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29.




29.

Cathy

Allongée dans mon lit d'enfance, je fixe le plafond. Je n'arrive pas à y croire que Gabriel me parle de son passé. Je n'aurai jamais cru de ma vie que sa haine pouvait venir de là. Il avait l'air si vulnérable malgré qu'il soit complètement déchiré par l'alcool. Je ne pouvais pas l'abandonner, pas après ce qu'il m'avait raconté. J'étais triste que sa mère l'ait abandonné. Je voulais être son amie, sa confidente, peu importe comment il me considère, je veux être celle avec qui il partage ses peines. Je voudrais le faire sourire. J'essaye de le réconforter à ma manière :

Ta mère ne sait pas ce qu'elle rate actuellement. Elle a fait la plus grande erreur de sa vie, ta plus belle vengeance c'est le temps. Tu as grandi, tu t'es forgé sans elle et tu t'en es bien sorti.

Je pensais réellement ce que je disais. C'est une belle personne à sa façon et je m'en suis rendue compte par ses gestes doux et son côté attentionné et...protecteur. Il s'est battu parce que Valentin m'a drogué et qu'il voulait lui faire payer. Je compte pour lui, il l'a sous-entendu. Gabriel répondait vite aux messages :

Peut-être.

J'ai continué de parler avec lui durant le reste de la soirée, jusqu'à ce que je tombe de sommeil. Je suis contente d'avoir pu échanger avec lui de tout et rien. Je lui ai promis de ne parler à personne de son passé tumultueux.

**

Je me lève vers onze heures du matin. Je m'étirais tout du long et la première chose que je fais avant de me lever c'est regarder mon téléphone. J'avais deux messages de Gabriel. Le premier datait d'hier soir.

Je crois que tu dors.

Puis, le deuxième date de ce matin vers 10h30.

Salut.

Je répondis en retour d'un ''Salut'' et me lèvre. J'appréhendais un peu cette journée, j'espère que ma mère ne sera pas comme hier soir et qu'elle aura décuvé. Je sors de ma chambre et inspecte le couloir : pas d'odeur de vomi à l'horizon. Je descends une à une les marches et je me retrouvais vite dans le couloir du rez de chaussée. J'arrivais directement dans la cuisine au bout du couloir. J'allais dans le frigo pour sortir une bouteille de jus de pomme. Je prends un verre dans le placard au-dessus de l'évier et je le remplis. Je bus quelques gorgées avant de le reposer sur le plan de travail. Ma mère était dans le salon devant la télé en train de faire du point de croix. Je trâine les pieds et la rejoins avec mon jus de pomme. Je murmure :

« Bonjour.

-Oh bonjour. »

Elle me fait ce fameux sourire. Je déteste quand elle fait ce sourire, elle fait comme si rien ne s'était passé la veille. Je lui fais effacer son sourire en lui reprochant :

« Je viens un week-end pour te faire plaisir et tu bois ?

-Ecoute, je...

-Je sais ce que tu vas dire. Je suis désolée, je ne recommencerai plus. Tu n'es pas la seule à perdre une personne chère dans ta vie. J'ai perdu mon père moi aussi, j'ai raté mon bac pour te faire remonter la pente. Je ne ferai pas la même chose cette année, je me donnerai pour valider mon année.

-Kate, je...

-Je t'en veux. Des mois et des mois pour te ramasser pour que tu boives à nouveau...Et en plus de ça devant mon propre meilleur ami ? »

Ma mère ne savait plus quoi dire. Je repense à Gabriel lorsqu'il dit que son père est un déchet. Aujourd'hui, j'ai envie de lui dire par colère que ma mère aussi est un déchet mais je ne le pense pas. Je suis simplement déçue.

