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Chapitre 4

Coucou ! Faites attention, j'ai posté le chapitre 3 dans la même journée ! bonne lecture !

CHAPITRE 4
J.JK

Comment des jumelles peuvent-elles être diamétralement opposées ? C'est la question que je me pose depuis que j'en connais.

Je savais qu'il pouvait y avoir des jumelles qui ne se ressemblaient pas physiquement, mais qui étaient si différentes en tout et pour tout, je croyais que ça n'existait pas jusqu'à ce que je rencontre cette même paire de jumelle.

« Approche ? Faite ». Je range rapidement mon téléphone puis quand je relève les yeux, Elizabeth a déjà quitté l'estrade pour rejoindre la terre ferme. Je la fais carrément fuir. Mais ça ne me choque étant donné qu'elle doit être la – seule – personne qui me fuit le plus sur cette planète.

Elle ne m'aime pas et je le sais, ses yeux noisettes ne m'apprécient pas, ils me cessent sans relâche de me dévisager comme si, si elle pouvait me tuer à l'aide de ses deux billes marrons clairs, elle le ferait.

Cependant je pouvais la comprendre, j'éprouvais la même sorte de mépris à son égard. Elizabeth était une fille trop sûre d'elle, capricieuse, coincée et pas drôle. Sauf que comparé à elle, je savais faire preuve d'effort... Enfin surtout que comparé à elle, son frère était mon meilleur pote, et sa jumelle ne me laissait pas indifférent.

C'était d'ailleurs pour elle que j'acceptais de prendre sur moi le temps de ce semestre. Pour elle et pour ce qu'elle m'avait promit. Alors avant qu'Elizabeth ne disparaisse de mon champs de vision, et de manière totalement inopinée je me mets à appeler la jeune fille.

- Elizabeth ! Pour ton article ! Je marque une léger temps de pose histoire de savoir quoi crier, tu n'as qu'à écrire sur moi !

Sérieusement ?

Elle ne prend même pas la peine de répondre, elle se retourne et rebrousse chemin sans doute jusqu'à la bibliothèque du campus. L'agacer était la chose la plus facile à faire, et même si en sois je ne lui avais parlé que trop peu de fois pour le faire à plein temps, je le remarquais facilement. Il suffisait qu'un mec de l'équipe tente une approche, qu'on plaque trop fort Fitz au sol ou qu'on lui adresse la parole pour qu'elle s'agace.

Elle était le contraire de Jane qui à l'inverse n'osait pas avouer quand quelque chose lui déplaisait. Elle n'osait pas dire « non » sous prétexte qu'on ne lui arrivait pas à la cheville – chose qu'on pouvait ressentir quand on s'adresser à Elizabeth. Elle était hautaine – et comparer à ce qu'on pouvait croire, Jane n'en faisait pas des masses, elle ne jouait pas de sa popularité pour décrocher telle note, tel contact ou autre et c'est ce qui m'avait d'ailleurs plu la première fois que son frère l'a présentait à notre groupe. Elle était extravertie, mais n'en faisait pas trop. De plus, elle n'était pas comme les autres, elle ne tentait pas de me plaire pour X raison.

Bon Elizabeth aussi ne se trémoussait pas pour que je lui accorde un seul regard, mais elle avant même de me connaître elle me haïssait déjà, donc j'avais de mon côté finit par ne pas l'aimer en retour.

- Kook !? Cri au loin Peter, un gars de l'équipe, tu fous quoi !?

Il s'était arrêté au risque de se manger une sanction, et ça ne l'avait pas empêcher de venir à ma rencontre. C'était un type cool, le genre de gros nounours qui ne sort que pour faire du sport et aller en cours et un peu mère poule en prime, mais ici, chaque gars l'apprécier parce-que nous avions tous que dès que nous avions un problème, il était le premier à se porter volontaire pour le régler.

- Dispensé, je réponds avant de sortir de ma poche la lettre de dispense que m'a si gentiment fait l'infirmière de l'école. Ouais ce soir je me sentais pas « open », pas trop envie d'entendre le coach me criait à quel point je suis une merde ce soir. Je me sens pas très bien...

Je feins un mal de ventre histoire d'être crédible un minimum, puis je me réinstalle sur le gradin, cette peste m'a fait me lever sans m'en rendre compte. Et en plus, tout ça pour juste lui crier qu'elle n'avait cas écrire sur moi.

- J'ai des médocs si tu veux, ils sont dans mon sac tu peux aller les chercher.

Gentiment je refuse. Je suis pas réellement malade et je ne suis pas suicidaire non plus. J'abuse peut-être un peu, mais en gros je ne prends pas des médocs, juste pour prendre des médocs.

- Non c'est bon, l'infirmière m'a donné de quoi tenir la soirée.

- Tu devrais rentrer chez toi, te coucher et récupérer toutes les nuits de sommeil que tu as manqué. Il dit assez sévèrement.

Merde ça tombe mal parce-que ce soir je comptais fêter ma note en anatomie, et même si il ne venait pas souvent, il était tout de même au courant de tout. Je devrais peut-être annuler ? Ou pas, parce-que je sais même pas pourquoi j'essaye de lui faire croire que je suis malade alors que tout le monde sait très bien à quel point ce soir j'ai la flemme

J'adore le foot, c'est ma passion et littéralement je ne vis que pour ça – vue tous les sacrifices que j'ai du faire pour en arriver jusque là, on peut réellement dire que je ne vis que pour ça – , mais il y a des jours où je suis moins inspiré que d'autre.

