Avant de commencer, je précise que ce chapitre sera un lemon (passage à caractère sexuel). Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.
Ce chapitre est très long, n'hésitez pas à me signaler d'éventuelles fautes.

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Le grisé tenait fermement ma main, comme si ça le rassurait. Nous marchions calmement dans les rues en quête de son appartement lorsqu'il me susurra quelque chose qui me fit accélérer le pas.

Il avait à peine déverrouillé sa porte d'entrée que nous nous étions engouffrés dans le petit hall assombri par la nuit qui était tombée peu de temps avant.

Nos chaussures volèrent dans l'entrée et Kakashi prit rapidement ma main pour m'entraîner au salon.

Je me tournais vivement vers lui pour l'embrasser, et sentis avec plaisir le contact de ses lèvres, signe qu'il avait retiré son masque. La lumière de la lune qui s'engouffrait dans la maison grâce aux fenêtres me permettait seulement de voir quelques formes, quelques ombres qui suggéraient que l'homme qui me faisait fa ce était encore plus beau que je ne pouvais l'imaginer.

Le grisé dut sentir que je divaguais puisqu'il augmenta la pression de ses lèvres sur les miennes, comme pour approfondir notre échange.

D'instinct, j'agrippais sa chemise de mes deux mains et tirais dessus pour rapprocher un peu nos corps.

Il s'avança sans hésiter, tandis que je l'entraînais, en tâtonnant dans la pièce vers une surface dur sur laquelle m'appuyer pour amplifier notre échange fougueux.

Après quelques pas en arrière, je trouvais enfin le dossier du canapé, sur lequel je m'installais sans hésiter, écartant les jambes pour que Kakashi puisse se faire en place entre elles.

Il ne se fit pas prier pour s'avancer, toujours sous la légère emprise de mes mains sur son haut, et s'installa, debout face à moi. Je ne tardais pas à enrouler ses hanches de mes jambes, ce qui le rapprocha encore un peu plus de moi.  De plus, avec ce mouvement, ma robe, qui m'arrivait normalement au niveau des genoux glissa jusque la base de mes cuisses, dévoilant mes jambes nues à l'homme qui semblait déjà guidé par l'excitation.

Ses mains, jusqu'à présent posées sur mes joues vinrent s'échouer sur mes cuisses, au niveau du tissu de ma robe, qu'il s'amusa a effleurer, m'offrant des chatouilles sensuelles dont l'effet remontait jusqu'à mon bas ventre, déjà contracté par l'envie.

-Enlève tes gants s'il te plaît, je veux sentir tes mains contre moi. Je suppliais presque entre deux baisers.

Je le sentis sourire contre ma bouche, puis les bruits des scratches et de deux morceaux de tissus s'écrasant sur le sol me parvinrent aux oreilles.

Sans tarder, ses mains retrouvèrent le chemin de mes jambes, avec cette fois-ci une sensation bien plus douce et agréable qu'auparavant. Le mouvement de ses paumes vint se confondre avec celui de ses doigts fins sur ma peau.

Durant ce contact, nos bouches étaient en stand-by, comme pour nous concentrer sur ce qui se passait plus bas. Cependant, j'avais collé mon front au sien pour sentir sa présence, ainsi que son souffle qui caressait mon visage.

-Cette robe est bien trop encombrante. Lança-t-il plein de sous entendus.

-Je me disais pareil à propos de cette chemise. Susurrais-je de manière provocante.

Il déboutonna alors sa chemise lentement, m'offrant des baisers dans le cou. Ses lèvres étaient d'une douceur, comme si le fait de les cacher les avait rendu plus fragiles, presque irréelles.

Son haut s'écrasa au sol dans un bruit sourd, et je n'attendis pas plus longtemps avant de m'occuper de son torse, retraçant les courbes de sa musculature impeccable avec le bout de mon doigt.

-C'est à ton tour maintenant, retire cette robe. Enfin, si tu as toujours envie bien sûr.

L'idée qu'il me demande une nouvelle fois ma permission me conforta dans l'idée que cet homme était bienveillant et gentil, mais j'eus envie de le taquiner un peu.

-Oui, j'ai toujours envie, seulement ce n'est pas équitable. Si j'enlève ma robe maintenant, je ne serais qu'en sous vêtements, alors que toi, tu auras encore ton pantalon.

