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34.

34.

Cathy

Je n'en revenais pas de ce qu'il venait de se passer. Le plan avait fonctionné à merveille. Gabriel avait montré une partie de lui-même que je ne connaissais pas : la jalousie. Il ne l'a pas dit mes ces actions l'ont clairement démontré. J'étais toujours au sol lorsque je lui ai balancé :

« Tu es un grand malade Gabriel. »

Il n'avait pas apprécié le fait que je l'empêche de continuer de frapper ce pauvre garçon que j'aie utilisé pour emmerder cet imbécile. J'avais fait exprès de me coller à cet individu pour qu'il me remarque et qu'il change peut-être d'avis. Je ne supportais pas le fait qu'il devienne violent et qu'il s'en prenne également à moi me montre peut-être que je dois me méfier de lui, qu'il a un caractère beaucoup trop destructeur pour être avec moi mais je le voulais et je vais devoir lui montrer. Léa m'aidait à me lever. Mon poignet me faisait mal. Je le massai doucement lorsque Gabriel me susurre d'une voix calme et douce :

« Putain Cathy...Je ne voulais pas...

-Va te faire foutre Gabriel Hood. »

Il avait l'air de s'en vouloir à mort de m'avoir poussé violemment sur le sol. Avec la douleur, j'avais été plus méchante que je pensais. Je m'attendais à ce qu'il me crie dessus en retour pour ma façon de répondre mais rien de tout ça. Il est resté silencieux. Je finis par reculer et sortir du cercle qui s'était formé autour de nous lors de la bagarre. Il avait l'air d'hésiter à me rattraper mais finalement, il était resté sur place, le regard dans le vide. Je grimpais à l'étage de la fraternité et trouvai la salle de bain commune. Léa me ramenait des glaçons pour soulager mon poignet. C'était juste un mauvais coup, la douleur partira dans une petite heure. Léa sourit malgré tout en s'extasiant :

« Le plan a fonctionné en tout cas, Gabriel a pataugé dedans la tête la première. Tu aurais vu sa tronche quand ce mec est venu te coller, il avait la haine.

-A ce point, lui demandai-je tout de même soucieuse.

-Oui, je te jure. »

Nous ne pouvons pas converser plus que Lucas entra dans la pièce. Il était inquiet. Il s'approcha de moi et fit signe à Léa de rejoindre les autres car il devait me parler. Lucas avait des bandes dans les mains. Mon amie quitta la pièce et Lucas s'assit sur le banc des douches à côté de moi. Il commença à bander mon poignet en me demandant :

« Est-ce que ça va ?

-Oui, je vais bien.

-Gabriel aurait pu te faire pire que ça.

-Il ne l'a pas fait exprès, le défendis-je malgré que je sois en colère qu'il ait pu être si violent.

-Tu n'as pas choisi le plus sympa et le plus facile des mecs de l'université. Il y en a d'autres, tu le sais.

-Oui, je le sais mais je ne peux pas m'en empêcher. Je trouve toujours du bon en lui.

-En tout cas, j'ai bien vu vos jeux de regards entre toi et Léa ainsi que ton comportement. Si tu veux vraiment que Gabriel soit ton petit ami, tu t'y es super mal prise. »

Je levai mon regard vers lui timidement alors qu'il pansait ma main. Lucas a compris notre manège. Je demande :

« Est-ce que ça a fonctionné ?

-Oh que oui, ça a fonctionné, s'énerva Lucas, il est furieux. Je ne l'ai jamais vu aussi énervé et j'espère pour toi qu'il ne te trouvera pas parce que même s'il a l'air désolé de t'avoir poussé, il risque de te tacler. »

Je déglutis. Je n'aurai pas du écouter Léa sur son plan pour rendre jaloux Gabriel. Je me sens bête d'avoir agi puérilement. Après tout, nous ne sommes plus au lycée. Lucas se calma ensuite :

« Je suis un peu à cran lorsqu'il est en colère, excuse-moi.

-Non, ne t'excuse pas, j'ai merdé.

