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5*


5.

Gabriel

Je me garai en créneau à côté du portillon de Martin. Les roues de la caisse débordaient légèrement sur le trottoir. Je sortis lentement et fixai l'immense maison en face de moi. C'était clair que les parents de Martin avaient masse fric pour s'offrir une baraque pareille. J'entamais quelques pas lorsque la porte d'entrée s'ouvrit pour faire place à la mère de Martin. Elle venait récupérer son courrier à la boîte aux lettres. Elle était surprise de me voir aussi matinal. Ce n'était pas dans mes habitudes de débarquer vers neuf heures du matin. Elle me salua vivement :

« Oh ! Bonjour à toi Gabriel !

-Bonjour Madame Callens. »

Je m'approchais d'elle et lui fis la bise. Elle m'envoya un grand sourire. C'était un peu comme une deuxième maman, elle m'avait toujours accueilli comme son deuxième fils. Elle conclut rapidement la raison de ma venue :

« Martin est dans la cuisine avec sa copine en train de déjeuner.

-Ok, merci. »

Je me doutais que Claire serait de la partie. Cela faisait quelques mois qu'elle logeait chez les Callens. Elle s'était enfuie de chez ses parents pour une raison que j'ignorais. Je m'en fichais, je n'aimais pas cette gonzesse. J'arrivais lentement dans la cuisine. Claire était en face de moi en train de prendre son café et Martin dos à moi. Il parlait à sa copine. Je m'approchai de la table et lâchais d'une voix grave :

« Salut Martin.

-Gabriel ? »

Mon meilleur ami se tourna avec stupéfaction vers moi. C'était la première fois que je faisais le premier pas vers lui. Martin se leva immédiatement de sa chaise et me prit dans ses bras. J'étais gêné mais je lui administrais une claque dans le dos de manière amicale. J'étais content de le revoir.

« Merde, Gabriel. »

Il se retira, aussi gêné que moi. Il reprit après un raclement de gorge :

« Tu veux manger quelque chose ?

-Pourquoi pas ? »

Claire releva la tête vers moi et parla :

« Bonjour. »

Je l'ignorais et piochai un croissant dans le panier de paille posé sur la table en marbre. Je m'installais en diagonale d'elle et elle répéta avec provocation :

« Bon-jour ! »

Mais elle ne peut pas fermer sa gueule elle ? Insupportable cette conne.

Je soufflais, je me contenais pour ne pas la tacler. Martin répondit à ma place :

« S'il te plaît, Claire. Ne commence pas. »

Sa blonde quitta la table et Martin ne la suivit pas. Je le voyais dans ses yeux qu'il en avait assez de son comportement de fouteuse de merde. Au lieu de lui courir après, il se tourna vers moi pour me parler :

« Ca me fait plaisir de te parler. »

Je lui envoyai un petit sourire et pris une bouchée du croissant. Martin me servit un café noir. Je le remerciai d'un signe de tête et répliquai :

« Moi aussi. Je suis désolé pour tout ce que je t'ai fait. »

J'étais sincère. J'étais venu chez lui dans le but de nous réconcilier et de nous retrouver. J'avais besoin de lui dans ma vie. Je lui pardonnais ce faux-pas. Après tout, il avait toujours été droit avec moi et c'était moi qui faisait toutes les conneries du monde. Martin me répondit gêné :

« Hey ! C'est moi qui ait merdé ! »

Je secouais la tête et le suppliai du regard de m'écouter parler :

« Non, Martin. Pendant des années, je t'ai fait vivre l'enfer avec mes conneries et tu as toujours été là pour moi. Le pire dans tout ça, c'est que je ne me suis jamais excusé auprès de toi. J'ai besoin de toi dans ma vie Martin. Je ne supporterai pas que l'on soit séparé toi et moi. »

Martin était ému. Ses yeux baignaient de tendresse et d'un amour fraternel. Sans se contrôler, il m'attira dans ses bras et tapa plusieurs fois dans mon dos en bafouillant mile mots réconfortants :

