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22.

22.

Gabriel

Une douche ? Elle veut prendre une putain de douche ? Je suis en train de penser à son corps nu sous la douche en train de se toucher pour appliquer son gel douche et je sentis quelque chose durcir dans mon pantalon.

« Et merde... »

Fais chier. J'ai parlé trop fort. Je la vois froncer les sourcils pour déceler ce qu'il cloche chez moi et j'essaye de cacher mon érection en dandinant légèrement mes jambes et reprenant mon regard vers la route. Je bifurquai vers Grenoble. Je m'insérai rapidement sur la nationale et poussai rapidement le moteur à 110 au lieu de 90. Cathy avait le regard dirigé vers le paysage. Je la regarde discrètement. Elle est belle et pourtant...

« Tu es vraiment laide. »

Je ne peux pas m'empêcher de me comporter comme un con avec elle. Je suis vraiment un merdeux. Elle ne répondit rien à cette provocation débile de ma part. Je dépassai une Clio 4 sans mettre mon clignotant me faisant klaxonner. Je râlai :

« Il veut que je l'encule lui ? »

Cathy leva les yeux au ciel en entendant mes vulgarités. J'ai toujours dit des gros mots depuis tout petit.

« Quoi, râlai-je en jetant un regard en biais à la brune.

-T'es grossier, c'est immonde.

-T'es grossier, c'est immonde, répétai-je pour la faire tourner en bourrique. »

Je me rabats sur la droite pour prendre la sortie et j'arrive en ville. Après quelques feux presque grillés et refus de priorités, je ramène Cathy chez elle saine et sauve. Je me gare rapidement en bas de l'immeuble. J'observais l'allée pour vérifier si Lucas était parti et je sautille de joie dans ma tête lorsque je ne vis pas sa voiture. Je serai seul avec elle et je ne sais pas pourquoi ça me fait plaisir.

Je suis Cathy dans l'immeuble. Elle appelle l'ascenseur. Je sortis mon téléphone et ouvris Instagram. Je demandai à Cathy :

« Est-ce que tu as Instagram ?

-Ouais

-Passe-le moi. »

Je la surprends, elle avait l'air étonnée de ma demande mais finit par me répondre :

« cathy, tiret du huit, lcn. »

Je note son compte dans mes recherches et je m'abonnai à elle en voyant que c'était un compte privé. Je voulais regarder ces photos.

L'ascenseur arriva et nous grimpons au cinquième. C'était le silence absolu dans la cabine. J'aime le silence habituellement mais pas cette fois. Je tapai du pied sur le sol. Les portes en métal s'ouvrirent et elle sortit ses clés. Elle les fourre dans sa serrure et ouvrit la porte. Je la suis avec une certaine impatience. Je retirai mes baskets et les mit à côté des siennes. Cathy déposa se veste en jean sur le porte-manteau et se dirigea vers la salle de bain. Elle me dit :

« Tu peux squatter le fauteuil si tu veux et il y a des bières au frigo si tu as soif. Je vais prendre ma douche. »

Putain non, je n'ai pas envie d'aller dans ce putain de fauteuil et je ne veux pas de sa bière à la con. J'ai envie de venir avec elle. C'est pervers de ma part.

« Euh...ouais. »

Je ne fis rien et la laissai fermer à clé la salle d'eau. Je restais un moment planté là à regarder la porte avec espoir qu'elle me demanderait de venir avec elle mais lorsque j'entendis l'eau couler dans la douche, je baissai les bras et partit m'allonger dans le canapé. Bordel, je me sens trop serré dans ce froc. Je gigotai et essayai de soulager mon attirail en débouclant la ceinture de mon pantalon. J'ai mal à la bite bordel.

Pendant que Cathy prenait sa douche, j'essayais de m'occuper en regardant ses photos. Avant de se doucher, elle a accepté ma demande d'abonnement et m'avait suivi en retour. Elle avait une dizaine de photos. Sur la première, je pouvais reconnaître Lucas et Arsène. La photo date de plusieurs années. Je pouffe de rire en voyant les cheveux longs de Lucas et les cheveux en pétards d'Arsène. Sur la deuxième, Cathy est avec un couple plus âgé. Je suppose que ce sont ses parents puisqu'elle a les mêmes yeux que l'homme tandis que le reste de sa physionomie ressemble à sa mère. Elle a l'air heureuse. C'était il y a deux ans. Les autres photos sont des paysages de différentes régions. Je remarque qu'elle a visité l'Angleterre et l'Italie.

