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42.

42.

Gabriel

Fais chier. Je me délivrais peu à peu à Kate et Martin avait interrompu notre moment privilégié : mes lèvres sur celles de Kate. A présent, Martin savait un de mes secrets : je flirtais avec la meilleure amie de Lucas. J'ignorai s'il allait le répéter à toute la bande. Je venais de pénétrer à nouveau dans la chambre avec Cathy quand Martin sur nos talons attrapa furieusement mon épaule en me criant :

« Ne me tourne pas le dos quand je te parle.

-Laisse-moi Callens, répondis-je aussi fâché que lui de m'être fait prendre.

-Non mais tu ne crois pas que nous devrions parler ? »

Cathy ne savait plus où se mettre et je serrai les dents avant de faire signe à Kate que je n'en avais pas pour longtemps. Je suivis Martin hors de la chambre et il claqua la porte derrière lui. Lorsque nous fûmes au milieu du couloir, il me sauta limite dessus :

« Je croyais que nous étions meilleurs amis.

-Nous le sommes Martin, dis-je sur le ton de la plaisanterie. »

Le sourire narquois que j'avais fait au passage disparut lorsque je vis sa mine sérieuse. Quoi ?

« Je le croyais aussi, me dit-il la voix serrée, pourquoi tu ne m'as pas parlé d'elle avant ?

-Je n'ai jamais kiffé me confier.

-Ouais mais tu vois, ça fait des années que nous sommes amis et je croyais qu'on avait dépassé ce stade. Tu ne me parles jamais de toi ou de ta famille. »

A l'entente du mot famille, je me braquai et reculai en m'emportant brutalement :

« Parce que ce ne sont pas tes affaires, je déteste qu'on essaie de savoir ce qui se trame chez moi. Tu n'as pas besoin de tout connaître de moi.

-Gabriel, tu n'as jamais voulu me dire pourquoi on t'harcelait à l'école. »

Qu'est-ce que ça peut lui foutre du motif de mon harcèlement ? J'hurlai hors de moi :

« On s'en bat les couilles du pourquoi ! C'était il y a deux ans, j'ai la paix et j'aimerai la conserver. Maintenant, fous-moi la paix et retourne te faire sucer par ta pot-de-colle. »

Martin n'apprécia pas du tout ma façon de répondre et il hurla lui aussi :

« Tu ne parles pas d'elle comme ça.

-Va te faire foutre Martin. »

Je crachai mon venin sur mon meilleur ami, cela me mettait en rogne à l'idée qu'il puisse vouloir se mêler de mes affaires. J'ai des comptes à rendre à personne, c'est ma vie, je fais ce que je veux. Je revins rageusement sur mes pas en poussant fortement mon meilleur ami. Je ne voulais pas qu'il m'approche pour le moment. J'approchai ma main vers la poignée de porte de la chambre où se trouvait Kate lorsque Martin reprit :

« Gaby, reviens s'il te plaît.

-A quoi ça sert hein ? Tu es venu jusqu'ici pour me faire chier !

-J'ai besoin de comprendre.

-Il n'y a rien à comprendre Martin, je n'ai pas envie d'en parler maintenant.

-Mais ce n'est jamais le bon moment avec toi, me répond Martin en plaquant mon dos contre la porte faisant réagir Cathy derrière.

-Gabriel ? »

Sa voix inquiète résonna à travers la porte et Martin lui répondit salement :

« Il va très bien !

-Ne lui parle pas sur ce ton, la défendis-je en plaçant mes mains encore blessées de la bagarre de la dernière soirée sur ses bras. »

C'est la première fois que je défendais une fille et cela calma instantanément Martin. Il me regarda éberlué :

« Putain mais depuis quand tu flirtes avec Cathy dans le dos de Lucas ? Depuis quand tu es aussi protecteur ?

-Lucas est au courant, lui répondis-je en le poussant loin de moi. »

Je ne répondis pas facilement à ses questions et je restai effacé. Il me soulait vraiment. Depuis que je suis en deuxième année, les soirées à la fraternité étaient devenues merdiques. J'allai à nouveau ouvrir la porte lorsque Martin renchérit. C'est vraiment plus fort que lui nom de dieu !

« Depuis quand Lucas le sait ?