-Tu t'y es mal prise, c'est tout. »

Mon corps se mit à trembler, je ne sais plus ce que je dois faire pour intéresser Gabriel. Je demande conseil à mon meilleur ami :

« C'était débile d'écouter Léa. Tu connais mieux Gabriel qu'elle. Qu'est-ce que je peux faire pour me rattraper ?

-Rien, je te l'avoue. N'essaye pas de discuter avec lui lorsqu'il est en colère, il risque de t'envoyer chier. Laisse-le venir vers toi. »

Je comprends ce que Lucas veut dire. Il faut que je lui laisse du temps et de l'espace. Je baissai les yeux. Ils commençaient à me picoter et un frisson s'échappa de mon corps à mesure que j'avouai :

« Je n'avais jamais ressenti ça avec un garçon Lucas. Il me plait vraiment et peu importe ce qu'il est. »

J'hésitai à lui avouer ce qu'il s'est passé il y a deux semaines à l'appartement avant d'aller à notre soirée. Au final, je finis par lui raconter, Lucas est mon meilleur ami et on s'était toujours tout dit. Je lui avouais nos baisers, le fait que je l'aie masturbé dans ma chambre. Lucas m'écouta sans m'interrompre. Aucune once de jugement traversait son regard. Il était suspicieux, il réfléchissait énormément. Lorsque mon récit fut terminé, il prononça :

« Gabriel n'a jamais été aussi proche avec une fille. De ce que j'aie connu avec lui, il fait fuir les filles. Il n'a jamais su ramener une fille et je ne lui en ai jamais voulu de son mauvais caractère. Fais juste attention à ce que tu fais Kate. Gabriel n'est pas simple et vaut mieux l'avoir dans ses amis, crois-moi. »

J'hochai la tête, écoutant attentivement ce qu'il avait à me dire. Il reprit avec plus de douceur :

« Je n'aurai jamais pensé que tu puisses aller plus loin avec mon ami. La première fois, j'essayais de le retenir de te massacrer pour l'avoir giflé et tu me dis que vous avez fait les préliminaires ensemble ?

-C'est stupéfiant, je sais.

-Fais attention à toi Kate.

-Je vais lui dire ma supercherie. »

Lucas se tendit et se leva brusquement. Il était inquiet :

« Putain mais tu veux qu'il te massacre ou quoi ? Est-ce que tu sais à qui tu t'adresses ? Gabriel Hood va te démolir et il n'a aucune pitié quand il s'agit de filles.

-Faute avouée, faute à moitié pardonnée comme on dit, lui répondis-je du tac au tac.

-Gabriel n'est pas comme nous.

-Il a le droit de savoir !

-Qui a le droit de savoir ? »

Lucas se figea à l'entente de cette nouvelle voix qui avait débarqué dans la salle commune des douches. Quand on parle du loup...Gabriel venait de faire irruption dans la pièce et il nous toisait avec beaucoup de curiosité. Mon meilleur ami resta tendu mais il finit par soupirer et me dire :

« Bonne chance Kate. »

Gabriel pencha la tête sur le côté à l'entente de ces mots. Lucas allait vers sa direction. Il s'arrêta à sa hauteur et lui demanda calmement avec une certaine quiétude :

« Vas-y doucement avec elle, ce n'est pas n'importe qui. »

Gabriel haussa les sourcils. Il ne comprenait rien de la situation. Lorsque mon meilleur quitta la pièce, Gabriel réduisit la distance qui nous séparait. Il fixait mon poignet, l'air grave.

« Je ne voulais pas te pousser.

-C'est oublié. C'est à moi de m'excuser.

-Je n'aurai pas dû m'énerver. »

Gabriel semblait vulnérable. Oh mon dieu, qu'est-ce que je lui ai fait ? J'ai honte de lui avoir infligé une colère pareille. Je baissais la tête et refusai tout contact visuel avec lui. Gabriel cherchait mon regard. Il essayait de rester calmer mais à en juger sa respiration, je savais qu'il était au bord de l'explosion. Je n'avais pas le choix, quitte à être blessée, il devait savoir que j'aie joué avec lui.

