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50.




50.

Cathy.

Mercredi était le jour où j'étais seule à l'appartement avec Lucas pour la journée. C'étaient des cours non obligatoires et j'avais décidé de les sécher pour m'occuper de Gabriel et le surveiller. Lorsque je m'étais levée, le brun était encore endormi et je décidai de le laisser se reposer pendant que j'allais lui préparer de quoi grignoter. Je lui avais servi un verre de jus de fruits, des céréales et une pomme. Je laissais le plateau dans la cuisine et je filai dans la salle de bain pour prendre ma douche. Je me lavais les cheveux et pensais à m'épiler les jambes pour pouvoir porter une jupe aujourd'hui ou demain. De la buée m'envahit et je me sentais un peu comme dans ma bulle. J'ignorai comment allait se dérouler la journée, Gabriel était si imprévisible. Lorsque je sortis de la douche, je m'essuyais rapidement et zieutai la salle de bain pour prendre des vêtements. Je fouillai toute ma salle de bain et je jurai : merde, j'ai laissé mes fringues dans ma chambre. Dans ma chambre, il y a Gabriel. Bon Kate, réfléchis...Que peut-il se passer ? Il est sûrement en train de dormir. Je déverrouillai le verrou de la salle de bain et m'approchai de ma chambre. La veilleuse était encore allumée et le corps de Gabriel demeurait inerte dans les couvertures. La chambre commençait à s'éclaircir. J'ouvris mon placard pour prendre le premier pull de la pile. Je choisis un jeans noir et un débardeur. Au moment où je pris mes sous-vêtements, une voix rauque me fit sursauter :

« Pas mal la vue dès le matin. »

Oh merde. Je me retournai et j'étais face à un Gabriel assis et torse nu dans les couvertures de mon lit. Il arborait un sourire carnassier et il frotta lentement ses yeux bruns. Je cachais ma gêne en me moquant :

« Sale pervers.

-Tu te trimballes en serviette, c'est une réaction normale pour un mec de mater.

-On appelle ça du voyeurisme monsieur Hood.

-Monsieur Hood ? Carrément ? »

Il était d'humeur séductrice et taquine et ça me plaisait. Je sens que cette journée se fera dans la bonne humeur. Je ramassai mes vêtements tombés sur le coup de la surprise et sortis de la chambre en lui informant :

« Je t'ai fait un petit déjeuner si tu veux.

-Je vais prendre ma douche avant si ça te dérange pas, me susurre-t-il en se levant d'un coup pour me suivre. »

Je sentais son regard brûlant de désir sur mes courbes et ses pas qui se rapprochaient dangereusement de moi. Il humecta quelques instants l'odeur de mon shampoing avant de partir dans la salle de bain. J'étais toujours en serviette lorsque je décidai de m'habiller dans la chambre vu qu'il avait pris la salle de bain. J'allai retirer la serviette lorsque je me rendis compte que j'avais oublié le sèche-cheveux dans la salle de bain. Je me dépêchai et toquai plusieurs fois à la salle de bain en l'appelant :

« Gabriel ?

-Ouais, dit-il enjoué.

-Est-ce que tu es habillé ?

-Pourquoi ? Ça t'intéresse de voir mon fessier, se marre-t 'il visiblement de très bonne humeur.

-Tu es con, ricanai-je, je veux prendre le sèche-cheveux.

-Vas-y, entre, j'ai encore rien fait. »

Je souris et ouvris rapidement la porte tombant directement sur la virilité de Gabriel. Je m'arrêtai net. Quel menteur ! Je criai, gênée :

« Mais bien-sûr, tu appelles ça être habillé !

-Oh ça va, tu l'as déjà vu ma bite. »

Pas faux. Je rougis de gêne et attrapai le sèche-cheveux sur le rebord du lavabo. Vêtue uniquement d'une serviette, je sentis le corps de Gabriel me coller brusquement. J'observais le moindre de ses faits et gestes. Il baissa sa tête et ses lèvres parsemèrent de baisers ma nuque. Je me raidis face à ce contact. Gabriel me faisait de l'effet. Il était nu contre moi et j'adorais ce qu'il me faisait ressentir. J'ignorai qu'il savait si bien s'y prendre dans ses caresses. Gabriel ferma la porte d'une de ses mains et ferma les yeux profitant de ces contacts. La température monta d'un cran dans la pièce et je savais ce que désirait Gabriel. Il me chuchota :

« Je ne veux pas te laisser repartir t'habiller cette fois. Je te veux avec moi dans cette douche.

