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15. ... et trêve

Marie arriva hystérique aux écuries, les yeux rougies. Elle s'immobilisa net dans l'allée déserte. Il n'y avait pas grand monde , à part quelques palefreniers et un superbe cheval , attaché à un anneau en fer, fixé au mur.
Mordiable ! Mais où était son frère ? Elle n'y comprenait plus rien.

" Isabelle m'a racontée n'importe quoi ! Pourquoi a-t-elle fait cela ?"

Elle demanda à un jeune garçon s'il s'était passé quelque chose de notable mais celui-ci haussa des épaules, ne voyant pas de quoi elle parlait.

Elle s'appuya à la porte d'une stalle, le temps que les battements de son cœur ralentissent. Son idiote de demi-sœur lui avait fait une belle frayeur. Elle allait entendre parler du royaume celle-là !

Marie laissa vagabonder ses yeux qui se fixèrent sur la jeune monture de couleur noire zain, au poil lustré. Rien à dire, c'était indéniablement une bête  d'exception, au vu de sa taille et sa stature massive. Son port de tête était altier, sublimé par sa crinière noire ondulée. Elle avait devant elle, l'incarnation de la grâce et de la beauté. La damoiselle se laissa complètement charmer par cet animal spectaculaire.

Elle s'approcha sans brusquerie de l'animal. Elle saisit un peu de foin dans une botte et lui tendit. L'équidé ne se fit pas prier, et mangea la nourriture offerte. Elle en profita, ainsi, pour lui grattouiller les oreilles.

— C'est bien, bon garçon... ou alors tu es une fille ?

Elle se pencha pour examiner les parties génitales mais une voix de jeune homme, un peu timide, derrière elle, la devança.

— C'est un mâle, damoiselle Marie. Un jeune frison de deux ans.

La blonde se redressa et se tourna vers son interlocuteur, un peu surprise.

Bien le bonjour, Isaac. Je n'étais point au courant de votre retour.

Il inclina sa tête bouclée pour la saluer respectueusement.

— Oui nous sommes rentrés il y a peu, damoiselle.

— Je vois, prononça-t-elle ternement.

Cette nouvelle n'était pas vraiment pour lui plaire. Cela ne pouvait signifier qu'une chose : Louis était de retour.

— A qui appartient-il ? fit-elle en caressant l'étalon.

Mais en fait , elle avait déjà sa petite idée sur la question. Elle se souvenait  de ce que Isabelle lui avait avoué par erreur. Elle commençait à comprendre pourquoi sa demi-sœur s'était jouée d'elle.

— A messire Louis. Mon maître a tout de suite repéré le potentiel de cette « perle noire *» aux origines andalouses.

— Il a dû coûter cher comme poivre.

— Oui-da. Mais rien n'est ni trop cher ni trop beau pour messire Louis.

— Évidemment, railla l'Anglaise. Et il veut faire quoi de cette bête ? Il a déjà Carolus Magnus.

Isaac se dandina mal à l'aise et maudit son maître de l'obliger à participer à cette comédie. Il était perdu et ne savait plus ce qu'il devait dire. Sa timidité lui jouait des tours.

—Euh...

— Il ne voudrait pas l'offrir à quelqu'un, par hasard ? demanda-t-elle pressante.

L'écuyer était incroyablement gêné. Il était comme bloqué. Aucun son ne sortait de sa bouche.

Pour Marie, il n'y avait aucun doute, ce cheval lui était destinée. La panique dans les yeux du blond était révélatrice. Elle était bien contente de la gaffe de sa sœur, elle allait s'amuser un peu comme elle avait une longueur d'avance.

Ou pas.

— Tu peux me dire, Isaac. Ça restera entre nous.

— ...

Un coup discret dans la porte du box de Carolus Magnus le stimula. S'il ratait, il allait se faire enguirlander sec. Il réussit enfin à sortir une pauvre phrase sous la pression.

— Nenni, ma damoiselle.

— Je vous demande pardon ?

— Ce cheval est pour l'utilisation personnelle de mon maître. Il n'a point l'intention de le donner.

