Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 12

—En plus tu es audacieuse.
— Ce n'est pas vraiment ma personnalité.
— Ce n'est pas grave ce que j'ai vu ce soir me plait beaucoup.

Nous avions décidé de nous séparer pour enfin rentrer chacun chez soi.
J'avais raccompagné Elya, en ne lui adressant aucun mot. Je ne voulais pas ébruiter encore cette histoire, je voulais là garder encore un peu pour moi. J'avais les yeux qui brillaient, le cœur qui tapait fort contre ma poitrine.
Je me couchai avec le souvenir de ce bisou.

Les jours passaient et je ne me rendais pas bien compte que je sortais avec un garçon qui m'était inconnu.
Mais cela rendait notre histoire tellement plus atypique. J'avais beaucoup d'angoisse en vers ce garçon, étant donné que je ne le connaissais pas, malgré mon envie de le revoir, je n'arrivais pas à avoir de sentiment pour lui. Mais je voulais en savoir sur Yann. Le fait que je ne connaisse rien de ce garçon m'attirait au plus haut point.

Je me disais que c'était le début et que cela finirait par arriver et parfois mon esprit me disait que je faisais peut-être une grave erreur.
Chaque pensée négative que j'avais envers lui était effacée quand je recevais des nouvelles du sa part. Mon sourire s'affichait sur mon visage, comme ci c'était lui, le maître de mes humeurs.
J'avais reçu un message de Yann.

« Veux-tu qu'on se voit aujourd'hui? »

Je lui avais répondu précipitamment pour pas qu'il n'organise autre chose avec quelqu'un d'autre, je voulais le voir, paradoxalement j'étais encore sans sentiment, mais je voulais l'avoir pour moi seule.

« Oui oui, un cinéma ça te dit? »

J'étais si stressée que mes mains d'un naturel sèches étaient à présent moites et colleuse.
J'avais chaud, alors que le printemps n'avait commencé que depuis quelques jours et que le ciel n'était pas accompagné d'un magnifique soleil, mais plutôt d'un vent frais et de nuage gris.

— Tu vas où chérie?
— Heu, maman.. Je vais au cinéma.
— D'accord, mais avec Sarah?
— Non, non avec Élya et les filles.
— D'accord amuses-toi bien et rentre un peu avant le dîner.
— Merci, Bisous.

Rares sont les fois où je mentais à mes parents. Mais je ne voulais pas parler de garçon, je ne voulais pas que le foyer de mes parents soit un moulin, j'avais trop de respect pour eux.
Je voulais présenter le garçon qui avait eu mon cœur uniquement si j'étais sûre de mon amour.
Ce qui n'était pas encore le cas. 

J'avais pris une petite veste avant de partir car j'étais toujours frigorifiée par les climatiseurs trop puissant des  cinémas de ma ville.
En réalité, je lui avais proposé un cinéma, parce que j'avais peur de lui parler, je ne savais pas quoi lui dire.
Un film était là bonne alternative car je pouvais éviter une conversation tout en étant avec lui.
Je l'avais vu au loin, je l'attendais à l'intérieur de cinéma, je ne l'avais pas attendu très longtemps, ce rendez-vous m'avait révélée que c'était un garçon ponctuel.
Il s'approcha de moi et me fit un léger bisou, un bisou attentionné et respectueux.

— Alors, ce film?
— eh, bien j'adore les films d'actions donc j'ai été servie.
— Haha, en tout cas merci d'avoir accepté mon invitation Amy.
— Pas de quoi, j'avais envie de te voir.
— Oh, et bien tu veux venir chez moi?
— Non, fin, pas que je ne veux pas, mais je vais rentrer. On se fait ça une prochaine fois?
— Oui, pas de problème tu m'envoies un message?
— Bien sur!

J'avais très envie d'aller chez lui, mais je ne voulais pas précipiter les choses, je voulais prendre mon temps pour le découvrir lui, avant de connaître son univers.
Je voulais être sur de moi avant de me lancer dans une histoire. Je voulais éviter toutes les erreurs que j'avais commises par le passée.