-J'ai déjà pris ma douche Gab, susurrai-je en pinçant mes lèvres au moment où une de ses mains se mit à caresser lentement mon intimité.

-Viens avec moi... »

Je déglutis. Comment dire non ? Après tout, j'étais ivre de désir tout comme lui. Je me tournai lentement vers lui et osai planter mon regard dans les yeux bruns de Gabriel. Il avait une manière si tendre de me regarder. Il ne me regardait pas comme si j'étais un morceau de viande mais comme quelqu'un d'important à ses yeux. Je ne sais pas si je dois me dévoiler complètement à lui et laisser tomber cette serviette complètement pour que nous soyons totalement à nu tous les deux. Je posai mes mains sur le torse de Gabriel et descendit lentement une de mes mains pour rejoindre l'une des siennes qui pendouillait pendant que l'autre explorait peu à peu mon intimité. Gabriel me susurra :

« Crie pour moi Kate...

-Oh Gaby, lâchai-je d'une voix peu assurée.

-Oui, c'est ça ma belle. »

J'ignorai ce qui le poussait à utiliser ce surnom mais ça me plaisait énormément à l'idée qu'il puisse employer ces mots-là avec moi. J'empoignai légèrement sa main et la fit remonter le long de mes courbes puis la naissance de ma poitrine pour qu'il puisse attraper le nœud comme il m'avait incité à faire il y a quelques semaines. J'avais confiance en lui. Gabriel sourit de manière angélique et sans aucune hésitation, il fit tomber ma serviette et empoigna mes fesses pour me porter sur le plan du lavabo et m'embrasser avidement. Nos lèvres s'entrechoquèrent à vive allure. Gabriel pressa une de ses mains sur un de mes seins pour le masser avec brutalité. On se regarda quelques instants avant qu'il m'entraîne sous l'eau chaude de la douche. Il se remit à m'embrasser d'une manière dont je ne peux qualifier. Gabriel me confia :

« Je ne peux plus faire semblant Kate. »

Il s'arrêta quelques instants et je l'écoutai, intéressé de savoir la suite de ses paroles. Il reprit avec un ton presqu'amoureux :

« Je voudrais toujours plus avec toi. Je te veux toi, tout entier. Je veux que tu sois mienne... »

Gabriel embrassa chastement mes lèvres pour se donner un peu plus de courage à ce qu'il allait me déballer :

« Je te veux pour moi tout seul. J'aimerai bien essayer quelque chose de sérieux avec toi. »

Il était maladroit mais le message était passé et je souris comme une imbécile. Gabriel était revenu sur sa décision et il nous accorde une chance pour avoir une relation bien plus qu'amicale, Gabriel était mon petit ami.

Je l'enlaçai fortement et l'embrassai à mon tour en lui disant joyeusement :

« Je suis contente que tu nous laisses une chance Gaby. »

Gabriel sourit et me serra fort contre lui. Ses cheveux noirs maintenant trempés lui tombaient en cascade sur le front. Je le matais. Sa barbe de trois jours m'attirait. Son petit nez me faisait craquer. Ses lèvres pulpeuses étaient toujours attirées en un sourire. Ses yeux bruns se promenaient sur mon corps nu et je n'étais même plus gênée d'être complètement à nu devant lui. Mon regard descendit vers son cou puis ses épaules saillantes et carrées. Je zieutai ses br    as musclés et son torse bombé. Je posai ma main au creux de son sternum et ses abdos se contractèrent sous mon toucher. Gabriel avait posé ses mains sur mes hanches et de temps en temps je le surpris à descendre vers mes fesses. On s'observait et dans un certain élan, il joignit nos lèvres ensemble avec une certaine passion. Mon dos claqua contre la paroi de verre de la douche. J'étais comme dans un rêve mais pour une fois, c'était la réalité des choses. Gabriel embrassa mon cou et mon corps entier fut pris de spasmes. J'attrapai ses cheveux et les tirai un peu vers l'arrière lui faisant lâcher un petit soupir :

« Bordel Kate, tu me chauffes tellement... »

J'ignorai où toutes ces caresses allaient nous mener mais je ne veux pas qu'il s'arrête. On se stoppa quelques instants et je pris l'initiative de le laver en prenant l'éponge et le gel douche de Lucas. Je le savonnais et il me laissa faire. Il se tourna quelques instants pour que je frotte son dos. J'observai chaque détail de ses deux tatouages. Le cerf reste mon préféré. Je ricanai en osant lui donner une claque sur les fesses et il se tourna subitement vers moi avec un air étonné :

« Tu as fait quoi là ? »

Je ricanai et lui empoignai la verge bien dressée le surprenant Il lâcha un petit étranglement sur l'emprise que j'avais sur son sexe. Je lui susurrai d'une voix entreprenante :

« Je te tape le cul.