Marie resta interdite devant cette réponse.

— Il n'est pas pour moi ?!

— Je ne crois pas qu'il ait de tels desseins.

— Scandaleux ! C'est juste scandaleux !

— C'est-à-dire que ...

— Ce couard ne daigne même pas s'excuser ?! Il ne respecte pas sa parole. Ce cheval devrait être pour moi, ça serait la moindre des choses !

Cela faisait une semaine qu'elle était une coquille vide, à cause de lui, mais bizarrement, elle retrouva sa combativité en un clin d'œil. La simple pensée  que ce fot-en-cul n'en avait rien à faire d'elle, l'outra profondément.

— Il est où cet abruti qui te sert de maître ? J'ai deux mots à lui dire !

— Euh ...

— Il est là.

« L'abruti » sortit de sa cachette, poussa la porte du box pour sortir et se posta  devant Marie. Il eut la clairvoyance de ne pas relever l'insulte.
La blonde vénitienne ne s'étonna qu'à moitié de sa présence. Il apparaissait toujours par surprise , quand elle ne s'y attendait pas. C'était comme un petit jeu tacite entre eux.

Ils se scrutèrent sans dire un seul mot pendant un certain temps. Isaac en profita pour rentrer sans un bruit dans la stalle de Carolus et refermer la porte.
Simple instinct de préservation.

Marie sentit sa colère grimper en flèche. Le voir était douloureux pour elle. Le souvenir des mains du blond sous sa chainse* la saisit et elle dut inspirer et expirer pour évacuer sa rancoeur et éviter de s'emporter. Ses poings se serrèrent sans qu'elle s'en aperçoive.
Le chevalier de Sens remarqua sa crispation mais ne fit rien ou ne dit rien pour ne pas rajouter  de l'huile sur le feu. Il attendit patiemment qu'elle parle la première. Cela ne tarda pas.

— Vous êtes à peine de retour que vous m'espionniez déjà.

Louis mit du temps à répondre. Les yeux de la jeune femme l'affligèrent profondément car ils étaient empreints d'anxiété. Imaginer qu'elle puisse avoir peur de lui, lui coupa la respiration.

Il s'expliqua mais pour une fois sans aucune marque de condescendance ou de méchanceté.

— C'est vrai mais pour une bonne raison.

Elle croisa ses bras en signe de défiance et attendit la suite.

— Ce cheval est effectivement pour to...vous, se reprit-il en se souvenant qu'Isaac était là et qu'il se devait de la vouvoyer en présence d'autres personnes. Mais comme, je vous connais vous et votre fierté, je savais que vous n'accepteriez rien de ma part, de façon directe. J'ai demandé alors, à Issac de faire en sorte que vous vous trahissiez.

— Vous êtes vraiment tordu !

Il la laissa dire et se contenta de continuer à la fixer.
Elle décroisa ses bras et les recroisa ne sachant que faire. Elle ne voulait rien, effectivement, de cet idiot mais vu le pataquès qu'elle avait fait à son écuyer, ce n'était pas si flagrant. Comment dire non sans passer pour une attardée ? En plus, le canasson lui faisait grandement de l'œil. Il fallait ne pas être sain d'esprit pour refuser une telle merveille.
Il l'avait piégée. Encore une fois. Bon, concrètement, c'était plutôt gentil mais la manière de faire était franchement discutable.

Elle garda le silence, faisant un examen visuel complet de Louis. Mais pourquoi ce bougre d'âne tenait absolument à lui offrir un cheval ? Pour la remercier de lui avoir sauvé la vie ? Pour s'excuser de leur dernière entrevue à l'héboristerie ? Les deux ? Autre chose ?
Elle était fatiguée de toutes ces questions, de Louis et de cette situation en général. En fait, elle n'en pouvait plus et voulait que cela s'arrête. C'était trop demander que de vouloir retrouver une vie normale ?

Le jeune blond était vraiment décontenancé , par le mutisme de Marie. Il s'attendait à tout sauf à ça. Des cris, des insultes, qu'elle lui dise d'aller se faire voir, qu'elle le frappe. Tout aurait été mieux que cet immense blanc qui s'éternisait. Lui-même ne savait plus quoi dire ou faire, de peur de la braquer.