« C'est moi le problème Gabriel.

-Je le sais, je ne suis pas con, j'ai deviné. »

Je restais à l'écart, protégeant mon poignet blessé. Gabriel continua :

« Ce n'est pas parce que je suis un salopard la plupart du temps que je ne ressens rien. »

Sa voix était plus dure. Je pouvais voir sa jugulaire se gonfler à travers son cou et je savais qu'il allait péter un plomb dans quelques instants :

« Et tu me fais chier putain, hurlait-il en donnant un gros coup de pied dans le banc me faisant sursauter, tu te prends pour qui ? Je te croyais différente des autres et en fait, tu es une grosse connasse.

-Tu...Tu ne penses pas ce que tu dis, criai-je également apeuré qu'il se déchaîne sous mes yeux.

-Si, je le pense. Tu n'as pas le droit de m'utiliser comme bon te semble, je suis pas ton putain de jouet, c'est clair ?

-Je...

-Non...Tais-toi, je fais tous les efforts du monde pour ne pas t'insulter alors ferme-la. Pas une seule fois dans ma vie, j'ai eu une proximité comme ça avec une fille. Tu as raison, je flippe d'avoir une copine, je détruis tout ! »

Gabriel donna à nouveau coup de pied dans le banc pour éviter de passer sa violence physique sur moi. Je restai à l'écart, il n'était jamais bon de rester près de lui lorsqu'il est en colère comme ça. Gabriel, après un temps de pause, reprit foudroyant :

« Tu vois, avec un caractère comme le mien...Je sais d'avance que je finirai tout seul toute ma vie. Tu as voulu me tester Catherine, tu n'aurais pas dû. J'ai la haine. Putain de merde, tu me fais flipper, tu as changé ma vie dans un sens, tu as réussi à me rendre jaloux. Putain ! Moi ? Jaloux ? Jaloux qu'une fille soit avec un autre mec que moi ?

-Ce n'était pas sérieux, lui répondis-je malgré qu'il me demande de me taire.

-C'est ça le problème ! Tu penses que ça va me donner envie de me poser avec toi ? Tu as agi comme une traînée. J'ai assez souffert dans ma vie, je pense. »

Sa voix était brisée et je me mis à pleurer. Ma fierté en prit un coup de laisser couler mes larmes devant lui. Gabriel entendit mes pleurs et cela aggravait encore plus sa colère. Un poing s'échappa vers le carrelage posé au mur. J'ai pu entendre le gros craquement de ses métacarpes. Il a du se fissurer l'un de ses os et je posai mes mains contre ma bouche pour étouffer les sanglots.

« Arrête de chialer putain, ce n'est pas toi qui es blessé là ! »

Je savais qu'il était encore gentil dans ses mots, je suis la meilleure amie de son pote et je lui ai fait du mal. Je chuchotai avec mes sanglots :

« Je me sens coupable Gaby...

-N'utilise pas ce surnom, scanda-t-il en s'approchant de moi dangereusement.

-Je te demande pardon, j'ai vraiment été une connasse. »

Gabriel serra ses lèvres et baissa la tête. C'était un homme brisé. Sa respiration était rapide, il était à moins d'un mètre de moi. J'hésitais à rompre cette distance. Je finis par faire un pas vers lui. Il ne bougea pas. Je chuchotai :

« Je suis vraiment désolée Gabriel. »

J'avançai ma main vers la sienne. Son poing était encore serré et ses phalanges saignaient abondamment. Ses mains devenaient bleues et je retenais mes sanglots malgré que mes yeux soient larmoyants. Ne voyant aucune réaction de sa part, je baissai la main et passai devant lui. Je murmurai :

« J'ai fait ça parce que tu me plaisais et je n'étais pas sûre que cela soit réciproque. »

Je m'avançai vers la porte pour fuir de cette fraternité et rentrer chez moi. Une main agrippée à mon poignet m'empêcha de faire un pas de plus. Gabriel me retenait. Il n'était plus dos à moi lorsque je me tournai vers lui. Ses yeux noirs me fixaient. Il bégaya, n'y croyant pas :

« Tu as fait toute cette merde parce que je te plais ?