« Je suis désolée, sanglote-t 'elle en essayant de me prendre dans ses bras

-Arrête. Tu dis tout le temps ça. »

Je recule vivement et elle change de visage, rouge de colère :

« C'est moi qui te paye tes études ! »

J'hallucine, il n'y aucun rapport. Depuis que mon père est décédé, ma relation avec ma mère s'est détériorée un peu plus. Je me suis toujours mieux entendue avec mon père. Je vis rouge et crachai :

« Et qui t'a aidé à ramasser ton vomi, t'a conduit à ton lit, a redoublé pour pouvoir prendre soin de toi ? Hein ? Qui ? »

Elle se tut. Je bus le reste de mon jus de pomme et quitte le salon. Je repasse par la cuisine pour déposer mon verre dans le lave-vaisselle et monte prendre une douche. Je prends mon téléphone au passage. Gabriel avait répondu à mon message :

Bien ?

Je répondis rapidement d'un ''Bien'' avant d'appeler Amandine. Hors de question que je passe la journée ici si c'est pour me rabaisser. Au bout de trois tonalités, celle-ci décrocha :

« Kate ?

-Salut Amandine, ça va ?

-Oui et toi ? Je suis super contente de t'entendre, dit-elle enjouée.

-Moi aussi. Je suis à Villette ce week-end Ca te dit qu'on se voit ? »

Un blanc s'installa avant que j'entende Amandine crier.

« Oh oui ! Quand ? »

Je ricane et laisse couler l'eau de la douche pour qu'elle soit bien chaude quand je vais rentrer. Ici, l'eau chaude est très longue à venir. Je répondis à Amandine :

« On peut manger ensemble ce midi et passer l'après-midi ensemble ! »

Elle me crie aux oreilles que ça sera avec joie, qu'elle était contente que nous soyons rentrés le même weekend. Elle est à Lyon. Je raccroche et j'entre dans la douche. Je profitai de cette douche pour essayer d'oublier toute la rancœur que j'aie accumulé contre ma mère. Je me lavais les cheveux et passai plus de trente minutes à prendre soin de moi.

Lorsque je sortis, mon téléphone émit une vibration. C'était Gabriel :

Vous rentrez quand toi et Lucas ?

Je souris. Je le sens bien sa question.

Demain, après 17h.

Il me répondit dans la seconde :

Ok, je passerai demain. J'espère qu'il reste des bières.

Je rigole et mets mes sous-vêtements avant de lui répondre avec ce même fou rire :

Oui, tu pourras te bourrer la gueule une nouvelle fois.

Il m'envoie un smiley avec un doigt d'honneur. Je lève les yeux au ciel et termine de m'habiller. Je me brosse les cheveux et m'applique du mascara. Je me chausse et prends ma veste en jeans. Je ne demande même pas la permission pour sortir et je claque la porte d'entrée derrière moi. Ce qui est pratique à Villette, c'est que c'est une petite ville et que tout est à porte de main à pied. Sur le chemin, j'avais proposé à Lucas de manger avec nous mais il m'a dit qu'il me rejoindrait dans l'après-midi. Je rejoins Amandine chez Micha, notre petite pizzeria habituelle. C'était notre QG l'année passée avec ma bande de copine. Lorsqu'elle me vit, elle m'enlaça fort contre elle et criait à quel point j'étais belle et que je lui avais manqué. Je ne sais pas ce que je ferai sans ma meilleure amie. Nous nous installons et commandons nos pizzas habituelles : la routine était toujours présente. Je pris une Calzone et elle prit une Savoyarde. En attendant d'être servies, nous papotons :

« Alors, tes études d'écrivain, me demande Amandine en posant ses coudes sur la table et sa tête dans ses mains.

-Littéraire s'il te plaît, ricanai-je, tout va bien pour moi, je m'y habitue et toi ?

-Super ! Moi aussi, c'est très intense la psychologie mais j'adore !

-Je suis contente alors ! Tu t'y fais à ton appartement ?

-Oui ça va, ma colocataire est super sympa ! On fait pas mal de choses ensemble. Avec Lucas, ça va mieux ?

-Oui ! D'ailleurs, il viendra faire un coucou cet après-midi quand il peut.

-Sérieux ?