Contre toute attente, la délivrance arriva finalement de Marie qui fit une chose aussi extraordinaire, voire plus, que la chute de l'Empire byzantin*.
Elle s'avança d'un pas vers lui et lui tendit la main.

— Messire Louis, je vous propose que nous fassions la paix. On efface le passé pour redémarrer sur des bases plus saines.

Louis dut se faire violence pour ne pas la regarder comme un ahuri. Elle voulait enterrer la hache de guerre ? Vraiment ? Sans même essayer de se venger par rapport à la dernière fois ?

— Vous voulez dire que vous n'allez plus tenter de m'occire par tous les moyens ?

— Oui-da. Et cela vaut pour vous aussi. Vous n'essayerez plus de me jeter aux cochons, de me noyer, brutaliser ou me forcer à faire quoi que ce soit, contre ma volonté.

Euh ... oui. Bien sûr !

L'écuyer aux cheveux blonds bouclés, qui faisait mine de brosser Carolus, ne manquait pas une miette de l'échange. Ce qu'il voyait et entendait était juste surréaliste. Il n'avait jamais vu son maître aussi mal à l'aise, devant une femme, qui plus est.

Louis finit par lui  attraper la main et la serra.

— Dans ce cas nous avons un accord.

— Alors, je promets devant Dieu de ne plus vous nuire, jura-t-elle.

— Ainsi que, de ne plus me considérer comme un ennemi et de ne plus discuter mon autorité, continua Louis.

— Votre autorité ?

Êtes-vous simplette ? Nous avons déjà eu cette conversation damoiselle, mais puisque nous devons repartir sur de bonnes bases, je vais vous rafraîchir la mémoire. Je suis un des représentants de notre sire, le roi de France, choisis pour cette mission. J'agis sous son autorité. Si vous n'obéissez pas à mes directives ou à celles de mes compagnons, c'est le roi, lui-même, que vous défiez. Je vous demande donc de vous assujettir à mon autorité, de ne plus contester mes ordres et de ne plus mentir. C'est aussi simple que cela. Je vous écoute damoiselle.

Marie se maîtrisa pour s'empêcher de se rebiffer. Il en demandait beaucoup quand même ! Elle s'exécuta mais avec difficulté.

— Très bien... Je jure de vous respecter et de me plier à vos règles si cela rentre dans le cadre de votre opération.

Le Sénonais eut un sourire ironique mais ne fit aucun commentaire. Le « si » parlait pour lui-même, il ne s'appliquait que dans certains cas. En clair, elle ne dirait pas Amen à tout. Mais c'était, quand même, mieux que rien. On progressait.

— Bien. Et donc je promets, pareillement, de ne pas porter atteinte à votre intégrité et de vous montrer le respect que je vous dois. Bien sûr, en tant que chevalier, il est aussi de mon devoir de vous venir en aide si vous vous trouvez en danger, déclara-t-il d'une voix forte. Je vous offre ma protection aussi longtemps que je resterai céans.

Marie sourit devant ce zèle mais joua aussi le jeu et posa un genoux à terre pour lui témoigner sa reconnaissance. Gagner sa protection n'était pas si anecdotique et pourrait même s'avérer utile.
Le fils du vicomte de Sens la scruta intensément; même si son corps semblait soumis , ses yeux mordorés avait quelque chose de farouche. Il savait qu'il allait devoir ramer, un bon bout de temps, avant qu'elle ne lui pardonne totalement.

Isaac, qui s'était appuyé sur la porte de la stalle pour regarder cet échange singulier, fit une remarque :

— On dirait presque un hommage vassalique.

Marie se releva aussitôt et rougit, tout comme Louis, car tout deux pensèrent à la même chose : le baiser de la paix* .

— Au lieu de dires des bêtises, Issac, prépare les chevaux. Si damoiselle Marie est d'accord, nous allons faire une balade pour qu'elle se familiarise avec sa monture. Qu'en pensez-vous ? demanda-t-il à la concernée.