-C'est débile mais oui, je voulais ton attention... »

Gabriel était surpris de ma révélation. Il rompit cette distance et je reculai. Le garçon me tient un peu plus fort le poignet et il me demanda d'une voix brisée :

« Ne t'en va pas. Reste. Ne m'abandonne pas toi aussi. »

Sa voix était terne, calme. Sa colère s'était peu à peu éteinte. Je restais quelques instants debout sans bouger. Je fixai cet homme devant moi. Il était blessé, un homme qui avait besoin d'amour, d'attention et je voulais être celle qui lui offre. Je m'avançai rapidement et je lui sautai dans les bras. Gabriel fut encore plus surpris de mon étreinte mais il finit par accepter de m'enlacer. Il avait l'air d'apprécier le câlin. Il vient se loger dans mon cou pour me chuchoter dans mon cou :

« Putain, tu viens encore me faire un câlin alors que je t'aie balancé toutes les pires merdes du monde.

-Tu as raison dans ce que tu dis, je me suis mal comportée avec toi. »

Pour la première fois depuis que je le connais, il m'avouait :

« J'ai été trop loin avec toi aussi. »

Je le serrai un peu plus contre moi et Gabriel sourit légèrement. Avec un talent dont je ne me connaissais pas, j'ai réussi à évacuer la douleur et la colère de Gabriel en quelques mots. Mes pleurs cessèrent et peu à peu, il s'éloigna pour pouvoir s'assoir. Je savais que c'était un garçon compliqué, je prononçai :

« Je t'attendrai Gabriel. Si je te plais, je t'attendrai. »

Gabriel s'aventura dans mes yeux rougis par les larmes d'un geste tendre, il vint essuyer les larmes avec sa main la moins blessée qui traînaient sur mes joues. Il chuchota :

« Je suis invivable.

-Et pourtant, je te demande de nous laisser une chance. »

Il sourit et me répondit avec un petit rire :

« Je vais te faire vivre un cauchemar.

-Je t'attendrai, tu ne me feras pas changer d'avis.

-Très bien. »

A ces mots, il posa ses mains sur ma taille pour m'attirer vers lui et déposer tendrement ses lèvres sur les miennes. Je répondis à son baiser et vint m'assoir sur ses genoux. Ses mains me caressaient lentement la colonne vertébrale pendant que j'aventurai une de mes mains dans ses cheveux noirs. Gabriel se mit à m'enlacer à nouveau contre lui. Durant quelques minutes, nous nous embrassons d'une manière qui nous était encore inconnu. On cherchait à se faire pardonner, à se réconcilier et je me voyais pas utiliser la parole pour exprimer mes regrets. Gabriel n'était pas bavard et je pense que c'est sa manière à lui de me demander pardon. Lorsqu'il se retira, Gabriel émit une petite grimace et je lui dis :

« Je vais m'occuper de toi. Tu es blessé. »

Il lève les yeux au ciel et passai ses mains sous un des lavabos en face de nous. Il s'observait dans l'un des miroirs. Il râlait en voyant que sa joue était un peu gonflée. Lucas avait laissé la trousse de pharmacie sur le rebord d'un des lavabos en me bandant les mains il y a un quart d'heure. Je cherchai après d'autres bandes, compresses, désinfectant et arnica. Gabriel s'assit sur le banc qu'il a frappé quelques minutes plus tôt. Il me laissait le soigner. Ses yeux observaient chacun de mes mouvements. Le soin se faisait en silence. Je désinfectais lentement les plaies de ses mains et les enroulai dans d'épaisses bandes. Je pris le tube de crème et lui demandai :

« Est-ce que tu as des autres plaies sur toi ?