-Oui, tu verras il est sympa mais ne te fie pas à ses disquettes, riais-je.

-D'accord mais je t'avoue, je l'ai toujours trouvé beau même au lycée.

-Il n'a jamais eu de succès au lycée pourtant. Tu aurais du venir m'en parler, l'engueulai-je en riant toujours.

-Je sais mais on ne se connaissait pas.

-Pas faux !

-Et toi alors avec ce fameux garçon qui fume, ça avance ? »

Elle parle de Gabriel. Amandine est ma meilleure amie et j'ai totalement confiance en elle, je lui conte :

« Je ne sais pas trop comment nous qualifier, on est proche sans l'être. Il est méchant parfois mais il a un côté doux que je ne peux pas oublier, il est protecteur.

-Vous sortez ensemble quoi, conclut-elle rapidement.

-Non mais ça ressemble. On a jamais mis ça au clair. On s'embrasse, je...je l'ai un peu masturbé je t'avoue.

-Quoi ? Mais non !

-Si, c'est venu naturellement. Tout est naturel avec lui, je suis moi-même et il se montre plus sympa avec moi qu'au début. »

Amandine est mon deuxième œil, si elle le rencontre un jour, elle saura me dire si c'est un garçon pour moi. Elle me demande si j'ai une autre photo de lui parce qu'elle ne le voyait pas bien sur la photo que j'ai prise de lui lorsqu'il fumait au bord de la piscine. J'ouvre son Instagram en espérant trouver une photo récente. Il y en a une datant de cet été. Il a des lunettes de soleil s'accordant parfaitement avec son visage. Il tient une cigarette au bout de ses doigts et porte un tee-shirt blanc. Le blanc lui va si bien. Je tends le téléphone à Amandine qui l'observe. Elle siffle un peu et le complimente :

« C'est un canon. »

Je souris, fière qu'elle apprécie mon choix de garçon. Je lui parle également des amis de Lucas et de Léa, ma nouvelle amie. Je lui explique que nous nous sommes rencontrées à l'athlétisme et que nous faisons équipe pour la saison. Elle m'explique ce qu'elle étudie lorsque nos pizzas arrivent. Je sens qu'Amandine et moi allons passer une bonne journée.

**

Nous nous promenons dans la galerie commerciale de Villette. Amandine voulait trouver un petit truc pour sa colocataire. Nous voilà donc en train d'épier toutes les bijouteries de la galerie marchande. Entre deux, j'avais repéré un petit haut dans une boutique et je suis allée directement l'acheter. Nous étions en train de regarder les bracelets lorsque Lucas m'appela sur mon téléphone portable.

« Oui, décrochai-je en riant.

-Salut, où est-ce que je vous rejoins ?

-Tu peux venir au centre Villette shop, on est dans une bijouterie.

-D'accord, je suis là dans quelques minutes, je viens de sortir de chez moi.

-A tout de suite. »

On raccroche et je prévins Amandine de son arrivée. Lucas habite à quelques pas du centre commercial. J'avais repéré un ras de cou d'argent avec une étoile. Je ferme les yeux en repensant quelques instants à des souvenirs d'enfance avec Lucas et Arsène où nous passons toute une nuit à observer les étoiles et raconter des histoires à dormir debout : je regrettais cette belle époque. Cette époque où Lucas avait encore toute son innocence, où Arsène n'était pas un coureur de jupon et qu'il me protégeait comme un grand frère. Je rouvris les yeux et quittai le rayon du collier ; je dois revenir à la réalité. Lucas n'est plus ce qu'il est.

Ce dernier m'envoya un message :

Quel magasin ?

Je soupire et répondis rapidement :

Bijoux Cara.

C'était une petite boutique rose assez mignonne et attirante au premier regard. Les prix étaient raisonnables. Amandine avait d'ailleurs trouvé son bonheur : un petit bracelet avec une ancre. Elle était à la caisse lorsque Lucas arriva dans la boutique. Il me fit la bise et observa Amandine d'un œil curieux :

« C'est elle ta copine de lycée ?