La jouvencelle hésita mais accepta. Elle mourait d'envie de monter ce splendide animal.

— Bien messire, dégoisa* Isaac. Je m'en occupe. Mais je soutiens mon propos. J'avais vraiment l'impression d'assister à une cérémonie entre un suzerain et son vassal. Marie a prêté serment de fidélité en se soumettant à vous et en échange, vous lui offrez votre protection. En plus, vous lui avez même fait un don, ici le cheval, exactement comme lors d'une investiture. En fait, il ne manquait plus que les reliques pour jurer.

— Isaac ! le rappela à l'ordre son chevalier.

— Euh.. pardon messire ! Je me dépêche de seller vos chevaux.

Marie passablement gênée par cette insistance, changea de sujet et s'intéressa à son nouveau cheval.

— Je ne connais même pas son nom. Comment s'appelle-t-il ?

— Il n'en a pas. L'éleveur lui a juste attribué un numéro. Tu es libre de choisir son nom.

— D'accord. Voyons voir...

L'Anglaise réfléchit intensément pendant un certain temps puis s'écria :

— Attila ! Je vais l'appeler Atilla !

Le chevalier et l'écuyer se regardèrent ébahis. Puis, Isaac éclata de rire et Louis se dit que cette fille était folle à lier.

— Tu ... Vous vous gaussez de moi ? Attila, le chef des Huns, qui a envahi la Gaule ?!

— Oui, cet Attila là, fit-elle un sourire mutin sur les lèvres. Cela vous pose un problème, messire ?

— Mais ... mais ! Ce cheval vaut plus de 150 francs et vous voulez lui donner le nom d'un envahisseur sanguinaire  ?!

— Mais c'est comme cela que vous percevez les Anglais, non ? Comme des envahisseurs. Nous ne sommes pas si différents en fin de compte.

— Mais bien sûr que non ! Rien à voir ! cria Louis désemparé

— Ne suis-je point libre de nommer mon cheval comme je l'entends ?

— Si mais...

— Bien, affaire conclue ! dit-elle en caressant son frison. Une si belle bête se doit d'avoir un nom qui marque les esprits.

— Ah bah ça, bougonna-t-il, pour marquer les esprits, il marque ! C'est une farce, saperlotte ! Le cheval qui scelle notre alliance porte le nom d'Attila !

Isaac se cramponnait l'estomac tellement il riait aux éclats.

— POUAHAHA ! Charlemagne et Attila qui chevauchent côte à côte !! Qu'est-ce qu'il ne faut point entendre ! J'en peux plus !!!

— Isaac !

— Pfffff ! Attila le gardien de la paix !

— ISAAC, IL SUFFIT !

Le blond bouclé se remit au travail, non sans pouffer, et finit d'harnacher les chevaux puis aida, galamment, Marie à monter sur Attila.

— Y allons-nous, messire ?

Louis imita la jeune femme et monta sur sa monture, tout en faisant les yeux noirs à son homme de main. Ils quittèrent les écuries ensemble au petit trop.
Isaac les regarda partir et se massa les joues qui avaient presque des crampes. Il se félicita d'être rentré au service de Louis. Depuis leur arrivée à Blanquefort, et surtout depuis que le chevalier  fréquentait l'Anglaise, il ne s'ennuyait jamais.

— Eh bien Blosset, je vois qu'on prend de l'assurance ! Tu l'as bien asticoté ton maître.

Issac sentit une main se poser sur son épaule et vit qu'elle appartenait au chevalier de Kentel.

— Oh messire Malo ! Vous étiez là ?

— Oui-da. Je ne voulais pas manquer cette confrontation et je dois dire que cela valait le détour. Cette Angloise sait comment mettre notre Louis à rude épreuve. Je suis admiratif.

— Vous pensez qu'ils vont finir ensemble ?

— J'en mettrais main au feu. Bien, je te laisse Isaac. J'ai des petites choses à faire et il faut que je m'entretienne avec nos hôtes, à propos du malfrat qui s'est introduit dans le château, pour voir où ça en est. Louis devait s'en occuper, dit-il de façon enjouée, mais visiblement il a mieux à faire.