Je l'entendis rire doucement, provocant en moi un désir encore plus grand. Je voulais cet homme ce soir, et tous ceux qui suivront jusqu'à la fin de ma vie.

-C'est d'accord, mais à condition que ce soit toi qui me l'enlève. Lança-t-il malicieusement.

Il ne dut pas attendre plus longtemps pour que je saute du perchoir sur lequel j'étais assise pour enfin retrouver sa hauteur. 

Kakashi passa lentement sa main dans mes cheveux que j'avais décidé de laisser détachés pour l'occasion.

De mon côté, je passais doucement de ses pectoraux à son torse, pour enfin finir sur ses hanches, masquées par son pantalon.

Je l'effleurais légèrement, et sentis une bosse rigide au niveau de son entrejambe, qui augmenta ma propre excitation.

Je ne pouvais plus résister à l'envie d'envoyer valser ce morceau de jean qui me séparait de lui, et détachais rapidement le bouton principal ainsi que sa braguette pour laisser le vêtement glisser par lui même sur le sol. Kakashi n'eut qu'à lever légèrement les jambes pour se défaire de l'emprise de ce vêtement pour de bon.

Alors qu'il était à présent en tenue on ne peut plus légère, portant pour seul rempart face à sa nudité un simple caleçon, je compris que ma robe était la prochaine qui allait se retrouver à giser sur le parquet de mon petit ami.

Il attrapa alors mes mains dans les siennes, et me fit tourner sur moi même faisant voler le bas de ma robe.

-Tu te souviens de cette soirée où on a dansé tous les deux ? Commença-t-il en continuant à me faire tourner doucement.

-Bien sur.

-Eh bien c'est à ce moment là que j'ai su que j'étais amoureux de toi pour de vrai.

Tout de suite après cette déclaration, il arrêta de me faire danser, alors que j'étais dos à lui.

Il ne lâcha pas mes mains pour autant et décala d'un geste sur mes cheveux crépus pour dégager mon cou et l'embrasser avec tendresse.

Je sentis alors la fermeture arrière de ma robe s'ouvrir, et les baisers dans mon coup migrèrent alors à mes épaules, et continuèrent leur route dans mon dos.

Ne tenant plus, je dégageais moi même la robe, et remerciais intérieurement Olympe de m'avoir offert des sous vêtements sexys pour mon anniversaire. J'allais en mettre plein la vue au ninja.

Nos deux corps se rapprochèrent encore, sans que ce dernier n'ai pu effleurer la dentelle de ma petite tenue.

Nos deux lèvres se retrouvèrent, comme si elles n'en pouvaient déjà plus d'avoir été séparées quelques minutes.

Ses mains, bien installées dans le creux de mon dos dévièrent dans un mouvement sur jusqu'à mes cuisses, et il me souleva légèrement.

Je compris qu'il m'emmenait dans sa chambre et m'agrippais fermement à son cou, y nichant également ma tête pour profiter de l'odeur enivrante de son parfum.

J'entendais une porte s'ouvrir, et je sentis qu'il me déposait sur une surface molle et confortable; son lit.

Je sentis alors son corps s'éloigner du mien, et d'un coup, la pièce s'éclaira. Il venait de presser l'interrupteur.

Mes yeux se déposèrent instinctivement sur le visage de Kakashi, que je pus vaguement distinguer avant de détourner le regard.

-Je suis désolée, je n'ai presque pas vu, je...

-Tu as le droit de regarder. Je veux que tu me connaisses.

Je n'attendis pas plus pour lever les yeux vers lui, qui s'était déjà allongé au dessus de moi. Il se tenait droit grâce à ses mains, disposés de part et d'autre de mes épaules, et souriait légèrement face à mon désarroi.

-Pourquoi tu fais cette tête, je suis mo je c'est ça ? Ses lèvres s'étirent face à cette réplique qui accéléra drastiquement mon rythme cardiaque déjà bien emballé.

-Non, tu es le plus beau... que j'ai jamais vu.

Ma phrase n'avait aucun sens, mais face à cette beauté exquise, mes mots s'embrouillaient dans ma tête.
Il sembla le comprendre, puisqu'il me provoqua d'un petit rire cristallin.

