11/ Retour au point de départ.
Je marche vite.
Puis je vois la maison, et je m'y approche encore plus rapidement.
Tout est fermé. Évidement. Mais le vieux était proprio donc pas de risques qu'il y ait des gens ici. Et j'ai un double des clés. J'suis pas conne, je me suis dit " au cas où ".
Je rentre, tout est silencieux, la poussière stagne dans l'air, et là où des rayons de soleil entrent dans la pièce, on voit les grains danser dans la pièce.
Je ne m'attarde pas, pas le temps de faire la sentimentale en décrivant le plancher qui grince, l'odeur de bois, et gnehgnehgneh.
Je suis montée dans son bureau et j'y ouvre tous les tiroirs. Je regarde un peu partout.
Puis je tombe sur des photos.
De moi.
Et de lui.
Et on riait. J'avais beaucoup de bons moments avec lui. J'étais pas malheureuse.
Ce n'est qu'au moment où des larmes roulent sur mes joues que je remarque que je me secoue dans d'affreux spasmes.
Il était quand même ma famille.
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