Issac fit un signe de tête entendu et ils se séparèrent.

***************************

Un peu plus tôt, sire Andrew et son fils étaient sur le perron de la grande entrée du château en train de discuter stratégie avec des gardes. Dame Ludivine était, aussi, là et écoutait leurs observations et décisions concernant la surveillance du château. Après tout, avant qu'elle épouse son Anglais et qu'il devienne maître de Blanquefort, elle avait bien assurée seule, pendant quelques années, la gestion du chateau. Cette autonomie ne lui avait pas déplue, loin de là et du coup son mari lui autorisait à donner son avis sur certains sujets techniques. Le couple était perçu comme assez marginal dans la région mais ils se fichaient bien des commérages tant que cela fonctionnait.

La discussion allait de bon train jusqu'au moment où William aperçut  passer, un peu plus loin, Marie et Louis, à cheval, en train de quitter l'enceinte du château. Très vite, son père remarqua la cause de l' inattention de son fils et sortit de ses gonds devant tout le monde.

— Par mes aïeux ! Il kidnappe ma fille !

Dame Ludivine tempéra son mari.

— Andrew, je ne crois point qu'il l'emmène de force.

— Mais fichtre ! Ils vont où ? Et quel est ce cheval noir ?

— Je ne sais point. Sûrement le fameux cadeau dont m'a parlée Isabelle.

— Quoi ?! Vous étiez au courant et vous ne m'avez rien dit !

— Oh cela a dû me sortir de la tête ! dit la femme de l'Anglais avec désinvolture.

— Cesse de me prendre pour un imbécile ! Tu me l'as caché, l'accusa-t-il.

— Et alors ? Quel est le problème ? C'est une gentille attention, je trouve. Il n'y a pas de quoi paniquer.

— Ce démon veut séduire ma fille, voilà le problème !

— Vous ne pensez point vous allez la garder dans un donjon toute sa vie,enfin ! Elle doit se trouver un nouvel époux, de toute façon !

— Pas LUI ! s'égosilla l'homme qui devenait rouge à vue d'œil.

— C'est inimaginable d'être aussi entêté !

Les gardes qui assistaient à la scène de ménage se poilaient. Par contre, William était, lui, consterné par toute cette situation. Il était bien d'accord avec son père : pas question que Marie épouse Louis et il avait une bonne raison. Il comprit qu'il était temps qu'il avoue ce qu'il savait à son père et à sa belle-mère. Ce secret lui pesait trop.

— Je dois vous confesser quelque chose, dit-il d'une voix sinistre.

Le couple cessa automatiquement de se chamailler.

— Qu'y a-t-il fils ? s'inquiéta son père, en voyant le visage mortifié de son grand enfant.

— C'est important. Il serait préférable qu'on en discute dans un endroit plus intime.

— Allons à l'étude.

Ludivine, toujours un peu inquiète quant à la côte fêlée de William, lui demanda s'il voulait un peu d'aide pour se déplacer mais celui-ci refusa poliment sans oser la regarder dans les yeux. Le front de la femme au chignon se rida, elle sentait bien que ce qu'allait leur annoncer le roux, n'allait pas lui plaire.

*perle noire : frison
*chainse : chemise longue portée sous le bliaud
* baiser de la paix : lors de l'hommage vassalique, le suzerain et le vassal ( deux homme le plus souvent voire tout le temps ) s'embrassaient sur la bouche pour sceller leur accord
* dégoiser : parler
*Empire Byzantin : chute de Constantinople en 1453, (la même année que la fin de la guerre de Cent ans )

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Voilà la deuxième partie.

Bon, faut vraiment que j'arrête avec mes noms chelous de chevaux 😂( je précise c'est bien une image d'Attila au début )

Je vous le dis tout de suite, à partir du prochain chapitre, on entame la phase 2 de la relation entre Louis et Marie.
( ils ne vont pas roucouler comme des pigeons mais disons que ça va s'améliorer. Enfin y'aura des hauts et des bas 😈)

Bonne semaine à vous ❤️

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