-Putain, depuis quand es-tu si cochonne, me dit-il en tentant de m'embrasser.

-Laisse-moi faire. »

La mousse s'échappa lentement au rythme du flot d'eau qui s'abattait sur nos deux corps et je le masturbai lentement dans la cabine de douche. Gabriel, à bout de souffle me chuchota :

« Bordel, tu joues avec mes hormones. Si tu continues, je ne sais pas si je saurai pas m'arrêter.

-Ne t'arrête pas alors. »

J'avais donné le feu vert à Gabriel pour aller beaucoup plus loin que nos premières caresses et il coupa l'eau de la douche pour m'entraîner hors de la salle de bain. Il attrapa une serviette au passage et je rattrapai la mienne. On s'essuyait rapidement avant de nous enfermer dans ma chambre pour reprendre là où nous avions arrêté il y a quelques instants.

A écouter avec : Lana Del Rey – Young and beautiful

Mon dos atterrit brusquement sur le matelas mou de mon lit et le corps nu de Gabriel vint épouser le mien. Ses bras emprisonnèrent mon visage et j'avais son regard fixé sur moi. Je ne l'avais jamais vu si épanoui. Nous étions seuls et nous aimons notre nouvelle relation. Gabriel posa plusieurs fois ses lèvres sur les miennes avant de descendre vers ma poitrine. Mes hanches se soulevèrent face à l'effet qu'avait sa langue sur mes seins. J'aimais ce qu'il faisait et je lâchais de lents gémissements. Gabriel me murmura doucement :

« J'ai tellement envie de coucher avec toi. »

J'étais prête à le faire. Je ne l'arrêtais pas et décidai d'aventurer ma main vers son intimité pour la caresser tendrement. Je sentais sa queue se durcir un peu plus à chaque nouvelle caresse et bientôt Gabriel se mit à crier mon nom :

« Bordel de merde, Kate. »

Un sourire satisfait apparut sur mon visage et j'accélérai la cadence en allant de plus en plus vite. Son corps tout entier était pris de longs frissons. Ses gémissements rauques me faisaient frémir. J'ignorai si son état lui permettait d'être si excité mais je ne voulais vraiment pas que cela s'arrête.

Gabriel inversa les positions en m'ordonnant de m'assoir sur lui. C'est ce que je fis et d'un doigt, il s'aventura entre mes grandes lèvres pour titiller mon clitoris. Il le fait si bien, je me sentais une nouvelle personne et j'aimais ce changement. Je me cramponnais à ses épaules et plaquai ma tête en arrière. Le brun pencha sa tête vers mon cou pour y embrasser chaleureusement mon cou. La seconde main de Gabriel traça des fins cercles autour de mon sein droit. Je me mis à gémir son nom

« Oh, Gabriel... »

En un souffle, il me chuchota lentement :

« Est-ce que tu as des capotes ?

-Lucas doit en avoir, je pense, murmurai-je en un souffle. »

Gabriel sourit sainement et planta un baiser sur mes lèvres avant de retirer lentement son doigt de ma vulve. Il me bascula délicatement sur le lit et m'informa :

« Je vais aller chercher la capote. »

J'hochai la tête et il quitta rapidement la chambre, le corps complètement nu. Je profitais de ces quelques secondes pour me retrouver. J'étais jeune et belle et il était jeune et beau. J'avais dix-neuf ans dans quelques jours et perdre sa virginité à cet âge-là avec un mec beau tel que Gabriel semblait l'une des meilleures occasions à prendre pour réaliser sa première fois. Depuis le début de l'année, une tension sexuelle s'était installée entre nous et il fallait que nous le franchissions tous les deux en se donnant l'un à l'autre pour la première fois. Je me blottis sous les couvertures et j'entendis des petits pas revenir vers la chambre. Gabriel était revenu avec un sachet de préservatif. Une boule se forma au creux de mon estomac, c'était le moment d'une des étapes les plus importantes de ma vie. Gabriel s'allongea à mes côtés et l'ambiance fut soudainement plus silencieuse. Nous étions deux débutants qui s'apprêtaient à coucher ensemble pour la première fois. J'observai le sachet qui craquelait entre les doigts de Gabriel. Il me demanda, inquiet :