« Hey, mon frère ! Tu es le meilleur ami dont je n'ai jamais eu ! »

Je souris et acceptai son étreinte. C'était étrange, nous n'avions pas l'habitude de se prendre dans les bras. Lorsque nous nous éloignions, je perçus une immense vague de joie émaner de sa personne. Je lui envoyai :

« Tu m'as manqué tête de bite. »

Martin me poussa vivement et attrapa sa tasse de café. Sans demander la permission, je me servis dans son placard pour prendre une tasse et me verser également du café. C'était ma seconde maison. Mon meilleur ami me demanda :

« Est-ce que tu as prévu quelque chose aujourd'hui ? »

Je réfléchis quelques instants. Kate bossait aujourd'hui, Lucas comptait jouer et je n'avais rien prévu. J'attendais seulement qu'une boîte me rappelle pour bosser en plus des cours universitaires. Je passai ma main dans ma barbe de trois jours en répondant :

« Non, rien. Pourquoi ? »

J'étais curieux. Je voulais passer du temps avec lui mais j'étais trop fier pour lui avouer. J'attendais qu'il fasse le premier pas. Je m'accoudais sur le plan de travail en marbre et sortis mon téléphone pour le poser à côté de ma tasse de café. Je terminai mon croissant lorsque Martin me proposa :

« Reste, on se fera un truc entre bonhomme. »

J'étais bien trop heureux pour me retenir de sourire. J'étais refait. Je bus cul-sec le reste de mon café et je me levai, impatient :

« Qu'est-ce qu'on attend alors ? »

Martin me fit signe de ne pas se presser et il se leva tout en s'étirant et me prévint :

« Faut que je prenne ma douche et que je m'arrange avec Claire pour qu'elle s'occupe aujourd'hui.

-Pas de problème.

-Tu peux attendre dans la chambre d'amis si tu veux. »

Je le suivis à l'étage. Dans la cage d'escalier, je croisai Mr Callens et je le saluai vivement. Nous nous échangeâmes de rapides banalités avant de nous séparer. J'allai me diriger dans la chambre d'amis lorsque j'entendis Claire et Martin se disputer à mon sujet :

« Non mais tu es sérieux Martin ? Tu plombes notre journée film pour passer du temps avec ce trou du cul ?

-Rien était prévu Claire. Et on fait que ça en ce moment, j'ai juste envie de passer du temps avec Gaby. »

Qu'est-ce qu'elle a encore elle à casser les couilles ?

Je levai les yeux au ciel. Elle ne m'avait pas manqué celle-là. C'était mal mais je me faisais mal un plaisir d'espionner leur conversation :

« Donc je suis ton bouche-trou quand tu te disputes avec ton pote ? De toute façon, tu l'as toujours priorisé dans tes sorties.

-Non mais tu dérailles là ! On vit ensemble, on passe tout notre temps ensemble. Cela fait des mois que je n'ai pas pu passer une journée complète avec mon meilleur ami.

-Moi je déraille ? Tu t'entends ? Je ne suis pas cinglée !

-Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit !

-Non mais j'ai compris, marie-toi avec ton pote ! »

Je n'y croyais pas. Je ne savais pas comment Martin faisait pour supporter cette sorcière. Elle était tout bonnement horrible. Kate était chiante, parfois ennuyante mais pas aussi casse-couille. Martin commençait à hausser le ton face à son amas de conneries :

« Arrête ton cinéma ! Je ne fais jamais rien avec Gabriel.

-Evidemment.

-Ouais c'est ça, casse-toi. »

Martin terminait sûrement de prendre ses affaires pour la douche et je me planquais près de la porte des toilettes de l'étage à côté de sa chambre. Je simulerai que je suis allé me vider la vessie. Le faux blond ouvrit subitement la porte de sa chambre en répondant, énervé :

« Tu me soules Claire. Arrête de vouloir me contrôler ou de me faire une scène. Tu es importante pour moi et il l'est aussi.