-Oui, c'est elle. »

Amandine se tourna vers nous et elle fut surprise de trouver Lucas face à elle. Mon meilleur ami était très imposant face à elle et très beau. Il avait mis un tee-shirt blanc, une chemise en jeans bleu clair et un jean bleu foncé. Ses cheveux étaient parfaitement coiffés. Lucas avait les bras croisés et la fixait. Je sais ce qu'il fait. En un regard, il sait dire si elle lui plait ou pas. Le blond se pencha vers elle et dit d'une voix assez enjôleuse :

« Salut, je suis Lucas.

-Amandine. »

Il lui fit la bise alors qu'elle était toute gênée. Après tout, elle avait un crush sur Lucas. Nous quittons le magasin. Mon meilleur me demanda :

« Vous avez d'autres magasins à voir ?

-Non, je pense qu'on a terminé, répondis-je en regardant Amandine pour avoir son avis.

-Oui, j'ai trouvé mon bonheur !

-Tant mieux, souffle mon meilleur ami soulagé, je déteste les magasins. Ca vous dit d'aller au parc ? »

Je saute d'excitation. Je me souviens de ces fins d'après-midi après le collège : Lucas et moi prenons notre goûter sur l'herbe du parc. J'étais vraiment enjouée à l'idée de faire partager mes souvenirs d'enfance avec Amandine. Cette dernière était partante. Sur la route, Lucas et Amandine faisaient connaissance. Ma meilleure lui posait des questions sur sa famille :

« Est-ce que tu as des frères et sœurs ?

-Oui, j'ai deux grands frères qui ont 25 et 30 ans mais je ne les vois jamais et toi ?

-Un petit frère de douze ans. »

Je vois bien que Lucas n'est plus habitué à avoir ce genre de conversation avec une fille et que généralement en un claquement de doigt, la voilà dans son lit mais Amandine n'est pas comme ça. Elle est prude, elle se préserve et elle ne fait pas facilement confiance. Elle veut apprendre à le connaître et je la comprends.

Nous entrons dans le par cet tout de suite, Lucas s'enjaille :

« Kate ! Cette balançoire ! »

Il me désigne la vieilles balançoire en bois à l'entrée du parc. La balançoire a perdu de sa vivacité au fil des années, le bois a vieilli, est abîmé et elle n'est plus en très bon état. Les chaînes en fer qui retiennent la planche sont rouillées. Mon meilleur ami s'approche d'elle et après inspection, il s'asseye dessus, faisant balancer ses jambes sur le gravier lentement. Je le rejoins doucement avec Amandine. Lucas regarde autour de lui et ravive les souvenirs :

« Tu te souviens de cette journée où nos parents nous ont crié dessus car on allait beaucoup trop haut avec cette balançoire.

-Oui, je me souviens, riais-je en y repensant. Tu étais tellement haut que ta mère en a hurlé de peur à l'idée que tu puisses tomber.

-Ta mère aussi avait les chocottes.

-On a tellement passé de bons moments dans ce parc. »

J'observe l'herbe verte et les grands chênes qui s'offrent à nous autour de nous. Je me rappelle cette nappe jaune pissenlit sur l'herbe et les tupperware rempli de délicieuses crudités préparés par nos mères. Je me souviens du père de Lucas qui avait perdu sa montre dans le parc et que nous avons passé une éternité à chercher après cette fichue montre. C'était la bonne époque avant que les parents de Lucas ne divorcent. Je me rappelle aussi mon père qui prenait sur ses épaules pour me prouver à quel point j'étais plus grande que Lucas lorsque ce dernier se moquait de ma petite taille. C'était la bonne époque avant que mon père décède prématurément d'une tumeur au cerveau. Mon sourire perdit de sa couleur au fur et à mesure que j'observai le parc. Je lâchai avec une certaine douleur :

« C'est dans cet endroit que j'aie les meilleurs souvenirs de ma vie.