Tous les moments que nous passions ensemble étaient basés sur la découverte de l'autre, sans préjugé et moquerie et contrairement à ce que vous pouvez penser, je n'étais plus du tout mal à l'aise bien au contraire, j'étais détendue avec lui. Je profitais de chaque minutes avec lui, sans lui donner trop d'importance pour que ce soit pas déjà gagné d'avance de son côté.

— Tu es très jolie ce soir.
— Merci, je me suis préparée pour toi

Nous étions au bord de l'eau, un soir et nous écoutions le bruit des vagues, nous échangions nos premiers vrais câlins, et premier vrai bisou.
Je commençais à m'attacher à lui, j'étais bien il me faisait rire.

— Pas trop déçu du contrat ?
— Non pour le moment tu remplis bien tes conditions.
— Profite Amy, c'est juste le début après c'est toi qui payeras les restaurants et nos samedis soir ressembleront à pizza et télé.

Nous éclations de rire, tout en nous rapprochons encore un peu plus l'un de l'autre.
Yann m'apportait quelque chose qui me manqué. Un je ne sais quoi qui me plaisait.

Même si j'avais perdu toute confiance envers les garçons ça ne me dérangeais pas d'être aveugle à son égard, à vrai dire nous vivons la même histoire. il ne me connaissait pas et ses histoires antérieures n'ont pas été très glorieuses. On se disait tout le temps que notre force était qu'on soit de parfait inconnu qui commence à s'apprécier.

Le temps passé et inconsciemment nous avions insaturé nos habitudes, on nous répéter sans arrêt que nous étions les mêmes, c'est bien simple si on nous disait qu'on était frère et sœur jumeaux, ça ne nous étonne même plus.

Cela  me faisait du bien de partager les mêmes passions les mêmes gouts avec la personne qu'on aime. Nous avions l'habitude quand le soleil montrait sa couleur, et nous réchauffer
de faire de longue balade à moto. Je montais derrière lui, et m'accrochai fort à sa taille.
Je profitai de ce moment pour le serrer fort contre moi, je me sentais paradoxalement en sécurité avec lui.
On faisait ce petit tour  pour admirer ce joli paysage que le sud nous offre.

— Tu n'a pas trop peur à moto?
— Si, mais je m'accroche à toi alors, je dirais que ça va.
— Ah, oui je le sens je vais finir par mourir à force que tu m'écrases haha
— Oups, Hahaha

Nous buvions quelques bières jusqu'au coucher du soleil. C'était notre truc à nous.
Un moment que nous adorions partager et qui à chaque fois contrairement au habitude était unique. Cette histoire d'amour allait trop vite pour que je puisse y voir quelques choses.

Vous savez un grand homme sage et plein d'élégance, me disais toujours : « quand on aime quelqu'un pour son physique ce n'est pas de l'amour mais de l'attirance, quand on aime quelqu'un pour son intelligence ce n'est pas de l'amour mais de l'admiration quand on aime quelqu'une pour son argent ce n'est pas de l'amour mais du profit, quand on aime quelqu'un sans savoir pourquoi, ça c'est l'amour »

Je le répondais souvent par un léger rictus car je ne comprenais pas. Mais quand je voyais la relation que j'avais avec Yann, je dois avouer qu'il disait vrai.

— Amy, il faut que je te raccompagne chez toi.
— Oh non, déjà ?
— eh, oui le couvre-feu de Maman Smith

Je ne voulais pas rentrer. Je voulais rester avec lui, juste encore quelques minutes.
Je ne sais pas pourquoi mais je l'aimais de plus en plus  et c'est tout ce qui m'importait. Notre amour n'était pas seulement sentimental, il était fusionnel. Nous étions ivres d'amour. Je ne comprenais pas en quoi son amour avait réussi à me faire ressentir ce que personne d'autre ne pouvait me faire ressentir. J'étais tout simplement folle d'amour.

- Amy, j'aimerais faire un truc fou !
- Quoi dont
- J'aimerais faire le tour du monde avec toi, voyagé, voire tout ce qui existe sur cette terre avec toi.

J'avais souri à ses dires car c'est ce que secrètement je rêvais aussi. Il m'avait fait promettre que quoi qu'il arrive nous le ferions. Il me caressa les cheveux d'une manière très tendre. Je ressentais tout l'amour qu'il me portait. Pourtant il ne me le disait jamais, c'était quelqu'un de pudique sous ces airs de Badboy. C'est ce qui me faisait craquer chez lui.