-Continue de le sucer, vas-y.

-Tu es vraiment grave. »

Il ferma rapidement la porte derrière lui et j'ouvris au même moment la porte des toilettes en tirant la chasse d'eau. Je fis semblant de remonter ma braguette. Martin planta son regard dans le mien avant de baisser la tête et soupirer, las :

« Elle me prend la tête. Tu as tout entendu, je suppose.

-Ouais. »

Je me grattai la tête. J'étais embarrassé pour lui. Martin souffla à nouveau :

« Oh, la honte.

-Je comprends, je m'embrouille souvent avec Kate. »

Tout le temps même à cause de mon sale caractère : je m'énervais très vite, je ne tolérais pas que l'on me contredise, qu'on soit trop curieux. Je suis également assez susceptible, je ne rigole pas souvent. J'étais assez repoussant avec mon caractère. Martin m'avoua :

« Tu sais comment je suis. J'aime ma tranquillité, avoir une vie privée et elle ne respecte pas ça.

-En même temps, elle raconte de la merde. »

J'avais l'impression d'enfoncer Martin avec mes propos. Ses lèvres s'étirèrent en une grimace et il s'enferma dans la salle de bain. Cela ne devait pas être facile de se confier à son meilleur ami lorsque celui-ci déteste votre copine.

Pendant la douche de Martin, je textai à ma copine l'informant de mon programme aujourd'hui :

Gab : Je vais passer la journée chez Martin.

Kate : Vous vous êtes parlés ?

Sa réponse fut rapide. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit si vive pour m'envoyer un message. Je lui contai rapidement notre conversation sans donner trop de détails :

Gab : Oui. On s'est réconciliés. On a décidé de se faire un truc aujourd'hui.

Je détestais étaler ma vie mais je faisais l'effort de lui raconter quelques paragraphes de mes journées.

Kate : C'est super ! Je suis contente pour vous, profite bien !

Toujours aussi rapide. J'étais content qu'elle réagisse différemment que Claire. Elle était beaucoup plus cool sur ce sujet-là. Elle ne posait pas trente mille questions et ne me demandait pas de rentrer pour passer du temps avec elle.

J'envoyais un cœur rouge et m'étalai sur le grand lit de la chambre d'ami. C'était cosy. Cette pièce était apaisante. Le ton crème des murs donnait une ambiance détente. Elle calmait tes colères et tes peurs. J'aimais me réfugier aussi. Cette pièce regorgeait tellement de souvenirs pour moi...

« Je pense qu'on a terminé. »

Martin et moi, fixions notre construction avec fierté. Après une heure d'aménagement, la chambre d'ami s'était transformée en une tente géante. J'avais huit ans, Martin sept. Nous avions disposé des couvertures partout sur les meubles. D'innombrables coussins recouvraient le grand lit. Martin avait apporté des sucreries ainsi que la mini-télévision. Il avait seulement rapproché le meuble en face de nous pour un meilleur visuel. Nous avions décidé de regarder le dessin animé : la Planète au Trésor. Un film Disney qui n'est pas très connu du public. Nous nous étions emmitouflés sous tous les draps et partagions notre festin de bonbons en regardant les aventures de Jim. C'était un bon après-midi.

« Qu'est-ce que tu fous mec ? Tu rêvasses ? »

Je relevai subitement la tête. Dans mes pensées, je n'avais même pas entendu Martin arriver. Je râclai ma gorge et me mis debout pour le suivre dans l'immense baraque. Nous étions au rez-de-chaussée dans la salle de jeu. C'était l'une des plus grandes pièces de la maison. Un billard américain ornait au milieu de la pièce. Un immense bar était disposé près des deux baies vitrées au fond de la salle. Il y avait également un flipper. Une des plus grosses fiertés du père de Martin. Il l'avait amené tout droit de Las Vegas lors d'un voyage professionnel. La salle de jeu avait une ambiance ancienne. Mes pieds firent grincer le vieux parquet de chêne. Les murs ornaient de vieilles lampes chandeliers. Dans un coin de la pièce, Martin avait gardé ses vieilles consoles. Le blond prépara la table en me dictant :

« Va chercher les queues. »

J'attrapais les deux longs bâtons pendus sur les accroches du mur de brique. Martin préparait le jeu. Il retira le triangle en me demandant :

« Tu casses ou je le fais ?