Ce mouvement m'avait permis de voir son visage - encore nouveau pour moi - sous un autre angle de vue.

Des légers plis s'étaient immiscés aux coin  de ses yeux, ses dents étaient incroyablement blanches, son corps élancé, son entrejambe gonflée à bloc, ses muscles parfaitement dessinés. Je ne savais plus où donner de la tête, j'allais clairement faire un malaise si il continuait comme ça.

De sa belle bouche aux lèvres rosées, il s'attaqua à une zone partant de ma clavicule et allant jusqu'à la naissance de ma poitrine, y déposant toutes sortes de baisers, petites morsures et marques de succion. J'exprimais mon contentement à l'aide de râles et de petits gestes dans ses cheveux.

Ses dents vinrent ensuite attraper une bretelle de mon vêtement et l'abaisser sur mon bras, répétant l'opération de l'autre côté, ce qui dévoila un peu plus de ma poitrine, sans pour autant arriver aux tétons.

Je répondis par le regard interrogateur qu'il venait de m'envoyer par un bref signe de tête, et le grisé continua sa course sur mes seins, en enlevant cette fois ci le morceau de tissu devenu bien trop encombrant.

Après quelques gestes pour malmener mes seins, je relevais légèrement sa tête dans une douce caresse pour lui faire comprendre que je voulais changer les rôles. Il ne se fit pas prier et s'allongea sur son lit, les deux mains derrière la tête, conservant son sourire charmeur et plein d'assurance qui contrastait avec son cœur qui tambourinait dans sa poitrine et ses joues roses.

Je m'installais directement sur le bas de ses cuisses, et décidais de jouer avec lui, comme il avait pu faire avec moi depuis que je le connaissais.

Son regard sur moi ne me gênait pas, bien au contraire, il me donnait de l'assurance pour la douce torture que j'allais lui infliger.

Mes mains, se posèrent donc sur ses cuisses d'un geste sur, remontant lentement jusqu'au haut de son corps, seulement, plus mes mains montaient, plus je les éloignais de ma belle victime, qui ne put cacher la frustration sur son visage, quand, lorsque j'arrivais au niveau de son entrejambe, il ne reçut qu'un petit effleurement a peine perceptible.

-Tu me fais payer la frustration que je t'ai infligé quand j'ai dormi chez toi? Devina-t-il

-Tu as tout compris.

-Le problème, c'est que, comme toi actuellement, ce soir là j'ai aussi été horriblement frustré. Il faut savoir si tu as envie de t'infliger ça. Ses commissures s'étirèrent, laissant apparaître un brin de malice sur le visage de mon amant.

Les fourmillements qui animaient mon bas ventre m'indiquèrent qu'il avait raison, alors cette fois ci, mes mains se posèrent sur son intimité, la caressant a travers le tissu de son dernier vêtement. L'effet que je lui faisait me plut beaucoup. Le voir se tortiller dans tous les sens en lâchant des petits soupirs alors que je ne faisait que de le caresser me donna envie d'aller plus loin, de lui faire perdre tous ses moyens.

-Je peux l'enlever ? Demandais-je en imprimant cette vision de lui dans mon esprit.

Il sembla réveillé par ma question, comme si il était jusqu'à présent dans un autre monde.

-Oui. Il implorait presque.

J'attrapais alors l'élastique du haut et le fit glisser sur ses jambes, jusqu'à ce que Kakashi soit enfin débarrassé de cette pièce encombrante, qui laissa apparaître sa verge, dressée à la verticale.

Ma bouche s'écrasa alors sur ses cuisses et remonta lentement en déposant des baisers mouillés sur son corps. Je m'arrêtais finalement au niveau de son intimité, et relevais les yeux vers lui. Il ne me lâchait pas du regard, attentif à ce que j'allais faire.

Il avait passé sa vie à rejeter le bonheur, mais ce soir, il allait être servi. J'allais faire de mon mieux pour le combler, pour qu'il ne doute plus jamais de ce que nous sommes, de ce que je peux lui offrir.

D'un geste sur, je portais son membre dans ma bouche et entamais des vas et viens d'un air sur.

Ses mains agrippèrent les drap, et son corps se courba légèrement, ce qui m'incita a continuer à le pousser à bout.