-Depuis un mois au moins. J'ai fait une sortie avec sa meilleure amie et il m'a menacé de me péter la gueule si je faisais un pas de travers avec elle. Il sait tout ce qu'il se passe entre nous, j'ai entendu Cathy lui en parler la semaine dernière. Maintenant, laisse-moi tranquille, tu en as su assez ce soir. »

A mes mots, je claquai la porte derrière moi pour me retrouver seul avec la seule fille qui a l'air de bien vouloir de moi sur cette foutue planète. Je partis directement m'écrouler sur le lit en lâchant las :

« Putain, l'année passée, les fêtes étaient meilleures.

-Ah oui ? »

Cathy m'avait rejoint à mes côtés curieuse et j'écartais un de mes bras pour qu'elle vienne se blottir. J'avais besoin d'être apaisé ce soir. Cette semaine était casse-couille, j'ai à peine pu lui parler et maintenant Martin me fout les nerfs. Je soupirai et décidai d'en dire plus pour lui faire plaisir :

« Oui, les jeux d'alcool étaient plus amusants, on sortait souvent en boîte même si souvent je finissais par péter les plombs.

-A cause des filles, m'interrompit-t 'elle quelques secondes.

-Oui, exactement, lui avouai-je en un souffle. Je n'ai jamais su m'y prendre avec elles. Je les repousse toutes. Elles me fuient comme la peste. »

J'en riais à moitié. Au fond, je savais que j'étais une sale merde qui n'avait aucun respect et qui devait terminer sa vie tout seul comme un con.

Kate me suivit sur le ton de la plaisanterie :

« Tu m'as moi. Je suis ton amie préférée. »

Amie préférée ? Je fronçai les sourcils et mon corps pivota vers elle pour la regarder les yeux interloqués. Je lui avouai, sérieux :

« Je pense sincèrement que nous ne pourrons jamais être que des amis Kate. »

Une de mes mains traversa l'abdomen de Kate pour la poser délicatement sur son bras. Mes doigts tracèrent des fins traits invisibles sur le pli du coude. Ma tête était posée sur mon autre main et je me sentais bien et heureux avec elle, elle arrivait à m'apaiser. A ma déclaration, Kate me quémanda :

« Pourquoi ? »

Je fis mine de réfléchir alors que je savais très bien la réponse au fond de moi. Je lui chuchote à l'oreille :

« Parce qu'il y a quelque chose de fort entre nous. »

A mes mots, ma main descendit au niveau de ses hanches puis de ses cuisses. J'avais envie d'elle mais j'avais peur. J'avais peur de la brusquer et de ne pas être à la hauteur. Un petit cri de surprise s'échappa des lèvres de Kate et un petit sourire confiant me mit plus à l'aise dans mes gestes. Je remontai lentement mes doigts le long de ses cuisses vêtues uniquement d'un fin collant couleur peau. Je me mordis la lèvre inférieure en matant ses courbures sous cette magnifique robe rouge. Je lâchais sans retenue :

« Ta tenue est parfaite, elle est belle. »

A une autre fille, j'aurai dit que sa robe était pour les putes mais Kate m'a ensorcelé et je n'arrive plus à avoir ce contrôle, je m'étais attaché à elle. Je réduisis le peu d'espace entre nous en me positionnant de manière dominante au-dessus de son petit corps chétif. Je l'intimidais un peu et elle rougit de tous ces compliments et de mes caresses. Je m'aventurai un peu plus sous son jupon pour attraper l'élastique de son collant. Lorsqu'elle bascula son bassin vers l'avant pour que je puisse le descendre à ses genoux, une bosse se forma immédiatement sur mon entrejambe. Bordel, j'avais envie d'elle. Mes lèvres prirent possession de son cou où je déposai de délicats baisers mouillés. Une de ses mains trouva refuge dans mes cheveux noirs et j'appréciai le fait qu'elle me touche les cheveux de cette façon. Lorsque son collant fut en dessous de son genou, je me retirai un peu pour me diriger vers le bas du lit. Un sourire joueur prit place sur mon visage et nos yeux étaient embués de désirs. Avec son approbation, je fis glisser le fin collant le long de ses jambes parfaitement épilées pour le retirer complètement. Cette merde ne m'encombrera plus. Je recommençai mes gestes précédents en osant poser ma main sur ses parties intimes. Un soupir de désir s'échappa de sa bouche maquillée et je jubilai de joie. J'étais satisfait de l'emprise que j'avais sur elle. J'avais enfin le sentiment d'avoir gardé le contrôle avec une femme. Je fermai les yeux quelques instants et torturai tous ses sens en passant ma main dans sa culotte en dentelle. J'ignorai que cette fille pouvait porter des sous-vêtements en dentelle et cela ne fit qu'agrandir mon érection déjà bien turgescente. J'embrassai à nouveau son cou tout en descendant mes baisers au niveau de sa poitrine cachée par la robe. J'aimerai revoir ses seins putain. Je pris mon temps pour la titiller et d'un geste assez brusque, je tirai sa culotte vers le bas pour pouvoir chatouiller sa vulve de mes doigts. Cathy se raidit sous mes caresses et me supplia de stopper. Avec crainte, je me retirai soudainement, apeuré que cela soit non-consenti :