« Est-ce que tu es sûre de ce que tu fais ? Tu es sûre de vouloir coucher avec moi ? »

Gabriel respirait rapidement et je ne voulais le faire mariner trop longtemps et je pense que j'aie déjà pris ma décision. Je pose ma main sur son torse et je le rassurai :

« Gabriel Hood, je veux le faire avec toi. »

Un grand sourire se manifesta aux lèvres de Gabriel et rapidement, il se positionna au-dessus de moi pour pouvoir m'embrasser. Je suivis tous ces contacts et lentement j'entendis le sachet se déchirer pour laisser place à un préservatif en latex. Gabriel ne prit pas plus de temps pour les préliminaires et il entoura sa verge du latex en le remontant lentement le long de son zizi pour être sûr de l'avoir bien positionnée. J'étais amusée d'avoir affaire à un Gabriel inexpérimenté. Lorsqu'il se sentit prêt, son gland vint frôler l'entrée de mon intimité et je le guidai légèrement vers le vagin en douceur. Je pouvais sentir mon cœur devenir tachycarde. Le garçon posa ses coudes sur le matelas et m'embrassa pour lui donner du courage à se livrer entièrement à moi. Puis lentement, il pénétra sa verge dans mon intimité avec une extrême tendresse dont je ne lui connaissais pas. C'était plus qu'un acte sexuel à mes yeux mais c'était ma façon de lui montrer que j'avais confiance en lui, que je l'aimais beaucoup plus que je ne le devrais et c'est notre manière à nous de débuter une nouvelle relation.

« Bordel, c'est si étroit, jura-t'il. »

Je me crispai légèrement aux premières douleurs de la pénétration mais peu à peu j'arrivai à m'habituer à la douleur et je commençai réellement à prendre du plaisir avec Gabriel. Je levai mon bassin au moment où il donna un coup de hanche. J'étais contente de ce moment intime et j'en profitais un maximum. Je passai mes mains dans mon dos et je traçai à l'aveugle l'un de ses tatouages pendant qu'il s'enfonçait un peu plus en moi en donnant de plus en plus de coups de reins. C'était douloureux et plaisant à la fois. Des cris s'échappèrent de ma petite bouche et bientôt Gabriel me suivit. Je remontai mes mains dans ses cheveux pour les tirailler dans tous les sens. Ils étaient encore trempés de la douche et des gouttelettes s'éparpillèrent un peu plus autour de nous. Gabriel caressa ma joue légèrement à l'aide de son pouce et il aboya mon nom plein de désirs :

« Oh Kate... »

Je gémis son nom également et il se mit à m'embrasser longuement et passionnément. J'étais littéralement folle de lui. Mes jambes s'emmêlèrent avec les siennes et je le sentis proche de la fin au bout de quelques minutes. La première fois n'était jamais la meilleure mais elle était pourtant parfaite et inoubliable à mes yeux. Gabriel se retira d'un coup pour tout lâcher dans le préservatif et il le retira pour le jeter dans ma corbeille. Il se rallongea, exténué à côté de moi pour me prendre dans ses bras. Il embrassa mon épaule et me chuchota :

« Je n'aurai jamais pensé couché avec toi un jour.

-Je suis en train de me dire la même chose. »

Je ne peux m'empêcher de lui demander :

« Est-ce que tu étais sérieux tout à l'heure quand tu m'as demandé d'être la tienne ?

-Oui, je pense être prêt à me caser mais je veux rester discret comme maintenant pour le moment. Je veux juste que cela soit un peu plus officiel entre nous. »

Je souris niaisement en sachant qu'à présent j'avais ce que je voulais : Gabriel Hood avait une copine et j'étais la sienne.

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Bonsoir, je sens que cela va être votre chapitre préféré. Ou du moins l'un de vos tops 10. Je vous poste un exprès pour torturer vos doux esprits :)

-Elo

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