L'air provoquant, je le cherchais du regard, mais il avait basculé la tête en arrière, certainement pour profiter un peu plus de ce moment, où alors pour ne pas montrer la faiblesse que mes gestes lui provoquaient.

-Stop.. Je vais... Arrête toi. Sa voix était chevrotante.

Je m'exécutais et utilisais maintenant ma bouche pour embrasser son ventre.

-À moi maintenant.

Je n'eus pas le temps de percuter que j'avais été projetée en arrière, me trouvant maintenant dans la même position que l'était Kakashi précédemment.

-Je peux l'enlever ?

-Tu dois même.

Le grisé rigola légèrement, et en moins de deux, je me retrouvais complètement nue. Cette idée me fit frissonner.

-Tu as froid ?

-Oui un peu. Mentis-je.

Il attrapa alors la couverture et la passa au dessus de nous, englobant également notre tête, ce qui nous plongea dans le noir, et me donna l'impression que j'étais dans une petite tante, une bulle de plaisir et de sécurité.

Comme je n'y voyais plus rien, je ne pouvais pas anticiper ses mouvements, qui furent encore plus agréables lorsque je ne les voyais pas venir.

La sensation de chatouilles et de douceur qui secouait mon ventre était due aux cheveux de mon amant, signe que son visage devait être au niveau de...

Ses coups de langue me montrèrent que je ne m'étais pas trompé. Le grisé s'amusait à malmener mon petit bout de chair, m'octroyant un plaisir démesuré.

Je ne mis pas longtemps avant d'atteindre le point culminant de mon excitation, faisant vibrer tout mon corps. C'était tellement bon.

Je sentis ensuite que la bouche de Kakashi retrouva la mienne, et je devinais une mine satisfaite sur le visage du ninja.

-J'aurais bien aimé voir ton visage en plein orgasme. Lança-t-il entre deux baisers fiévreux.

Sa main droite, qui jusque là vagabondais sur mon ventre trouva rapidement le chemin de mon entrée, et après la demande de mon accord, il y engouffra un doigt, puis un deuxième qu'il déplaça dans un mouvement sur.
Pendant ce temps, nos deux bouches se rejoignirent offrant une symbiose totale à notre acte.

-Kakashi, je veux le faire. Suppliais-je après quelques minutes.

Il libéra alors nos visage de la couverture, mais laissa nos deux corps en dessous. Il était au dessus de moi, prêt à sceller nos corps pour de bon, alors que pour la première fois, je sentis une certaine hésitation.

-Si tu n'as plus envie, ce n'est pas... Commencais-je.

-Bien sur que j'ai envie, je voulais juste être sûr que toi aussi.

Sur ses mots, il approcha son intimité de la mienne et se fit une place à l'intérieur, m'arrachant un soupir de plaisir.

Il continua à se mouvoir en moi, alors que je n'étais plus en capacité l'embrasser tant j'étais figée par la plénitude de ce moment.

-Je t'aime. Glissais-je finalement dans son oreille.

-Moi aussi, et je compte bien te le montrer.

Sur ces mots, les coups de butoir se firent plus rapprochés nous laissant à bout de souffle malgré notre endurance de ninja.

Cet incroyable mange redoubla encore d'intensité, et, à bout de force, s'arrêta finalement, laissant mon amant se déverser dans le petit bout de plastique qui entourait son membre.

Il s'allongea alors sur le dos, à côté de moi et petit à petit, sa respiration saccadée retrouva un rythme normal.

Après quelques contemplations respectives, il tendit son bras pour que je me rapproche de lui. Je me posais alors complètement, la tête sur son torse, profitant des quelques caresses qu'il offrait à mon bras.

-Nous deux c'est pour la vie, hein ?

-Carrément. Affirmais-je tout sourire.

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FIN...

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Non je rigole. Comme je l'ai dit, j'aime beaucoup trop mes OC Olympe et Karla et leurs petits amis respectifs, alors j'annonce officiellement le Tome 2 ( centré sur Olympe et Iruka, mais le couple de Karla et Kakashi y sera très présent !)

De plus, je posterais encore quelques chapitres bonus sur cette histoire de temps en temps.

Un grand merci à celles et ceux qui ont lu/ voté et commenté mon histoire, j'ai lu vos appréciations avec plaisir.