-Non, commence. »

Il hocha la tête et s'abaissa. Il se concentra sur la boule blanche et visa le centre du triangle de boules multicolores. Il tapa et il sourit :

« Tu as les rouge. »

Martin était ce type bizarre à kiffer les boules jaune, c'était sa couleur favorite. Je m'appuie sur le bâton en l'observant jouer. Il rata son coup et je commençai mon tour. La première boule rouge était simple à mettre, elle était en face du trou. En un large mouvement, elle glissa dans le trou et je soufflai de satisfaction. Martin dit avec amusement :

« Elle était facile. Même un débutant saurait la mettre. »

Je lui tirai la langue et visai la seconde. Je manquai de peu le trou. Pendant que Martin se concentrait, je sortis mon paquet de cigarettes. Les parents de Martin m'autorisait à fumer dans la maison à condition que j'aère la pièce après mon passage. J'allumai le bout de la clope lorsque Martin m'interpella :

« Tout va bien avec Kate ? Tu n'es pas venu hier.

-Ouais, ça va. »

J'expirai une longue fumée et il se montra un peu plus curieux :

« Sûr ? C'est rare que tu ne viens pas. »

Vrai. Je participais souvent aux fêtes. C'était une opportunité pour moi de me fondre dans la masse sans causer trop de ragots à mon sujet. Je me pinçai les lèvres avant de lui avouer :

« Elle sait tout. Absolument tout.

-Tu lui as dit ? »

Martin était choqué. Je n'en avais jamais parlé à personne. Martin savait car il l'avait découvert le jour où mon père a débarqué chez lui. Je repris plus lent :

« Ouais. Je lui ai tout dit.

-Je t'avoue que tu me surprends. »

Je déglutis. Dire que j'ai chialé comme un bébé devant elle, la honte. Je jouai mon tour et renchéris :

« Je venais juste chercher des papiers chez mon père avec elle lorsqu'il a débarqué avec mon beau-père. »

Mon meilleur ami échangea un regard grave avec le mien. Je toussotai avant de reprendre :

« Je ne voulais pas qu'elle le sache.

-C'est ta copine Gaby.

-Je m'en tape. C'est mon passé, ma merde, ça ne regarde que moi. Je sens qu'elle va vouloir s'en mêler par la suite. »

J'étais plus froid qu'au départ. J'avais confiance en elle mais je n'étais pas sûr qu'elle accepte la situation sans rien dire. Tôt ou tard, mon père comprendra que je suis vraiment amoureux d'elle et il va utiliser cette faiblesse pour pouvoir me parler en se faisant passer pour le beau-père gentil. Martin me répondit avec une certaine fermeté :

« Laisse-lui une chance, c'est celle qui ne t'a jamais déçu. »

J'ignorais ses paroles d'un haussement d'épaules. J'étais nerveux de me confier. Martin joua son tour et je lui lâchai en même temps :

« Je ne pensais déjà pas me caser un jour. Présenter ma meuf à mon putain de père, encore moins. »

Mon pote posa sa main au niveau de mon omoplate avec sagesse. Il n'était pas très bavard, je savais que les gestes étaient importants pour lui. Au lieu d'insister sur le sujet, il m'envoya une pique :

« Elle t'a défloré l'asticot alors ? »

Je lui envoyai des éclairs avant d'éclater de rire et de lui faire remarquer :

« C'est beauf ça !

-Oh ! Je veux savoir, nous n'en avons jamais parlé !