La dernière photo remonte à fin juin. Elle est avec une petite blonde très souriante. Cathy reste celle qui me plaisait le plus et je le sentais rien qu'à la bosse formée dans mon jeans. Je quittai l'application lorsque le verrou de la salle de bain se déclencha. Elle sortit, habillée et se dirigea vers sa chambre. Je suis soudainement devenu incontrôlable. Je me dirige vers sa chambre. Elle était dos à moi lorsque je colle mon buste au niveau de son dos. Je la sentis frémir. Ma main vint trouver la sienne et je la remonte le long de son bras. Je pouvais sentir ses poils s'hérisser et un sourire satisfait apparut. Je me penchai vers elle et mon autre main dégagea ses cheveux de son cou. Je sentis sa douce odeur : un mélange de gel douche agrumes et une brume fleurie. J'aventure mes lèvres vers le creux de son cou et déposai un doux baiser. Elle m'attirait.

« Gabriel... »

Elle susurrait mon prénom et j'adorais ça. Je n'aimais pas mon prénom mais quand il sort de sa bouche, je me sens un autre homme. Je suis calme, détendu, je laisse mes démons de côté et m'occupe de sa peau blanche. Je continuai de parsemer son cou de baiser. Mes lèvres se faisaient plus insistantes, mes baisers un peu plus mouillés. J'ignore si c'est ma testostérone qui me contrôle, je sens ma verge se durcir encore plus. Cathy se retourna lentement vers moi et planta ses yeux bruns dans les miens. Elle déglutit avec difficulté avant de prononcer distinctement :

« Qu'est-ce qui te prend ? »

Je ne réponds pas à sa question et m'abaissai un peu pour que mon visage soit proche du sien. Elle a retiré son rouge à lèvres et j'en suis déçu. Je murmure :

« Pourquoi tu l'as enlevé ? »

Cathy comprit directement de quoi je voulais parler et répondit avec le même ton :

« Je croyais que tu détestais.

-Ce n'est pas ce que j'ai dit. »

Je rapprochai mes lèvres des siennes. Je ne veux plus lutter, j'ai des pensées trop obscènes.

« Tu as dit que j'avais un rouge à lèvres de pute.

-Oh ferme-la. »

Je l'empêche de me répondre en posant fermement mes lèvres sur les siennes. Je franchissais le premier pas. Elle accentua le baiser en mouvant ses lèvres aux miennes et un soupir de soulagement mourut sur son petit bout de chair que j'aime tant embrasser. Je me sens bien. Cathy se rapproche de moi en passant ses bras autour de mon cou et je me permis de descendre mes mains au niveau de ses fesses pour la porter et la poser sur son lit. Cathy réagissait à tous mes mouvements. Une de mes mains trouva refuge dans ses longs cheveux bruns tandis que les siennes descendirent sur mes épaules puis le bas de mon polo. J'avais chaud. Je l'allonge délicatement sur les couvertures de son lit. Mon poids se mêla au sien et mon entrejambe se frotta sur sa cuisse la faisant revenir peu à peu à la réalité :

« Tu...Tu bandes ? »

Cathy se rassit aussitôt. Je reste calme et attrapai ses mains. Je me surprends d'être aussi doux et attentionné avec elle. J'embrassai ses paumes. Je fermai un instant les yeux en savourant un de mes premiers moments tactiles avec une fille.

« Ouais. »

Je ne pus répondre qu'un seul mot tellement l'excitation était grande. Je pensais qu'elle allait rire, prendre peur ou s'énerver mais elle m'avoua :

« Je n'ai jamais touché un sexe masculin.

-Tu peux appeler ça une bite tu sais.

-Je suis polie moi, rit-elle en me frappant le bras. »

Je secoue la tête aisément et posai un petit baiser sur ses lèvres en lui avouant à mon tour :

« Je te désire et je n'ai jamais rien fait avec une fille.

-Tu es pourtant beau, répondit Cathy les joues rouges. »

Je souris, fier de lui plaire. J'attire sa main vers ma bosse et bougeai en même temps que la mienne sa main sur mon jeans cabossé. Je l'incitai à me caresser.

« Je peux te demander quelque chose ? »

Je relève la tête vers elle. Cathy avait l'air sérieuse. Je plisse les sourcils de curiosité :

« Oui ? »

Elle hésitait.

« Ne te fâche pas, ce n'est qu'une question. »

Une pointe d'agacement apparut dans ma tête lorsqu'elle me demande de ne pas me fâcher. Lorsque l'on me dit ça, généralement, je me mets en colère ensuite. J'ai trop mauvais caractère :

« Essaye toujours. »
J'essayai de ne pas m'emporter mais ma voix sonne un peu plus froide qu'au départ. Cathy chercha ses mots avant de me demander :

« Dis-moi que tu ne joues pas moi et que tu es sincère dans ce que tu es en train de faire. »

Je la regarde stupéfait. Je ne m'attendais pas à ce genre de demande de sa part. Je ne savais pas quoi répondre. Je passai une main dans mes cheveux. Qu'est-ce que je peux répondre à ça ? Elle est chiante.

