à avoir raison de lui. Mais au moment où il ferma sa paupière pour reprendre son souffle, il vit le visage souriant de Sanji, ce qui le fit brusquement ouvrir l'œil droit.

L'agent se rappela soudain de la promesse qu'il avait faite à son cuistot préféré, quelques temps plus tôt. Il ne pouvait pas baisser les bras, il devait se relever, il le fallait absolument. Sinon, il risqué d'y rester et pour de bon cette fois.

C'est après plusieurs essais et surtout avec la volonté de revoir Sanji pour lui avouer ce qu'il avait sur le cœur depuis quelques années que Zoro réussit enfin à tenir sur ses jambes, même si pour cela il avait dû s'aider du mur pour y arrivé. Avec le peu de force qu'il lui restait, l'agent des stups enfila une veste et ses chaussures, puis sortit de chez lui en fermant la porte à clé.

Une fois arrivé en bas de son immeuble, Zoro vérifia qu'aucun de ces agresseurs ne l'attendais au pied de celui-ci. Ne voyant rien de suspect et en s'aidant toujours du mur pour rester debout, il commença à marcher aussi vite que ses jambes pouvais le lui permettre vers sa destination, qui n'est autre que l'appartement de Sanji.

Zoro dû faire plusieurs poses sur le chemin qui le menait chez le blond pour reprendre son souffle, il se doutait qu'il devait avoir quelques côtes cassées, mais il tiendrait bon. Quand-il arriva au pied de chez son meilleur ami, il put enfin souffler de soulagement. Tout en s'adossant au mur de l'entré, l'agent des stups appuya sur la sonnette correspondant au logement du cuisinier.

Lorsque Sanji entendus le bruit, il grogna de mécontentement, mais se leva tout de même pour savoir qui était l'abruti qui avait osé le déranger en pleine nuit dans son sommeil. Tout en se dirigeant vers l'interphone, le blond ne put s'empêché de regarder l'heure qu'il était, 4H du matin.

Sanji : J'te jure que ce crétin va m'entendre ! Faut vraiment être le dernier des abrutis pour déranger les gens à une heure pareil ! dit-il énerver en marchant vers l'appareil qui n'arrêté pas de sonner. Qui sait ?!

Zoro : C'est moi, Zoro... kof.kof... Tu peux m'ouvrir... kof.kof... s'te plaît...

Sanji : Marimo ?! Depuis quand t'es rentré ?! Et surtout, qu'est-ce que tu fais ici à une heure pareille ?! dit-il paniquer en entendant la voix essoufflé et coupé par les toussotements du cactus.

Zoro : Plus tard... kof.kof... si tu veux... kof.kof... pour l'instant... ouvre cette... kof.kof... putain de porte... kof.kof.kof... finit-il avant de s'effondrer.

Sanji : Hey ! T'es toujours là ?! Marimo répond ! Zoro ?! Et merde !

Sanji, paniqué, se dépêchas de descendre les escaliers le plus vite possible sans oublier auparavant de prendre ses clés. Quand-il arriva en bas, c'est un Zoro gravement blessé et qui avait des difficultés à respirer qu'il découvrit assis dos au mur de l'entrée. Sans plus attendre, le cuisinier ouvrit la porte et s'agenouilla auprès de son ami.

Sanji : Zoro, tu m'entends ?! Mais qu'est-ce qui t'es arrivé ?! dit-il encore plus paniquer en voyant du sang au niveau de l'œil gauche de son ami.

Zoro : Grr...

Sanji : J'vais t'aider à marcher, ok ?!

Le blond prit le bras de Zoro pour le poser sur ses épaules, puis plaça l'un de ses bras autour de la taille du vert pour l'aider à se remettre debout et à marcher jusqu'à l'ascenseur. Mais en faisant ce geste, l'agent poussa un grognement de douleur étouffé. Sanji se dit qu'en plus de son œil gauche, le cactus devait avoir quelques côtes cassés, ce qui expliquerais pourquoi son ami avait tant de mal à respirer.

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Alors, quand pensez-vous de mon premier chapitre ? Soyez franc, sa m'aideras pour la suite qui est déjà en cours d'écriture ^_^

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