« Tu n'as pas envie, c'est ça ? »

Je déglutis et je me rendis compte que j'avais été beaucoup plus sec que je pensais. Je m'étais à nouveau assis sur le lit et Cathy posa sa main sur mon bras en me rassurant :

« Non justement, j'aime bien ce que tu fais.

-Je ne sais pas, lui répondis-je hésitant qu'elle veuille réellement de moi.

-Laisse-toi aller Gab. »

Ce surnom casse-couille qu'elle emploie, j'ai fini par m'y habituer et venant de sa bouche ça me faisait kiffer. Un sourire réapparut lorsqu'elle m'attira sur le matelas mou du lit d'une des chambres de la fraternité. Elle m'embrassa pour me mettre à l'aise et passa ses mains froides sous mon tee-shirt. Un frisson me parcourut le long de mon organisme et je savais que dans un sens c'était mauvais signe : j'étais en train de tomber pour elle je pense. Je décidai de ne pas immiscer mes sentiments dans ce que nous étions en train de partager à cet instant et je savourais ses lèvres et ses mains sur mon ventre musclé. Sans aucune difficulté, elle me retira avidement mon tee-shirt et je l'enlaçai. J'étais assez tactile avec elle et je me retenais comme je pouvais pour ne pas passer pour un canard.

« Touche-moi Gab, me chuchota Kate au creux de mes lèvres. »

Je ne me fis pas prier et mes mains placées au niveau de son fessier firent une plus grosse pression sur son cul. Je laissai la droite descendre vers ses grandes lèvres pour tester l'aspect de sa vulve. A vrai dire, à part sur des films pornographiques, je n'avais jamais exploré l'appareil anatomique féminin. Je souris en sentant sa muqueuse vaginale lâcher ses sécrétions. Je pris l'initiative de taquiner son clitoris avec mon index. Cathy ne put retenir ses cris et je lâchai des petits soupirs rauques à l'idée de lui faire du bien. J'ignorai si elle ressent les mêmes choses que moi lorsque je la touche mais je ne vais pas tarder à le savoir en lui claquant vivement :

« Quel effet ça te fait Kate ? »

Elle mit du temps à me répondre dû au plaisir que je lui infligeais en titillant cette petite partie sensible de l'appareil génital :

« Je me sens tellement bien Gaby. »

Sa prise sur mes cheveux se fit plus intense et son corps se colla plus au mien. J'entrai finalement deux doigts dans son intimité et elle se crispa sous ce contact, surprise et satisfaite de cette nouveauté. Je n'étais pas expert, j'étais un vrai puceau mais je savais bizarrement comment faire plaisir aux femmes : Lucas et Arsène ont du trop me raconter leurs prouesses au lit. Mon pénis se mit à bander encore plus et je frottais ma verge entre ses cuisses. Mon jeans me serrait atrocement. En deux-trois mouvements, je la basculais sur le dos pour me retrouver à nouveau en position de supériorité. Je déboutonnai mon jeans et le retirai complètement. Mon caleçon Calvin Klein laissait apercevoir les formes du haut de mes cuisses et la bosse qui s'y était formé. Ne voulant pas brusquer une nouvelle fois Kate avec ma nudité, je laissai mon dernier linge. J'ignorai où nos caresses allaient nous mener mais je défais la fermeture éclair de sa robe rouge pour lui retirer complètement. Elle portait un ensemble de sous-vêtements noir en dentelle et bordel c'était putain de bandant. Je posai mes lèvres partout dans son cou puis sur la naissance de ses seins. Je posai une main sur le linge et elle aventura la sienne sur ma verge fièrement dressée dans mon boxer. J'étais fou de ses caresses. Je me cambrai en susurrant son nom :

« Putain Cathy... »

Kate continua de me toucher et je lui chuchotai au creux de l'oreille :

« Putain de merde, j'ai envie de toi. »

**

Bonjour, pour ce début d'année 2020, je vous souhaite beaucoup de bonheur, de rire, de rêves qui se réalisent et beaucoup de bonnes choses encore.

Bonne lecture.

-Elo

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