« Vous les filles... »

Je levai les yeux au ciel et l'attirai dans mes bras. Elle devrait savoir la réponse, je ne suis pas si tactile avec les filles d'habitude. Généralement, elles s'enfuient en courant rien qu'en entendant Gabriel Hood. Je chuchotai à son oreille :

« Il n'y a que toi. »

Ma réponse la satisfit car elle prit emprise sur ma queue et un cri rauque s'échappa de mes lèvres. Je la sentis baisser la fermeture éclair de mon pantalon. Bordel, elle est si imprévisible. Elle a foutu sa main dans mon pantalon caressant ma virilité avec douceur. Je me mets à mon aise et m'allonge dans son lit. Ma tête vient se loger sur son oreiller et je soupirai d'aise. Je sentis mon téléphone vibrer dans ma poche et je le balançai sur la table de chevet. J'avais chaud bordel. Je l'interrogeai en désignant mon polo bleu:

« Ça te dérange si je l'enlève ? Me faire toucher comme ça me donne putain de chaud.

-Non. »

Un sourire carnassier fit place et en deux-trois mouvements, mon polo fut au sol. Elle avait une vue sur ma fine carrure. Elle m'a déjà vu torse nu la semaine dernière dans la piscine de la fraternité. Au diable, la soirée sérieux. J'ai trouvé une fille qui ne me rejette pas. Je la voulais. Je bande dur comme sec et c'en est douloureux. Je soulève mon bassin et baissai mon jeans. J'hésite à baisser mon boxer mais la surprendre et qu'elle voit ma virilité d'un seul coup peut la brusquer. Je veux faire les choses bien, j'ai bien commencé, il faut que j'aille jusqu'au bout. Ses mains quittèrent mon calbut pour remonter vers mon torse. Elle touchait chaque centimètre de ma peau et ça me faisait de l'effet. J'essaye d'atteindre sa bouche mais elle m'en empêche en posant son doigt sur mes lèvres. C'est une coquine. Je ne la pensais pas de ce genre. Elle a l'air si prude.

« Tu veux que je te donne du plaisir, susurre-t-elle en descendant à nouveau sa main droite sur ma verge alors que la gauche caressait une de mes clavicules. »

Quand je bande, je suis littéralement à sa merci. Mon caractère destructeur a complètement disparu. Bordel, qu'est-ce qu'elle m'a fait ? Je lâche un petit gémissement la faisant sourire. Putain, j'ai envie d'elle.

« Oui, bordel de merde. »

Je crie ces mots avec désir. Je la laissai me posséder. Un hoquet s'échappa lorsqu'elle fourra sa main dans mon boxer pour chopper ma bite. Putain de merde. Quelques gouttes s'échappèrent de mon gland. Elle tire sur l'élastique et elle découvrit lentement ma verge. Elle ne semblait nullement choquée par l'apparence de celle-ci et continuai ses mouvements de haut en bas. Elle s'y prenait bien. J'étais content qu'une fille m'astique l'attirail. Je déteste les femmes mais bordel, pour ce que je ressens actuellement, j'en ferai une exception.

« Branle-moi, lui ordonnai-je. »

J'essayais de garder ma dignité en lui donnant des ordres : je ne peux pas la laisser me dominer.

« Entendu Gab. »

Ce surnom de merde me fait avoir un sourire de merde. Quel sort m'a-t-elle jeté pour que je réponde à ses caresses de cette façon ?

Sa main alla de plus en plus vite et je pris un mouchoir de la boîte à côté de la table chevet pour l'apporter à mon gland. Je viens à bout. Le liquide s'épancha dans le tissu et elle recule fière de sa prestation. Je remontai mon boxer et mon jeans : ma fièvre de sexe s'est calmée. J'attrapai mon polo sur le plancher et l'enfilai avant de prendre mon téléphone et lire le message de Martin :

Tu es où ?

Je regarde l'heure en même temps : 20 heures. Nous sommes sortis du bowling vers 18h30. A 19 heures, elle a pris sa douche et elle m'a donné du plaisir 30 minutes. J'étais refait. Cathy se brossait les cheveux et faisait comme rien ne s'était passé : tout est redevenu à la normale sans aucun malaise et aucune question de merde de sa part.

Je répondis à Martin :

J'arrive.

Cela ne répond pas à sa question et nous sommes à trente minutes de la fête.

Je m'approchai de Cathy et je la prévins :

« Je t'attends au salon pour la soirée.

-Ok. »

Elle finit de se coiffer et me suivit. On se chaussait et après quelques vérifications de la propreté de l'appartement, elle claqua la porte et mit ses clés dans son sac. Allons à cette fraternité.

**

Voilà ! J'espère qu'il vous plaît et que vous avez hâte de savoir la suite :)

-Elo

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