-Et toi alors, plaisantai-je.

-Réponds à ma question crétin.

-Je t'emmerde et mêle-toi de ton cul.

-Oh Gaby, dis-moi tout !

-Tu le sais déjà. »

Je fis référence à l'anniversaire de ma copine. Je l'avais brisé ce jour-là et me voilà aujourd'hui en couple avec elle. Nous étions ensemble depuis presque deux mois.

« Ce que je veux dire Gabriel, c'est... Vous êtes en couple désormais, est-ce que c'est différent ? »

Martin me coupa dans mes pensées. Je lui jetai un regard furtif. Je ne savais pas par où commencer. Je mis mes mains dans mes poches :

« J'ai mauvais caractère, on s'engueule souvent à cause de mes sautes d'humeur. Mais je suis bien avec elle. »

Je ne voulais pas trop en raconter. J'étais un peu plus nerveux. Mes mains cachées dans les poches de mon sweat devenaient moites et mes doigts s'entremêlèrent entre eux. Martin ricana :

« Première fois que tu es gêné à cause d'une fille.

-Oh ta gueule. »

A mes mots, j'envoyai un coup dans une de mes boules rouge qui atterrit directement dans le trou. Je rejouais une nouvelle fois avant de relancer ma précédente question :

« Et toi, avec Claire ?

-Je n'ai jamais couché avec elle. »

Je pensais qu'ils avaient franchi ce pas depuis longtemps. Soudainement, je fus curieux. Je me demandais pourquoi cette greluche n'a pas encore attirer Martin à sa chatte.

« Elle a un balai au cul ?

-Non, c'est moi qui l'ait je pense. »

J'écarquillai les yeux. Martin était toujours le premier à me taquiner sur le fait que je devrai franchir le pas avec les filles et je m'étais finalement déviergé avant lui. Je demandais :

« Tu as un blocage ? »

Martin semblait embarrassé et je jouai avant de me poser quelques instants en face de lui. Il me répondit par une autre question :

« Comment tu as su que tu étais prêt ? »

Je réfléchis quelques instants. Qu'est-ce que je pouvais lui répondre ? J'étais débutant. Je me souvenais tout de même de ce que j'ai ressenti ce jour :

« C'était chaud entre nous. Je m'étais mis à vraiment bander, elle me plaisait. J'avais ressenti un peu comme... une putain de sensation dans tout mon être. Une source de chaleur, de bien-être, je dirai. Pour moi, je savais que c'était le moment de franchir le cap.

-Je ne ressens pas ça avec Claire, me coupa brusquement Martin. Elle empiète beaucoup mon espace. Je dois constamment être près d'elle et je me rends compte que je m'éloigne d'elle, j'étouffe.

-Vous vivez constamment ensemble aussi, lui indiquai-je en croisant les bras.

-Toi aussi, avec Kate.

-C'est vrai, mais je n'ai pas ce problème-là. Tu l'aimes ?

-Je n'en sais rien en réalité, soupira Martin, malheureux. Je ne veux pas lui faire de mal.

-Je te conseille de faire le point sur tes sentiments. »

Egoïste, j'étais renfermé dans mes propres démons et je n'avais pas vu la souffrance de mon ami. Je me sentais un peu coupable car il comptait beaucoup pour moi. Je lui parlais des miens en espérant le guider sur ce qu'il ressent :

« Je t'avoue, j'ai eu du mal à me dire que j'aimais quelqu'un. Mais je pensais souvent à elle, elle me plaisait, elle me rendait fou mais un aimant m'attirait toujours vers elle. Elle me casse les couilles mais je sais que je ressens des choses pour elle. »

Martin sembla troublé par mes confessions mais il ne répondit rien. Il prit seulement la queue en bois et joua.

**

Bonsoir, voilà un moment que je n'avais pas publié, je vous poste donc un long chapitre ce soir.

Bonne soirée à vous.

-Elo

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