-Je comprends, me répond Amandine en posant une main sur mon épaule avec une tendresse que je ne saurai décrire.

-Ne t'inquiète pas, tenta Lucas avec une certaine joie, tu te feras de nouveaux souvenirs à Grenoble. »

Je ne vois pas quels bons souvenirs je pourrai me faire dans cette ville. Je ne me sens pas chez moi. Ce ne sont pas mes amis mais ceux de Lucas. Je ne suis proche de personne là-bas. Je n'ai pas un bon souvenir de Gabriel malgré que cela soit avec lui que j'aie passé le plus de moment avec lui depuis mon arrivée en dehors de Lucas. Léa est encore inconnue à mes yeux, j'ai besoin de temps pour la compter dans mes amis proches. Je décide de continuer le chemin dans le parc en suivant les graviers qui mènent aux tables de pique-nique. Lucas se conduisait comme un enfant, grimpant les bancs tout en racontant à Amandine :

« C'est ici que Kate a eu son premier baiser.

-Lucas, susurrai-je en pleurnichant un peu, on s'en fiche.

-Non, je veux s'avoir, s'extasia ma meilleure amie. C'était avec qui ?

-Mon cousin, répondit ce dernier.

-Vous étiez en couple, me demanda Amandine les yeux ronds, tu ne m'as jamais parlé de lui.

-Arsène et moi ne sommes jamais sortis ensemble. Nous étions amis, c'est tout. Nous nous sommes embrassés parce que cet imbécile que tu vois en face de toi m'a mis au défi de l'embrasser. »

Elle avait l'air déçue de ma réponse. Je la taquine :

« Je n'ai jamais eu de petits copains, je te l'ai toujours dit.

-Est-ce qu'il y a eu d'autres garçons à part son cousin, et ce...j'ai oublié son prénom, me quémande-t 'elle en s'esclaffant.

-Gabriel, lui rappelai-je.

-Ah oui, c'est vrai. »

Lucas me toise sévèrement à l'idée que j'ai pu échangé un baiser avec son pote. Heureusement, il ne sait pas que nous sommes allés un peu plus loin depuis ensemble. Lucas répond avec un ton froid :

« Personne d'autre n'a embrassé Kate. »

Et c'est la vérité.

Nous continuons notre promenade vers le sentier. Cela menait au bac à sable, toboggans et autres balancelles. Lucas et moi faisions des concours de celui qui faisait le plus beau château de sable et cela terminait en dispute. Je finissais par détruire son château et il me traitait de « méchante », « mauvaise joueuse » ou de « débile. » Un nouveau sourire se forma en y repensant. Cette idée de parc est excellente, je passe un bon week-end.

**

J'ai raccompagné Lucas et Amandine avant de rentrer chez moi. Lorsque je fus rentrée, je retrouvai ma mère en train de repasser tout en regardant une émission culinaire à la télévision. Je dépose mes affaires sur les escaliers et la rejoins. Elle me sourit légèrement en me voyant arriver au salon ne sachant pas quoi dire. Je décide d'enterrer la hache de guerre et de lui proposer :

« Karaoké entre filles, tu es partante ? »

Ni une, ni deux, elle débranche son fer à repasser et sort les micros du meuble-télé en s'asseyant sur le canapé. J'attrapai les disques de karaoké pour que nous puissions choisir le titre ensemble. Ma mère me laisse choisir :

« Des chansons récentes ça te va ?

-Tout ce que tu veux ma chérie ! »

J'hausse les épaules et insère le CD dans le lecteur. Une variété de chansons apparut sur l'écran télé et je choisis la première :

Indochine – J'ai demandé à la lune.

Une agréable soirée s'en suivit avec plusieurs fous rires, des vidéos souvenirs. J'étais contente de voir ma mère comme ça, vivante, heureuse et qui partage un bon moment avec sa fille unique.

**

A la semaine prochaine pour un nouveau chapitres les zamis!

-Elo

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