-Ouais, il m'a démoli le torse, je crois. »

C'est vrai que son adversaire s'est bien défendu. Il a relancé plusieurs de ses coups au niveau de ses côtes. Gabriel souleva son tee-shirt. J'observai son corps musclé. Son torse était bien amoché en effet. Il y avait plusieurs bleus sur les côtes et je culpabilisai de lui avoir infligé autant de mal. Je passai mes mains pleine de crème sur les contusions. Il frissonna du au contact frisquet de la crème mais se détendit lorsque je le massai lentement et de manière délicate. Lorsque je terminai, il murmura :

« Merci. »

Un sourire s'échappa et il me le rendit. Gabriel se leva et nous quittions la pièce ensemble. Nous redescendons dans le calme vers les garçons, d'ailleurs, je ne vous raconte pas la surprise de Lucas en le voyant aussi sage qu'un agneau. Martin sourit ainsi qu'Arsène, heureux que cette histoire se soit arrangée. Mon meilleur ami me chuchota à l'oreille :

« Vous vous êtes vraiment parlé ? »

J'hochai la tête et lui expliquai en chuchotant pour que Gabriel ne nous entende pas :

« Il a pété les plombs mais je ne sais pas comment j'ai fait pour le calmer.

-Je l'ai bien vu ça. Même Martin n'aurait pas su le calmer à ce point.

-Le plus important, c'est qu'il va bien. »

Je pouvais entendre Martin crier sur Gabriel à cause de ses nombreuses blessures. Léa accourut vers moi et m'enlaça en me murmurant de multitudes d'excuses pour son idée débile. Par ailleurs, Gabriel était venu vers nous pour lui faire comprendre :

« J'ai très bien compris ton petit jeu avec Cathy. Ne t'avise plus jamais de recommencer sinon tu peux prévenir tes pompes funèbres. »

Léa hocha silencieusement la tête pendant que Gabriel attrapait discrètement ma main pour me faire signe de le suivre. Il me chuchote :

« J'ai envie de partir, je ne me sens pas très bien, je te l'avoue. C'est douloureux. »

Il faisait référence à ses blessures. J'hochai la tête et j'allai prévenir Lucas et Arsène. Le cousin de Lucas observa longuement le brun qui m'attendait dans le couloir avec une clope à la bouche. Il me demanda :

« Fais attention à toi.

-Il ne m'arrivera rien Arsène. »

Je le rassurai d'un bisou sur la joue et Lucas s'avança pour me dire :

« Rentre bien, envoie-moi un message quand tu es à l'appart'. »

J'hochai la tête et quittai le groupe après avoir enlacé une dernière fois Claire et Léa. Je suivis Gabriel et nous sortîmes ensemble de la fraternité. Nous marchions vers sa voiture. Avant de grimper dans sa BMW, j'attendis que Gabriel termine sa cigarette. Il était silencieux et j'avouai que cela ne me dérangeait pas. Je frissonnai légèrement et décidai de m'approcher un peu de lui pour me réchauffer. Ce dernier remit ses cheveux en place avant de me conseiller :

« Tu ne devrais pas rester près de moi, tu vas puer la clope.

-Je m'en fiche, lui répondis-je en restant à ses côtés.

-Comme tu veux. »

Je fixai l'une des mains bandées de Gabriel et je lui demandai :

« Est-ce que ça va ?

-Oui.

-Tu ne veux pas aller aux urgences pour faire une radio, lui demandai-je tout de même inquiète.

-Non, ça va aller. »

Il jeta sa cigarette consumée au sol et grimpa dans sa vieille voiture. Je m'assis à côté de lui et bouclai ma ceinture. Il m'imita et je fus bien heureuse qu'il se mette en sécurité pour une fois. Gabriel démarra et après une rapide marche-arrière, nous quittions la fête pour rentrer à l'appartement.

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Bonsoir, je vou poste un chapitre assez mouvementé pour cette semaine! J'espère que l'histoire vous plaît toujours autant! En tout cas, je vous souhaite une bonne semaine et bon courage pour les cours!

-Elo

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