- Non en fait j'avais un peu la flemme, j'avoue sans la moindre honte. Si je reste là c'est parce-sue je dois attendre Fitz.

- T'es sûre que c'est pour lui que t'attends ? Et pas pour... En même temps il pointe du regard le groupe de fille plus loin qui s'entraînent. Pour ces filles là ?

- C'est effarant... à quel point tu me connais par cœur !

***

- Tu faisais quoi avec Lizz ?

Le chemin jusqu'à son appartement avait été si silencieux que de l'entendre briser ce silence d'un seul coup, me surpris. Fitz portait son sac de manière nonchalante et sa façon de me dévisager me rappeler ô combien Elizabeth et lui se ressemblaient. Ils n'étaient pas de la même fratrie pour rien.

- J'parlais de son devoir, je dis de manière détacher afin qu'il ne voit rien d'abject dans mes propos.

Depuis la soirée dernière il était bizarre, je sais que j'avais pas été sympathique dans le groupe hier soir, mais je pensais pas que ça allait l'énerver à ce point. En plus ce que j'avais dit n'avait rien de méchant, ça reflétait la simple et pure réalité. Bon j'admets que toute fois que si j'avais été à la place d'Elizabeth, j'aurais pas aimé qu'un inconnue parle dans mon dos de cette manière. Mais fallait dire ce qu'il en était, elle était coincée, ne m'intéressait absolument pas et puis en plus je m'étais trompé de destinataire, mais ça je me priverais bien de le dire.

- JungKook écoutes...

- Non Fitz ne vois rien de méchant, je coupe mon pote avant qu'il ne se terre dans un putain de long monologue dont seul lui connaît la recette. Ce genre de mono' à la fois moralisateur et préventif. Hier j'ai été méchant, c'est vrai que j'aurais pas du dire tout ce que j'ai dit, mais avoue le Fitz, ta sœur ne sort jamais et elle méprise tout le monde. Aujourd'hui je voulais même être sympa et elle m'a rembarré comme jamais personne ne l'a fait.

J'essaye tant bien que mal de le convaincre, mais ce n'est pas mince affaire car sans le vouloir je m'enfonce plus qu'autre chose.

- Ouais mais Kook, t'as le droit de ne pas l'aimer, d'ailleurs je t'ai jamais reproché le fait que tu ne l'aimes pas. Mais tu l'humilies dans son dos, et en plus dans un groupe d'une trentaine de personnes. Et après quoi ? Tu paries d'enlever tes propos si elle vient à la soirée alors que j'ai simplement demandé des excuses et je l'ai fait en privé or que toi...

J'avoue avoir peut-être été trop loin et je m'en suis rendu compte quand les Bailey on fait leur apparition à la fête à deux et que tout le monde les a chambré à propos de leur sœur coincée du cul. Mais encore une fois le message ne leur été même pas adressé et j'avais aucune excuse à sortir au 30 autres personnes qui me demandait pourquoi soudainement je parlais d'Elizabeth.

Et puis vous auriez du voir le regard de Jane quand elle est entrée, pire que les fois où sa jumelle me dévisage sans grande raison.

- Tu peux me comprendre ? Je trouve ça étrange que le lendemain tu lui tournes autour.

Quand même incroyable l'amour qu'entre frères et sœurs ils se portent tous, ça m'en donne presque la gerbe.

- Oui je peux comprendre. Je déclare histoire de lui faire comprendre qu'en aucun cas je veux qu'on entre en guerre tous les deux.

Dès les première secondes de notre rentrée en première année au lycée, nous sommes devenues amis, le coup de foudre amical comme on le dit si bien, et j'ai pas envie qu'à cause d'un quiproquo – qui n'en est pas réellement un puis-que je reste sur mes positions, sa sœur est une grosse coincée – nous perdions tout ce que nous avions bâti.

Fitz est mon partenaire, et au delà du fait qu'il ai une sœur qui m'intéresse, je serais prêt à partir au front pour lui, il pourrait même me dire de lâcher clairement l'affaire avec Jane que je le ferais. L'amitié passe avant les amourettes.

- Je suis soulagé... Je pensais que t'avais fait un stupide paris avec un de tes potes...

Soudainement il lève les yeux au ciel et il s'arrête un instant avant de contempler la vue dégagé de tous nuages. Il commence à faire nuit, et l'humidité nous tombe dessus comme une pluie diluvienne, le vent lui commence à souffler et moi je regrette la veste que j'ai laissé dans le vestiaire ce matin.

- Du genre t'as un mois pour approcher Elizabeth. Il souffle légèrement et quand l'air s'échappe de ses poumons, un nuage de vapeur d'eau se forme à quelque centimètre de sa bouche. Les gens aiment bien parier sur son dos en pensant que ça ne va l'affecter.

Un peu surpris d'apprendre qu'un truc peut affecter miss de marbre j'interroge silencieusement mon ami trop occupé à regarder le ciel pour me voir.

- J'suis sûre que rien n'affecte ta sœur, j'ose après quelques secondes de silence.

- Et bien ramasse la à la petite cuillère à chaque fois que quelqu'un se fiche d'elle et on verra. Lizz est comme tout le monde, parfois elle est drôle, rigole et s'amuse avec nous et quand il faut être blessé, elle s'est l'être.

- Tu sais ? J'ai ouïe dire que dans le nord de la France, les relations amoureuses avec un membre de sa famille c'était commun. Tu devrais essayer, et si tu veux je te paye un allé sans retour là-bas. Je propose presque hilare à celui qui n'hésite pas une seconde à foutre son poing dans mes côtes.

Motif d'absence pour demain ? J'ai.

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