Je savais malgré tout cette timidité qu'il m'aimait, du moins je l'espérais secrètement.
J'avais toujours ce besoin en moi, de me sentir aimer, c'était plus fort que moi. J'avais besoin d'être rassuré.

— Amy, je ne suis pas comme lui, croit moi.
— Je te crois.. je te fais confiance.
— Je te le promets.

Il me prit dans ses bras et il me posa sur son lit et me caressa les cuisses jusqu'arrivé à ma partie intime. Il était attentif à mes demandes. J'étais très angoissée et essayai de me détendre en me déposant des bisous dans le cou. Il était tendre, et me déshabilla, lentement. Il joua de mon corps, devant moi, son torse musclé. Je lui avais enlevé d'une main tremblante son boxer. Il s'approcha doucement de mes lèvres m'embrassa tendrement.

Il descendit calmement vers ma poitrine ce qui me donnait des frissons, nos respirations étaient de plus en plus rapides. Je sentais la chaleur monter en moi, les frissons sur tout mon corps. Tout était fait avec amour.
Il me regarda avec une telle excitation, ses yeux marron me fixaient intensément.

— Je t...
— Je sais Yann.

Je n'arrivais pas à lui dire et je ne voulais pas l'entendre, j'étais si bien, mais j'avais peur, les souvenirs d'autrefois me frapper comme un coup de fouet.

Il m'embrassa langoureusement, ses mains se baladaient partout sur mon corps et m'avais chuchoté une fois de plus qu'il avait des sentiments pour moi. Certes il ne me disait pas clairement qu'il m'aimait mais ça me suffisait.
Pour être honnête mon cœur s'était arrêté de battre à l'instant même où il avait prononcé ces petits mots et aussi paradoxale que cela puisse paraître c'était la toute première fois où je me sentais aussi vivante.

Je m'étais assoupie sur son épaule chaude après de longues minutes, je me réveillai tout doucement, tout était calme, silencieux. J'appréciais ce moment.

— Désolé pour tout à l'heure.
— Je te presse pas, tu me diras  quand tu sera prête.

Nos premières vacances nous les avions passés  proche de St-Tropez, nous étions seuls réellement. Nous profitions de ces moments de bien-être pour marcher au bord de l'eau beaucoup plus que clair que nos mers proches d'usine. L'air était pur. Nous étions allés le soir même dans un parc d'attractions. J'adorais cette ambiance où tout était coloré, nos oreilles étaient remplies de musique de fêtes foraines et notre odorat était stimulé par les stands de barbe à papa bien rose.

— Oh, Yann, viens, on fait ce manège
— Absolument pas, j'ai le vertige, je n'aime pas la sensation que ça me procure.
— Si, ça va être drôle.

Je lui avais tiré la main, et ôter la barbe à papa qu'il tenait. Il n'était pas très enthousiaste pour faire ce genre de manège mais nous ne nous refusons rien.

— Bon maintenant que j'ai fais ça. Tu fais la maison de la terreur avec moi
— Yann, je ne peux pas faire ça, j'ai vraiment très très peur..
— Tu es avec moi, je te protège.

Je voulais lui faire plaisir mais j'étais intérieurement terrifiée. C'était un genre de manège où il fallait se déplacer à pied où des acteurs nous couraient après pour nous faire peur. À ce moment-là, j'avais perdu tous mes moyens. Plus rien n'était rationnel. Je m'étais mis à courir aussi vite, que mes jambes ne pouvaient plus suivre ce que mon cerveau donnait comme information. À la sortie avec l'adrénaline qui était monté d'une manière folle. J'étais tombé par terre, tout en essayant de retrouver un souffle régulier.

— Amy, ça va?
— Oui oui Yann, je crois que je saigne au genou
— Oh, non je suis affreusement désolé.

On se mit à rire en repensant à la panique que je venais d'avoir. On avait décidé de rentrer, il m'avait acheté sur le chemin une petite
peluche. Une fois rentrer il m'avait soigné le genou et y avait mis pansement tout en me caressant la joue avant de nous coucher.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro